Dans le spectacle Danse sans Frontières, sous la direction d’Oumar et Njongouda N’Diaye, elles tournent, se courbent, s’étirent, sautent. Elles séduisent, se rient, se rebellent. En dansant, elles se disent.
Avec Khady Zon (Burkina Faso), Nnato Sylla (Guinée), Haingo Rakotonirina (Madagascar), Djely Tapa (Mali), Fatou Pouye (Sénégal) et Violetta Ronero (Mexique).
Rassembler sur une même scène de grandes danseuses africaines, de diverses régions du continent, admirer leur aisance, leur énergie et leur talent et découvrir par la même occasion les différentes danses, les différents rythmes qui existent d’un côté à l’autre de l’Afrique. Un beau projet… qu’Oumar N’diaye et Djongouda N’diaye ont décidé de concrétiser.
Oumar N’diaye Martinos, chorégraphe guinéen, membre du Ballet national africain de Guinée, il danse depuis l’âge de 7 ans. Il a depuis mené une très belle carrière de danseur auprès des plus grands, s’est produit au sein de divers ballets. Aujourd’hui installé au Québec, il continue à se produire sur scène, notamment avec sa troupe Tribaa, et enseigne la danse. Djongouda N’diaye, elle, est originaire du Sénégal. Elle a longtemps dansé avec le ballet sénégalais puis s’est installée aux États-Unis. Elle a également travaillé pendant 9 ans avec Africa Oyé.
Au sein de la troupe, on retrouve le Burkina Faso avec Khady Zon, la Guinée avec Nnata Sylla ‘Aicha’, danseuse et choriste qui a notamment travaillé avec Alpha Yaya Dialo et Bambino, Madagascar avec Haingo Rakotonirina, ancienne élève d’Oumar N’ Diaye Martinos et qui maîtrise un bon nombre de danses africaines, le Mali avec Djely Tapa et le Sénégal avec Fatou Pouye, une spécialiste du sabar. Par ailleurs, leur performance pour Nuits d’Afrique comptera avec la présence d’une invitée spéciale, l’artiste mexicaine Violetta Ronero.
Leur performance sur scène efface toutes les frontières, la danse et les rythmes traditionnels deviennent seuls moyens de communication, emportant les spectateurs dans un voyage à travers le continent africain.
Retrouvez-les au Club Balattou le mercredi 11 juillet à 21h00 dans le cadre du Festival Nuits d’Afrique 2012.
Prix: 15 $