D’un coup d’œil, voyez et comparez le traitement que font différents journalistes et médias sur des questions d’actualité reliées à internet en Afrique.
Avec le développement d’Internet sur le continent et l’explosion des réseaux sociaux, Twitter a peu à peu conquis l’Afrique. Chaque événement, chaque crise, chaque élection, s’écrit et se commente désormais en 140 signes. “Jeune Afrique” s’est replongé dans les trois dernières années, au contact des hashtags africains, témoins éphémères ou persistants d’une certaine histoire du continent.
Un centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique pourrait voir le jour prochainement à Alger, sous l’égide de l’Unesco.
Et si l’internet haut débit était accessible à tous et à faible coût ? C’est tout le souhait de l’A4AI (Alliance for Affordable Internet). Lancée par un groupe hétérogène d’acteurs issus des secteurs public et privé, cette alliance a pour objectif de réformer les politiques et la réglementation sur les coûts de connexion et faire baisser les prix artificiellement élevés de l’accès à Internet dans les pays en développement
Lire la suite ici : Une Alliance pour un accès internet à faible coût
L’Afrique est décidément dans le viseur des géants américain de l’Internet. Après Mark Zuckerberg et Facebook, c’est aujourd’hui la World Wide Web Foundation, aidée d’une trentaine d’organisations et d’entreprises, dont Google, qui font les yeux doux au continent. Elles lancent, lundi, l’Alliance pour un Internet abordable. Son objectif : faire passer le coût de la connexion sous la barre des 5% du revenu mensuel moyen de chaque pays, et, accessoirement, développer le marché du haut débit.
L’ONG américaine Freedom house a publié, début octobre, son rapport annuel sur la liberté sur internet dans le monde. Sur les soixante pays analysés par les chercheurs, quatorze sont africains. Alors qui sont les bons et mauvais élèves ? La réponse en infographie.
Parce que des milliers de chanteurs en herbe ne peuvent pas s’inscrire aux concours musicaux à cause de la complexité de la participation aux castings traditionnels (éloignement, coûts élevés, ou par manque de transparence dans les critères de sélection encore discriminants etc.), Trace Urban a eu l’idée avec Trace Stars de donner sa chance au plus grand nombre de sud-africains.
Lire la suite ici : TRACE URBAN invente le télécrochet par téléphone
BIG IS ON! La nouvelle publicité de la NBA pour annoncer le début de la saison régulière.
La NBA est de retour. Et pour l’occasion une nouvelle publicité de la campagne BIG présente les nouvelles stars des parquets. Kyrie Irving, Paul George, John Wall ou encore Kenneth Faried sont mis en valeur dans cette réalisation léchée mixée avec le son du groupe The Steeles.
La saison NBA 2013-14 débute le 29 octobre, j’ai hâte !! #BigIsOn
The NBA is back. For the occasion the BIG is ON features the new stars of the global game. Kyrie Irving, Paul George, John Wall or Kenneth Faried are highlighted in this realization mixed with the sound of The Steeles.
Savez-vous où l’on peut acheter la lumière qui s’allume lorsqu’on fait switch ? #RayAllenVoice
D’un coup d’œil, voyez et comparez le traitement que font différents journalistes et médias sur des questions d’actualité reliées à l’innovation en Afrique.
Le ministre ivoirien de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné qui participe à la 2ème édition du forum IT AFRICA ouverte jeudi à Paris (France), a prononcé un discours dans lequel il a affirmé sa conviction que « l’Afrique sera la prochaine destination de l’innovation ».
Lire la suite ici : « L’Afrique sera la prochaine destination de l’innovation », estime Bruno Koné
La FAO, le Programme alimentaire Mondial, le Brésil et le Royaume-Uni se sont associés pour développer avec cinq gouvernements africains un programme novateur, visant à fournir des aliments aux cantines de ces pays africains. Révélé par la FAO dans un rapport du 9 octobre, cette technique consiste à s’associer avec de petits agriculteurs.
Lire la suite ici : L’innovation pour la fourniture de repas scolaires en Afrique
Le Sénégal a progressé d’un rang en passant de la 96-ème au 97-ème dans le classement de l’indice mondial 2013 de l’innovation, publié début juillet. Selon ce classement publié par l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique, le Sénégal et le Nigeria sont cités parmi les bons élèves africains.
En 2014, le «Prix de l’innovation en Afrique» en sera à sa troisième édition. Ses organisateurs comptent y intéresser autrement les Africains en augmentant le contenu de la cagnotte réservée aux lauréats à 150 000 $.
Le forum dénommé, “Forum Afrique – 100 innovations pour le développement durable”, entend réunir lors du Sommet de l’Elysée, les 4 et 5 décembre prochain, des porteurs d’innovations qui contribuent au développement durable, à l’entreprenariat africain, à une croissance solidaire qui permettent de satisfaire les besoins essentiels des populations tout en proposant des solutions aux crises sociales et environnementales.
Après la biométrie, les smart cities ou encore l’agriculture, Jean-Michel Huet dévoile un nouvel exemple d’innovation inversée: le paiement par téléphone mobile. Une pratique très utilisée en Afrique, selon notre contributeur.
Cinq maghrébins, deux algériens et trois tunisiens, participent parmi trente demi-finalistes au concours de l’Initiative d’Innovation Internationale à travers la Science et la Technologie (GIST) 2013 qui se déroule en Malaisie. Contrairement à l’édition de 2012, aux Emirats Arabes Unis, où il n’était représenté que par un candidat marocain, le Maghreb de l’innovation se renforce.
Lire la suite ici : Cinq Maghrébins parmi trente demi-finalistes au Global Innovation en Malaisie
Les photographies boudoirs sont la nouvelle tendance pour les jeunes mariés du Nigéria. L’occasion pour nous de décrypter le phénomène de ces photographies intimes et suggestives.
Tout d’abord, ce ne sont pas des photos nues. Néanmoins, il est recommandé de travailler avec un photographe avec lequel l’on se sent très à l’aise afin d’exprimer sa sensualité. Voici nos conseils pour réussir votre séance photo boudoir pour votre mariage.
Choix du photographe
Il est évident que n’importe quel photographe ne fera pas l’affaire. La photographie boudoir est une spécialité qui requiert différents éclairages, montages et compétences que le travail habituel du photographe. Il faut choisir une personne d’expérience et dont vous aimez le travail. Aussi assurez vous d’avoir un bon rapport avec cette personne.
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Garde robe
Ce que vous portez juste avant votre prise de vue est tout aussi important que ce que vous portez au cours de la session. Arrivez dans des vêtements amples, sans bandes élastiques, coutures étanches ou toute autre chose qui pourraient laisser des traces de pression sur votre corps.
Sélectionnez lingerie et autres vêtements qui épouse les formes de votre corps. Les vêtements amples ou drapées ne se photographient pas bien lors d’une séance boudoir. Essayez tous les vêtements avant la séance pour vous assurer que la forme, le style, la coupe et la couleur vous vont bien.
Faites des choix audacieux, sexy et révélateur. Optez pour de la dentelle, du cuir, du satin, de la soie et du velours. Adoptez des codes masculins en cherchant aussi des débardeurs, des shorts de garçon, des chaussettes cuisse hautes, des chemises de travail, des maillots de l’équipe favorite de votre fiancé ou l’un de ses t-shirts porté avec un bas de bikini.
Il ne faut pas oublier les chaussures. Apportez au moins une paire de talons, de préférence noir.
Maquillage
Exfolier votre peau la veille de la séance photo pour une peau lisse et soyeuse. Les faux cils font ressortir vos yeux sur la caméra et donnent un air dramatique lorsque surmonté d’un eye-liner noir.
Donnez à vos joues un air enjoué avec un peu de fard à joues. Rendez vos lèvres sompteuses en définissant leur contour avec un crayon d’une couleur proche à la couleur naturelle de vos lèvres et en appliquant du gloss brillant dessus.
N’oubliez pas la pédicure et manicure. Des ongles ternes ou ébréchées peuvent gâcher un look parfait.
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Lieu
Certains photographes ont le matériel dans leurs studios pour la photographie boudoir. D’autres photographes ne shootent qu’en déplacement uniquement. Si c’est le cas, vous pouvez prendre des photos dans votre maison ou celle d’une amie. Beaucoup de femmes choisissent de louer une chambre dans un hôtel haut de gamme pour le tournage. Quelque soit l’endroit choisi, assurez-vous que la pièce est épuré et simple, et la literie ou le capitonnage est neutre.
Themes
Certaines femmes choisissent de centrer leur séance autour d’un thème. Ce sera très important dans le choix de vêtements. Si votre but est de faire un calendrier de pin-up, il faut se concentrer sur les vacances et les saisons. Une sexy Mère Noël est parfait pour Décembre et culottes couvertes de coeur est une option amusante pour Février (Saint-Valentin). Un autre thème populaire est celui des professions. Pensez à être une infirmière coquine, bibliothécaire plantureuse ou femme policier armé d’un grand bâton.
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Preparation
La nuit avant la séance photo, ne pas porter quoi que ce soit serré. Les marques sur la peau de culottes serrés ou de sangle de soutien-gorge serré seront visibles à la photographie. Prévoyez de porter une robe ample à l’atelier, avec des sous-vêtements amples en dessous. Il est mieux de changer vos vêtements de boudoir au studio.
Buvez beaucoup d’eau et éviter la nourriture grasse avant la séance, afin d’assurer une peau propre et claire. Si vous avez embauché un maquilleur, arriver avec un visage fraîchement lavé. Prenez soin de toute la jambe : bikini et des aisselles toilettage quelques jours avant le tournage pour permettre une rougeur de l’épilation ou le rasage de s’en aller.
Cette séance de photographie qui peut se réaliser en couple est l’occasion de découvrir une nouvelle façon de se percevoir. Bien réalisée, une séance de photographie type boudoir révèle la confiance et la force de la future mariée.
Rencontre avec Mélanie Joly, candidate à la mairie de Montréal lors des jeudis 5 à 7 de Apollo l’Agence au Club Le Cin5 : Le Paris de Montréal.
Bonjour Mélanie, pourriez-vous vous présenter brièvement pour nos lecteurs ?
Je suis une amoureuse de Montréal, j’ai grandi et vécu ici. J’ai fait mon baccalauréat à l’Université de Montréal en droit et ensuite ma maitrise en droit européen comparé à Oxford. J’ai décidé de revenir à Montréal. Par la suite, j’ai pratiqué en droit et dirigé l’une des compagnies de la famille Molson. Je suis donc également une entrepreneure.
Est-ce qu’il y a eu un déclic pour devenir politicien ?
Cela fait des années que je suis impliquée en tant que citoyenne de Montréal. J’étais au conseil d’administration du musée des arts contemporains, de la fondation du CHUM, de la fondation de l’ITHQ, de la régie des rentes du Québec, du conseil supérieur de la langue française. J’étais très impliqué dans la communauté. J’ai créé également un groupe de réflexion qui s’appelle génération d’idées. Un groupe qui se réunissait toutes les deux semaines pour trouver des solutions dans le but d’améliorer Montréal. Et c’est dans ce contexte-là que je me suis lancée.
En tant que un nouvel arrivant, le « vrai changement » ça veut dire quoi ?
