La Milan Fashion Week est terminée, les collections printemps-été 2014 présentées et les mannequins sont en direction de Paris! Il est temps de faire le bilan!
Roberto Cavalli : 4 apparitions sur 50
Versace : 1 apparition sur 47
Bluemarine : 2 apparitions sur 39
Sportmax : 5 apparitions sur 46
Just Cavalli : 2 apparitions sur 54
Prada : 6 apparitions sur 41
Fendi : 3 apparitions sur 49
MaxMara : 0 apparition
Emilio Pucci : 7 apparitions sur 43
Gucci : 3 apparitions sur 44
Alberta Ferretti : 2 apparitions sur 50
D2Sqaured : 3 apparitions sur 35
Jil Sander : 1 apparition sur 38
Giorgio Armani : 3 apparitions sur 38
Gianfranco Ferré : 1 apparition sur 30
Salvatore Ferragamo : 3 apparitions sur 36
Missoni : 3 apparitions sur 42
Marni : 2 apparitions sur 34
Dolce et Gabbana : 2 apparitions sur 77
Bottega Veneta : 2 apparitions sur 31
Alors, raciste ou pas raciste? Quels sont les designers dont vous allez faire la promotion et ceux que vous allez boycottez? Répondez-moi sur Facebook ou Twitter!
La London Fashion Week est terminée, les collections printemps-été 2014 présentées et les mannequins sont en direction de Milan! Il est temps de faire le bilan!
Daks : 3 apparitions sur 30
House of Holland : 4 apparitions sur 32
David Koma : 0 apparition
Topshop Unique : 6 apparitions sur 37
Mary Katrantzou : 1 sur 27 apparitions
Mulberry : 0 apparition
Matthieu Williamson : 3 apparitions sur 34
Burberry Prorsum : 9 apparitions sur 42
Christopher Kane : 1 apparition sur 52
Tom Ford : 5 apparitions sur 36
Paul Smith 1 apparition sur 30
Vivienne Westwood Red label 2 apparitions sur 23
Vivienne Westwood : 13 apparitions sur 53
Alors, raciste ou pas raciste? Quels sont les designers dont vous allez faire la promotion et ceux que vous allez boycotter ? Répondez-moi sur Facebook ou Twitter !
La Fine Bouchée est un service traiteur offrant de la fine cuisine du monde avec une touche exotique pour différents types d’évènements corporatifs et privés. Nous avons rencontré la fondatrice Pernelle Ntoutoume lors de son évènement « Taste and See» .
Bonjour, Pernelle, peux-tu te présenter pour nos lecteurs ?
Bonjour, je suis Pernelle Ntoutoume et je suis d’origine gabonaise. Je suis au Canada depuis 2003 où je suis venue pour mes études à la base. J’ai étudié à l’Université de Laval où j’ai poursuit un baccalauréat en économie. Ensuite, je suis venue pour un second cycle à Montréal où j’ai fait un second cycle en gestion. À la suite de cela, je souhaitais travailler en gestion financière. J’avais toujours ma passion pour la cuisine, mais je ne m’imaginais pas en faire une activité principale.
Justement quel était le déclic pour passer de la finance à la gastronomie ?
Finalement c’est ma passion pour la gastronomie qui s’est développée depuis tout jeune. J’aimais voir les émissions à la télévision par exemple. Comme j’ai eu de la difficulté à trouver des emplois dans mon domaine et que cela ne me passionnait pas tant que cela, je me suis dit pourquoi ne pas lancer une activité en parallèle. J’ai commencé « La fine bouchée » à temps partiel, je faisais cela les weekends. Principalement des commandes de gâteaux pour anniversaire. J’ai vu l’engouement des gens et j’ai décidé de me lancer à temps plein. Les opportunités de croissance étaient beaucoup plus favorables dans le domaine. Ce qui me retenait c’était la peur, mais tant que l’on ne prend pas de risques on ne peut pas savoir.
Puis « La fine bouchée », cela vient d’où comme nous ?
La fine bouchée c’est pour faire ressortir le côté fin de la cuisine que l’on fait, mais aussi les attentes du client. Parce que bien souvent les clients font leurs fines bouches. Ils veulent quelque chose de vraiment beau et bon. C’est en rapport avec la qualité et la présentation de ce que l’on propose.
Tu es passionnée de cuisine donc toi même tu cuisines ou bien es-tu entourée de bons cuisiniers ?
Non, c’est moi même qui cuisine. Pour tout ce qui est évènement, c’est moi qui cuisine. À long terme, je souhaite avoir une équipe qui le fasse, mais il y’aura toujours ma petite touche.
Tu es seule dans ton entreprise ou tu as une équipe avec toi ?
J’ai une équipe de 5 personnes avec moi. Nous faisons tous types d’évènements corporatifs et privés. Certaines personnes sont là de manière permanente et il y a des bénévoles qui viennent pour aider au service.
Donc ce sont des services offerts aux entreprises pour le 5 à 7 ou leurs conférences ?
Oui c’est pour tout types d’évènements corporatifs et privés. Surtout le privé où tu retrouves les mariages, les showers, les anniversaires et toutes les réceptions qui demandent de la nourriture.
Le plus gros évènement que tu aies fait peut-tu nous en parler ?
Le plus gros évènement corporatif était un souper de Noël que j’avais organisé. Avec près de 250 personnes ! Et le deuxième c’était un mariage en juillet dernier pour 150 personnes. J’ai fait tous les cocktails, les bonbonnières, le bar à bonbon, le gâteau, etc.
Tu es d’origine gabonaise et la nourriture que tu proposes est éclectique ?
Ce que je fais c’est de la fine cuisine du monde. Cela ne provient pas donc pas d’un pays en particulier. Moi ce qui me passionne le plus c’est de faire connaitre la fine cuisine africaine. La fine cuisine africaine est pas très bien vue. C’est souvent très gras et très épicé. Aussi c’est mal présenté dans beaucoup de restaurants à Montréal. Moi j’aimerais faire accepter la cuisine africaine par d’autres cultures. Que ce soit des Québécois ou des Italiens. Lorsqu’ils mangent de notre nourriture, ils doivent comprendre qu’elle est aussi gustative que la cuisine française par exemple.
À « La Fine Bouchée », il y a une grande importance accordée à la présentation et l’image.
Oui beaucoup, car on mange avec les yeux premièrement. Quelque chose de très bon qui n’attire pas le regard ne donne pas envie de manger. Mais une fois que tu as captivé quelqu’un par les yeux il avait envie de goûter. Ensuite le mélange de saveurs fait le reste.
Donc tu t’es dit que tu n’allais pas faire seulement du marketing classique avec un site web, mais bien qu’il te fallait rejoindre le consommateur par des évènements comme « Taste and See ».
Des traiteurs tu en as beaucoup à Montréal. Comme je venais avec un nouveau concept, il fallait faire quelque chose pour capter les gens. Des flyers n’auraient pas suffi. « Taste and See » permet aux gens de se retrouver. Il faut que les gens constatent que c’est de la bonne qualité. Au lieu de faire du porte-à-porte avec mes bouchées, j’ai pensé réunir tout le monde au même endroit.
Donc là c’est le troisième évènement qui a eu lieu jeudi passé au Vétivier. Les deux premiers s’étaient plutôt bien passés ?
En effet les deux premiers étaient vraiment bien ! C’était au BluePrint au centre-ville. Il y avait du monde, mais jamais autant qu’on le souhaite. Mais il y avait du monde quand même et surtout une belle ambiance. Les gens ont aussi beaucoup apprécié le volet promotion musicale. Le concept est nouveau, car venir déguster des bouchées et les évaluer cela ne se fait pas ailleurs.
Ce n’est pas simplement un évènement où l’on mange on évalue aussi la nourriture. Ces informations te servent elles pour déterminer les bouchées que tu vas faire ?
Ce qu’il faut savoir c’est que notre menu n’est pas standard. Nous n’avons pas un nombre de bouchées fixe. Nous allons vraiment avec le besoin du client. Ce qu’on offre doit plaire aux clients. Le fait d’évaluer ce qu’ils ont aimé ou pas permet de modifier le menu.
Pour le volet promotion de l’artiste tu trouves cela important de proposer un cadre convivial pour l’évaluation des plats ?
Je considère que la cuisine est un talent que j’ai reçu de Dieu. Je souhaite mettre en valeur toute personne qui a reçu talent artistique, dans le chant, la danse, la création de bijoux dans tout type de domaine.
Cela fait un an que tu as lancé « La fine Bouchée » parle-nous de tes principales difficultés en tant qu’entrepreneure ?
Les difficultés financières ! Cela demande beaucoup d’investissement au départ surtout pour couvrir tous les frais liés à la publicité. C’est un gros challenge. Le produit peut être de qualité, mais si le client n’est pas en mesure d’avoir l’information. Trouver une bonne stratégie marketing et avoir les fonds nécessaires pour l’exécuter c’est un gros défi.
Comment surmontes-tu ces difficultés ?
Avec les contrats que j’ai. Une bonne partie des fonds qui rentre est consacrée à « Taste and See ». Et aussi des programmes de subventions sur lesquelles on travaille. J’avais la mauvaise manie en tant qu’entrepreneur de tout faire avec mes fonds personnels et je ne recommande pas.
Ce serait un conseil que tu donnerais aux jeunes entrepreneurs ? D’aller explorer d’autres sources de financement ?
Oui tout à fait ! Il faut séparer les finances personnelles et d’entreprises. Il existe des organismes et des subventions qui peuvent vous aider. Il faut aller vers eux pour aller chercher du financement. Ce n’est pas avec votre fond personnel que vous devez faire votre entreprise.
Pour la suite que pouvons-nous te souhaiter ?
Mon objectif c’est d’étendre nos activités et pourquoi ne pas ouvrir une chaine de fast food à travers le Canada ?
Maintenant trois questions pour mieux te connaitre.
1) Trois objets dont tu ne pourrais te passer ?
Ma bible, mon téléphone et mon fouet !
2) Peux-tu nous quelque chose sur le Gabon que la plupart des gens ignorent ?
Le Gabon est un des plus producteurs de pétrole, mais sa richesse provient aussi de sa forêt. C’est cela qui fait la richesse du pays. Je recommande d’y faire un tour pour ses très belles plages et il y fait chaud de janvier à décembre. (rires)
3) Un plat traditionnel dont tu souhaites nous parler ?
