La star de Nollywood Genevieve Nnaji a été cité dans la liste International Superstars: The Next Big Crossover Acts publiée par le magazine Elle.
La version américaine du magazine de mode fait la liste des stars du divertissement (non-américaines) les plus susceptibles de rayonner à l’échelle internationale. On retrouve pêle-mêle Kim Hyuna de la video Gangnam Style, Katrina Kaif vedette de Bollywood, Haifa Wehbe chanteuse du Liban, l’actrice indienne Aiswarya Rai Bachchan, Pixie Lott du Royaume-Uni et la chanteuse mexicaine Anahi.
Nigeria : Genevieve Nnaji star de Nollywood
Au sujet de la vedette nigériane voici ce que déclare le journal :
L’une des actrices les plus puissantes d’Afrique, Nnaji a commencé sa carrière à huit ans, et travaille depuis dans des publicités et des films. Elle est reconnue pour avoir mis Nollywood, Hollywood du Nigeria, sur la carte.
En 2005, elle a reçu le prix de la meilleure actrice au African Movie Academy Awards (AMAA), et a utilisé sa notoriété pour lancer sa ligne de vêtements, St. Geneviève, en 2008, avec la particularité de reverser le produit des ventes à des orphelinats.
En 2009 Genevieve Nnaji est approuvé par Oprah qui la qualifie de “Julia Roberts de l’Afrique.” en plus de reconnaitre sa popularité mondiale dans un épisode de The Oprah Winfrey Show.
Son dernier film, Half of Yellow Sun, dans lequel elle joue aux côtés de l’actrice britannique Thandie Newton, sort dans les salles cette année.
Stereotypes: Pickup Basketball est le nom du dernier projet de Dude Perfect sur les basketteurs de rue.
Les pick-up games réfèrent aux matchs joués par des groupes d’amis ou d’inconnus. Le « basket de rue» est l’un des sports les plus populaires et le plus vieux du genre. Les plateformes AND1, Ball4Real ou le Quai54 plus proche de chez nous ont su tirer partie de cet élément essentiel de la culture basket par leurs divers tournois. On se souvient aussi de la fameuse campagne de publicité de Pepsi avec Kyrie Irving en Uncle Drew.
Dude Perfect
Le groupe Dude Perfect qui se définit comme “les ambassadeurs du fun” les 5 amateurs du basket ont su capté l’attention du public sur leur chaîne Youtube.
En effet, leur créativité mais aussi leur prosélytisme religieux revendiqué leur a valu l’attention de Jimmy Kimmel, CBS Evening News. ESPN ou encore AT&T.
Avec plus d’1.2 millions d’abonnés et 135 millions de vues cumulées, Dude Perfect est aujourd’hui la 3ème chaine sportive de Youtube.
Sterotypes : Pickup Basketball
La vidéo Dude Perfect revient sur les personnages clés de ces matchs. Quiconque aura joué saura reconnaître :
Celui qui a toujours une bonne raison pour expliquer ses ratés : Mr Excuses
Celui qui s’est trompé de sport : Football Player
Celui qui a trop équipé pour le match :Mr Accessory
Celui qui avait l’air bien meilleur qu’il ne l’est : Mr Looks Can Be Deceiving
Celui qui est vraiment trop intense : The Rage Monster
Celui qui se plaint toujours d’une faute : The Foul Guy
Celui qui aurait du être pro mais…. : Mr Shoulda Made The League
et tant d’autres.
Et vous quel joueur êtes-vous ?
Watch the dude perfect about pickup games. I swear, I’ve literally played with every single one.
Que se passe-t-il lorsque l’on mixe Beyoncé avec le conte de Disney Cendrillon ? Cinderonce !
Demi-finaliste de Americain Idol, Todrick Hall (le noir qui voulait insérer le cast de Glee) a lancé une vidéo qui reprend l’histoire de Cendrillon selon les chansons de Beyoncé.
Todrick décrit la recherche du prince charmant par Cendrillon avec des classiques comme “Single Ladies”, “Countdown”, ou “1+1”.
Les moyens mis en oeuvre par Todrick pour la réalisation de cette vidéo sont considérables. Les costumes, décorations, chorégraphies et effets spéciaux nous donneraient presque envie d’une adaptation pour le music hall.