Le vrai changement c’est que votre qualité de vie puisse vraiment être améliorée par rapport à la qualité de vie des nouveaux arrivants et de tous les Montréalais. Montréal est une ville où il y’a énormément de corruption et d’inefficacité. Cela fait en sorte que l’on se retrouve à payer beaucoup trop cher pour des infrastructures de mauvaises qualités. Dans le même temps, les services aux citoyens ont diminué. Alors comment changer la donne ? Comment améliorer votre qualité de vie ? On s’assure d’adopter de nouvelles façons de faire pour la ville. Ce sont nos 10 mesures. (NDLR : Lire les 10 actions pour Montréal sur le site de Mélanie Joly)
En tant que noir, le « vrai changement » ça veut dire quoi ?
Pour nous, l’action politique et la représentation des différentes cultures passent par le fait que les gens s’impliquent et deviennent des conseillers de ville ou d’arrondissement. Nous avons beaucoup de gens dans notre équipe qui viennent du Congo, de la Côte d’Ivoire et de différents pays en Afrique. Ils s’impliquent avec nous pour représenter leur communauté, mais également leurs concitoyens montréalais.
En tant qu’étudiant, le « vrai changement » ça veut dire quoi ?
On s’est engagé à faire que tous les étudiants universitaires à temps plein, peu importe leur âge, aient droit au tarif étudiant de la STM. Nous allons aussi développer un grand système rapide par bus (SRV) à travers la ville de Montréal pour réunir l’est et l’ouest de Montréal. Les habitants de Rivière-des-Prairies, LaSalle, Lachine, Pierrefonds vont pouvoir se diriger vers le centre de Montréal. Et en même temps les gens qui résident à Rosemont–La Petite-Patrie ou au Plateau vont pouvoir se rendre à Anjou ou bien à Saint-Laurent là où y’a beaucoup de compagnies et des pôles d’emploi importants. Dans ce contexte-là, les étudiants auront accès à plus de transports en commun. Cela va leur coûter moins cher de se mouvoir. Ils ne seront plus obligés d’acheter une voiture particulièrement pour ceux qui restent loin du centre. Aussi nous allons créer des nouveaux quartiers, on va amener le SRV jusqu’à Turcot ou Blue Bonnets. Ces nouveaux quartiers que l’on va créer sont présentement des terrains contaminés que l’on va décontaminer. On va pouvoir développer une nouvelle offre résidentielle et également des résidences pour étudiants. On ne pense pas que les résidences pour étudiants doivent nécessairement être à côté à des universités. On ne veut pas créer de ghetto, les résidences peuvent être présentes à travers la ville pourvu que l’on offre un transport commun adapté.
En tant que jeune parent, le « vrai changement » ça veut dire quoi ?
C’est important qu’un Montréalais puisse vivre toute sa vie à Montréal. Nous avons constaté chaque année que 22 000 résidants quittaient la ville de Montréal et surtout des jeunes familles. Dans ces circonstances, nous sommes arrivés avec une idée pour une opération 30 000 familles dans les nouveaux quartiers dont je vous parlais. Nous allons décontaminer les terrains aux frais du gouvernement provincial et fédéral. Cela va faire en sorte que le foncier va coûter moins cher. Et nous allons pouvoir construire à des prix raisonnables des maisons ou des grands logements avec 3 ou 4 quatre chambres. Dans ces circonstances, nous allons pouvoir offrir un choix raisonnable aux familles et faire en sorte qu’elles ne quittent pas vers la banlieue. Deux autres choses importantes nous allons offrir des congés de taxes de bienvenue pour les jeunes familles et le programme Accès Condos, pour les premiers propriétaires, sera étendu aux jeunes familles.
Petit portrait pour mieux connaitre la Montréalaise que vous êtes. Si vous étiez…
Une station de métro ?Champ de Mars Un restaurant ?Kazu Une équipe de sport ?Les Canadiens Une salle de concert ?Le Corona et la Maison symphonique Une boutique ?Mousseline sur Laurier Un festival ?L’exposition papier Une boite de nuit ?La buvette Une rue ?Camillien Houde
Et si je vous dis Afro Inspiration que me répondez-vous ?
Fier Montréalais.
Mélanie Joly, candidate à la mairie, merci beaucoup pour cette entrevue !
Merci à vous AfrokanLife.
Tenus régulièrement autour d’une thématique différente, les JEUDIS D’APOLLO, rendez-vous d’échanges pour professionnels inspirés, sont l’opportunité pour APOLLO L’AGENCE, SICOTTE Recrutement et le Journal La Métropole de divertir et de surprendre Montréal dans un cadre convivial, propice au réseautage. Plus d’info : www.agenceapollo.ca
Tous les grands championnats européens ont repris leur droit il y a maintenant un peu plus d’un mois et demi. Nous arrivons presque au 1er tiers de la saison et une constante commence à pointer le bout son nez de façon persistante : nous aurons des nouveaux champions dans les 5 grands championnats européens. Certains sont devenus des clubs richissimes, d’autres ont amené un nouveau style de jeu ou encore certains qui renaissent de leurs cendres. Tour d’horizon des « futurs » champions en puissance.
Ligue 1 : Quand la principauté paye CASH
En France nous connaissons depuis peu l’ère qatarie que ce soit dans le football, dans le handball voire dans le basketball il faudra maintenant apprendre le russe. En effet, le richissime président russe du club de la Principauté de Monaco voulait également sa part du gâteau. Cette fameuse part lui aura couté la bagatelle de 166 millions € avec en tête de gondole Falcao, Moutinho, Rodriguez, Abidal, Carvalho… Alors même si l’argent ne fait pas le bonheur en dirait qu’il y contribue grandement. Le Tsar veut gagner vite et il paye comptant. Cependant, son adversaire n’a pas cédé le moindre bout de terre et il a répliqué avec Cavani et Marquinhos. Le 1er duel entre le PSG et Monaco s’est soldé sur un match nul 1-1 au Parc des Princes. La seule question qu’on se pose est de savoir qui aura dépensé au mieux ses économies. Réponse fin mai.
Liga : Un Madrid peut en cacher un autre
Voilà la plus grosse côte de tous les futurs champions potentiels et cette équipe se nomme L’Atlético Madrid. Je sais ce que vous vous dites : « L’Atlético va lâcher ! C’est toujours pareil ». ATTENTION, chers amis, cette fois l’Atlético Madrid a battu son rival madrilène au Barnabeu, ils comptent 2 victoires en 2 matchs en Ligue des Champions et surtout 7 victoires en 7 matchs en Liga. Mais ce n’est pas tout, il y a à la tête de l’Atlético un coach qui fera parler de lui dans les années à venir en la personne de Diego Simeone. Il a su insuffler sa rage de vaincre à ses joueurs et imposer une touche technique que seuls les Argentins possèdent. Enfin, ce groupe vit ensemble depuis 2 ans et il a très bien pallié le départ de Radamel Falcao grâce à leur nouveau Goleador Diego Costa. Toujours pas convaincu ? On en reparlera au soir de la 38e journée.
Premier League : Les Reds de retour
« You Never Walk Alone » est un chant qu’entonnent souvent les supporters des Reds de Liverpool même quand les résultats ne correspondaient pas à leurs attentes. Il faut le dire, Liverpool n’était plus que l’ombre de lui-même, ce géant des années 80 et 90 s’était fait manger par les Manchester, Arsenal et autre Chelsea. Mais aujourd’hui la donne à changer. Après des transferts intelligents Sturridge, Sacko, le retour en grâce de Luis Suarez et l’envie de Gerrard, Liverpool est aujourd’hui un favori en puissance. Privé de toutes coupes d’Europe cette saison, les Reds ont un seul objectif renouer avec leur glorieux passé.
en série A : quand la Louve rugit de nouveau
Un capitaine emblématique, avec plus 230 buts en série A, un nouvel entraineur avec une philosophie de jeu tourné vers le jeu rapide et en mouvement et surtout deux ou trois transferts très pertinents, voici le cocktail explosif qui fait de l’AS ROMA un candidat plus que sérieux pour le scudetto cette année. Mais plus encore que les 7 victoires en 7 matchs qui viennent appuyer mes propos ils ont à leur tableau de chasse le derby romain et une écrasante victoire sur le terrain de l’Inter de Milan. L’AS ROMA est en train de survoler la Série A et pour le moment on ne voit pas qui pourra stopper les hommes du Rudi Garcia surtout que leur monsieur plus, Francesco Totti, vient de signer une année de plus. Tous les voyants sont au vert pour la Roma.
Bundesliga : L’exception bavaroise
Voici l’exception qui confirme la règle. Voici le seul championnat qui selon moi est le moins indécis tellement la puissance du Bayern Munich est impressionnante. Vous me direz que le Bayern a déjà été tenu en échec deux fois cette année, je vous répondrai de retourner voir les statistiques de ces rencontres et vous vous rendrez compte que le manque de réussite ne se répète jamais deux fois de suite pour les Bavarois. De plus, l’effectif du Bayern Munich est riche et complet avec un stratège à sa tête, le Bayern ne risque pas grand-chose. Affaire à suivre…
Chers lecteurs et lectrices je vous donne rendez-vous au début de l’été pour voir si la hiérarchie des championnats européens a été chamboulée.
Dans le cadre de la Semaine de Sensibilisation aux maladies mentales, la soirée Let’s Bond nous transporte dans une ambiance glamour…
À l’initiative des trois membres fondateurs Louis-Philippe Therrien, Vince Lebrun-Fortin et Sofia Carlsson-Schmidt, les soirées Let’s Bond au profit de la Fondation des maladies mentales ont vu le jour à Montréal. Le concept de l’événement est de réunir des jeunes professionnels afin d’éveiller leur conscience et favoriser le dialogue au sujet des maladies mentales telles que la dépression, la bipolarité et autres.
Pour sa 3ème édition, la soirée Let’s Bond a eu lieu à l’espace Réunion dans le quartier Outremont. Au programme, cocktail dinatoire avec bar à huîtres, un encan silencieux et une performance live de la talentueuse Sandy Duperval.
Grâce à la participation de plus de 550 personnes, le comité Let’s Bond a pu ramasser la somme de 34,000 $ qui sera investit dans le programme Ça me travaille mis sur pied par la Fondation des maladies mentale à l’intention des gestionnaires et des employés afin de prévenir, détecter et gérer les problématiques de santé mentale au travail via des conférences, formations et ateliers.
Quelques chiffres marquant au sujet des maladies mentales au Canada:
40 % des prestations d’invalidité en milieu professionnel sont dues à des problèmes de santé psychologique
Les coûts annuels liés à la santé mentale pour les entreprises canadiennes s’élèvent à plus de 33 milliards de dollars
7 ressources clés pour les start-ups à Montréal BY Meinna Gwet
Cela fait plusieurs mois maintenant que vous travaillez sur votre projet 2.0. En tant que développeur web ou entrepreneur, si vous pensez avoir un prototype solide, il sera bientôt temps d’approcher des investisseurs potentiels. Pour vous aider dans cette démarche, j’ai listé ci-dessous des ressources basées à Montréal qui vous seront utiles.
1. THE NOTMAN HOUSE: Il s’agit d’un espace d’incubation qui accueille des dizaines d’événements à l’année longue dirigés vers les startups, les firmes de capital-risque (venture capital) et les ‘Angel investors’. http://notman.org
2. FOUNDER FUEL : Programme d’accélérateur qui organise des événements de réseautage, des présentations et des compétitions pour les startups. Founderfuel est un acteur incontournable pour les startups à Montréal. http://founderfuel.com
3. TECH EVANGELISTS : Il s’agit de professionnels qui aident les entrepreneurs à perfectionner leurs idées et à les introduire auprès d’investisseurs. Si vous étiez au KWS de Montréal cette année, vous avez probablement rencontré Rami Sayar de Microsoft et Frederic Harper de Mozilla. Ce genre de personnes vous sera très utile.