Il y en a tellement ! Le plat que l’on appelle les feuilles de manioc par exemple car on mange beaucoup de légumes au Gabon. Aussi je vous recommande la sauce NYEMBWE. Et Il y a aussi le poulet au chocolat !
Au chocolat ?
Attention ce n’est pas le chocolat que tu connais ! C’est à cause de la texture et de la couleur qui rappelle le chocolat. Ce sont des noix pillées et grillées. On fait une sauce avec que l’on appelle le «odika» le chocolat indigène.
Enfin si je te dis Afro Inspiration, tu me réponds ?
Je dis la fine cuisine exotique ! Montrer la richesse culinaire de l’Afrique à travers mon service traiteur « La fine bouchée ».
Le jeu Aurion: l’heritage des Koriodan est le premier opus de type Kiro’o Tales, une nouvelle façon de raconter et de faire jouer les histoires que l’équipe africaine de Kiro’o Games a mise au point.
Le jeu développé depuis quelques années dans un studio de Yaoundé est sur le point de sortir sa première version. Pour en savoir plus, nous avons rencontré Olivier Madiba le fondateur de Kiro’o Games.
Bonjour Olivier, présentez-vous pour nos lecteurs (origines, ville de résidence, études) ?
Bonjour je suis un jeune camerounais de 28 ans, né à Douala, la capitale économique du Cameroun en Afrique Centrale. Je vis actuellement à Yaoundé (notre capitale administrative). Je suis titulaire d’une licence en informatique obtenue à l’Université de Yaoundé 1. Avec mon équipe, nous travaillons actuellement à mettre sur pied le premier studio de création de jeux vidéos d’Afrique Centrale : KIRO’O GAMES.
Sur quels projets as-tu travaillé avant Kiro’o ? Introduit nous plus en détail au groupe Madia qui est à la fois une association et une entreprise.
Au cours des dernières années, j’ai essentiellement travaillé à monter le groupe MADIA. MADIA vient d’un jeu de mot entre « MADIBA » et « MAMIA » qui est la 2ième tête du groupe. MADIA a été fondé par des amis de faculté et moi alors que nous avions 22 ans. Nous avons commencé avec 25 000 FCFA en fin 2007 et nous avons bossé (10h par jour) pendant 2 ans sans salaire en continuant nos études en tant qu’association pour arriver à monter l’entreprise MADIA Sarl en 2009. On vivait alors de l’argent de poche que nos parents nous envoyaient encore comme étudiant.
J’ai donc successivement occupé les postes suivants :
– Secrétaire Général de MADIA Association
– Directeur Général de MADIA ETS (devenue Sarl)
Sinon avant MADIA je gérais mon studio de jeu vidéo amateur où j’étais programmeur, dessinateur (un peu tout en fait), cette pluri-displinarité est ce qui a fait ma force quand il fallait gérer MADIA où pendant un bon bout j’ai géré presque tout les postes en parties. C’est de cette expérience de gestion que je tiens la rigeur et la culture du bien faire que mes collaborateurs et moi partageons tous aujourd’hui.
Je suis aussi écrivain, j’ai écris un livre Jour et Nuit publié à Ifrikya en 2009 qui a gagné un prix. C’était un roman philosophique.
Au cours de ma carrière à MADIA, j’ai pu être consultant de projets internationaux, comme le projet FNRBA en partenariat avec l’AIEA.
Mon parcours est visible sur mon LinkedIN public
Qui sont les personnes composant la structure ?
KIRO’O GAMES est constitué des promoteurs et cadres principaux suivants (avec leur poste et parcours sur LinkedIN)
o MADIBA Olivier (Lead Project/ Gamedesigner/ Scénariste/ Programmeur) o YAKAN Dominique (Expert Illustration et Level Designer) o NONO WOUAFFO Hugues (IA Main concepter) o BASSANGNA Jean Yves (Co-Lead Projet et Ingenieur Son) o MELI Patrick Hervé (Lead Designers) o TONYE DIPENDE Donatien (Stratégie en Marketing et communication) o TCHEKOULONG Delphin (Lead programmer) o PONDY Georges (Lead Artist) o + 18 membres pré-recrutés sur les 22 nécessaires (le reste a déjà passé le casting et sera appelé dès la levée des fonds)
Le studio Kiro’o Games existe-t-il déjà ? Où sont les bureaux ?
Pour le moment nous levons les fonds pour installer le studio physiquement, mais nous avons travaillé dans les locaux de MADIA, il y avait de l’espace et on s’est « serré » quelques temps. Donc on a un pré-studio à Yaoundé. Une fois les fonds nécessaires obtenus, nous installerons le studio dans un local dédié toujours dans la ville de Yaoundé.
Pourquoi as-tu choisi le nom Kiro’o ? Que signifie-t-il ?
Kiro’o vient d’un jeu de mot sur l’expression Kiro’o Maonno en Swaheli qui signifie « Vision Spirituelle » . Comme vous pouvez le deviner sur la symbolique de notre logo, nous visons à créer un éveil intérieur par le jeu vidéo, au-delà de la dose d’action et d’effets spéciaux qui sera aussi beaucoup mise en scène.
La tradition africaine est très orale, du coup elle n’a pas bien pu se transmettre à la « foule » lorsque nous sommes quittés du système de village au système de villes. Nous pensons qu’en puisant dans ce que notre sagesse locale a d’universel, nous pourrons inspirer le monde entier via nos jeux.
Kiro’o c’est pas simplement un nom, mais aussi un « nouveau genre » au même titre que le manga ou le comics qui s’appellerait donc le Kiro’o Tales. Qu’en est-il exactement d’un point de vue narratif, visuel et sonore ?
Je ne vais pas donner toute la recette ici, mais disons que voici les principales pistes :
– Kiro’o narratif : exploiter notre histoire, traditions, nos personnages historiques (bon et mauvais) comme base pour créer des mondes virtuels avec des nouveaux canons psychologiques et de potentiels nouveaux dilemmes et drame à mettre en scène. La méthodologie insistera énormément sur la notion de « travail sur soi » que les personnages doivent véhiculer. Le but du kiro’o narratif, en Afrique est de pallier au manque d’intérêt des jeunes pour la lecture normale.
– Kiro’o visuel : créer un signature graphique et un cannevas de dessins qui soit directement identifiables mais avec un fort potentiel d’exportation. Le but est par exemple de définir les méthodes qui permettront à des créatifs d’inclure la « philosophie » derrière nos frises traditionnelles dans leurs textures.
– Kiro’o sonore : J’invite les lecteurs à suivre cette bande annonce de la vieille version du jeu (on avait pas encore de dessinateurs) pour avoir un aperçu du phénomène : https://www.youtube.com/watch?v=PP5-aA5C_xs
C’est cette méthodologie que nous allons compiler dans un livre appeler Kiro’o Tales qui va décrire les règles de créations d’une œuvre Kiro’o.
On a l’impression que le livre sur le Kiro’o Tales va servir de guide de référence pour votre univers. Est-ce bien cela ?
En fait notre premier jeu servira de projet pilote pour la méthodologie, on a déjà rôdé une partie, mais on va sans doute affiner des points une fois sur le terrain. On veut « offrir » la méthode au monde et aux autres créateurs africains. Il est important de générer une industrie compétitive. On nous a demandé si on a peur de la concurrence. On pense que de bons concurrents vont aux contraire nous stimuler à toujours être meilleur et c’est bon pour l’économie locale et les joueurs.
Ce projet est murement pensé puisque ça fait déjà 10 ans qu’il existe.
Quand tu as commencé y’a 10 ans c’est la que tu t’imaginais aujourd’hui ?
Non, je m’imaginais au mieux être un jour dans une des boîte existantes (Nintendo, Konami, Capcom et surtout Squaresoft) je n’aurais jamais imaginé sérieusement créer un studio au Cameroun il y a 10 ans. Mais comme disent toutes les personnalités à succès : il faut faire le premier pas, et Dieu (et beaucouuuuuup de travail) se chargent du reste.
Alors la particularité du jeu est d’utiliser la mythologie africaine comme trame narrative de tes jeux vidéos. Quelles possibilités t’offre la culture africaine que tu ne trouvais pas dans un autre univers ?
Une énorme diversité d’inspiration. Rien qu’en prenant le Cameroun avec nos 300 ethnies ça fait 300 sources d’inspirations pour des peuples imaginaires virtuels. Au niveau de nos traditions par exemple on s’est amusé à mettre en scène la dot d’Erine (l’héroïne principale du jeu) avec Enzo (le héros). On a bien sûr exagéré les épreuves, mais pour un joueur c’était la première fois qu’ils vivaient une épreuve où il faut convaincre les amis du père de la mariée en allant faire différente épreuves symboliques. De plus, on a ensuite fait un « remix » du culte du Ngondo chez les sawas (le groupe ethnique dont je suis originaire) pour donner toute une profondeur à une épreuve de nage sous-marine.
Au niveau des éléments géographiques aussi, l’agencement de nos cités sera assez inédit. La première citée est construite avec les cases qui sont des versions « fantasmée » de nos cases traditionnelles à l’Ouest du Cameroun.
Même au niveau du scénario, on ne dit pas qu’on va réinventer toute la roue, mais notre position géopolitique (de l’Afrique) nous permet de comprendre tous les enjeux de la race humaine avec une vue centrale. C’est une intéressante source d’inspiration pour présenter certains dilemmes humains avec un axe très innovant pour le monde du jeu vidéo.
Tu affirmes notamment que le genre du jeu vidéo s’essouffle (source vidéo 2). Peux-tu développer ton point ?
Bon la phrase peut paraître lourde, disons qu’il y a quand même une crise d’innovation dans la sphère « principale », les jeux sont devenus coûteux donc il y a une tendance à jouer la carte de la sécurité pour les éditeurs de jeux et des studios. C’est simple les gros studios doivent être rentables et du coup on a tendance à museler le talent des concepteurs en leurs exigeant des clones de ce qui a marché, ce qui hélas suffit justement de plus en plus rarement.