Après quelques jours seulement la vidéo connait un franc succès avec 150 000 vues. À noter la participation spéciale de la drag queen Shanglea qui vole le show avec son interprétation intense de la belle-mère.
Cinderonce par Tondrick Hall
Et vous que pensez-vous de la vidéo ?
I cant with Beysus Music at ALL But that Cinderoncé shit was Hilarious as fuck Especially The Fairy Dragmother “yes, Hallellu”
La mannequin d’origine soudanaise Ajak Deng prend la pose pour l’édition de septembre 2013 du Vogue hollandais!
Sous la lentille du photographe Marc De Groot, Ajak nous donne un aperçu des tendances de la rentrée 2013, qui promettent d’être hautes en couleurs et motifs en tout genre! De son vrai nom, Angélique Deng est un mannequin originaire du Sud Soudan. Représentée par la très sérieuse agence IMG, elle fit son entrée dans le cercle restreint des “Tops” en 2010.
The Sudanese-born model Ajak Deng is featured in the September issue of Vogue Netherlands Magazine.
Under the lens of the photographer Marc De Groot, Ajak gives us a glimpse of the trends of “Back to School 2013” which seems to be high in color and patterns! Angelique “Ajak” Deng, 19, was one of the breakout stars of the SS10 Paris shows, booking Chloe, Givenchy, Jean Paul Gaultier, and Lanvin.
Africa! This very name has so many stereotypes attached to it, that even writers and storytellers out of the continent can’t really escape it.
So when you are an African author, you are expected to write a certain type of books. And that’s that! That’s what is expected of you, what African and non-African readers, alike, expected from you. God forbid that you should disappoint them! Every author wants to sell books. After all, their editors are in the business of selling books. So we can’t really blame them. Just take a quick look at some comment on Goodreads.com; you will realize the influence of readers.
Don’t get me wrong, I adore the regular stuff out of the continent or the Diaspora, really I do. But sometimes, it is so refreshing to read strange things that made you think long and hard about everything else.
Some authors defy stereotypes, and for that they will always be remembered as “The other Africans”. The problem with being different is that people will not always understand you or your work. It is, indeed, a very big risk to take. The eternal goal of striking the right balance between risk and reward.
Here are 4 very important books by Africans authors that will forever stand up; I certainly will never forget them:
Note that 3 out the four books are available in English, French and several other languages. Check your local bookstore.
Alain Mabanckou: Verre Cassé
The tour de force: Have you ever read an entire book without a single period? Well, Broken Glass (Verre Cassé in French) doesn’t have a single one in it. Guess what, it didn’t really matter, at the least for me. I read this book while on a plane to Calgary and believe me, I didn’t miss them one bit. Good riddance! Broken glass defined his own work as following:
In English
I’d write down words as they came to me, I’d begin awkwardly and I’d finish as awkwardly as I’d begun, and to hell with pure reason, and method, and phonetics, and prose, and in this shit-poor language of mine things would seem clear in my head but come out wrong, and the words to say it wouldn’t come easy, so it would be a choice between writing or life, that’s right , and what I really want people to say when they read me is “what’s this jumble, this mess, this muddle, this mish-mash of barbarities, this empire of signs, this chit-chat, this descent to the dregs of belles-lettres, what’s with this barnyard prattle, is this stuff for real, and where does it start, and where the hell does it end?
Broken Glass, A. Mabanckou
In French
c’est quoi ce bazar, ce souk, ce cafouillis, ce conglomérat de barbarismes, cet empire des signes(7), ce bavardage, cette chute vers les bas-fonds des belles-lettres, c’est quoi ces caquètements de basse-cour, est-ce que c’est du sérieux ce truc, ca commence d’ailleurs par où, ca finit par où, bordel », et je répondrai avec malice : « ce bazar c’est la vie, entrez donc dans ma caverne, y a de la pourriture, y a des déchets, c’est comme ça que je conçois la vie . Verre Cassé, A. Mabanckou
Brownie point : for a much unexpected story and book. It was sometimes hilarious, sometimes downright nasty, sometimes very sad and other times very crazy. All said and done, it was very strange! Show great respect for this brother from Congo for having done the undoable.