4. CANADIAN INNOVATION EXCHANGE (CIX) : Ce forum met en relation des entrepreneurs, des investisseurs, des fournisseurs de services et même le gouvernement. Le CIX organise plusieurs tables rondes autour des technologies, des medias et de la communication numérique. Jetez aussi un coup d’œil à leur compétition CIX Top 20. http://www.canadianinnovationexchange.com
5. LA JEUNE CHAMBRE DE COMMERCE DE MONTRÉAL (JCCM): Cet organisme organise des séances de formation en démarrage et en financement d’entreprise, des salons et des forums pour les jeunes entrepreneurs. La JCCM n’est pas spécialisée dans les startups tech, mais est un acteur important de la scène entrepreneuriale montréalaise, notamment à travers son partenariat avec le SAJE (http://www.sajeenaffaires.org/). Pour en savoir plus, visitez http://www.jccm.org/entrepreneuriat
6. LES BLOGS : Il y en a des tas. Les blogs tech sont une source incroyable d’information et publient constamment des nouvelles et des événements pertinents aux startups. Je vous conseille de vous inscrire à la newsletter de sites tels que http://www.techvibes.com/
7. CENTRE D’ENTREPRISES ET D’INNOVATION DE MONTRÉAL (CEIM) : Organisme qui offre des services de conseil-gestion en démarrage et développement d’entreprises en Technologie, nouveaux media et sciences de la vie. http://www.ceim.org
Montréal est une ville très accessible qui est devenue un hub technologique en quelques années. Il y a donc beaucoup d’événements de réseautage dirigés vers les startups. Enfin, en communiquant vous découvrirez plusieurs autres initiatives pour aider les entrepreneurs tech, en plus des 7 ressources listées ci-haut. Alors lancez-vous et n’oubliez pas vos cartes d’affaires!
Le cheveu afro est sacré *voix de prêtresse*. Je parle du cheveu afro parce que généralement c’est celui qui suscite des réactions dépassant souvent l’entendement.
Imaginons un tableau très courant. Il fait beau. Tu marches tranquillement dans la rue, le sourire aux lèvres. Et tu croises une connaissance : « Ahhhh j’aime tes cheveux ! Ils sont beauuux ! Ils ont l’air douuuuux !!! (avec l’accent et l’emphase sur les syllabes) » Et sans crier gare elle commet l’irréparable ! ELLE MET SES DOIGTS DANS TES CHEVEUX !!!!
Prenons un autre cas de figure, une personne lambda t’aborde un après-midi ensoleillé. « Oh your haire is pretty, can’t I touch it ? » et tu réponds « NO, you can’t ! » A votre avis comment cette discussion se terminera-t-elle? « Oh ! Really ? I can’t touch your hair ? Why ? »
Pourquoi il ne faut jamais toucher les cheveux afro d’une femme noire ? Well, for many reasons !
1- Je n’ai pas besoin de raison particulière pour te laisser toucher mes cheveux ou pas. Ce sont mes cheveux et je suis libre de dire oui ou non
2- Je ne te connais pas
3- Je ne suis pas un nounours ni un caniche encore moins un animal de zoo et ce n’est pas drôle de jouer avec mes cheveux
4- J’ai passé des heures à obtenir ce que tu vois là et je consacre beaucoup de temps à mes cheveux pour qu’ils soient aussi beaux comme tu dis
Ca me rappelle l’incident entre Esperanza Spalding et Justin Bieber il y a quelque temps déjà. Bieber a touché les cheveux d’Esperanza et s’en est suivi un gros tapage médiatique. Je vous propose un extrait d’article* sur ce sujet :
“But it’s just hair!” No, no its not. Your European-standard-issue brown strands might be “just hair” to you, but black hair is far beyond the average skull insulation. Black hair is sacred and almost mythical, both revered and abhorred by the head upon which it grows.
Many a black women have spent countless hours of their childhood sitting between their mother’s legs as their hair is patted, pulled, pressed, braided, bunned, beaded, permed and ponied. It’s not just hair, it’s an extension of ourselves, and an integral part of our cultural experience.
Touching a black person’s hair without permission is a cardinal sin, disrespect in one of it’s highest forms, demeaning to the level of a house pet or docile child. Or, more simply, plain annoying and rude.
There is a level of exotic voyeurism that goes into touching a black person’s hair — oooh, it’s soo different, I wonder what it feels like!
It feels like my personal space is being violated, that’s what. Why would someone presume it’s okay to just reach out and touch? On one hand it’s slightly defensible: touch is a natural way to explore the world. Except my hair isn’t a cashmere sweater sitting on a shelf at Macy’s. It’s my hair. Ask before touching — and don’t get your feelings hurt when I say no.
C’est drôle, au moment où je commence ce billet, je vois des tweets sur ma timeline en relation avec ce sujet.
@TheNatureal MAIS GRAVE ! En plus ils mettent leur main comme une fourchette en essayant de faire glisser leurs doigts. TCHIIIIIIIP.
J’en profite pour citer quelques phrases à ne surtout pas dire à une « Nappy girl » (Liste non exhautive, vous pouvez la completer avec vos commentaires)
1- Tu comptes te coiffer ou pas ? (genre je suis pas coiffée là peut- être ?)
2- Pourquoi tes cheveux sont courts ce matin ? Tu les as coupés entre temps ? (le shrinkage ça s’appelle)
3- Si j’avais d’aussi beaux cheveux je les garderai naturels aussi c’est sur (la beauté est relative et se cultive)
4- Si je coupe mes cheveux ils ne seront jamais aussi longs que les tiens (well les cheveux ça pousse, tout comme les ongles. Minimum d’entretien et le tour est joué !)
5- Une bombe t’a explosé à la figure ou quoi ? (je porte mon afro tu as mal quelque part ?)
6- J’aime beaucoup ton style « Mama Africa » mais tu as déjà pensé à faire des tissages ? (ah…. Bon !)
7- Garder les cheveux naturels c’est être paresseuse non ? Tu n’as pas besoin de te coiffer et tout (c’est pas de la paresse que de poser un tissage et ne plus toucher à ses cheveux pendant plusieurs jours ?)
8- Comment tu fais pour avoir des boucles pareilles ? Tu es née avec ? (non non je les ai commandées sur ebay mes boucles)
9- Tu n’es pas Camerounaise à 100% c’est sûr ! Parce que tes cheveux sont trop beaux ! (Généralement ici j’ouvre juste grand les yeux)
10- Ce sont tes vrais cheveux ? (non c’est une perruque afro)
11- Tu peignes souvent tes cheveux ? (bah non voyons !)
12- Comment tu fais pour que tes cheveux fassent ça ?
13- Tu vas quand même pas aller à cette soirée avec cette tête-là ? (ou sa variante) Tu ne vas quand même pas postuler pour un emploi sérieux avec des cheveux pareils !
14- Donc tu ne vas plus jamais défriser tes cheveux? C’est dommage
15- (La palme d’or revient à celle-ci) Est-ce que je peux toucher ? (souvent suivi de…) Ça a l’air doux ! (NON TU NE PEUX PAS TOUCHER MES CHEVEUX !!!)
Soccer Sans Frontières Ep. 73: Wandrille Lefevre et les Playoffs MLS
La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ.FM pour votre rendez-vous hebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus. Sydney est aux commandes pour gérer les ardeurs de Reginald Joseph, Sofiane Benzaza et de Julien.
On a eu le plaisir d’accueillir en émission, Wandrille Lefevre, jeune defenseur de l’Impact de Montreal:
Il partage sa vision du jeu comme milieu de terrain reconverti en defense centrale
Ce qu’Alessandro Nesta lui donne comme conseils après les matchs
Comment se passe une préparation typique au sein des bleus de Montreal
TEAM AFROKANLIFE vous a invité à son cocktail networking CAO MONTREAL le 8 octobre à l’Ile Noire.
CAO MONTREAL c’est le Network After Work comme on aime. Tenus régulièrement autour d’une thématique différente, CAO MONTREAL est le rendez-vous d’échanges pour professionnels inspirés.
Last night at Pub L`Ile Noire, AfrokanLife presented us with “Cocktail Réseautage 5 à 7″. A warm ambiance surrounded the short but sweet gathering.
www.mtlblog.com (09/10/2013)
Au programme :
– Des conférenciers invités :
Kevin Pillu fondateur de Sportera / Coaching Créatif
Abisara Feze fondatrice du salon coiffure inHAIRitance
Berekia Yergeau fondatrice de l’association Fondation FRO / FRO Foundation
– Des nombreux prix de présence d’une valeur totale de 500 $
La TEAM AFROKANLIFE met tout en oeuvre pour vous divertir et de vous surprendre dans un cadre convivial, propice au réseautage et mettant en vedette VOS talents, VOTRE créativité et VOS affaires !
Si vous êtes jeune et dynamique, si vous aimez la fine cuisine et les gens talentueux alors cet évènement est fait pour vous. Sinon tant pis on vous aime pareil et on vous dit à la prochaine fois.
CAO MONTREAL
L’Ile Noire
Le mardi 8 octobre 2013, 17h
1649 Rue Saint-Denis, Montréal
info: www.afrokanlife.com
letters@afrokanlife.com
Hashtag officiel #CAOMTL
Twitter : @caomtl
Crédit photo Sylvain Grenier.
Photos #CAOMTL : Le cocktail networking 5 à 7 de Montréal
10 Afro lifestyle magazines you should be reading right now
It’s official we are very fond of lists, who wouldn’t be? It takes only one glance to get the gist of whatever the article is about. I was told it has to do with the way our brain process the flow of informations.
In any case, this instalment of our “top ten” series is on afro lifestyle/fashion magazines. When we talk about magazines, names such as Vogue, Instyle, Bazaar, Elle, Cosmopolitan or Essence should immediately pop up to your mind or at least ring a bell. In the same vain, when we think about afro lifestyle magazines, some, if not , all of the magazines listed below should come to your mind. If not, here is your chance to get acquainted with them.
Note that this list is in no specific order:
Glitz AFrica
I am loving Yvonne Nelson and her fabulous Black dress. This is how the magazine is described on Facebook:
Glitz Africa Magazine is an exciting high End celebrity/ lifestyle/ Fashion magazine
Fab Magazine
At FAB Magazine, Nollywood was clearly being celebrated in the last edition, Rita Dominic is stunning. A quick search on the About page of their website and voila! Meet Fab Magazine.
FAB Magazine is an International fashion and lifestyle quarterly with 80% African, 20% international content that brings together all things FABulous, African and Black from the world of fashion, lifestyle, entertainment and art. Unisex with a male and female cover in each issue and content in two separate flip-over sections, FAB Magazine boasts content for both men and women of any age who are fashion-forward, style-savvy trendsetters of their generation both in Africa and around the world.
Genevieve Magazine
Who doesn’t know this magazine really? But just in case you don’t, see below a little overview of what Genevieve magazine is all about:
GENEVIEVE MAGAZINE is “a complete lifestyle guide and best friend, inspiring wholesomeness globally in all women” and the men in their lives. It debuted in February 2003 to a wide acclaim by the reading public.
Fashizback
Voici un des rares magazines disponible aussi bien en Français qu’en anglais. Alors, pourquoi ne pas faire son introduction en Français. L’équipe de rédaction vous parle du concept derrière le magazine.