Une autre chose, c’est le « blues des gamers », ça fait 20 ans que nous jouons, on est plus aussi émerveillé devant les jeux qu’avant. Autrefois on avait un jeu pour toute une année (celui qu’on avait mérité à Noël) aujourd’hui vous achetez 3 jeux par semaine. La vie à 100 à l’heure du capitalisme aussi créer un gros vide existentiel intérieur que les gamers ont tendance à vouloir compenser dans leurs univers virtuels, mais ce n’est pas évident, les jeux supposent que vous êtes déjà heureux en venant les jouer. C’est un des axes que le kiro’o va tenter de combler.
Par contre dans la sphère des jeux dit « indépendants » la créativité est là et on voit des jeux très innovants chaque jour.
Le Paris cheap et crade de Tonton Jabar # 1 : Le Vieux Belleville
Vae victis
Planqué entre deux ruelles salement crades où les bobos du quartier viennent d’ordinaire faire leur affaire, le Vieux Belleville a fleuri on ne sait comment dans les 90’s, et demeure aujourd’hui un incontournable des « bars à ritournelles ». Jouissant d’une déco vintage qui ravira les nostalgiques de la vieille époque, l’établissement n’ouvre ses portes qu’aux plus méritants, ceux qui passeront outre une faune interlope clopant cyniquement devant l’entrée. Car oui, la moyenne d’âge est plutôt élevée en ces lieux, mais la mentalité reste ô combien jeune, juvénile même.
On peut y manger un morceau ou s’enfiler des ricards au comptoir, tout le monde est le bienvenu pour participer à la fête tant que le sourire est de la partie. Mais le gros plusse du lieu ce sont quand même les concerts rétro de Riton La Manivelle et de Minelle, sortes d’artistes complètement fêlés qui distribuent les paroles de chansons anar ou variétés (mais genre années 60 grand max) pour que tout le monde puisse gueuler en chœur. Ainsi, le samedi soir au Belleville c’est une ambiance terrible avec gros brouhahas, touristes qui se demandent ce qu’ils foutent là et des bandes de potes ronds comme des tonneaux qui massacrent Piaf en se tenant par les épaules. Par ailleurs, il est très aisé d’apostropher les gens dans le resto, la population y est généralement très open, et n’aura aucun mal à rentrer dans vos délires. En fait, tout le monde parle avec tout le monde, et il est prié de laisser ses appréhensions devant l’entrée pour embrasser la joie. En sus, il est d’ailleurs recommandé d’être très con avec son monde et parfois odieux, tant que ça reste drôle et communicatif.
Bella ciao ciao ciao…
Le gros truc bien funky, c’est qu’aucune soirée ne ressemble à une autre, en passant dans le coin on pourra voir de jeunes éphèbes déclamer à genoux des poèmes pour leur future mariée, assister à des récitals dans la langue de Dante, y croiser des cougars québécoises draguant outrageusement de jeunes pédérastes ou des burkinabés exhibitionnistes fans de Céline Dion. En été, on préférera se retrouver en terrasse à enchainer les joutes troisième reich avec les jeunes du quartier ou bien en hiver se caler au chaud pour insulter ouvertement (mais légitimement) les troupeaux de hispters de passage.
Et pour les plus sensibles, à vingt mètres de là, le chaland pourra tomber sur le promontoire surplombant le parc de Belleville avec sa vue exceptionnelle sur la Ville-lumière. Un véritable ravissement visuel pour le cœur qui bat en chacun de nous, un cadre absolument fou et enchanteur mais surtout …… quand on voit la gueule du tiékar.
Tu quoque mi fili
Malgré la concurrence de la Mer à boire qui fait l’angle, le Vieux Belleville demeure une référence du quartier, un lieu de bonne humeur, fantaisiste et unique à Paris. Un brin ringard mais tellement authentique, véritable remède à la grisaille hivernale, et idéal pour choper (si avec le romantisme du lieu et la vue sur Paname, t’as pas réussi à serrer, c’est que t’es vraiment un gros gland !).
LE crade : 1.0/5 (Malheureusement, les waters sont propres et les nappes repassées, avec un peu de chance le zinc collera un peu sous le coude)
LE hype : 0,5/5 (Bah non quoi, moyenne d’âge = 50 ans)
Le Vieux Belleville
12 Rue des Envierges 75020 Paris
M : Pyrénées
Ouvert tous les jours sauf le dimanche.
Soirées musicales les jeudi, vendredi et samedi de 20h à 2h
3€ le demi.
15€ la bouteille de piquette
Qui dit nouvelle saison dit nouveaux produits! Zoom sur les nouveautés Clarins…
Pour hydrater ma peau je porte…
La Crème Désaltérante Multi-Hydratante (50 ml, 49,50$)
Au cœur de ce soin multi-hydratant, l’acide hyaluronique et l’extrait d’écorce de katafray agissent en continue pour maintenir l’hydratation de la peau. Pour l’éclat du teint, les extraits de bourgeons de sorbier stimulent la micro-circulation.
Pour avoir utilisée une lotion hydratante tout l’été, je n’étais pas prête à me remettre aux crèmes pour l’automne à cause de leur texture plus épaisse. Cependant, j’ai eu une bonne surprise en ouvrant le pot de Crème Désaltérante car elle est soyeuse à l’application et grâce à sa légèreté elle est rapidement absorbée par la peau.
Mode d’emploi: Appliquer en faible quantité matin et soir sur une peau propre et sèche en massant légèrement.
Le Baume Lèvres Réparateur (15 ml, 25$)
Enrichi à la cire essentielle de rose et au beurre de karité, ce baume est l’allié idéal pour réparer les premières gerçures de l’automne et hydrater les lèvres.
Mode d’emploi: Appliquer sur des lèvres propres et sèches quelque soit le moment de la journée.
Pour ma part, j’applique une petite quantité du baume sur mes lèvres une quinzaine de minute avant de mettre mon rouge à lèvres pour les nourrir au maximum.
Pour le maquillage je porte…
La palette Ombre Minérale 4 Couleurs (11 forest, 42$)
Pour l’automne, on opte pour la palette Ombre Minérale 4 couleurs 11 forest composée de kaki, bronze intense, taupe satiné et or pâle pour créer des looks de jour et de nuit à volonté.
On aime: la richesse des couleurs.
Le 3-Dot Liner (01 Black, 28$)
Le 3-Dot Liner est un traceur à 3 pointes pour un résultat sans faute! Il est enrichi du Be Long Lash Complex pour favoriser la croissance des cils.
On aime: les 3 pointes pour un tracé sans dégât.
Le Crayon Khôl (03 Midnight Blue, 26$)
Le Crayon khôl multi-facette s’applique de façon classique à l’intérieur ou en contour de l’œil et même en dégradé sur la paupière grâce à son pinceau applicateur.
On aime: la douceur du crayon qui glisse facilement et la pigmentation de la couleur.
Le Be Long Mascara (01 Be Long Noir, 27$)
Grâce à sa brosse légèrement inclinée, le Be Long Mascara allonge et courbe vos cils sans faire de paquets et sans les durcir. Composé du Be Long Lash Complex, les deux ingrédients actifs sont le Matrikine pour favoriser la croissance du cil et le Panthenol pour aider le cil à se fortifier.
On aime: la simplicité d’utilisation.
Le Joli Rouge (736 pink camelia, 27$)
Je suis particulièrement fan du Joli Rouge longue tenue et hydratation qui répond très bien au besoin de la saison. Il contient du beurre de mangue riche en acide gras qui répare, nourrit et protège les lèvres de la déshydratation.
Soccer Sans Frontières Ep. 71: Espace Soccer & Impact de Montréal
La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ.FM pour votre rendez-vous hebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus. Sydney est aux commandes pour gérer les ardeurs de Reginald Joseph, Sofiane Benzaza, Julien et notre invité de la soirée, Benoit Lavoie du site Espace-Soccer.com.
Les #DebatSSF commencent des le début de l’émission avec des sujets chauds incluant
On parle de Culture Foot, Culture Soccer avec Benoit Lavoie de Espace Soccer qui partage sa passion du ballon au Lac Saint-Jean . Allez les visiter sur Espace-Soccer.com
Soccer Sans Frontières Ep. 70: Édition UEFA CL & Impact de Montréal
La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ.FM pour votre rendez-vous hebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus. Sydney est aux commandes pour gérer les ardeurs de Reginald Joseph, Sofiane Benzaza, Julien et notre invité de la soirée, Marvin
Les #DebatSSF commencent des le début de l’émission avec des sujets chauds incluant
NOTA BENE: Des problèmes techniques ont fait que l’emission commence plus tard que d’habitude, donc svp aller directement a la minute 5:30 sur iTunes, Soundcloud et Stitcher.
Henrying ou quand Thierry Henry célèbre un but à la Titi !
El Rey TiTi
Apres avoir marqué le but le plus facile de sa carrière, contre le Toronto FC, il fait le buzz. Durant son temps à Arsenal, Thierry Henry n’était pas le joueur qui célébrait ces buts calmement et de façon posé. Et le voila en MLS en train de célébrer like he doesn’t care.
Thierry Henry trend sur Twitter et car sa fameuse attitude a déjà fait des bébés. On voit Thierry Henry dans différentes situations avec cette fameuse pose. On remercie la créativité des interwebs, des internets et des webbistes du monde en entier.
Le Cercle des Jeunes Philanthropes du Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) a fêté ses 1 an lors du D-Vernissage de l’exposition Chihuly.
C’est en septembre 2012 que le Cercle des Jeunes Philanthropes (CJP) a vu le jour afin de faire rayonner l’art auprès des jeunes professionnels de 25 à 45 ans par le biais d’événements décalés et exclusifs au MBAM.
Les activités de D-vernissages sont organisés en fin d’exposition dans un cadre intimiste favorisant le réseautage entre les participants. Au programme : art, échange et gastronomie.
Au cours du D-Vernissage Chihuly, nous étions invités à découvrir et admirer en privé les oeuvres monumentales et féériques de l’artiste verrier de réputation internationale Dave Chihuly, tout en côtoyant d’autres professionnels au cours d’une soirée unique de réseautage forte en émotions.
Le jeu des formes, des lumières et des reflets nous transportent dans un univers enchanté!
Le clou final de la soirée fut la création en direct d’une oeuvre d’art avec…des aliments. Un véritable exercice d’improvisation culinaire s’est exécuté sous les yeux ébahis des invités! Quelques acrobaties (et éclaboussures) plus tard, le résultat fut époustouflant (et délicieux). La preuve en image…
L’Opéra de Montréal débute la saison 2013-2014 aux couleurs de Bollywood avec la pièce Lakmé du compositeur français Léo Delibes.