Suli Breaks releases visuals to his track “No Comment” from “The Dormroom”
After his “I will not let an exam result decide my fate” Suli Breaks was faced with a lot of criticism, rather than respond negatively. He responded the best way he knew how, through his art. Borrowing Macklemore’s Same Love track, he produced “No Comment” The track was posted on his sound cloud and received 10,000 plays in the first few days of it’s release.
Just listened to @sulibreaks‘ No Comment. Well, my line right there is this, ‘Find yourself before someone else does.’ Big ups, Suli Breezy.
Suli Breaks a sorti un clip pour son dernier morceau “No Comment” tiré du EP “The dormroom”
Après son “Je ne laisserai pas un résultat d’examen décider de mon sort” Suli Breaks a été confronté à beaucoup de critiques et a eu le choix de répondre de façon négative. Il a répondu de la meilleure façon qu’il a su, à travers son art.
Empruntant le beat de Same Love de Macklemore, il a produit «No comment», un son posté sur son soundcloud avec plus de 10.000 clics dans les dans les premiers jours de sa sortie. À écouter ici :
you guys need to check out Suli breaks on Youtube. his poem are WOW. Just WOW!
L’association One Cause organisait la 1ère Edition officielle de Miss Côte d’Ivoire France le samedi 29 juin à Paris.
L’évènement placé sous le signe de la réconciliation nationale s’est déroulé à Paris au 14-20 rue de la Gaîté (Paris 14e) dans le célèbre théâtre parisien du Bobino. La salle de théâtre était bien décorée et les convives avaient hâte d’accueillir les quatorze jeunes femmes, toutes plus élégantes les unes que les autres.
L’association à but non-lucratif « OneCause » créée par 5 jeunes de la diaspora, organisait donc la première édition de l’élection Miss Côte d’Ivoire France. Cette association représente en tout point nommé une des diverses qualités qu’une Miss se doit d’avoir, c’est à dire, l’humilité.
L’élection Miss Cote d’Ivoire France 2013 était placée sous le signe de la réconciliation, en référence aux périodes de crise et de conflit que la Côte d’Ivoirea connu.
Toutes les candidates ont un point commun indéniable mis à part leur beauté et leur élégance, c’est l’objectif de devenir l’ambassadrice en France de la beauté ivoirienne. En effet, elles ont toutes la volonté de représenter cette femme d’honneur et de respect qui symbolisera toutes les valeurs de la Côte d’Ivoire : unité, solidarité, humilité.
Ce fut donc dans une ambiance exceptionnelle du Théatre Bobino que les quatorze candidates se sont prises au jeu afin de nous montrer le meilleur d’elles-mêmes.
Pour cela, elles se sont toutes présentées une par une, en prenant le temps de nous expliquer la raison de leur participation au casting de Miss Côte d’Ivoire France, leur parcours professionnel et leur définition du devoir de Miss.
Après plusieurs défilés en tenue traditionnelle, en maillot de bain et en tenue de gala c’est Esther Douga qui a été choisi parmi les Miss afin de représenter la beauté ivoirienne en France. Elle a devancé Marylène Bosset, première dauphine, ainsi que Kady Fofana, deuxième dauphine, et Fatiah Diagne troisième dauphine.
Aussi lors de cette soirée très animée, divers artistes et groupes de danse dont Les Probo, Petit Yodé & l’enfant Siro se sont succédés les uns après les autres. Leurs prestations ont permis aux spectateurs de constater que les ivoiriens excellent dans les domaines artistiques. Tout particulièrement dans la danse où chaque groupe a su élever le niveau sonore de la salle à chacun de leur passage.
Joyeux anniversaire au Montreal International Reggae Festival qui a eu lieu du 16 au 18 août 2013 au vieux port de Montreal.
Cette année le Montreal International Reggae fest a fêté son 10 ème anniversaire en grande pompe avec des invités tels que Morgan Heritage, Shaggy, Mr Vegas, Beenie Man, Serani, Yellowman, ou encore monsieur Coco Tea entre autres.
La fête animée par la diva DJ Nikkiz de hot 93.7 était placée sous le signe de l’amour, de la paix et des hommages chacun y allait de son petit mot pour Buju Banton (ndlr actuellement en prison) et de sa petite dédicace pour Usain Bolt (champion du monde du 200 m aux jeux de Moscou 2013).