FASHIZBLACK est à mi-chemin entre deux courants. Du Street Wear aux tendances issues des podiums, des conseils aux problématiques liées à l’industrie de la mode, on y trouve du tout. FASHIZBLACK s’adresse en priorité aux personnes qui assument à la fois leurs racines afro-caribéennes et leur intérêt pour la culture dite occidentale. Notre question ultime est donc : ARE YOU FASHIZBLACK ?
Dream Wedding Magazine
Because an African wedding is not a true one without the African touch. They said it all on their website :
Dream Wedding is a stylish and refined wedding guide, presented as a perfect-bound matt bi-annual magazine designed to be a resource for brides and grooms to-be, to help them plan the happiest day of their lives. The magazine aims to offer advice, tips and ideas, on wedding planning. In addition, it will serve as a directory for wedding vendors in Ghana and abroad. Dream Wedding Magazine will also offer lots of new and fresh ideas to help you create your perfect wedding.
La MODE’
LA MODE’ is a fashion magazine that is out to wow readers on a quarterly basis with so much exciting topics and interesting designs from fabulous designers.We are out to make statement in the fashion world with our unique articles and packaging in place. Our image will clue our readers into what ‘’LA MODE’’ magazine is all about and make our brand more recognized locally and Internationally. Our aim is to maintain a certain image, not only will we be recognized but we will also be in the mind of our readers (which, for us, is the most important thing!) It is not just about fashion. It is about wearing your statement on your sleeve.
New African Woman Magazine
Here is another bilingual magazine. Paris is home to the french version, while London is home to the english version. What is the mission of the magazine? Hear it from the editor-in-chief herself:
To inspire rather than impose;
To expertly advise rather than dictate;
To tastefully portray our diverse beauty, rather than cheapen it!
AMINA
I think this one does not need any introduction. Amina has been around for 40 years, I am pretty sure you have heard about it.
So expect fashion trend and style setting news, and gossip from in and around Africa in what’s what. What’s In! What’s On! What’s Up and most of all, What’s in style. No more wondering how to get hold of that dress, or who is that designer, or where can I find a good photographer. All that we ever needed is right here on Fashion GHANA.
Arise Magazine
On Arise Magazine Facebook page, one can read :
ARISE is Africa’s first international lifestyle brand. Highlighting African achievement in fashion, music, culture and politics.
La mondialisation telle que nous l’avons connue a cessée d’exister depuis la perte plus que symbolique des deux tours et les crises qui s’en sont suivies. Dans un cycle évolutif, on est repassé d’une économie de marché à une économie de communautés (notamment ethniques, régionales, temporelles, virtuelles…) avec la spécificité que celles-ci sont plus interconnectées que dans le passé des concentrations. Les défis actuels des économies pour maintenir un niveau minimum de croissance et assurer un taux d’employabilité convenable amène à définir des alternatives pour certains couches de la population aux revenus insuffisants (et non à faible revenus. La nuance a sa valeur ici).
En effet, cette catégorie de ménage peut s’intégrer dans l’économie par des initiatives ou des projets d’affaires ethniques et représenter un segment non négligeable du PIB. Beaucoup peuvent être amené à se demander s’ils sont concernés par cette réalité et s’ils ont intérêt à y accorder leur attention. La cible de cette dynamique est donc les membres des diasporas vivant dans des pays « économiquement développés » et des membres natifs de ces pays voulant s’initier à une façon informelle de faire des affaires. Devenir entrepreneur(e) ethnique n’est qu’une question d’écosystème financier ou de barrière à l’emploi. Avec le boom des migrations pour raisons économiques beaucoup sont amenés à choisir cette voie. Le principe de solidarité entre entrepreneurs peut créer plus d’impact que la vision classique de mise en concurrence sur le marché. Jumeler des structures économiques tend à réguler les déséquilibres issus de la mondialisation. Nous verrons avec le temps comment nous adresser aux couches endogènes plus fortement impliquées dans l’économie informelle.
Voici une simple situation qui vous permettra de vous faire une idée sur la pertinence de cette dynamique pour votre situation : Vous recevez une aide sociale qui ne vous suffit pas et vous rencontrez une barrière à l’emploi du fait de votre profil professionnel inadapté vous souhaitez acquérir une indépendance financière le temps de consolider votre parcours d’intégration ou d’assise sociale. Vous avez un emploi régulier, êtes contraint de rester à la maison temporairement ou encore voulez améliorer vos revenus. Prendre un deuxième emploi ne vous convient pas. Depuis un certain moment vous vous demandez si vous ne devez pas commencer un simple commerce sur la base de talents que vous avez naturellement ou d’un choix du cœur quitte à en faire votre activité principale plus tard si ça marche bien. Il faut associer à ce désir une approche réaliste et professionnelle pour assurer ses chances de prospérer.
Plusieurs outils s’offrent à vous sachant que l’important n’est pas toujours de savoir écrire un bon plan d’affaires mais de maîtriser les éléments de son entreprises sur le bout des doigts pour rassurer voire convaincre un éventuel investisseur. L’économie informelle n’est pas l’économie souterraine, il vous faudra faire un choix fiscal à la fin de cette démarche en demandant conseil à votre comptable avant de vous lancer dans l’entrepreneuriat ethnique.
Êtes-vous prêts?
Cet article a été rédigé par Arnaud Segla du site Entrepreneurethnik
Bio de Arnaud : Arnaud Segla M. Sc., M. Sc. A., CAPM, consultant en gestion de projets et ingénierie d’affaires spécialisé dans l’entrepreneuriat ethnique partage avec nous ses conseils professionnelles. Il organise et anime des activités professionnelles et accompagne plusieurs entrepreneurs dans l’atteinte des objectifs de leur projet d’affaires. Follow on Twitter : @ECO_ETHNIK Add to your circles Google+ : Arnaud Segala
Rencontre avec Florent Vilmart en marge du lancement officiel de l’application « I Can Go Without » au bar Le Cin5 : Le Paris de Montréal.
Bonjour Florent, peux-tu te présenter rapidement pour nos lecteurs ?
Je suis d’origine française, et il y’a 5 années, je suis arrivé à Montréal. J’ai fait des études d’ingénierie dans le sud de la France dans une jolie petite ville qui s’appelle Alès pas très loin du bord de la mer. J’ai fait ma majeure en génie des systèmes d’information plus orienté entreprise ce qu’on appelle les T.I avec une mineure en création d’entreprises (business). À la suite de mes études, j’arrive à Montréal, en tant que jeune développeur complètement perdu dans la grande ville. Premier boulot. Ensuite un autre dans une startup dans laquelle je reste 3 ans. J’ai ensuite rencontré l’équipe d’I can go without. C’était les balbutiements du projet et il y’a eu un super bon fit entre eux et moi-même. On s’est rencontrés en sortie de boite de nuit (rires).
Dans le milieu de l’aide humanitaire, il existe beaucoup d’associations qui ont déjà leur mécanisme. D’où vient l’idée d’une application mobile pour récolter de l’argent ?
Cela part d’une idée toute bête. C’était la crise en Haïti à cette période-là. Paul et Scott se rencontraient autour d’un petit déjeuner et ils se disaient qu’ils aimeraient bien donner leur petit déjeuner à quelqu’un d’autre qui en aurait vraiment besoin. L’idée est partie de là : de se dire que je peux aider mon prochain juste en me passant d’une chose relativement simple. Un café au Starbucks le matin, un lunch le midi plutôt que l’acheter au restaurant. Et c’est comme cela qu’est venue l’idée de mettre en relation un utilisateur qui a un certain niveau de vie et une personne dans le besoin.
Je me passe d’un café très bien, mais comment cela va bénéficier à quelqu’un ?
C’est pour cela que c’est devenu une application mobile. Notre rôle est de faire le lien. Le café il reste chez Starbucks, l’argent est dans ta poche. L’idée c’est de faire des partenariats avec des associations qui font vraiment la différence. Nous allons les choisir, les rencontrer et on va leur proposer une nouvelle façon de lever de l’argent pour des projets qu’elles supportent pour des causes auxquelles elles croient. Nous allons montrer les projets qu’un café peut faire et aussi combien de vies est-ce que ce café peut impacter. De façon très simple, tu peux te passer de ton café le matin et de ton lunch le midi. Une fois que tu as un certain montant de promesse de dons, on te propose de payer. L’intérêt de notre plateforme par rapport à une autre plateforme est que si le matin tu as entendu de la malaria et souhaite faire quelque chose au sujet de la malaria et que le lendemain ce sont les petits déjeuners du Canada qui t’intéresse, car les enfants défavorisés de ton quartier n’ont pas un bon petit déjeuner, tu vas pouvoir avec ton 20 dollars épargné le séparer en plusieurs organisations différentes.
Au sujet des organisations avec lesquelles vous avez choisi de travailler avec CARE, Oxfam… Pourquoi travailler avec des si grandes organisations qui selon moi n’ont pas besoin de vous pour lever des fonds et pas plutôt des petites organisations ?
En fait nous faisons les deux. Notre stratégie d’approche du marché du don est que soit tu fais un don, car tu crois en une cause et, peu importe l’organisation, tu veux résoudre un grand problème. Ou alors tu fais un don parce que la cause est locale et les gens qui agissent pour la cause sont locaux. C’est pour cela que l’on va travailler aussi bien avec des grands noms comme Oxfam, mais aussi avec Moisson Montréal qui est une organisation ultra locale avec une toute petite base de donneurs. L’idée est que l’on veut donner du choix à nos utilisateurs dans la façon dont ils donnent, peut-être leur faire découvrir d’autres organisations, de nouveaux intérêts. Nous souhaitons mettre les deux types d’organisations sur le même plan. Pour nous, ce n’est pas parce que tu t’appelles Oxfam que tu as plus de visibilité dans notre application. Nous avons tous les niveaux de partenariats possibles.
Votre réseau de partenaires comprend combien de membres ?
Nous avons une dizaine de partenariats signés. On a un gros partenaire avec la Fondation du cancer du sein qui a son mois de conscientisation en octobre. Eux ont bénéficié d’un petit truc spécial dans l’application qui est à découvrir depuis le 1er octobre. Ils sont plus mis en avant que les autres, car nous avons décidé de marquer le coup, car c’est le mois du ruban rose. C’est important de donner le choix. On veut casser le modèle qui consiste à se faire accrocher par quelqu’un dans la rue et puis au bout de 10 fois, tu en as marre, tu finis par donner tes informations et puis finalement ils te prennent 20 dollars par mois sans que tu saches où va ton argent. Quand tu veux annuler, tu te sens mal, car tu te dis que ce n’est que 20 dollars. Tu n’es ni conscientisé ni engagé. Nous ne voulons pas que tout le monde devienne des militants, mais il faut changer ce rapport.
Ce qui est intéressant au sujet de votre application, on sent la volonté d’une application conviviale et amusante.
C’est vraiment ça ! Personnellement, je n’aime pas voir des gens exposés en Somalie qui meurent de faim. Je n’aime pas cette approche du don caritatif qui met la pression sur les donateurs « si tu ne fais rien, il va mourir ». Cela ne conscientise pas les gens. Cela les fait sentir responsable des malheurs qui se passent ailleurs dans le monde. Ce n’est pas du tout le message que nous souhaitons donner. Le message que l’on veut transmettre c’est qu’un tout petit changement dans ta vie pourra avoir un impact énorme ailleurs. On ne veut pas que tu te sentes mal. On ne veut pas que tu te sentes mal pour faire du bien. On veut que tu sentes bien quand tu fais du bien. On veut que tu réduises un peu ta consommation et que tu sois conscient de ce qui se passe autour de toi afin de te donner le choix d’agir et surtout que tu te sentes bien.
