D’un coup d’œil, voyez et comparez le traitement que font différents journalistes et médias sur des questions d’actualité reliées à internet en Afrique.
Avec le développement d’Internet sur le continent et l’explosion des réseaux sociaux, Twitter a peu à peu conquis l’Afrique. Chaque événement, chaque crise, chaque élection, s’écrit et se commente désormais en 140 signes. “Jeune Afrique” s’est replongé dans les trois dernières années, au contact des hashtags africains, témoins éphémères ou persistants d’une certaine histoire du continent.
Lire la suite ici : Twitter : #ci225, #kebetu, #Kony2012… ces hashtags africains qui font le buzz
Un centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique pourrait voir le jour prochainement à Alger, sous l’égide de l’Unesco.
Lire la suite ici : Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine
Et si l’internet haut débit était accessible à tous et à faible coût ? C’est tout le souhait de l’A4AI (Alliance for Affordable Internet). Lancée par un groupe hétérogène d’acteurs issus des secteurs public et privé, cette alliance a pour objectif de réformer les politiques et la réglementation sur les coûts de connexion et faire baisser les prix artificiellement élevés de l’accès à Internet dans les pays en développement
Lire la suite ici : Une Alliance pour un accès internet à faible coût
L’Afrique est décidément dans le viseur des géants américain de l’Internet. Après Mark Zuckerberg et Facebook, c’est aujourd’hui la World Wide Web Foundation, aidée d’une trentaine d’organisations et d’entreprises, dont Google, qui font les yeux doux au continent. Elles lancent, lundi, l’Alliance pour un Internet abordable. Son objectif : faire passer le coût de la connexion sous la barre des 5% du revenu mensuel moyen de chaque pays, et, accessoirement, développer le marché du haut débit.
Lire la suite ici : Internet : la “World Wide Web Foundation” s’allie aux géants du web pour mieux connecter l’Afrique
L’ONG américaine Freedom house a publié, début octobre, son rapport annuel sur la liberté sur internet dans le monde. Sur les soixante pays analysés par les chercheurs, quatorze sont africains. Alors qui sont les bons et mauvais élèves ? La réponse en infographie.
Lire la suite ici : Top 14 des pays africains les plus libres sur internet
Parce que des milliers de chanteurs en herbe ne peuvent pas s’inscrire aux concours musicaux à cause de la complexité de la participation aux castings traditionnels (éloignement, coûts élevés, ou par manque de transparence dans les critères de sélection encore discriminants etc.), Trace Urban a eu l’idée avec Trace Stars de donner sa chance au plus grand nombre de sud-africains.
Lire la suite ici : TRACE URBAN invente le télécrochet par téléphone