3 jours de danse, de festivités et de cuisine caribéenne. Un Serani et un Mister Lova lova survoltés ont fait dansé la foule. Les fans de roots reggae n’étaient pas en lésés avec le grand Coco Tea on a même eu droit à de la socca avec l’excellent kes the band.
Nous avons adoré l’ambiance familiale et conviviale, l’accessibilité et les prestations des artistes. Le reggae est bel et bien vivant à Montréal. On se donne rendez-vous l’an prochain pour la prochaine édition.
1 poulet fermier
150g de fonio
1oignon
2 carottes
1 poivron
¼ de chou
2 tomates fraiches
1 boite (moyenne) de concentré de tomate
50cl d’huile d’olive
1 bouillon (épices-oignon)
1 piment africain
1 tasse à café espresso de « n’toutou »(50g de gingembre 2 gousses d’ail 1 oignon, le tout mixé)
Préparation:
Couper les carottes en 3 et découper chaque morceau en 4 dans le sens de la longueur (verticalement)
Couper le poivron et le chou grossièrement, puis l’oignon en 2
Mixer les tomates fraîches
Découper le poulet
Mettre la viande coupée en morceaux dans une casserole et ajouter la moitié de n’toutou
La faire cuire en ajoutant de l’eau.
Retirer la viande cuite dans une assiette et réserver le bouillon de cuisson
Dans une casserole faire sauter la viande avec un filet d’huile
La retirer quand elle est bien dorée.
Dans l’huile qui a servi à faire sauter la viande, ajouter le concentré de tomate, tourner pendant 5 mn environ et ajouter la tomate fraîche, puis le reste de n’toutou
Faire cuire pendant environ 10mn et incorporer le bouillon de cuisson de viande
Ajouter 2 ou 3 verres d’eau et le bouillon épices-oignon (cube)
Couvrir et laisser cuire pendant 20mn
Ajouter la viande, l’oignon, le chou et le piment et laisser mijoter pendant 15mn
Pendant ce temps rincer le fonio à l’aide d’un chinois (passoir très fin), la coloration de l’eau est normale.
Mettre dans une casserole un verre d’eau (1/8 de litre) légèrement salée avec un filet d’huile d’olive ajouter le fonio laisser cuire a feu extrêmement doux pendant 8mn et laisser gonfler hors du feu pendant 4 mn.
Ça y est c’est prêt, servir le couscous de fonio dans une assiette creuse avec la sauce
Ps: le fonio peut être aussi cuisiné dans un couscoussier.
De nombreuses recettes et des adresses de restaurants sont disponibles sur notre site partenaire Dalekh.com
LE MONTREALIN – La semaine du 12 au 18 août 2013 a débuté avec le ancement de la boisson Ciroc à la Scena
Il s’agit du deuxième événement du genre pour la venue de la boisson Ciroc au Québec. Le 1er avait eu lieu un peu plus tôt ce printemps au restaurant Buonanotte. Ce jeudi 15 août, l’agence Apollo connu entre autre pour les Jeudi Apollo a décidé de marqué le coup et célébré la venue de la boisson en grand à la Scena au Quai Jacques Cartier dans le vieux Montréal. Les ingrédients pour un cocktail bien réussi? de charmantes hôtesses, du soleil, des people et de la boisson!
Qu’est-ce que Ciroc a de si particulier? Contrairement à la vodka traditionnelle de l’Europe de l’Est faite à partir de céréales ou de pomme de terre, Ciroc est fabriqué en France par le groupe britannique Viageo et est distillée à partir de raisin. Aussi, depuis 2007 le rappeur P.Diddy est l’ambassadeur de la marque ce qui aide à booster les ventes!
LE MONTREALIN – Omnivore World Tour à la Socièté des Arts Technologiques (SAT)
Le festival de la jeune cuisine Omnivore World Tour était de passage à la SAT du 14 au 19 août pour la deuxième année consécutive. Au programme, trois activités phares étaient présentées: les maudits soupers, les démos de cuisine et le Omnivorious Party.
Les maudits soupers
Seuls activités hors site du festival qui se sont déroulées dans des restaurants partenaires de l’événement. Au total 5 soirs, 6 restaurants et 13 chefs se sont succédés en duo ou en trio au cours de la semaine pour proposer une cuisine inventive et hautement gastronomique.