Je me questionne sur la gamification. Est-ce que les gens se rendent compte qu’ils posent un geste pour « sauver le monde » ?
Quand tu utilises l’application, tu restes très connecté à la cause. Si l’on reprend l’exemple du café, tu vas voir les causes qu’un café peut supporter et l’impact qu’il a sur une personne. Par exemple ton café pourrait donner de l’eau à un enfant pendant une semaine. On ne te déconnecte pas de la réalité, on veut juste te la montrer sur un filtre qui est plus brillant que le filtre qu’utilise beaucoup d’organisation. Nous souhaitons mettre l’emphase sur l’impact sur la personne dans le besoin.
L’application va être disponible où exactement ?
Pour l’instant c’est juste sur iPhone. On veut que ce soit fun et que les gens aient du choix. On veut une expérience exceptionnelle dans ta dynamique de don. Nous avons choisi iPhone dans un premier temps, car on peut véritablement faire une expérience magnifique pour nos utilisateurs. Une fois cela atteint, on s’étendra à d’autres plateformes. Pour l’instant, on veut s’assurer que l’on utilise au mieux nos ressources à l’intérieur d’I can go without pour délivrer la meilleure expérience possible.
L’application I can go without coutera combien ?
Elle est gratuite.
Vous êtes combien dans l’équipe I can go without ?
Nous sommes 5. Il y’a les trois membres fondateurs Paul (CEO), Scott (Business Development) et moi-même (développeur). On a Josh le designer, artiste, animateur vidéo, homme à tout faire. Et Jihanne qui s’occupe de toutes nos communications social média et tout ce qui est fun autour de notre produit. Une petite équipe qui roule bien et qui est vraiment multidisciplinaire. Nous travaillons tous dans la même direction pour une expérience exceptionnelle auprès de l’utilisateur.
L’application est sortie quand ?
I can go without est disponible depuis le mois de juillet 2013.
Comment allez-vous mesurer le succès de votre application ?
Pour l’instant, on essaie d’avoir le plus de feedback possible. Pour moi le succès important ce n’est pas nécessairement que tout le monde aille nous donner de l’argent, mais que les gens se conscientisent autour de cela. Je m’attends à ce qu’ils donnent 100 dollars par mois. On va mesurer le succès à la façon dont les gens interagissent. Est-ce qu’ils aiment ce qu’on leur propose ? Ensuite, on reste une compagnie, on va trouver les moyens de créer des revenus.
Autre chose qui a retenu mon attention dans l’application I can go without c’est aussi la commission très faible que vous prenez sur les dons.
En effet par rapport aux autres acteurs du marché, on prend 5.9 % des dons délivrés à l’organisation. On a choisi ce modèle-là, car il est simple et flexible. C’est une barrière à l’entrée très faible pour les organisations qui n’ont pas de barrières à l’entrée tant qu’on ne leur donne pas d’argent. Et puis c’est quand même en dessous des coûts d’acquisition normaux des dons. Cela peut monter de 15 à 30 %. Donc quand tu sais que sur l’argent que les organisations lèvent 1/3 a servi à lever cet argent, tu t’interroges. Donc nous voulons proposer une façon efficace de lever l’argent. Dans mon monde idéal, 100 % des dons iront aux organisations
À nous de trouver d’autres modèles de revenus en tant que compagnie. Alors je te dirais qu’un facteur de succès serait la capacité de baisser le pourcentage que l’on prend sur chaque don.
Quels sont les autres défis que vous avez comme organisation ?
On a un agenda qui est pas mal chargé avec le ruban rose par exemple. On est en train d’acquérir des partenariats sur l’Amérique au complet. On va essayer d’en acquérir dans des grands pôles comme Vancouver, Toronto, New York, San Francisco, Boston pour continuer notre vision d’avoir du contenu national, international et aussi des organisations locales. Nos défis vont être sur notre croissance. On ne veut pas s’acoquiner avec une seule organisation qui nous couvre à l’international. On rêve d’aller en Europe où l’on se retrouverait avec une vingtaine de pays. Nous voulons être un peu partout dans le monde là où les gens ont le pouvoir de faire du bien. C’est l’un des grands défis que l’on doit surmonter.
Quels seraient tes conseils pour un jeune développeur ?
Comme Steve Jobs disait « Stay hungry, Stay Foolish ». En bon français, restez curieux et croquez ce que vous pouvez croquer. C’est vous qui faites vos opportunités. N’attendez pas que l’on vous tende la main. Vous avez la possibilité et le talent. Saisissez les opportunités ou créez-les. C’est comme ça que j’ai fait depuis que je suis sorti de l’école et que j’ai essayé d’avancer sur des projets qui me plaisent. Ma mère m’a dit lorsque j’étais adolescent que dans la vie je ne pourrais pas toujours faire ce que je veux. J’ai mis un point d’honneur à ne pas suivre ce conseil (rires). Pour les jeunes, ils doivent savoir qu’il y a des règles établies, mais elles sont là pour être cassées.
3 questions pour mieux te connaitre. Quel est ton site préféré ?
good.iz une platform qui parle des bonnes initiatives.
Un pays en Afrique que tu n’as pas visité et que tu souhaiterais visiter ?
Ce n’est pas un pays, mais je souhaiterais faire le Maghreb.
3 objets fétiches ?
Mon chapeau. Mon clip à cartes. Mon stylo.
Un mot pour les lecteurs ?
Je vais rebondir sur ce que je te disais. Que tu sois développeur ou autre, il faut t’entourer de bonnes opportunités. Ne jamais l’oublier. Si tu ne vois pas ces opportunités, c’est peut-être que tu ne veux pas les voir. Les opportunités sont là, elles te tendent la main. I can go without s’en est une. J’apprends énormément sur le côté humain et professionnel. Et cela a commencé en sortie de boite de nuit à 3 heures du matin (rires).
Et si je te dis Afro Inspiration, tu réponds quoi ?
Les festivals de reggae quand j’avais 17 ans. (rires)
La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ.FM pour votre rendez-vous hebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus. Sydney est aux commandes pour gérer les ardeurs de Reginald Joseph, Sofiane Benzaza et de Julien.
Les #DebatSSF commencent des le début de l’émission avec des sujets chauds incluant
Retour sur le match nul 2-2 de l’Impact de Montréal contre le Chicago Fire au Toyota Park: #SaputoDOr, #TropDePoutine et analyse tactique du match
Experience Andrew Wenger en tant que Milieu Gauche : Yay or Nay?
Derrière chaque victoire il existe un chemin. Celui de l’effort, du travail et de la persévérance. COEUR DE SPRINTEUR est un documentaire exclusif sur l’athlétisme en Île-de-France dans les coulisses des entrainements du club historique Neuilly Plaisance.
Pendant 3 mois COEUR DE SPRINTEUR plonge dans l’athlétisme en Île-de-France avec la préparation et les courses de 4 athlètes spécialistes du sprint : Virginie MANETTE, Dylan RIGOT, Johan DELASSE & Pierre VINCENT. Un seul objectif en tête : les championnats de France.
Entre meeting et championnats départementaux, nos protagonistes feront de leur mieux afin de descendre les chronos et apparaître sur les 16 places qualificatives du bilan national.
Drivés par leur coach Joël HEGESIPPE, cette nouvelle génération a souhaité partager une partie de l’entraînement qui leur a permis d’accéder au haut niveau.
Regardez les 3 chapitres du documentaire COEUR DE SPRINTEUR
Il s’appelle Logou Minsob Jules, jeune électrotechnicien de son état il est le concepteur du tout premier robot de cuisine africaine dénommé le « Foufoumix ». À 38 ans seulement, cet inventeur très apprécié par ses clients compte à son actif une demi-douzaine d’inventions protégées par des brevets.
Parmi ces inventions, figure en bonne place le Foufoumix qui fait aujourd’hui le bonheur des ménages et restaurants du Togo qui proposent cette pâte élastique obtenue à base d’ignames ou d’autres tubercules, à leur menu.
Présentation du Foufoumix
Cette invention, selon son auteur, est imaginée pour répondre à un problème local à propos de la préparation du foufou. C’est en voyant, notamment chez sa mère, les efforts et la fatigue qu’engendre la préparation du foufou que M. Logou s’est mis en tête de trouver une solution alors qu’il était en classe de 4e. Il met au point un prototype lorsqu’il arrive en classe de 2de, une machine directement inspirée du système de pilon traditionnel qui est de nature à plus fatiguer les ménagères avec beaucoup d’insécurités autour.
Le jeune apprenant du Lycée technique d’Adidogomé (Lomé) va poursuivre sans relâche ses recherches et à force de travail, il parviendra à découvrir le secret du foufou. Il n’est pas forcément nécessaire de piler les tubercules avant d’obtenir cette pâte gluante qui fait tant saliver certains peuples d’Afrique, conclut-il. Il suffit simplement d’obtenir un effet de malaxage suffisant et le compte est bon.
De cette découverte, il va créer une merveille technologique qu’il baptise le « Foufoumix », une machine composée de deux petites palettes fixées sur un axe rotatif qui malaxent les morceaux d’igname jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. Un brevet lui est accordé en 2000 pour cette invention qui vient révolutionner la cuisine africaine essentiellement traditionnelle.
Au fil des années, cette machine est améliorée pour obtenir finalement un robot se présentant sous la forme d’un engin lunaire. Il peut fonctionner pendant plus de dix ans en utilisation intensive, il est d’ailleurs commercialisé avec une garantie d’une année, confie fièrement l’homme à Afreepress.
Pour mieux répondre aux besoins des clients, deux versions de ce robot existent : l’une de 0,75 kW adapté aux ménages et pouvant préparer du foufou pour une famille de huit (8) personnes en un temps record et l’autre de 1,1 kW destiné aux restaurants et professionnels de la préparation du foufou.
Techniquement, insiste l’inventeur, le Foufoumix permet d’économiser de l’énergie humaine, du temps et consomme peu d’énergie électrique (10 F CFA pour 15 plats).
L’engouement des petits ménages et autres grands restaurateurs togolais et africain pour cette machine se fait de plus en plus ressentir. Cependant, confie avec mélancolie M. Jules Logou, la cadence de production « artisanale » est trop lente et ne suit pas la demande trop croissante.
De ce fait, il faut aujourd’hui compter 295 000 F pour acquérir le modèle de ménage du Foufoumix et 350 000 F pour le modèle professionnel en vente actuellement dans deux boutiques de Lomé : l’une située à Adido-Adin, fin pavé et l’autre en face de la station Total à côté des galeries Tountouli. Le Foufoumix a reçu plusieurs prix d’excellence et fut le produit le plus innovant de la Foire internationale de Lomé en 2010.
Cependant, confrontée au manque de soutien et de partenaires d’affaires, la demi-douzaine d’inventions à l’actif de ce « génie » togolais de l’invention agonise dans son magasin. Le Foufoumix qui a reçu à sortir la tête du lot malgré les difficultés économiques et la cherté des matériaux, est aujourd’hui menacé par le génie de la contrefaçon, avec la complicité tacite de ressortissants togolais et de pays limitrophes du Togo.
« Les informations qui nous parviennent sur les tentatives de contrefaçon de notre produit ne sont pas de nature à nous rassurer. Nous n’avons de cesse de lancer un appel au secours aux autorités de notre pays et aux hommes d’affaires désireux de faire équipe avec nous. Rejoignez-nous pour sauver cette invention purement africaine qui a fait ses preuves et continue de montrer ses qualités à la face du monde », a déclaré l’homme au bord des larmes.
