La finalité d’une entreprise est de faire du profit et tant qu’à faire de le maximiser.Cela impose de générer un revenu substantiel par prélèvement d’une partie du flux de capitaux (cas piteux, capiteux) en mouvement au sein des dynamiques dumarché. Il convient alors de limiter les coûts inhérents aux activités deproduction et de commercialisation des extrants. Jusqu’ici rien d’étonnant. Simple révision pour étudiants.
Pourtant,force est de constater que l’économie de marché, et non celle de communauté en introduction de résurgence, nous habitue inexorablement à toutes formesd’exacerbations de l’Esprit et des pratiques de la finance corporative et surtout boursière qui mènent à des Attitudes outrancières chez bon nombres de gens dits« d’affaires » mais qui, à bien y voir, sont in fine de tristes experts individualistes en création d’entreprise commerciales mais dont le but inavoué n’est pas toujours la pérennité maissouvent la pure teinte de l’ingéniosité voire la visibilité.
Le passé récent nous a fait connaître le dictat de la dérégulation et de lalibéralisation des espaces commerciaux pour assouvir l’agenda perfide etstupide de la « Mondialisation deséchanges socioéconomiques ». On a ainsi régularisé des irrégularités notamment de force en présence avec d’un côté des compagnies subventionnées etde l’autre des compagnons sous-mentionnés. Le résultat sans étonnement a été la perte des souverainetés économiques et la mise en place de monopoles d’exploitation voire de surexploitation. Les pays des Sud étant mis à genouxpar le budget et pour le bréviaire ou la bière (double réalité; réalitédouble). Au détour des deux tours qui a joué un tour aux atours de la cours, la haie a été quelque peu taillée et certains haineux se sont taillés. Hentaï et Entaille dans le Peuple.
Dans leprésent, la surexploitation des ressources des pays du Sud a laissé clairementplace à l’oppression socioéconomique cette fois-ci pour servir un agendamafieux et pernicieux de « Monétisation des espaces socioéconomiques » dont les deux pans à nos dépends sont,d’une part, le prosélytisme lâche et de mépris d’un féminisme nihiliste qui n’aaucune commune mesure avec celui traditionaliste des sociétés à référenceethnique qui est minimisé; et, d’autre part, l’organisation paternaliste dedéni d’un accompagnement stratégique sans commune mesure avec celui réalistedes partenaires à préférence technique qui ont émigrés. Ici, il s’agit d’unregard macroéconomique de cet état de fait et du fait des états.
À titremicroéconomique, un système de rente financière par la plupart des grandes entreprisess’est substitué à celui des objectifs et de la planification des ventes et aété mis en place progressivement et discrètement. On s’assure un confort poliet employé à payer des T-shirt d’uniforme au personnel sur le dos nu despauvres usagers. Oui, cela arrive, sans honte, dans les paraboles ou le chienprotecteur du foyer contre le voleur se met lui-même à voler ses maîtres enfaisant fi d’os (au pluriel, c’est l’indicatif de la région). Ainsi, on cherche insidieusement à abonner le consommateur voire le rendre dépendant à un produit ou service quitte à faire intervenir la connivence avec les milieux politiquespour en faire une loi. Je ne sais toujours pas pourquoi les sacs de poubelles industriels sont devenus la norme dans certains quartiers alors que beaucoup recyclaient ceuxdes commerçants à défaut d’avoir toujours sur un sac réutilisable en bonne etdue forme. Quand le soucis Bio donne des soucis aux Éco et que le Gonzo ne l’ignore.Simple disgression.
Ainsi donc,à défaut de rechercher la Simplicité dans le commerce des biens et despersonnes, on cède à la facilité pour des gains sans efforts ni apport aprèsavoir prôné à « Tue » tête « Création de Richesse et de Valeurs ».Et, Maintenant que, les Actions de Duchesse et le Mal d’Heure sont au dernier CRI, on insiste plus sur le « tu têtes! » pour des Têteux richissimes et des entêtés Derviches.
Autrefois,les vrais vendeurs y allaient à la bite et au couteau faisant preuve d’un ArtOlympien de satisfaction ou de dépassement du besoin exprimé. A présent, les « vendus »(autre vent dû » y vont aux bits et coûts-taux, en faisans, preuve, d’un Nard aux liens biens d’autosatisfaction et de dépassement de leurs besoins Esprimé. L’acquisition de client n’a plus rien à voir avec l’inquisition duDépliant (car pas toujours désopilant). L’impression est celle d’un mieux cookie de Big data mais pas comme le vieux Bus cuit de la grande Tata. C’est froid,c’est calculé, esthétique, statistique voire extatique. Mi-âme.
L’involution humaine se fera toujours ressentir à mesure que l’évolution technologique libèrera de la loi immuable du Courage Calme qui nous vient de Dieu pour sesVicaire, Vie « care ». Il convient alors de redéfinir les contours du cadre logique de nos projets de développement personnel et spirituel enréalignant nos êtres et nos Vies sur l’appel profond de notre Cœur ou Centre psychique pour dévoiler ainsi la Définition en Amour et Vérité de nos destinées…
« Il vaut mieux partager dans la Séclusion, qu’épargner dans la Réclusion »