Les démos de cuisine
Dans le cadre dynamique de la Satosphère, 2 jours de démonstrations culinaires ont eu cours avec une quinzaine de chefs locaux et internationaux. Voici nos coups de coeur…
Marc-Alexandre Mercier (Hôtel Herman, Montréal)
Giovanni Passerini (Rino, Paris)
Charles-Antoine Crête (Toqué!, Montréal)
Emma Carderelli (Nora Gray, Montréal)
Jeremiah Langhorne (McCrady’s, Charleston)
Le Omnivorious Party
L’événement le plus convoité du festival Omnivore World Tour! Sur fond de musique Djs, les festivaliers sont invités à déguster les bouchées des jeunes chefs émergents montréalais et internationaux le temps d’une soirée. C’est l’occasion parfaite pour un voyage aux milles et une saveurs.
Et si Ryan Higa faisait un film Naruto ? Du 4 au 10 août dernier, Youtube lançait la “Geek Week”, une semaine consacrée aux phénomènes nés sur Internet.
Une centaine de chaînes à thématique geek ont été mises en avant pour découvrir ou redécouvrir des films, des jeux vidéo, du cosplay, et de la science-fiction.
Le trailer de la semaine Geek
C’est dans ce contexte que la célébrité youtube Ryan Higa alias nigahiga (9,8 millions d’abonnés) a tenté l’expérience d’un film Naruto avec de véritable acteurs.
Pour ceux qui étaient dans une cave durant les 10 dernières années, sachez que Naruto est un shōnen manga nekketsu écrit et dessiné par Masashi Kishimoto racontant l’histoire de ninjas.
La demande est forte pour un film basé sur l’histoire de Naruto. Cela n’est pas étonnant lorsque l’on sait qu’en 2012, le directeur général de Kana Édition annonçait que la série Naruto était le manga le plus vendu en France, réussissant à dépasser Tintin et Astérix avec 14 millions de volumes écoulés.
Le (faux) film Naruto
Sa libre interprétation de l’histoire de Naruto mélange humour, anachronisme, effets spéciaux. Avec 7 millions de vues en 2 semaines, nigahiga a réussi son pari et les fans de la série l’en remercie.
bless ryan higa for making a live action naruto movie trailer
Hello peeps cette semaine vu la bombe que Kendrick Lamar à lâché avec son verse sur le son Control de Big Sean, je me suis dit qu’il serait intéressant de partager avec vous ces Diss Track qui dans l’histoire du hip hop auront fait le plus la controverse ou aider à entretenir celle-ci.
Après tout, dans une industrie qui est complètement en perte de modèles et où la plupart des rappeurs font amis-amis (pour ne pas parler vulgairement) les uns avec les autres, il était grandement temps de donner un coup de pied dans la fourmilière quitte à la transformer en un nid de crabes !
L’entreprise canadienne Wewi dévoile SOL, le premier ordinateur portable solaire sous Linux pensé pour l’Afrique. Cet ordinateur, doté d’une autonomie de près de 10 heures, sera présenté au grand public dimanche 18 août à Accra.
La société canadienne Wewi, spécialisée dans la sécurité des systèmes de télécommunication, devrait bientôt commercialiser le premier ordinateur portable sous Linux entièrement à l’énergie solaire. Ce nouvel ordinateur, baptisé SOL, pourrait fonctionner directement à l’énergie solaire grâce aux panneaux photovoltaïques intégrés à la coque de l’ordinateur, ou bien grâce à sa batterie de 45 watts rechargeable en deux heures et pouvant assurer huit à dix heures d’autonomie.
Si SOL n’est pas le premier ordinateur portable fonctionnant à l’énergie solaire, il est le premier à avoir été conçu dans l’optique particulière des pays en développement en général et plus particulièrement africains. Il possède ainsi plus d’autonomie et de fonctionnalités que ses concurrents – le notebook NC215S de Samsung et les ordinateurs portables XO à moindre coûts de l’association One Laptop per Child.