Bio-Beauté by NUXE propose des soins aux extraits de Fruits Bio pour le visage, le corps et les cheveux. Zoom sur les soins visage…
Au sein de la gamme Bio-Beauté Soins Visage, il y a des produits pour nettoyer, hydrater et nourrir le visage. Les produits sont faits à 95% minimum d’ingrédients d’origine naturelle (sans huiles minérales, sans colorants de synthèse, sans parabènes) avec une forte concentration en actifs de fruits riche en anti-oxydants.
Les produits nettoyant à base d’eau d’Orange se déclinent en lait, mousse, lotion et eau micellaire pour répondre aux besoins de toutes les peaux, même les plus sensibles. Il existe aussi un exfoliant doux aux grains de fruits rouges qui élimine les impuretés et l’excès de sébum tout en laissant la peau lisse et douce.
Pour hydrater et nourrir le visage, on opte pour les soins aux cellules de Clémentine parmi lesquels on trouve une émulsion, une crème, un masque et un soin contour des yeux.
Mon coup de cœur bio-beaute nuxe…
Le contour des yeux défatiguant, anti-poches, anti-âge (15 ml, 25$)
Il s’agit d’un soin multi-actif certifié bio aux cellules de clémentine et aux extraits de myrtille qui aide à lisser les traits de fatigue, réduire les poches et estomper l’apparence des cernes.
Mode d’emploi: appliquer une faible quantité matin et/ou soir sur le contour des yeux en massant légèrement.
Le jus de Bissap est réalisé à partir de fleur d’hibiscus (ou Oseille de Guinée, Roselle). Boisson rafraîchissante mais pas seulement, la feuille d’hibiscus est une plante médicinale aux nombreuses vertus.
Légèrement acidulée, la fleur d’hibiscus rouge est connue aussi sous le nom de karkadé ou thé rose d’Abyssinie. Son nom varie selon les pays au Mali ou l’on appelle Dabléni et au Cameroun Foléré. Elle est surtout très consommée en Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, sud du Mali, nord de la Côte d’Ivoire) mais aussi en Egypte ou elle est surnommée la boisson des pharaons.
En infusion elle apaise et soigne les toux et mots de gorge, angine, stomatite, les troubles digestifs et l’hypertension artérielle. Une boisson rafraichissante et santé dont nous vous livrons les secrets.
La recette du jus de Bissap
Ingrédients
2 bols de feuille de bissap séchées
3,5 litres d’eau
8 feuilles de menthe
1 gousse de vanille
2 cuillères à soupe de fleur d’oranger
250 g de sucre
1 sachet de sucre vanille
Facultatif: gingembre, noix de muscade, jus d’ananas.
Etape
Rincer les feuilles de bissap séchées et le mettre dans un grand récipient avec l’eau.
Ajouter la menthe, la gousse de vanille et la fleur d’oranger.
Laisser tremper 2 h.
Filtrer et ajouter le sucre et le sucre vanille et bien mélanger le tout.
Conserver au frais durant 5h avant consommation.
Servir frais avec des glaçons.
Une version en vidéo :
Si vous avez des conseils ou des variantes de la recette, veuillez nous laisser un commentaire.
Pour une restauration du modèle spirituel Noir. Par ASSOUKA
Imaginez que je distingue quatre familles spirituelle sur terre: l’une maîtrisant la conscience et qui mène à l’éveil, une autre maîtrisant la connaissance et qui mène à la sainteté, encore une autre maîtrisant la parole et qui mène à la prophétie et enfin une (primordiale) qui maîtrise l’énergie et qui mène à la déification. Toutes exceptée cette dernière ont pris le soin de propager et de garder par écrit une partie de leur gnose en mettant à la disposition du profane la partie exotérique des enseignements de chaque vicaire élus et en réservant l’ésotérisme des formes de connaissance à des initiés ou « adulte en spiritualité ». Cette famille spirituelle de l’énergie, donc, semble encore rechigner à mettre sous écrit son héritage spirituel bien qu’elle soit à l’origine de ce mode de transmission. Cela pour la raison que la transmission perdrait en flexibilité et n’honorerait plus le rang vicarial de ses membres. Ainsi, l’accent est mis sur la tradition orale qui s’étiole à mesure que les groupes sociaux s’exportent et que les membres des communautés sont disséminés à travers le monde pour servir au combat après l’avènement de l’économie comme médium d’accomplissement spirituel. Force est de constater que l’énergie ne peut se transmettre sans le véhicule adapté de la hiérarchie physique et invisible. Ancêtres, disciples et impétrants en garantisse l’ossature. Dans le tumulte de l’adaptation aux réalités contemporaines et du métissage culturel, l’écart se creuse à mesure que persiste ce refus de partage d’un savoir dont l’essence a déjà été prélevée par certaines écoles de mystère pour éclairer la voie d’une minorité. Le sens profane de cette connaissance est en voie de disparition par le truchement des condamnations ignorante et de l’endoctrinement à annoncer le message d’autres modes de culte sans les enraciner et les adapter au terreau authentique et patrimonial. Il est sûr que l’éradication des transgressions serait plus efficace et consacrée lorsqu’elle fait l’objet de la mission des élus issus eux-mêmes du dit Peuple dans l’air du temps d’une révélation. Que dire de cette parabole de notre ère qui raconte ceci :
Les Cell. de la Terre
D’yeux, un dirigeant d’entreprise donna à ces quatre types d’employés de couleur un moyen de communication privilégié avec lui. Au commercial Jaune il autorisa le téléphone pour l’entendre, au financier Rouge le service postal pour le lire, à l’entrepreneur Noir l’Internet pour qu’il soit connecté et au consultant Blanc la rencontre en personne pour lui parler. Au début chacun usa de son mode de communication de façon indépendante jusqu’au jour où vint une crise financière et que l’avenir économique de l’entreprise imposa de redoubler d’effort pour éviter la fermeture. Aux abois, chacun tenta d’imposer son mode de communication à l’autre pensant que l’information circulerait mieux pour la bonne marche de l’entreprise. Personne ne pensa à adapter les messages à son médium; un message vocale enregistré, une minute de réunion rédigé, un fil rss… mais restait sur l’idée d’une suprématie de son mode de communication. Dans le tumulte des différentes actions de lobbying, le consultant Blanc se fit plus présent et proche de Dyeux, le commercial Jaune s’inventa un téléphone sans fil, le financier Rouge le télécopieur et enfin l’entrepreneur Noir s’adaptant à tous créa la VoIP, le courriel, les communautés virtuelles et la visio-conférence. D’yeux considéra l’entrepreneur Noir et lui dit « tu perds de ton authenticité à sacrifier, longanime, ton médium aux autres. Je perds la saveur de nos connections de réseau privilégié d’antan. J’entends, te lis, te vois alors que je voulais simplement voir les mises à jours des sites connectés. Ne peux-tu donc pas t’adapter au temps et non aux autres? ». L’entrepreneur Noir s’arrêta et réfléchît. Il était trop tard pour détruire ses innovations. Il décida de les garder mais de développer désormais, selon sa force et son moteur naturel, le commerce électronique sans support de paiement physique car c’était là, LA GRANDE VICTOIRE.
Avec la perte des vestiges du passé de la civilisation Noire par pillage après convoitise ou destruction après condamnation. Un réveil est plus que nécessaire pour utiliser à bon escient les outils technologiques pour mettre à la disposition des générations éloignées dans l’espace, le temps ou l’accomplissement spirituel, le contenu des connaissances traditionnelles de l’Afrique. Cela peut passer notamment par des sites internet au contenu public pour les profanes et à accès via enregistrement pour les adultes spirituel. Plusieurs membres de la diaspora ont le bagage technique et sans nul doute le volontarisme nécessaire à ce sauvetage de notre mémoire collective. La fracture Internet locale n’est plus un argument suffisant contre la facture que devra payer nos générations dans le cas d’une édulcoration massive de notre civilisation. C’est là, les deux menaces mâles de ce Temps : la perte de la fierté des peuples Noirs et du contrôle des richesses naturelles d’Afrique. (Mt 5, 13-16)
Cet article a été rédigé par ASSOUKA du blog Le Cri de la Calebasse.
Bio de ASSOUKA : le Mystère du double de l’Auteur. Il est le personnage d’une série de textes qui permettent de suivre et de comprendre une formidable aventure spirituelle dont l’accomplissement permettra à un Peuple de faire résonner Le Cri de la Calebasse.
1.4 billion people around the world live in complete darkness… Can We can change that ?
In electricity, Africa is a continent full of paradoxes: though it is an energy giant by the resources available, the actual capabilities on which it can rely today are poor. In other words, despite its huge energy potential, the continent still suffers from a lack of infrastructures.
In a report released in January, the International Renewable Energy Agency (Irena) says: “In 2010, 590 million Africans (57% of the population) had no access to electricity. If current trends in energy do not change, Africa will, in 2030, 655 million people (42% of the population) in the same case. “. Something obviously has to be done in that area.
Thus, Power Africa is a project which initial goal is to “bring the power back to Africa”. We are not talking about the Obama’s 7 billions plan to bring electricity in Africa. Basically, it is a for profit energy company with a social focus on increasing access to electricity in developing areas of Africa.
To raise creative new capital, Power Africa is using fashion, art and entertainment through their “Power Africa Now” apparel company (strapbacks, Print pocket tshirts,…). The apparel they intend to make will help raise awareness on energy the ongoing energy crisis across the globe and will raise money and resources in order to find viable solutions. We assume they heard about that motto “Africa is the future” so the future is now, the future is today for the team behind Power Africa. Their first pilot project is to manage and install Micro-Grid power systems in rural communities of Africa. They are currently working with local organizations in Cameroon, Equatorial Guinea and Nigeria. The team is growing and they also have a few local contractors and partners that are helping them putting everything together. Check their website to learn more about the project.
Kenya : Love Conquers All #WeAreOne. September 21st 2013. 11am. Nairobi. Kenya. A nation was turned upside down. The time to heal has come…
It is said that there are 7 stages (emotions) of grief: denial, anger, fear, guilt, depression & acceptance. It is also presumed that these stages can and are experienced indiscriminately. You may go through all 7 (ideally) or just a few. You may go through them in random order, some may last longer than others. But, it is also assumed that one must travel through these emotions, and eventually reach acceptance. This ultimately leads HEALING.
I don’t presume to be a psychologist, counselor or even a psychiatrist. I don’t assume that you are in need of any of these services, but I do imagine and assume that if you have been in Nairobi in the last few days you have been emotionally and maybe even physically drained. The #WestGate Attack was certainly an unexpected horrific and traumatizing event, and that is putting it very lightly in my opinion.
And for that reason alone, I allow myself to address you if only for a few minutes.
I can’t pretend to have lived through such a trauma in my life before, so I do suggest that if you can, you seek help (if deemed necessary and in whatever manner) as quickly as possible. I have however dealt with death over the years, and with grieving over the last few months, weeks and days leading to this attack. To be honest, I think we encounter grief a lot in our lives. So these are my words, perhaps not meant for anything other than my own personal healing, but if you find comfort in them, I say thank God
“Grief is like an ocean; it is deep and dark and bigger than all of us. And pain is like a thief in the night: quiet, persistent, unfair”. No truer words have been spoken, and today once more they make so much sense to me. Most people have often wondered why I write about “grief” and why it sometimes seems so simple for me. Some people think it is insensitive, or that it is private, and sometimes they might be right, but I’ve come to learn that it is part of (my) healing.