L’effervescence était palpable dans l’assemblée lors de la première représentation de Lakmé le samedi 21 septembre à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Nous avions tous hâte de nous plonger au coeur de cette histoire d’amour interdite.
Lakmé est un opéra de trois actes qui fut présenté la première fois à l’Opéra-Comique de Paris, le 14 avril 1883. L’histoire se déroule en Inde, au temps de la colonisation.
Dans le premier acte, le spectateur fait la connaissance des différents protagonistes, dont Lakmé, jouée par la talentueuse Audrey Luna, jeune fille si pure qu’elle est surnommée “fille des Dieux”, le soldat britannique Gérard, joué par John Tessier, dont Lakmé tombera éperdument amoureuse, et le brahame, père de Lakmé, Nilakantha, joué par Burak Bigili, qui condamnera cet amour.
Au détour d’une promenade, Gérard pénètre sans y être invité dans le temple sacré du brahame Nilakantha et marque ainsi un grave acte de profanation. Lorsque le père de Lakmé s’aperçoit de cela, il promet de venger cet affront! Gérard doit payer de sa vie.
Dans le second acte, le brahame Nilakantha met en place un stratagème afin d’exécuter sa vengeance, et ceci, malgré les protestations de sa fille, qui ne veut pas voir son père tuer l’homme qu’elle aime. Malgré la peine que cela causera à sa fille, Nilakantha met son plan en action.
Dans le dernier acte, Lakmé veille sur son bien-aimé, et veut sceller à tout jamais leur union. Hélas, l’appel du devoir retentit et le soldat se voit tiraillé entre l’amour et la patrie. Face à cela, Lakmé commettra l’irréparable.
La beauté des décors et des costumes transporte le spectateur dans un monde exotique et rempli d’émotions.
Lakmé, Opéra de Montréal, 21, 24, 26 et 28 septembre, 19h30, salle Wilfrid-Pelletier.
Petit Eloge de la rupture sentimentale : Le printemps.
A Gilles Deleuze qui a dit « qu’à l’heure actuelle, n’importe qui ayant vécu une histoire d’amour un tant soit peu intense pense que ça suffit pour se prétendre écrivain », je lui réponds : je t’emmerde !
Comme sur des nénuphars…
Vraisemblablement, tu ne t’y attendais pas, tu te baladais tranquillement et elle t’a attaqué par derrière (l’amour est un peu pute, voilà son leitmotiv). Comme tout bon parisien qui se respecte, tu t’es retourné et as affiché un air circonspect de circonstance, celui de l’autochtone dubitatif, une mine inhospitalière bien de chez nous… Car les surprises, tu n’aimes pas ça, elles sont généralement déplaisantes. Malgré les mésanges qui s’époumonaient et la rosée perlant des rameaux, tu as préféré rester sur tes gardes. Sage décision, les fausses joies, ça te connaît, et ce n’est pas parce que le vin est tiré que tu vas forcément rouler sous la table, et puis cet oiseau étrange qui chante alors qu’il n’y a que des pigeons à Paname, c’est quand même suspect, non ?
La réalité c’est que tu flippais grave. Tu avais la pétoche d’encore y croire, d’être vulnérable en relation, de laisser ton cœur à découvert de peur qu’une autre harpie ne s’en empare et ne le mange encore sur la place du marché (Prométhée est un lointain cousin). Surtout ne pas se laisser griser, et se faire rouler dans la farine une énième fois. Alors judicieusement, tu as tout de suite mis les points sur i en lui expliquant que dès lors vous marcheriez côte à côte, vos longueurs de pas ne seraient pas les mêmes, elle serait obligée de t’attendre du coup, mais c’était tes conditions : chacun avance à son rythme. Des exigences… plutôt des excuses de gros lâche en somme ! Mais si t’as quand même décidé d’être avec elle, c’est qu’au fond, tu y croyais quand même un peu, et le cœur lui, ne s’y trompe jamais.
Circonvolutions dilatoires
Au début, tu ne ressentais pas grand-chose, c’est normal, les antalgiques dont tu te gavais pour taire tes douleurs faisaient encore effet, et tu tenais ferme la bride à ton émoi pour que la transition glisse tranquillement, comme une croisière sur un nuage magique. Ça a tellement bien marché que le changement de statut, tu ne l’as même pas ressenti, pauvre de toi ! Célibataire ou casé, il y a un océan entre ces deux continents. Les derniers relents de l’hiver se faisaient encore sentir. Mais bon, tu avais sans doute une bonne excuse.
Tu as fait l’autruche, et fermé les yeux car il est plus aisé de ne pas se poser les bonnes questions et de continuer à suivre le train de la vie sur les rails de la routine.
Puis peu à peu ces petites choses auxquelles tu n’as pas fait gaffe – ces caresses maternelles, ces regards affectueux, ce petit rire agaçant, ces baisers passionnés, cette écoute attentive, ces sourires faits de miel, cette attention constante et bienveillante, tous ces efforts qu’elle fait rien que pour ta petite personne – te sautent à la gueule. Tu te prends au jeu, et parfois tu t’étonnes de ressentir des émotions aussi fortes : c’est le cœur qui vomit sa joie, les entrailles qui s’entortillent, un âtre s’enflammant dans ta poitrine, des globes oculaires qui pataugent dans une mare de joie (meuh non, j’sue des yeux). Dans un bouge kosovar, ou sous la lueur d’un réverbère, le frêle esquif de ton cœur a chaviré, Robinson de l’asphalte tu as fait naufrage à Cythère , et le chant de la mésange a eu raison de toi. Et c’est un empire romain qui s’est effondré sous tes yeux, à la faveur d’une cité andalouse, plus étincelante et captivante que tous les délices de Capoue.
“Robinson de l’asphalte tu as fait naufrage à Cythère”
L’envolée primesautière
Ta vie ressemble à une rainbow road (pour les fans de mario kart) : un geyser d’émotion et de couleurs qui, à toute vitesse ne t’offre aucun recul possible. Chaque jour est meilleur que le précédent, tu es sans cesse ému et tu ne réalises toujours pas ce qui t’arrive. Tu magnifies tous les éléments qui t’entourent, même les étrons de la rue Quincampoix ne te font plus pester lorsque tu glisses dessus. Et chaque jour t’en apprend d’avantage sur la personne que tu es, celle que tu souhaites devenir, tes rêves les plus fous et ceux de ta tendre. Tu ressens le besoin de la découvrir à chaque nouvelle aurore : c’est la moisson d’une are de volupté qui ne semble ne jamais prendre fin, la Noël à chaque matin ! Fier, tu as enfilé le maillot à pois de grimpeur de son mont de Vénus.
Tu commences à t’intéresser à tout ce qui a un rapport à elle : certains mots-clés résonnent dans ton esprit, et des éléments extérieurs attirent de surcroît ton attention, tu fais tout un tas d’associations débiles (des chaussettes fourrées = un après-midi magique au zoo, une boite de rollmops = un cinq à sept dans sa bagnole, etc…) comme on laisse mariner les beaux souvenirs dans le court-bouillon de la nostalgie.
“Ta vie ressemble à une rainbow road”
En somme, tu deviens con, super con même.
Ton mode de vie change aussi, tu as arrêté de penser solo, et tu l’embarques dans la gondole de ton alcôve. Cibler ses préférences, s’intéresser à son métier, apprendre une langue étrangère, discuter avec ses copines, l’écouter d’avantage. Rien n’est trop beau pour elle, tu prends du plaisir à lui en donner parce que son sourire merveilleux diffracte à l’infini dans ton petit cœur d’amadou… Son existence s’enroule et se lie à la tienne à renfort de cordage insécable (Vénus à sa proie attachée, toussa…). Et putain, ces frissons qui s’emparent inexplicablement de toi quand tu la serres fort contre ton torse, te voilà devenu un épicurien des sentiments, parkinsonien de surcroit.
Tu as l’impression de trimballer un porte-bébé dorsal avec à son bord un chérubin ailé qui te poignarde sauvagement de sa flèche comme un Hun, et tu aimes ça, cette douleur qui te brûle la poitrine. Tu te sens vivant.
Désormais, le bonheur c’est le temps qui s’arrête à elle : le souhait de la contempler endormie à l’ombre d’un peuplier millénaire, le ciel dardant ses doux rayons sur l’aube fraiche, témoin consciencieux d’un soir plein d’amour.
Eclectic Goodies is a party favors and gifts packaging company. They provide personalized, products and services tailored to meet your taste. We have the chance to sit and meet with the founder Nike Campbell-Fatoki.
Hello Nike, introduce yourself to our readers.
I’m Nike Campbell-Fatoki from Lagos, Nigeria now residing in the Washington DC area, USA. I am a Budget and Finance manager, a published author of Thread of Gold Beads and founder and creative director of Eclectic Goodies. I am also a wife and mother of three boys.
Why did you choose this name “Eclectic Goodies”?
I was looking for a word that would best describe who I am and my company. I’m inspired by ideas, styles and tastes from diverse sources. The word Eclectic encompassed that. Now Goodies is just another word for my favorite things/gifts. The two words clicked when I put Eclectic Goodies together.
How did you start Eclectic Goodies?
Starting Eclectic Goodies was a process. I noticed that when I attended events, guests were not receiving gifts that spoke to the occasion and/or appreciation of the guests. Guests take time out of their busy schedule to attend events and they should be appreciated. By giving away favors that have a uniqueness to them, it shows the thoughtfulness on the part of the host in appreciating guests. I wanted to bring that to life.
I began helping friends and family with ideas on favors years ago. I derived pleasure from coming up with ideas that really came to life. I decided to start the company when I realized my passion waxed stronger.
I started Eclectic Goodies by developing a vision of what I wanted. It would be a company that provided a unique selection of favors and gifts. The sole goal of this company is to satisfy the needs of customers, make their occasions stand out from the ordinary by bringing the unique, personalized touch to their favors. I set my favors apart by asking specific questions about the occasion, the celebrant and the atmosphere my clients wanted . Eclectic Goodies goes the extra mile in ensuring that favors are the talk of the party.
When did you start to put it in place?
