Diaspora Africaine: comment s’enrichir en créant de petites entreprises ?

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Depuis le début de l’année 2000, sous l’égide de la diaspora africaine les associations africaines ont explosées partout dans les grandes métropoles occidentales comme Paris; Londres; Frankfurt; New York, Montréal; etc.

Au Canada, on retrouve plus d’une centaine d’associations africaines, dont la ligne directives n’est autre qu’une copie de l’héritage du pays d’origine. Leurs rencontres informelles sont axées sur les cotisations (pus de 90 %) et la culture ( 2 %), oubliant de s’adapter au contexte socioéconomique et à la compétitivité du pays d’accueil.

Les africains de la diaspora doivent dont prendre conscience, forcer le succès, prendre l’exemple et émerger comme les autres communautés, dont la réussite n’est plus un secret, pour bâtir un avenir avec succès, afin d’éviter de retrouver a la dernière marche du podium d’ici 2030 ou leur pouvoir économique serait négligeable, voir insignifiant et leur progéniture toujours à la recherche d’emploi comme leurs parents d’antan.

A cet effet, ils doivent s’associer pour créer de petits groupes d’entrepreneurs dynamiques.

Dans ce contexte d’immigration galopante, Les africains de la diaspora doivent éduquer leurs enfants a être des créateurs d’entreprise et non de chercheur d’emploi, cela veut dire qu’il doivent forcer le succès, inculquer à leurs progénitures la culture d’entreprise, créer leur propre structure grâce aux multiples ressources qu’offre le pays d’accueil en soutien au travailleur autonome et entrepreneur. Enfin ils doivent profiter de ces opportunités de soutien des crédits d’impôts, des marges de crédits qu’ on accorde aux citoyens qui veulent créer des entreprises.

Les structures d’association africaines sont un grand pas pour le démarrage des activités pour l’intégration africaine, mais elles ne sont pas adaptées au contexte socio-économique du pays d’accueil, elle manque de la vigueur (détermination) et de créativité et doivent être restructurée, revitalisé ou réinventé afin de bâtir la confiance et proposer des solutions socio-économique novateurs à leurs adhérents.

Les association culturelles doivent se réinventer en coopératives de producteurs, de travailleurs actionnaires et de travailleurs. Les coopératives sont des entreprises à hauteur d’homme et de femme. Elles sont près des collectivités et contrôlées par elles. Elles sont engagées dans l’économie réelle et existent pour répondre à des besoins concrets. Les coopératives peuvent travailler avec constance et patience, dans une perspective de long terme, en incitant les personnes à s’impliquer et à travailler ensemble aux solutions.À la base, les coopératives encouragent toujours les personnes à se mettre en action avec les autres plutôt que d’attendre que la solution vienne du gouvernement.

Enfin, Elles doivent prendre l’exemple de la force de certaines diaspora d’ici qu’est leur capacité de créer des entreprises (par exemple les juifs très impliqués dans le commerce tout comme les italiens, les grecs, les chinois dans leur restaurant, avec ils qui intègrent facilement les nouveaux arrivants de leur communauté).

Je vous laisse la parole maintenant.

Comment allumer la brèche entrepreneuriale dans la communauté africaine?

Dans quel domaine entrepreneurial vont-ils forcer le succès?

Comment restructurer, revitaliser ou réinventer les associations africaines?

Et vous, qu’est-ce qui vous anime?


Cet article a été rédigé par la JCCCAM.

À propos de jcccam
La Jeune Chambre de Commerce Camerounaise du Canada(JCCCAM) a pour mission de bâtir et de développer un réseau de jeunes professionnels, de gens d’affaires, d’entrepreneurs, de travailleurs autonomes d’origine multiculturel afin de favoriser leur développement par l’organisation: -des événements de qualité : cocktails de réseautage, déjeuners-causerie, conférences, séminaires de formation, gala annuel – des événements conjoints avec d’autres organismes pour encourager le rapprochement et la synergie entre les différents milieux culturels et professionnels – Un programme de mentorat et des Échange de stages et Mission Économique