As I do often get personal, for those who know me, it is no secret that I lost a few dear people in the last couple of years. And each loss I have dealt with differently. However, death (which we all go through at some point in our lives) is never easy to overcome. It is a journey and we must take time to explore each emotion.
When I first encountered it on a very personal level, all I could do was muster a “WHY?” I kept repeating it, I was screaming it, writing it, crying it and asking it! I prayed and felt like answers would never come. I sat in front of my computer for hours on end; wondering, questioning, demanding… Yet all knowing the kind of answers I needed would not come. And when I came to that realization, I closed myself up and went to a dark solemn place. A place I couldn’t possibly recommend to most, a place where nothing made sense, and where no one mattered. It was a place where I didn’t care enough to care for myself. As so I began to plummet into emptiness.
But through it, I began to remember those gone and what they stood for. I realized I needed to “grieve” – I needed to let it go. I had been through my anger and depression before experiencing my denial, anger, fear and guilt. Guilt for me was the hardest , because I kept on asking the ‘what ifs’ and ‘why didn’t’ I questions. Then eventually I came back to the depression, the realization that I would finally have to accept what was going on. It took me months, but the love I shared with those gone guided me to the light at the end of the tunnel. [The road traveled is different for most]
I came to realize that the kind of answers I wanted were not possible. If there are any words that I can share with you then hear this: evacuate what’s heavy on your hearts, what’s crazy in your minds and what’s not being said. Exteriorize those emotions deep inside. I found myself writing letters to my late brother, calling his voice mail just to hear his voice (until the line was eventually disconnected), I looked at pictures and I made plans to see him again. I often thought I was crazy for doing these things and for having conversations in the dark.
But what I had come to realize was that he was only gone physically, I still converse with him. I like think he is my conscience. But my story can not be like everybody’s and each must find that place where they feel comfortable and heal again. So deny it, then get angry, scream and shout. Don’t be scared to go through the fear of realizing that they will not be there any more and certainly walk through the guilt (of perhaps not being there for them) or because it is tough to know that you can no longer say sorry for that silly fight. Eventually you will get to that place of depression , which I sincerely hope will bring you to finally accept.
As far as the tragedy in Nairobi is concerned, I lost an old friend and some acquaintances. I can’t pretend to fathom what the families are going through, at my own little level, I must admit I am struggling a lot with the guilt and the denial. But I will work through my emotions, as I hope you will walk through yours too. Find someone to talk to, sing, write, cry, cry and cry if you must but get it out there.
I like to believe that those gone often look down on us and expect us to live the way they might have and spread the message of love they had to give; their missions here were complete and they left it to us to continue on their paths (until we meet again). The best homage we may pay them in that respect, is to keep their memories alive by celebrating their lives.
In 2008, while discussing what I was going through , the same friend said to me, ” Don’t worry Nie-Na (coz that’s how he called me) your brother was just in a rush to get up there to the(real) party …” – And then he simply smiled (that particular smile of his). I guess you were in a hurry too? *Smiles*. Rest well dear friend.
To all those lost in this senseless violence, I wish eternal peace.
Just like any deep wound, the healing will take time and the scars will remain with us, but I say to the families, victims, survivors, security forces, volunteers, heroes (unsung heroes) and the nation of Kenya, let those scars remind us of what we have come through, & know that Love conquers all, trust in it, believe in it and find comfort in it. Rise Up!#WeAreOne
Tout le meilleur de l’actualité musicale de la rentrée, triée et sélectionnée sur le volet !
Justin Timberlake en concert à Paris en avril 2014
Enfin confirmée, cette nouvelle devrait faire des heureux et (surtout) des heureuses parmi les fans du chanteur. Celui-ci se produira au Stade de France le 26 avril prochain pour promouvoir son double-album, « The 20/20 Experience ». Sept ans après son dernier passage sur une scène française, l’interprète des singles « Suit & Tie » et « Mirrors » connaît depuis quelques mois un retour magistral pour sa carrière de chanteur. L’ouverture de la billetterie pour ce qui est annoncé comme un des concerts de l’année, est prévue pour lundi prochain à 10h. Stay tuned… En attendant on se régale les yeux et les oreilles avec le clip officiel de « Holy Grail », le fameux featuring avec Jay Z.
Queen B & Drake, le featuring pour bientôt ?
A peine remise d’une tournée éprouvante à travers toute l’Amérique latine, et en route pour poursuivre ses concerts en Australie et en Nouvelle-Zélande tout l’automne, Beyonce aurait quand même trouvé le temps de penser à une nouvelle collaboration… Et celle-ci devrait en réjouir plus d’un/une : Drake ! Le jeune canadien dont l’album « Nothing was the same » cartonne depuis sa sortie aurait ainsi travaillé sur le cinquième album de la diva. Les titres de ce dernier arrivant au compte-goutte depuis quelques mois, on ne sait cependant pas quand le fameux featuring sera disponible pour nos oreilles impatientes… Mais celui-ci ne pourra être que très bon lorsque l’on sait l’admiration que le rappeur voue à la chanteuse : preuve en est son remix des plus réussis de Say my name intitulé « Girls love Beyonce ».
Le nouveau clip de Darrell « On s’envole »
Darrell, c’est un peu un de nos chouchous sur AfrokanLife. On a parlé de lui ici (Lire : Darrell un Yolo à la française), puis ici (Lire : DiasPortrait – Darrell, auteur-interprète Pop & Hip-Hop) et même là (Lire : 10 facts about… Darrell un Jeune & Con) … Bref. Je ne vous refais pas la présentation, mais juste pour info le clip du titre « On s’envole » (produit par Majestic Drama) est sorti vendredi dernier à 18h et il a été produit par le légendaire rappeur de BadBoy Records, Shyne Po. On y retrouve le jeune homme de 22 ans entre Paris et la Côte d’Azur. Je vous laisse apprécier.
BEL AIR mixe au Dandy ce vendredi 4 octobre
Bel Air ? Si vous ne connaissiez pas encore ce collectif tout beau tout frais créé à la rentrée, foncez au Dandy (26 rue Pierre-Fontaine dans le 9e arrondissement de Paris). Au beau milieu de la programmation de ce vendredi 4 octobre, vous pourrez entendre mixer ces quatre jeunes parisiens, passionnés de culture house. Groovy, funky et véritable melting pot d’inspirations, BEL AIR Sounds vous offrira c’est certain du tout nouveau et du très bon son en vous faisant découvrir les artistes de demain.
Stromae est décidément bien l’artiste francophone le plus plébiscité du moment. Six semaines seulement après la sortie de son nouvel album le 19 août dernier, le succès du jeune homme est évident. 300.000 exemplaires et des poussières vendus pour le prodige belge qui nous ambiance à coup de « Papaoutai » sur toutes les ondes. Pour le voir, il ne reste désormais plus qu’une date disponible, le mercredi 9 avril au Zénith de Paris (toutes les autres dates sont d’ors-et-déjà sold out). Allez, j’en remets une couche avec le clip de « Papaoutai » visionné plus de 51 millions de fois sur Youtube !
Et voila c’est fini pour la récap ! À la semaine prochaine.. ou pas.
Dans le cadre de la sortie de son EP « Afrikan Luv » nous avons rencontré la chanteuse Reniss. Nouvelle princesse de l’Afropop camerounais elle revient sur son parcours, sa collaboration avec Jovi et ce que lui réserve son label New Bell Music.
Bonjour, Reniss peux-tu t’introduire à nos lecteurs ?
Bonjour à l’équipe d’Afrokanlife, et un bonjour spécial à vos lecteurs. RENISS est une jeune artiste venue tout droit de la province du Nord-Ouest Cameroun, plus précisément de Mankon. RENISS est actuellement sous le label New Bell Music créé par le talentueux NDUKONG Godlove AKA JOVI (Le Monstre) et la dynamique Rachel Applewhite BURKS, et est managée par Estelle AHANDA.
Comment tu décris ton style R&B/Nu Soul africain? Quel que soit le genre musical, qui sont les artistes qui influencent ta carrière ?
Je fais de l’Afropop, dans un mélange de Pidgin, anglais, français et Mankon.
Je suis influencée par BEAUCOUP d’artistes…wow par où vais-je commencer??? (rires) Ok, il y’a Bebe Manga, Miriam Makeba, Toni Braxton, Michael Jackson, Beyonce, et plein plein d’autres.
Tu as dit au sujet d’Afrikan Luv que c’était une « connotation philosophique de la vie et de l’amour comme deux faces d’une même médaille » (source:site newbellmusic), mais que veux-tu nous communiquer au travers de ta musique ?
Afrikan Luv (L’amour africain) est une histoire d’amour vue par une fille africaine…moi (sourire). Ma musique parle d’amour: l’amour maternel, l’amour paternel, l’amour fraternel, l’amour d’un mari pour sa femme et vice versa. On retrouve aussi dans mon maxi single, d’autres thèmes comme la paix, la tentation, la persécution et aussi l’espoir.
Tu nous proposes des sons très différents, par exemple on voit bien C’est la Vie en boite de nuit alors qu’I’m Ready est bien plus intimiste. C’est nécessaire pour toi de varier les genres ?
Tout à fait. C’est La Vie comme son titre l’indique, parle des joies et peines traversées au cours d’une vie. C’est un message positif que j’ essaye de faire passer… ne JAMAIS baisser les bras et continuer à avancer parce que…‘c’est c’est c’est la vie’ qui veut ça. (sourire) Il était donc logique d’opter pour un style dansant. I’m Ready par contre est une chanson très personnelle. Je me confie à Dieu, je Lui rends grâce pour les joies, les peines, les obstacles traversés. Je remercie tous ceux qui m’ont toujours soutenue et demande à ceux qui ne me connaissent pas de m’accepter parce que je suis prête à recevoir toutes les bénédictions et tout leur amour. Tout est dans les paroles. Je pleure chaque fois que j’écoute cette chanson.
Jovi est le seul artiste avec lequel tu collabores sur ton maxi. Pourquoi lui ?
Oui, Jovi est le seul artiste avec qui j’ai collaboré sur mon maxi. Ca s’est fait naturellement, il était disponible à ce moment (C’est quelqu’un de très occupé). Mais, bien plus qu’un producteur/collègue, Jovi est aussi un ami, un frère pour moi. C’est un peu comme Jay-Z et Kanye (sourire). Tiens, on pourrait même faire tout un album ensemble pourquoi pas? ha ha!
Il y’a Jovi d’une part, mais Le Monstre d’autre part. Comment s’est passée ta collaboration avec ton producteur ?
Notre collaboration s’est passée dans les meilleures conditions. Jovi est le meilleur producteur avec qui j’ai eu la chance de travailler. Je lui fais un petit coucou en passant. (rires)
Quel est le son que tu as préféré enregistrer ?
Sans hésiter, Afrikan Luv. C’est le titre phare de mon maxi. Il parle d’amour. L’amour que j’ai pour mes parents, mes frères et sœurs, et toute ma famille africaine.
Tu ne chantes pas beaucoup en français. Une raison particulière ?
C’est vrai, je ne chante pas beaucoup en français. Je veux absolument pouvoir inclure toutes les autres langues (pidgin, anglais, mankon…) dans mes chansons. C’est aussi plus facile pour moi de le faire.
Les artistes n’aiment pas cette question, mais nous sommes curieux d’en savoir un peu plus sur ton processus d’écriture et comment tu puises ton inspiration.