In the Spring of 2011. I determined how much I needed to start the business, my target markets and also developed a long-term plan. I realize that personalized favors would someday be a saturated market. To survive, Eclectic Goodies, like anything else in life has to evolve. My love for home interior decoration has always been there. I love decorating my home. I decided to explore the market. I designed my debut fall collection of The home interior accessories which will be introduced October 5, 2013.
There’s a lot of available products already! What are your inspirations and your influences in general ?
Thank you. My inspiration is the happiness and satisfaction of clients. My greatest influence is my mother. She is the epitome of dignity and grace when it comes to entertaining guests. She is also the neatest person I know. She takes care of making the minute details of any space, gift and even preparation of food stand out. I watched all this growing up and took note.
How do you maintain this inspiration?
I call my mom! But seriously, I do ask her for advice on all a lot things. I also maintain my inspiration by seeing what’s out there in the market and talking with people to find out what their needs are. I pray and always try and keep things in perspective.
How do you get from the design to finished product?
I draw my designs on paper. I’m not the best artist, but I’ve always enjoyed drawing. My ideas have to be practical in terms of sewing, so I show my designs to the tailor I work with and discuss the best dimensions, and the best materials to use. A sample is created and inspected before mass sewing is done.
Your latest collection will be African-inspired. Where do your fabrics (e.g Ankara) come from ? Talk a little bit about some materials that you’ll work with?
Ankara is found in Western Africa. I come from Nigeria and ankara is one of the most widely used materials. It’s really abstract designs in any color imaginable in cotton material. I’m working on several other material types which will represent the entirety of the African continent.
Why is it important to celebrate African culture through fashion or design?
Fashion and design are a way of life. When we infuse African culture and art into our way of life, we celebrate ourselves. If we don’t celebrate ourselves, who will?
You create objects but this is not your only activities, walk us through a typical entrepreneurial day for you.
I follow up on inquiries about my services for those planning events, send out quotations and work on more designs for the home décor line. However, not one day is exactly like the next. That’s the fun thing about it.
What do you like the most about your job?
I like the creative and business aspects of the job. I’m in a unique position where I actually like working with numbers, which I realize creative people don’t like to do, but must to stay in business.
What advice could you give to young entrepreneur in your field ?
I have a new saying which I just created specifically for the Eclectic Goodies Home Décor line. “Style is a state of mind…create yours.” There are no limitations to creativity. Nothing is really out of bounds. You need to stretch yourself and design something that will set you apart.
Through your initiative you seek to empower young African women, how so ?
The African woman is very dear to my heart. The sad part of it is that many African women don’t know their worth. We are talented, beautiful, creative, resourceful, need I go on? We are Queens. I seek to empower particularly the young African women because they are at the stage where they can still be taught to be self-reliant, building on their own skills and talents and being able to stand on their own two feet. It’s a good time to teach them that they don’t need to rely on anyone to make it. I presently work with a young lady who is a skilled tailor, starting out her new tailoring outfit. She is very talented, but unless people hear about and see her work, how would she be acknowledged and better yet, financially rewarded? That is my goal, to empower the young African woman. Once she’s empowered, there’s no stopping her. Her children will be cared for, and educated, positively affecting generations of Africans to come.
What is next? Projects, challenges what you planned for 2014?
I am excited about what the future holds. I am exploring the use of African fabric in areas that have never been thought of before. There will be a Spring collection of home décor coming out soon and I look forward to unveiling it.
Now, three questions to know you better
1 – What is your favorite home decoration website
I don’t have a favorite website. Remember I said I had very eclectic tastes. I do enjoy visiting Homegoods, Kirklands, Pier 1 to name a few.
2 – Is there any country in Africa that you have not visited and you would go see?
I would love to visit South Africa, Kenya, Ghana, Sierra Leone to name a few. They are too many to name. Africa is vast and rich in cultures, I would love to spend time in many of the countries and soak it all in.
3 – Just give us three items that you could not live without?
Toothpaste, soap, face towel.
That’s 3 useful items indeed (Laughs). Last question, If I Say “Afro Inspiration” What comes to your mind?
Westgate Mall in Nairobi, Kenya : There will be No Regrets
Dear You,
This really shouldn’t be how I address you, but you have left me no choice. One might wonder why am even bothering to write this – I have to convince myself that in some cosmic way you will hear my cry as i throw this into the universe.
You were so brutally taken away from us that I never got a chance to make amends. I never got the chance to thank you for your unconditional support and caring nature, I never got the chance to tell you how grateful I was, but more importantly, I never got the chance to tell you how much I cared for and appreciated you as a friend.
I let life take over and come between us. I did not play my part in the friendship to nurse the ship that was slowly sinking. I just always assumed you would always be there. That some day we would sit and talk about it, that we would laugh over the pettiness (or was it neglect?) that kept us away all these years. And, that like back then when we were who we were, it would be water under the bridge after a good screaming match, a Busta Rhymes rhythm and a quick shot of something strong.
But even more so my dear friend, I regret not watching you grow. Not being part of the next big moments of your life (when I was there during the transition) – your career advanements, your upcoming wedding, your desire to have a family. I truly and deeply regret it, but I am also comforted in knowing that you found your peace and your way. Our conversations now resonate, and if I could do things differently, I would be there (even if in the shadows) every step of the way, watching you realise the every single dream we so often spoke about.
In your passing, you set an example. And generations will talk about you for years to come; and that to me will always be a bitter sweet reminder of what I missed out on, but also of who you had grown to be. A great individual, filled with ambition and passion, who knew true love (and died for and with that love). More so, this will be a constant reminder to me to always nurse those “relationships” I cherish, and not find myself at crossroads of “what ifs” – because we always said, “no regrets”. The time to love is now and not tomorrow.
I may never be able to say these words to you physically, but know this: I cared, I care. Am sorry. And I will miss you. So in honour of you, there will be NO REGRETS, simply a “see you later”, and at that time, I give you full permission to scold me and then we can patch things up.
I will celebrate your life, share your story & keep your memory alive, till we meet again.
If you are a regular reader of the literary blog Under the Neem Tree, then you already know that I am hopeless romantic. I confess! That is why I have a full section of harlequin-style book on my bookshelf.
I was particularly excited when I saw the trailer of this book. The author describes the genre as a christian fiction novel. I admit when I first heard the expression I was seriously wondering what it exactly means?
About the author
Unoma Nwankwor was born in Akron, Ohio to Nigerian parents. She spent her childhood and early adulthood years in Port-Harcourt, Nigeria. Unoma holds a Bachelor of Science degree in Finance & Banking and a Masters of Business Administration degree in Global Management. Her career is business but her talent and gift is in writing. She is a lover of all things books. Her inspiring blog post have earned her rave reviews, she also writes short stories and articles for magazines. She also loves, travelling, watching movies, listening to music and family time. An Unexpected Blessing is her debut novel. She presently resides in Atlanta, GA with her husband and two kids.
About the book
A woman with a scheme…
A scorned man with a past…….
A budding romance threatened by secrets…..
Personal banker, Feranmi Adewunmi is has done well for herself in diaspora by any standards. The only problem was that she’s single. By her parent’s calculations, she should be married by now and they have the perfect man in mind. However she is determined to beat them at their own game. All she needs is a man.
CEO of Montgomery Construction, Alex Montgomery was back in Atlanta. His main focus is to rebuild what was left of his business after an unfortunate incident in Chicago changed his life forever. A chance meeting with Feranmi turned that plan upside down. The pain she caused him in school was still fresh in his mind but so were the feelings that never died. Now she needed a favor.
For Feranmi time was running out. Her parents would be visiting soon and she still hadn’t found the perfect Nigerian man. Alex would just have to do, after all how hard could it be? What they weren’t prepared for was an attraction they couldn’t ignore. Will they lean on the Lord for guidance or insist on being in control? Will his guarded dark past confirm her fears? Or will love prevail the second time around?
An Unexpected Blessing is a story of love, forgiveness, and being open to God’s plan in your life. The best blessings often come in unexpected packages.
Facts on why I like this book so much:
Fact#1: It is a christian Fiction but It was not packed with citations from the bible or long and boring sermon. Thank God for that! Citations are indeed used but it was done skillfully and smoothly. They effectively form a part of the storyline and could not be dissociated, which is great.
Fact#2: I really love the way the African-American were portrayed in this book. It was really refreshing. There were no unnecessary drama as it is always the case with black American. Just by watching TV, you get this impression that they are all the same crazy people. Thank God for book like this who reminds us that normal people do exists.
Fact#3: I really identified with Feranmi character. For us African women living outside of our home country, “finding a husband” is indeed a very distressful endeavour. We have so many restrictions. And it’s not like, you could tell your parents to leave you alone and get a life, can you? As Feranmi friends Ini asked several times: Are you afraid of you parents? Can’t you just tell them to back off? Well, I wouldn’t call it fear exactly, but then again, I can’t really explain it either. Even, I always joked about having to build an algorithm to help me find a husband. So I felt for her.
Fact#4: I love the wedding of Kayla and his Ghanaian Fiancé Koffi. It was really great to see two people from different african countries come together. It is not something you see everyday (well, I for one haven’t seen many of these weddings).
Fact#5: My favourite character is…Alex of course. Who else? I wish all men were just like him. He came across as such a loving and caring person. He was absolutely my type of man but then again, every woman who read this book would say the same thing. Because he is the type of man you probably want to associated with.
Fact#6: The story! oh my! why did I wait point 6 to mention it. It was just incredible and so close to reality. I mean the whole i-dont-want-to-get-married-to-a-non-african-man thing was so different to the kind of love story I am used to read. That it blew my mind, literally. I adore it really. Especially when we know that there were a very fine Nigerian man around. When you throw in the parents pressure, you got a very african story. I liked it. ok, enough said!
Fact#7: Since this is a christian Fiction novel, the story was not oversexuliazed. I mean the biggest thing that happen was a kiss, which is fine by me. At the risk of sounding like a broken record, it was refreshing. Some people still do things the regular way.
Honestly I could go on and on about things I have liked, but I will let you read the book. I can’t really think of something that I didn’t like about this novel. There is a love story, an intrigue, a wedding and very gorgeous black men. By the way, Atlanta seems to be a very nice place. I would love to visit one day.