Contacté par Jeune Afrique, David Snir, fondateur de Wewi, souligne que l’idée de cet ordinateur est née au cours d’un voyage d’affaires au Ghana : “Nous avons pris conscience à la fois du problème posé par les coupures récurrentes d’électricité et de l’engouement des populations pour les nouvelles technologies”. Les exigences d’autonomie et de solidité des matériaux utilisés auraient donc été au cœur du développement de ces ordinateurs. La version d’entrée de gamme de SOL fonctionne sous Linux 12,4, comprend la LTE (4G) ainsi que le bluetooth 4.0 et devrait coûter entre 350 et 400 dollars pour un disque du de 320 Go.
Commercialisation au Ghana
SOL sera commercialisé premièrement en Afrique subsaharienne : au Ghana dans un premier temps – où Wewi a ouvert sa première filiale africaine – puis au Kenya, au Nigeria et au Zimbabwe avant de s’ouvrir au reste du continent. L’entreprise table sur des ventes de 400 000 à 500 000 ordinateurs par an. Les SOL sont produits en Chine, mais Wewi négocierait actuellement avec des entrepreneurs dans deux pays africains afin d’y développer des unités d’assemblage.
Les commandes des ordinateurs SOL ne sont pour le moment ouvertes qu’à une clientèle institutionnelle (ONG, organisations internationales, agences publiques) et les premières livraisons sont prévues pour le mois d’octobre. Le grand public devra patienter jusqu’à la fin décembre pour passer commande. D’ici là, une première présentation publique de SOL aura lieu dimanche 18 août au centre international de conférence d’Accra, la capitale ghanéenne.
Zoom on the Portuguese fashion blogger Muny, from the blog Muny’s Fashion Fanatique!
Hi, could you introduce you to our readers ?
I love streetstyle, it really inspires me! Therefore around a year ago I decided to create Muny’sFashionFanatique! Muny is my name and since I’m a fashion fanatic I decided to come wih this name for the blog! I’m a full time student now living in Portugal, but blogging has been my official part time hobby because it’s just something that I really love doing and something that I can potentially relate myself doing in the future! I think everyone has their personal style, I identify my style as a tomboy streetchic! Love pairing up different types of clohing and piece it together into one style! Love the edginess that one odd item can bring into a whole outfit, thats why my style is at times described as daring but yet classic!
Could you give us 3 inevitable fashion shops where you live?
Around here in Lisbon there are three shops I really can’t live without, which are Zara, H&M and some local vintage shops, which are my favorite because you can find unique and yet fairly cheap clothes.They are little vintage shops right in the heart of Lisbon in Chiado most precisely in Garret Street.
New York Knicks Jersey- Freeport (boyfriend’s) | Sports Shorts- River Island | c/o Satchel- La Moda | Sandals- Primark
What was the latest newsworthy fashion blog you find out?
I love going through streetstyle blogs because it not only inspires me but it also gives me insight into new things in the fashion world! Recently the most stylish and newsworthy fashion blog I came across was Song of Style!
T-shirt- ZARA Men | Leather Pants- H&M | Sandals- Zara | Alexander Wang Lookalike Studded Tote- eBay
Let say you could change something in the fashion industry, what would it be?
Lately the fashion insustry has given so many exposure and oportunties to humble fashion bloggers and If I could change something in the fashion industry it would be nothing at the moment, because I am soon going to be a journalism student and I belive that the people’s voice and in this case style should always speak louder than the usual and I see that happening in the fashion industry and that is a great example of how you can succeed in this industry without having to be famous or buy expensive clothes in order to represent what you are or what you love doing!
Spiked Collar Top- ZARA | Leather Pocket Skirt- H&M (old) | Platform Boots- Missguided | Alexander Wang Lookalike Tote- eBay
If I say “afro inspiration” what would you reply?
If you say to me afro inspiration, I say the nature of all creations fashion wise and most definately style wise! My african roots are crucial for me in terms of inspiration to what I do and wear daily!
Fishnet Top- New Look (old) | Sports Shorts- River Island | Shoes- Primark | Snapback- New Era (boyfriend’s)
To contact her :
Blog : http://munyfashionfanatique.blogspot.co.uk/ / Facebook : Muny Fashionfanatique/ Twitter : @FashionFanatiqe/ Instagram : @munyfashionfanatique/ Mail : munyfashionfanatique@hotmail.com
C’est une des affaires qui remet le plus en cause le système pénitentiaire et judiciaire américain. Herman Wallace, 71 ans, est atteint d’un cancer du foie en phase terminale, diagnostiqué en juin dernier. Amnesty International réclame depuis plusieurs mois, voire plusieurs années sa libération, car les preuves de sa culpabilité ont été remises en question par différents tribunaux.