Ha ha ha…c’est facile ça! Ma vie de tous les jours et celle des gens autour de moi… voilà ma source d’inspiration. Quand je compose, je pense à ma famille, mes amis, et à mes propres expériences.
Quelles sont les principales difficultés auxquelles tu fais face en tant que jeune artiste?
En tant qu’être humain, on fait face à des difficultés à chaque seconde, minute, ou heure de notre vie. Je ne suis qu’un être humain parmi tant d’autres. L’un des plus grands challenges pour moi, en tant qu’artiste c’est de trouver le/les moyen(s) de porter haut les couleurs de mon pays, et de pousser la musique camerounaise au-delà des frontières. C’est un défi que j’aimerais pouvoir relever.
Quels conseils donnerais-tu à un artiste qui se lance dans le milieu ?
D’être loyal et d’avoir beaucoup d’intégrité. De croire en soi et en ceux qui vous entourent. On ne peut pas y arriver tout seul.
Tu as participé au projet Mboa Tape Vol. 1 quel effet cela a eu sur ta popularité au Cameroun et ailleurs ?
Merci de me donner l’opportunité de remercier (une fois de plus) Mboa Urban Music pour le soutien. Afrikan Luv a été écouté non seulement au Cameroun, mais aussi dans plusieurs pays du continent et du reste du monde. Le feedback est impressionnant. Les gens aiment beaucoup! J’ai gagné des fans et followers sur Facebook et Twitter. Yessss… (rires)
Il semble avoir un mouvement de renouveau au Cameroun, selon ta perspective dans quelle direction va la musique urbaine ?
Il y’a eu d’énormes progrès au Cameroun dans le milieu urbain. Je pense à tous ces artistes comme Jovi, Stanley Enow, Veeby, Sophy Aiida, pour ne citer que ceux-là, qui se battent pour faire avancer les choses (avec le soutien de certains promoteurs/médias bien sûr!) Nous sommes sur la bonne voie. Mon plus grand souhait est de voir la musique Camerounaise reconnue à l’échelle mondiale. Allez, Allez #Team237 !!!
Tu as décidé de rejoindre le nouveau label New Bell Music, qu’espères-tu de cette collaboration ? Pourquoi ce choix ?
Nous (la team New Bell Music) venons de sortir mon maxi de 6 titres intitulé Afrikan Luv disponible en téléchargement GRATUIT (oui oui) sur le site du label : www.newbellmusic.com. Nous travaillons aussi sur mon album dont la sortie sera annoncée en temps opportun.
J’ai rejoint New Bell Music parce que… mon but est de bosser dur pour atteindre mes objectifs. Chaque artiste a besoin d’être bien représenté. New Bell Music et moi partageons la même vision. C’est le meilleur label pour moi.
C’est quoi la suite ? Projets, challenges qu’est-ce qui est prévu pour toi en 2014 ?
Tout d’abord mon management et moi sommes actuellement busy avec la promo de mon maxi Afrikan Luv. L’accueil a été on ne peut plus chaleureux! Tout le monde aime. Merci aux médias qui me soutiennent!
Mon vidéo clip pour mon titre ‘C’est La Vie’ réalisé par February 16th vient d’être bouclé. Il est fin prêt et sortira incessamment.
Mon management bosse actuellement sur mon showcase (soirée dédicace) qui aura lieu en octobre pour célébrer la sortie de mon maxi. Les dates et lieux seront communiqués.
J’ai aussi quelques dates de spectacles alignées pour les prochaines semaines. Merci de contacter mon manager Estelle AHANDA pour plus de propositions (sourire).
Comme je le disais plus tôt, je suis actuellement en studio pour enregistrer mon album qui sortira bientôt… Je crois que c’est tout pour le moment. 2014 sera plein de belles surprises! (sourire)
Une scène en particulier où tu aimerais performer ?
Pour être honnête, je voudrais avoir la possibilité de prester sur chaque scène de chaque ville/pays. The sky is the limit pour moi! J’y crois!
Maintenant, 3 questions pour mieux te connaître:
1— Quel est site de musique favori ?
Euh… newbellmusic.com (sourire)
2 — Y’a t’il des pays en Afrique que tu n’as pas visité et que tu aimerais allé voir ?
Oui, j’aimerais visiter plein plein de pays comme l’Afrique du Sud, le Nigéria, la Tanzanie, la Côte d’Ivoire…pour ne citer que ceux-là.
3— Citez-nous les 3 objets dont tu ne pourrais pas te passer ?
Ma bible, la musique, et mes proches.
Enfin si je te dis Afro Inspiration tu réponds ?
Lol ! Ok, Inspiration africaine…Tellement de choses me viennent à l’esprit! L’Afrique à elle seule est une source d’inspiration. Les paysages, les differentes cultures, la bouffe…tout!
Merci pour cette entrevue !
Tout le plaisir est pour moi. Merci à vous pour cette opportunité et je vous souhaite tout le meilleur.
This author has no relationship whatsoever with Chinua Achebe, apart from the fact that they hailed from the same Nigeria. I was updating my goodreads.com profile the other day, when one of my connections remarked that she was not aware that Chinua Achebe had written a book titled “Blunted on Reality”. And of course, she was right, he did not! Take a closer look at the author’s name and you will quickly realize that his first name is “Chinedu Achebe” not “Chinua Achebe”.
I have said it countless times I love to be surprise by books that I know nothing about. The feeling is amazing, you open a book without checking reviews or talking to anyone about it and you end up reading it in 5 straight hours. Of course, you have to be willing to take that risk . Nobody wants to waste time on a book that is not that good. Thank God, this novel did not belong to that category.
About the Book
Blunted on Reality follows the life of Obi Ifeanyi, a Nigerian born American who is coming of age after the historic election of Barack Obama. As Obi confronts challenges that impact his family, career, and romantic interests, he is forced to examine his past and present choices to define his future.
About the Author
Chinedu W. Achebe is a Nigerian of Igbo descent who was born in Richmond, Virginia. He received his bachelor’s degree in Economics from the University of Houston and currently resides in Houston,Texas. He is the oldest of three siblings.
The set up of this story is Obama presidential election and his subsequent victory in 2008. The protagonist – Obi – is coming of age in Houston, where he lives surrounded with his Nigerian family and friends. His life is a pretty normal one : boys, work and girlfriends. You would be excused to think that this is your regular type of novel. In a way it is, until you came across some very pertinent and important observations on black people , African-American, Africans, women and politics to name some of the themes.
Let’s take a quick look at some of the themes in the novel:
Relationship between African-American and Africans: Did you know that some African-American hate Africans? I, for instance, didn’t know. The way I understand it – maybe I am wrong – It’s, actually, not a hate-hate relationship, but it is much more complex than that. Which is quite normal, when we think of our common history, a lot of bad things has happened and as a result some black people were luckier than others. In Blunted on Reality, one African-American guy just lost it one day and took it on Obi for being African. I have to say, I was stunned. You have to understand that it was my first time hearing such a thing. I wonder if it is based on a true story, it all sounds so real.
Black American women and African men: Obi has a very strange relationship with Tamika, an African-American woman. Well, I said strange, but really it is just one of those the-good-guy-loves-a-bad-girl type of story. Obi tried really hard to get Tamika to commit but to no avail. But then again, there are a lot of references to the fact that black women (African-American) always complain about having difficulties finding good black men. As Obi said several times:” they want two contrary things on the same man, impossible of course. The brother have to be cool, have swag but at the same time he must be serious, responsible and treat women right“. What they end up doing is messed up with the wrong man. Very interesting observations on black people relationships scattered in the novel. I love it, because they are so true.
African-American men wasting away : This section concerned one of Obi’s friend, Lamar. So this guy used to be ambitious and “normal” in University. Five years after college, he works as a manager at a local department store, off-work he chases after girls. That’s it! I mean he has no ambitions of going to grad. school or finding a new job, earning more money, settling down or anything of the sort. When I read his story, I was seriously asking myself questions. What the hell is wrong with this guy? What has happened to him? How can you live such a shallow life and not be bothered by it, at all. We shall call it the tragedy of young African-American men. I think they need a purpose. And then, there is his dealings with women. Honestly, I have never understood the relationship dynamic of African-American couples. Men are so disrespectful towards women, and women don’t seem to be bothered by it. Being an outsider to the whole situation, I will naturally have the tendency to judge the book by its cover. Readers please keep that in mind.
A black man at the white house – Two steps forward or one step backward: The main reason I love this book, so much, has to do with the political observations made by Obi and his friend Chichi. At a time when everyone was jumping of joy at the sheer mention of the name Obama (back in 2008 of course), some people had their reservations about the whole issue, which is just fantastic. For one, time has proved them right. That is why I wonder when exactly this book was written. In any case, thumbs up to the author for his very smart and insightful political observations.
Are African women too complicated? This is not a big theme in the book but…it is inherent in the story I would say. So Obi is kind of between two women, an African-American and a Nigerian. When Obi and Chichi interacted, the first think that always come to my mind is “boring”, especially when I compare that relationship to the other one. Furthermore, Chichi did impose a three-month ban on sex on a relationship that has not even started. duh! ( I bet she read Steve Harvey). But I have to command her perfect handling of the situation. Even though both women were not sure about commitment and marriage,Tamika chose the sex avenue, while Chichi, on the other hand, chose the friendship avenue. Maybe there are a great lesson to be learned here for women. So I ask again are we too complicated or we just have high standards?
Blunted on reality: First of all, great title! In fact, one the best I have come across in my reading life. It really reflects the entire book. So what reality are we talking about here? For example, Obi and his friends went to University on ideology, after graduation, they realized that this was not the future they had envisioned while in school. Does this ring a bell? It is pretty common these days. We all know that the career path that brings in money are not necessarily the one you are passionate about. Another great example would be on the relationship side, Obi versus Tamika and Obi versus Chichi. You love a girl very much, she loves you too, but she is commitment phobic while you on the other end are anxious to settle down. What do you do? The reality is you can’t force a person to marry you or be your girlfriend. Your only option is to move on as Obi found out at the end.
I thoroughly enjoy this book. Mainly because black people psychology – If I can call it that – is one of my favorite topic. I also appreciate the fact that the book was very current. I recommend of course, but I guess you will more relate to the story, if you live in North America.
Les Celtics de Boston affronteront les Timberwolves du Minnesota le 20 Octobre à Montréal dans la seconde édition de NBA Canada une série de match hors- concours NBA présenté au Canada.
La série avait démarré l’année dernière lorsque les Raptors de Toronto ont fait face aux Knicks de New York à Montréal et les Timberwolves ont affrontés les Pistons de Detroit à Winnipeg.
Huit Canadiens ont joué pour les clubs NBA la saison dernière, dont Steve Nash au Los Angeles Lakers. En tout, 21 Canadiens ont joué dans la NBA avec 5 Canadiens pris dans la draft NBA au cours des deux dernières années.
Les billets sont déjà en vente sur le site evenko : http://www.evenko.ca/html/tickets/nba/index.html à partir de 15 $ et pour l’occasion nous vous offront 1 paires de 2 billets. Pour cela rien de plus simple :
1 ) Twitter “Je participe au concours @afrokanlife x @evenko pour gagner 2 places pour Timberwolves vs Celtics le 20 octobre http://eepurl.com/tC3d9″
3) Cocher je participe au concours NBA Evenko ici http://eepurl.com/tC3d9
Les résultats seront annoncés sur notre compte twitter.com/afrokanlife le 17 octobre.