Notre première édition d’AfroParisian Network sera sur le thème de la notion d’« Afro-Parisien » elle-même, parce que comme en tout bon début il y a des doutes et des incertitudes, il y a de la curiosité et de l’enthousiasme. Donc que représente vraiment Afro-Parisien ? Évidemment des intérêts et perspectives identitaires et des valeurs culturelles sont en jeu ; l’Afrique comme état d’esprit et Paris comme base. Mais quand on juxtapose l’Afrique et Paris, qu’imagine-t-on vraiment ? Sur quelles racines se construisent ces images imaginées ? Quelle philosophie ? Quelle identité ?
Certains limiteraient probablement le concept à la diaspora africaine vivant à Paris. Nous pouvons cependant le représenter comme un mélange triangulaire de Peuples || Créativité || Esprit.
Peuples = originaires du continent, Parisiens d’origine africaine, ou simplement parisiens liés ou ouverts à une esthétique et une réalité africaine ancienne ou contemporaine.
Créativité = englobant différents types d’expression artistique ou d’efforts créatifs, de la musique à la parole, en passant par les contes, le cinéma, la mode, la danse, la lecture de livres, la capoeira, ou présentant d’autres idées créatives.
Et puis l’esprit africain = pour boucler la boucle, cet état d’esprit qui incarne les valeurs humanistes de partage, d’harmonie, de liberté d’esprit, d’ouverture, d’audace, d’inspiration, de respect, entre autres.
C’est avant tout un cri du cœur, afin que nous participions tous à la définition d’une nouvelle démocratie, dans laquelle nous sommes collectivement impliqués. Dans une nouvelle définition de l’expérience d’être dans le présent, ici et maintenant, avec toutes ses complexités. L’espace que nous espérons créer avec AfroParisian Network peut être imaginé comme une cuisine, où nous sommes tous invités à cuisiner, par passion, et ainsi tuer la faim. La cuisine est généralement liée à la nécessité et souvent l’urgence, mais réussir dans cet exercice est une question de chance. La cuisine en soi est une action née de la volonté d’un désir, le désir soit d’assouvir notre propre faim, soit de répondre à la faim de ceux qui nous entourent.
Nous sommes ici une minorité faible et affamée, ensemble impliquée dans ce que les gens de pouvoir pourraient considérer comme une conspiration, mais le mot conspiration a pour racines con+spirare, c’est-à-dire «respirer ensemble.» Nous avons choisi les Arts, la créativité et le dialogue comme boussole, parce que l’art et la création parlent la langue du partage et de la communauté, donc nous ne sommes pas opposés aux idéaux communautaires en tant que tels. Cependant, contrairement à l’idée dangereuse d’une communauté – qui se développe sur la notion de commun, d’un groupe d’individus unis et identiques, qui par ressemblance ou amour éternel, des uns envers les autres s’engage à rester ensemble dans ce qu’il y a de bon et ce qu’il y a de mauvais – nous choisissons plus précisément la notion de société. La société préfère la juxtaposition, la pluralité, les êtres non identiques, mais qui partagent collectivement un espace en tant que compagnons et parties prenantes, et qui ont la capacité de médiation et de se déplacer librement entre les différences, pour enfin dépasser la peur ultime de l’autre ; de l’inconnu.
Plutôt qu’un espace de réseautage, AfroParisian Network est un réseau. Nous ne sommes pas ici pour voir des œuvres achevées par des êtres confirmés, mais pour voir des intentions sincères et une volonté désintéressée de tendre la main et de s’ouvrir aux autres.
Ainsi AfroParisian Network – à l’instar de cette introduction et première provocation – donne déjà une indication d’un mécanisme complexe, fait d’histoire(s), de cultures, d’événements passés et de négociations en cours, mais plus que tout paradigme connu, cet espace n’est dédié ni au fond des choses ni au premier plan. Il constitue le plan du milieu, ces espaces entre-deux, ces carrefours, l’espace du dialogue, l’espace de l’incertitude, où les choses sont peu spectaculaires et manquent d’éclat. Au lieu d’accrocher et de figer l’illusion de posséder une vérité éternelle, nous pensons ici que la vérité est plurielle et ne peut pas et ne se réduira jamais à une seule formulation formelle.
Avec les salutations d’Akwaaba, nous vous souhaitons à tous la bienvenue et nous vous invitons à participer à cette nouvelle démocratie, cette cuisine, cette formulation de vérités, en ce début, dans ce réseau d’êtres extraordinaires et peu spectaculaires.
Ce texte a été rédigé par Qudus Onikeku.
Bio de Qudus : Directeur artistique/chorégraphe/danseur. Qudus Onikeku est le fondateur de AfroParisian un évènement mensuel qui explore l’interaction esthétique entre les cultures Noire et Parisienne, créant un réseau de gens créatifs et inspirés.
Site web : http://www.qudusonikeku.com/
Twitter : https://twitter.com/afroparisian
Facebook : https://www.facebook.com/afroparisian
Au cas où vous ne seriez pas au courant, le Montreal Black Film Festival a débuté le 18 septembre dernier. Il vous reste encore beaucoup de temps pour aller y faire un tour, puisque le festival va se terminer le 29 septembre prochain.
Avec une programmation de plus de 50 films sur une dizaine de jours, le choix d’un film peut rapidement devenir un problème très complexe. Pas de Panique ! Je suis là et je vais donc me permettre de vous faire quelques suggestions de films. Je vous rappelle que la programmation complète du Festival est disponible sur leur site internet : http://montrealblackfilm.com.
Cette année, le Montreal Black Film Festival met Haiti a l’honneur. Pour les intéressés, suivez ce lien pour connaitre la programmation haïtienne: http://montrealblackfilm.com/index.phpoption=com_programmation&task=haiti&Itemid=65&lang=fr
Did you know that some Nollywood superstar actors did grab the mic at one point in their career?
If Hollywood and Bollywood are any references, acting and singing have a very positive correlation. Just take look at Justin Timberlake, Fifty Cent, Miley Cirrus, Béyonce to name a few.
Who are they? Check out my list below. I didn’t include actors who were featured in a song or two.
As I was saying, Genevieve Nnaji is most definitely the poster child of Nollywood, but did you know that she launched an album back in 2004. She was signed to EKB Records, a Ghanaian label and released her debut album One Logologo Line a mix of R&B, Hip-Hop and Urban music.
Check out one of her video here: http://www.youtube.com/watch?v=2zmeYqMAQqE
Omotola Jekeinde
Omosexy reign as the Queen of Nollywood was confirmed by her recent recognition as an Icon by Time Magazine. Indeed, she was named amongst the 100 most influential people in the world. But did you know that, she too did grab the mic at one point in her career. Back in 2005, she launched her debut album, titled, GBA. Then, she launched her sophomore album, Me, Myself, and Eyes brought in production by Paul Play and Del B. In late 2012, Omotola also began working on her third album. She even went to Atlanta to work with some prominent producers and songwriters, who could help create a sound that would resonate to American audiences. The Studio sessions included Grammy winning producer Kendrick Dean, Drumma Boy, Verse Simmond and Grammy recording artist Bobby V.
Check out one of her old video here:
Stella Damasus
She is a very prominent actress in the movie industry. Not only that but she is also a wonderful singer. You don’t believe me? Check out her new single here:
I told you! She is too good. She said in an interview with Bella Naija that she was a singer before she became an actress. That explains it! She will release her new album soon.
Tonto Dikeh
Tonto also known as Poko really strikes me as a rebel. Why do I say so? Well to get my point, you will have to watch her latest videos below. They have been gathering a lot of buzz online and offline. Moreover, she is an actress who has a lot of scandals and crazy rumors attached to her. A couple of weeks ago, she attempted suicide. Yes oooo. It is widely believed that it was mainly due to a backlash by Nigerian public opinion. Haters please stop hating! dis omo dey fine no be so? You tell me.
Check out her video “ITS OVA” here: http://www.youtube.com/watch?v=J2u23bYADY4
Check out her video “Hi” here: http://www.youtube.com/watch?v=9WuqowZHJmA
Over to gents now
They are not that many men acting and singing. But I could name one or two in this list, not because I have listen to them, but because insiders recommend them. I was not really able to find their videos online, which means you can forget about them just after reading their names. Also, any of these actors wouldn’t be on my list of top Nollywood actors. But then again, I am not Nigerian, so my perspective may differ.
Saheed Balogun
Bobby Michaels
Segun Morinze
Zack Orji
On the Not-So-good-don’t-quit-your-acting-job
Some of these folks are really trying, but honestly no! I think now is a good time to let you know that this is my opinion as a non-Nigerian. You decided for yourself. Abeg I no wan bring wahala.
My opinion
“Genny” I love you very much, but please continue acting
Verdict: Don’t-quit-your-day-time-job
“Omosexy” it’s aight! But I prefer you as an actress, really I do.
You have liked the top 10 series so much that you can’t wait to see who are the top ten lead actors in Nollywood. Here they come!
A quick reminder of the selection criteria :
Versality
Popularity at home and abroad
Number of movies done since the 2010s
Number of awards won or nominated ( I mostly looking for the Africa Movie Academy Award, Africa’s biggest, most prestigious and most credible awards for the African film industry at par with similar events across the world)
This list is in no specific order, all the actors mentioned in here are very talented. In fact, some actors not mentioned in this list are probably very talented as well . There is no doubt about that. Unfortunately, the space is limited , so we have to use it wisely.
Top ten lists always create controversy about who should be included or not. I, for one, love some actors that I never get to see in others top ten lists. Does it mean that they are not that good after all? Or does that make me an oddity?
1- Ramsey Nouah
He is dubbed as the quintessential lover-boy of Nollywood. He has played at lot ,if not, all of the possible lover-boy roles. Which is very funny because his first film I watched was “Heart of a fighter” and has nothing to do with him being a lover boy, at least not in the first 3 parts of the movie. In 2010, Nouah won the African Movie Academy Award for Best Actor in a Leading Role for his performance in the Best Picture award winning film The Figurine.
2-Desmond Elliot
Desmond is indeed one of the regular faces of Nollywood. He has been in over 200 movies during his 14 years old long acting-modelling-directing career. I like Desmond but not in all his roles. One thing is sure, he does have talent.
3-Muna Obiekwe
Muna is also one of the regular faces of the industry. Although he is much more recent than the previous two actors. He debuted around 2005. I think he is a versatile actor. I have seen him in different roles and he is pretty good.
4-Mike Ezuruonye
Mike has received two nominations for Best Actor in a Supporting Role and Best Actor in a Leading Role at the African Movie Academy Awards in 2008 and 2009. Honestly, when first saw him in a movie I was asking myself “what’s up with the fake American accent?” but I like his style. Mike is very good in negative roles (my opinion of course).
5-Yemi Blaq
Yemi is easily one of my top actors. He really stands out in every scene he is . Oh and did I mention his very good look? I strongly believe that he is more handsome than Ramsey.I don’t care what they say. I haven’t really watched a lot of his movies but he is a force to be reckon with.
6 -Joseph Benjamin
Here is one of the actors that I really like but don’t get to see often. Forget his good look which is undeniable. The truth is whenever I watched his movies, I am highly entertained. He hasn’t been in a lot of movies and he said himself in a recent interview with Bella Naijja why:
I’m discreet and very professional,It’s not about quantity for me, its quality that matters.
7-Jim Iyke
Some people will not agree with this choice. I can see them roll their eyes and puff. But here is another actor I really like. His sense of style I love and his roles good or bad I like. But I must say, he plays the evil man much better than the lover boy.
8-Yul Edochie
His father is the veteran actor Pete Edochie. He has played a lot of prince roles in his career. And Thank God he does a good prince. I find him very smooth in his acting.
9-O.C Ukeje
I can’t decide between this guy and Joseph Benjamin who I like the most. Probably him after I watch his latest movie on IrokoTV “Awakening”. Also, he got a role on the novel turned movie “Half a yellow Sun” and that is not a small feat. O.C won the African Movie Academy Awards (AMAA) for the Best Upcoming Actor in 2008.
10- Nonso Diobi
They are not a lot of information about this actor. Apparently, he does not make much public appearance but he has acted in over 70 movies since he arrived in the industry in 2001.
Here are some male actors to watch:
1- Uti Nwuchukwu
2-Alex Ekubo
3- Ikay Ogbonna (I can see some people rolling their eyes, lol)
What do you think? Who is your favourite Nigerian actor?
Des jeunes engagés organisent un brunch branché au profit de la Fondation du Cancer du Sein du Québec!
Les entrepôts Dominion ont vibré aux couleurs du rose le dimanche 15 septembre en accueillant le premier Brunch Urbain Mimosa organisé par le comité relève de la Fondation du Cancer du Sein du Québec.
Le comité relève est composé de jeunes professionnels dynamiques provenant de divers domaines et qui ont en commun le désir de s’engager dans une cause qui leur tient à cœur.
Dans le but de rafraîchir l’image des levées de fonds traditionnelles, ils ont eu l’idée d’organiser un brunch en réunissant enfants et adultes dans une ambiance décontractée et festive.
Le menu gastronomique était assuré par la présence de plusieurs traiteurs et du camion de rue Phoenix 1. Tandis que le côté artistique était marqué par la présence du regroupement En Masse, des œuvres de l’artiste peintre Michel Gamache et de l’animation musicale de Dj Blanco.
À travers une brève allocution, Cynthia Sanlian (Présidente du comité relève) et la chroniqueuse culturelle Émilie Perrault (Présidente d’honneur de la 1ère édition du brunch MIMOSA) nous ont livré quelques faits saillants concernant la maladie au Québec et on constate que le nombre de femmes qui reçoivent un diagnostic est faible ( environ 6 000 femmes en 2013).
Il est important de souligner qu’un dépistage précoce est fortement conseillé afin d’avoir accès rapidement à des traitements efficaces. Aussi, bien que cette maladie soit associée aux femmes ayant dépassée les 50 ans, le cancer du sein touche également les hommes et les jeunes femmes.
Vous vous demandez quelles sont les bons gestes à poser pour minimiser les risques de contracter la maladie? Les réponses sont ici:
1) TABAC: Cessez l’usage du tabac et évitez la fumée secondaire.
2) ALIMENTATION: Mangez sainement en adoptant une alimentation faible en gras, riche en fibres et équilibrée en fruits et légumes.
3) SPORT: Courez, marchez et bougez au minimum 30 minutes par jour.
4) ALCOOL: modérez votre consommation.
5) POIDS: Surveillez votre poids pour ne pas basculer dans le côté excédentaire.
6) VIE ÉQUILIBRÉE: La santé passe par de saines attitudes aux plans physique et émotionnel.
De l’Amérique latine à l’Europe, la diaspora africaine peut être une des clés du développement pour les communautés noires, un message lancé par des dirigeants et des universitaires de couleur venus du monde entier, à l’occasion d’un sommet en Colombie.
Le “Sommet mondial des maires et dirigeants africains et de descendance africaine”, ouvert la semaine dernière à Cali (sud-ouest), a insisté sur la nécessité de promouvoir l’éducation, ainsi que le développement d’échanges commerciaux et l’accès à l’aide internationale.
“Le défi pour la diaspora africaine, cette combinaison de communautés très anciennes qui sont sorties du continent comme esclaves et d’autres plus récemment, c’est de pouvoir aider au développement de l’Afrique”, a expliqué à l’AFP Kim Butler, professeur d’histoire à l’université américaine de Rutgers.
Selon cette spécialiste, la coopération passe évidemment par les “remesas”, ou envois d’argent par les travailleurs expatriés, mais aussi par “des formes plus originales et efficaces”, comme un lobbying en faveur de l’Afrique depuis leur pays de résidence.
Le représentant de l’Unesco, Ali Mousse, a souligné que la présence d’une “diaspora forte” en Amérique latine, notamment au Brésil ou en Colombie, peut être utile afin de développer des “relations directes avec l’Afrique, sans l?intermédiaire des grandes puissances”.
Hôte de la 3e édition de ce sommet, qui s’était auparavant tenu au Nigeria et au Sénégal, la Colombie, 47 millions d’habitants, constitue après le Brésil le second pays d’Amérique latine comptant la plus forte communauté d’origine africaine, soit plus de 20% de la population.
“La diaspora est clé pour aider l’Afrique a établir des relations à l’ère du post-colonialisme”, a insisté M. Mousse, responsable des politiques et des échanges culturels à l’Unesco.
La première ministre noire d’Italie en vedette
“Toute relation avec l’Afrique reflète notre identité. C’est pourquoi le soutien de chaque personne d’ascendance africaine au développement vient de qu’elle souhaite assumer son identité”, ajoute Mme Butler.
Pour elle, “cela n’est possible que si le fait d’être noir est perçu plus comme un signe de survie dans l’adversité et moins comme un synonyme d’esclavage et de souffrance”.
En guise de symbole, le sommet s’achèvera à Carthagène, l’ancien port des Caraïbes où s’effectuait la traite des esclaves à l’époque coloniale. Le révérend et activiste américain Jesse Jakson y est attendu pour la clôture.
L’an dernier, Barack Obama, premier président noir des Etats-Unis, s’était rendu dans cette ville très touristique, où il avait participé avec le chef de l’Etat colombien Juan Manuel Santos à la remise de titres de propriété à des descendants d’esclaves.
Les participants au sommet ont tenté d’exalter les valeurs africaines à l’image de Thabo Mbeki, qui a présidé l’Afrique du sud entre 1999 et 2008, succédant au héros de la lutte contre l’apartheid Nelson Mandela.
Ou encore la première ministre noire de l’histoire italienne, Cécile Kyenge, qui a affiché sa combativité. Cible de multiples actes racistes depuis sa nomination au ministère de l’Immigration, cette ophtalmologiste de 48 ans, originaire de l’ex-Zaïre, a assuré qu’il était possible de “changer cette culture” en Italie, qu’elle assimile à un “manque de mémoire”.
“Je dois être forte (…) afin d’apporter des solutions aux immigrés qui décident de rester en Italie et pour faire comprendre aux Italiens que l’immigration et la diversité sont de bonnes choses pour un pays, pour sa politique, pour son économie”, avait-elle déclaré dans un entretien à l’AFP en marge du sommet, où elle a été accueillie en vedette.
Délégué des Nations unies, Djbril Diallo a affirmé que le succès du sommet était d’avoir “contribué à renforcer les liens entre l’Afrique et les descendants” de ce continent.
Oscar Gamboa, directeur du “programme africain” au sein de la présidence colombienne, veut croire que la création d’un “réseau mondial de dirigeants” pourra “promouvoir le développement économique des peuples africains ou d’origine africaines”.
M. Gamboa a aussi salué les réunions d’affaires, tenues en marge du sommet, entre entrepreneurs de couleur. En huit heures de travail ont été enregistrées des transactions commerciales pour 3,8 milliards de pesos (environ 2 millions de dollars), s’est-il félicité.
What is Miss World Muslimah? It is a beauty pageant for Muslim women started in 2010 in response to the Miss World beauty contest.
What is the mission of the organization behind this beauty contest? The World Muslimah Foundation defines itself as:
The World Muslimah Foundation (WMF) is a friendly Muslim women’s organization provides a conceptual model and specific techniques that guide the sisterhood among Muslim become more communicate and fun in ways that will enhance understanding of Islam and encourage members to be confident to find their essential skills.
This year’s contest was held in Indonesia’s capital Jakarta. Meanwhile, Miss World is scheduled in a few days in Bali – Indonesia. Islamists in Indonesia have protested against the fact that Miss wold was going to be held in Jakarta. And they managed to get the location shift from Jakarta to the island of Bali which is mainly Hindou.
So what exactly happens in a Muslim beauty pageant? 500 Muslim women enter the contest and compete until judges choose 20 finalists. Entrants send a video talking, among other things, about their path to the religion and what wearing a headscarf meant to them. Judges assessed not only the appearance of the contestants but also their piety, religious knowledge and understanding of the Koran. The 20 finalists won a trip to Jakarta to prepare for the finale.
Miss Ajibolay was chosen amongst 20 women from Indonesia, Malaysia, Brunei, Iran and Bangladesh. She won a trip to Mecca.
Check out the pictures of the event and the video of her crowning:
E-Reputation : Comment améliorer son image numérique ? Par Mas Aymard Kina
Nous avons tous une réputation, qu’elle soit bonne ou mauvaise, fondée ou infondée. Cette réputation vient de la capacité de l’homme à émettre un jugement.
Dans une première partie, je vous ai montré pourquoi il était temps de vous soucier de votre e-réputation. Nous allons voir dans cet article comment améliorer votre image numérique.
Si vous souhaitez améliorer votre image numérique, partez du principe que la première page d’un moteur de recherche contient en général 10 résultats. Si la première page du moteur de recherche donne 10 résultats, il faut donc 10 réseaux qui peuvent permettre de remplir cette première page.
Pour commencer :
Créer un compte Linkedin : réseau social professionnel, qui revendique 200 millions de membres issus de 170 secteurs d’activités différents, dans plus de 200 pays différents. Quoi de mieux pour avoir une image professionnelle ? Ça peut être un plus quand on veut créer un réseau professionnel ou quand on est en recherche d’emploi et d’opportunités.
Créer un compte Viadeo : pour faire simple, c’est le concurrent français de Linkedin qui s’est lancé à l’international en 2013, il revendique 55 millions de membres.
Créer un CV en ligne avec Doyoubuzz : pour ceux qui ont toujours peur de ne pas avoir assez de place pour mettre toutes leurs expériences sur leur CV papier avec sa page unique, Le CV en ligne peut être la solution. Autres avantages avec doyoubuzz, vous pouvez télécharger une version papier de votre CV, CV avec une bonne infographie, même si standard, pour ceux qui ne maitrisent pas Photoshop ou Indesign.
Créer un (autre) compte Facebook : même si c’est dans un contexte professionnel, un futur employeur s’attend toujours à tomber sur la page Facebook d’un jeune diplômé ou jeune travailleur. Mais est-ce que vous voulez vraiment avoir un futur collègue en ami ? Pour qu’il puisse voir vos photos de l’été en maillot de bain ou après une soirée bien arrosée ? Alors même si Facebook n’aime pas vraiment ça, vous pouvez créer un deuxième compte avec votre nom complet et utiliser un pseudo pour celui que vous utilisez régulièrement. Je sais, ça peut sembler tiré par les cheveux comme méthode, mais faites un tour dans vos albums photo pour voir si vous êtes fier(e)s de toutes vos photos.
Créer un (autre) compte Twitter : si vous n’avez pas encore de compte Twitter, ça peut être le moment de s’y mettre, si vous en avez déjà un, vous pouvez en avoir un deuxième qui servira de compte professionnel en fonction de votre branche. Un peu comme votre nouveau compte Facebook, vous allez utiliser votre vrai nom. Et grâce à une option dans les réglages, vous allez pouvoir relier vos « tweets » à vos publications sur Facebook, ainsi ça créera une activité supplémentaire pour votre compte Facebook et ainsi il ressemblera moins à un compte fantôme.
Un (autre) compte google+ : Oui je sais c’est un peu un réseau fantôme pour certain, mais on est là pour augmenter notre présence sur internet, rappelez-vous.
Alliaz : Qui peut faire office de carte de visite virtuelle.
Avec ces 7 réseaux sur les 10 résultats possibles pour une première page, nous avons déjà de bonnes chances d’être bien référencés, d’améliorer son identité numérique et de contrôler son e-réputation. Si vous en voulez encore, vous pouvez créer un compte Prezi pour faire des présentations, ce qui pourra aussi montrer un échantillon de certains de vos travaux. Vous pouvez aussi créer des profils sur des sites de recherche d’emploi pour ceux qui en ont besoin, sur Indeed, Amplement, Remixjobs, Apec….
Pour éviter les mauvaises surprises, le but est surtout de faire la différence entre l’utilisation professionnelle d’internet et internet en tant que lieu de loisir. Ne pas hésiter à utiliser son nom complet : prénom, deuxième prénom, nom de famille, pour améliorer le référencement en ce qui concerne la partie professionnelle. Le même nom qui sera utilisé sur les CV, ainsi un recruteur tombera sur les mêmes infos. L’utilisation du deuxième prénom peut être importante surtout si vous avez des homonymes et l’utilisation des pseudos pour la partie loisirs permet de séparer les deux univers et de couper les liens.
Bien évidemment faire tout ça peut prendre du temps à faire, mais dans un monde où on est de plus en plus connecté, il paraît important d’effectuer une veille régulière en ce qui concerne notre nom.
D’ailleurs si vous avez le nom de la personne avec qui vous serez en correspondance pour une offre d’emploi (nom sur e-mail par exemple), il peut être intéressant de taper son nom sur google et voir si vous avez plus d’informations sur sa fonction et sur ce qui peut être votre future fonction, c’est aussi une manière de préparer son entretien et ne pas arriver à son rendez-vous les mains dans les poches.
P.S : Pour avoir plusieurs comptes sur un même réseau, il faut avoir plusieurs e-mails. Ce n’est pas le plus compliqué à avoir.
Cet article a été rédigé par Mas Aymard Kina Mas Aymard Kina
Bio de Mas : Étudiant du Mba Esg stratégie et communication digitale, Passionné par les merveilles du web et Futur Expert en stratégie digitale. Slogan 2.0 : Mon réseau se veut comme le web, sans frontières
Afro Wedding Party c’est l’envie de mettre en lumière les talents afro-antillais dans le monde du mariage et de la réception, des prestataires capables de répondre à une demande en constante évolution, celle d’avoir une réception de mariage personnalisée et inspirée.
Et pour fêter l’occasion, AfrokanLife vous offre deux billets pour le Afro Wedding Party. Pour participez rien de plus simple.
CONCOURS AfrokanLife x Afro Wedding Magazine
1) Cocher “Je participe au concours AfroWedding”
2) “Partager ” l’article avec vos amis afin de courir la chance de gagner deux billets pour le salon. Il y aura 1 gagnant(e).
Vous avez jusqu’au 25 Septembre pour participer, bonne chance !
Montreal, Québec (29 août, 2013) – Lien d’Afrique Technologique en collaboration avec le Consulat Général des Etats-Unis à Montréal, l’Université Concordia et Founder Fuel, organisent le 21 Septembre 2013, la 3è édition du Forum KWS (Kongossa Web Series), sous le thème « Technologie : Développement Social et Économique », dans l’amphithéâtre Ernst & Young de l’Université Concordia à Montréal.
Un évènement conçu pour présenter de manière concrète au public l’impact socio-économique des TI et gestionnaires de communautés (sur les médias sociaux) et leur rôle grandissant dans le développement d’une société. L’objectif étant de favoriser la réflexion commune et d’apporter de la visibilité aux projets et initiatives mis en place envers ce développement.
De façon sommaire, le contenu de forum s’articule en quatre points forts: les ateliers, les conférences, la compétition des entreprises en démarrage – visant à récompenser la ‘startup’ la plus originale et l’exposition de projets à vocation technologique dans le hall de l’amphithéâtre.
KWS Montréal est un forum international, où étudiants, professionnels, scientifiques, et entrepreneurs bénéficieront du regard éclairé de conférenciers de renom, de consultants du marketing digital, et d’experts dans les domaines de la technologie, l’éducation, la santé, la finance, le recrutement, l’entreprenariat et la coopération internationale
Parmi ces personnalités, notons l‘entrepreneur, développeur et activiste américain Jonathan Gosier, la consultante internationale, Katleen Félix, l’expert en coopération internationale Laurent Elder, de la CRDI, Rami Sayar connu comme le développeur ‘évangéliste’ de Microsoft Canada, et Frédéric Harper de Mozilla. Ceux-ci partageront le podium avec plusieurs autresexperts – tous rassemblés autour d’une seule problématique, l’utilité et le rôle positif de la technologie sur le développement social et économique. Ils exposeront aux participants de manière exclusive les secrets qui font >leurs succès, offrant à ces derniers des échanges riches de connaissance, de savoir-faire et d’inspiration.
Un cocktail-réseautage exclusive aux entrepreneurs, experts et représentants de ‘startups’ détenteurs d’un billet pour le forum, se tiendra le 20 septembre à La Maison du Développement Durable à 17h. Les billets pour le forum sont vendus via Eventbrite : https://kws-montreal.eventbrite.ca
FreeD ou l’effet Matrix dans le monde du sport. Vous êtes installé dans les tribunes pour venir supporter votre équipe favorite et à un moment le joueur vedette effectue un geste technique venu d’ailleurs.
Depuis votre angle de vue le geste était parfait. À cet instant vous implorez le ciel de vous offrir un bon ralenti. Mes chers amis le ciel vous a entendu.
En effet, voici une nouvelle technologie qui débarque pour rendre vos ralentis de plus en plus proches de la réalité, vous offrant des perspectives jamais explorées. Ce bijou technologique qui marque vraiment l’entrée dans une nouvelle ère se nomme FreeD. Cette innovation est le produit de l’entreprise américaine Replay-technologies. Elle permet de créer des ralentis comme si vous étiez dans une nouvelle dimension avec des angles incroyables vous permettant même de visionner votre ralenti en 360°.
Selon le communiqué de l’entreprise
“Au cours des dernières années, des progrès avaient été accomplis dans les techniques stéréoscopiques («3D») qui permettent la fusion de deux ensembles d’images pour donner l’illusion de la profondeur.
Notre technologie fonctionne en captant la réalité et pas seulement comme une représentation à deux dimensions, ou stéréoscopique, mais comme une véritable scène trois dimensions, composé de trois “pixels” dimensions qui représentent fidèlement les moindres détails de la scène. Cette information est stockée sous forme de base de données FreeD ™, qui peut ensuite être exploité pour produire (rendre) les images détaillées dans l’angle de vue souhaité.
Cela permet d’une manière bien supérieure la capture de la réalité, se libérant des contraintes de la physique de l’endroit où la caméra avec une lentille particulière avait été placée, pour permettre une liberté visuelle aux possibilités infinies.
Imaginez que maintenant revoir le but splendide de Zinedine Zidane en finale de la Ligue des Champions face au Bayer Leverkusen ou encore rétablir la vérité sur le but Angleterre-Allemagne de la Coupe du Monde 2010 (ou 1966). Les possibilités de FreeD seront utiles pour immortaliser les plus beaux souvenirs sportifs mais aussi pour argumenter sur les décisions les plus controversées.”
Pour terminer, cette nouvelle technologie a été testée lors d’un match de baseball au Yankee Stadium de New-York, nous pouvons donc vous assurer qu’elle est efficace et qu’elle marche à merveille. À vous de juger grâce à cette vidéo l’effet matrix :
Alors maintenant iriez-vous toujours au stade ou resterez-vous sur votre canapé ?