Inculpé pour un crime qu’il a toujours nié avoir commis, le vieil homme a passé plus de la moitié de sa vie (41 ans!) dans la prison d’Angola, en Louisiane, prison considérée comme l’une des plus sinistres des États-Unis. 73 km² encadrés de fils barbelés où l’on ne ressort que très rarement vivant (parmi les différents camps : une prison pour les 85 condamnés à mort, exécutés sur leur lieu de détention). La durée moyenne des sentences est de 88 ans et environ 75% des 5000 prisonniers sont noirs. La prison a d’ailleurs été surnommée par les détenus, the Last Slave Plantation, rapport à ses conditions de détention extrêmement sévères ; au travail obligatoire dans les champs de coton, de légumes ou de cannes à sucre, payé 4 centimes de l’heure, qui rappelle la triste existence des esclaves noirs de Louisiane avant la Guerre de Sécession ; enfin the Last Slave Plantation car il s’agit en fait d’une ancienne plantation de canne à sucre qui employait au XIXe siècle des esclaves principalement d’origine angolaise (d’où son nom).
Herman Wallace, Robert King -libéré en 2001- et Albert Woodfox, ont été surnommés les « Trois d’Angola », car à eux trois ils ont passé plus de 100 ans à l’isolement. D’abord condamnés pour un vol à main armée, les trois hommes vont être rapidement considérés comme une menace pour la prison d’Angola. En effet, forgés à l’idéologie des Black Panthers des années 70, ils luttent derrière les barreaux tout comme Angela Davis à la même époque contre toutes formes de discrimination, ils se battent pour préserver les droits des prisonniers censés être garantis par la Constitution même en prison, et pour donner des cours de sensibilisation politique.
C’est malheureusement leur engagement qui va les mener à leur perte : celui-ci les aurait fait accuser en 1972 du meurtre d’un des gardiens de la prison, Brent Miller. Accusation très difficilement justifiée, alors que de nombreuses pièces du dossier ont disparu et qu’il n’existe aucune preuve matérielle.
C’est donc avant tout pour des motifs humanitaires, qu’Amnesty International a lancé une pétition pour que les conditions de détention alarmantes et le « traitement cruel, inhumain et dégradant » d’Albert Woodfox et Herman Wallace cessent. Première victoire (aussi petite soit-elle) : l’organisation annonce sur son site le 18 juillet dernier, que Herman a été déplacé de sa cellule de deux mètres sur trois à « un dortoir de 10 codétenus et peut se déplacer sans menottes. »…
Mais Amnesty n’a pas encore fini d’interpeller le gouverneur de Louisiane, pour faire avancer la date de l’audience sur le cas Wallace, prévue en juin 2014, et pour que le septuagénaire puisse vivre ses derniers mois en liberté, auprès de ses proches quittés il y a …41 ans.
Le cinéaste Mayeul Akpovi célèbre pour son timelapse sur Paris se lance sur un projet africain Cotonou in Motion.
Cette fois, il tourne son attention vers le Bénin et plus précisément la ville côtière de Cotonou. Cette vidéo à regarder en haute définition vous présente l’Afrique comme vous ne l’a voyez jamais.
Pour en savoir plus sur Cotomou in Motion et le travail de Mayeul Akpovi, vous pouvez lui rendre une petite visite sur sa page vimeo: http://vimeo.com/mayeul
Cet article a été précédemment publié sur le site Bobby Finance.
Crowdfunding : Quel site choisir pour financer son projet ?
Pendant que je lisais le magazine Inc de ce mois je suis tombée sur ce tableau décisionnel très utile pour aider les entrepreneurs à choisir le site de crowdfunding qui correspond le mieux à leur projet et objectif.
Si vous êtes à la recherche de moyens pour financer votre démarrage, vous avez probablement pensé au crowdfunding. Le crowdfunding est un effort collectif de plusieurs personnes qui font don de fonds pour soutenir un projet, généralement à travers internet.
Que vous aillez une entreprise qui oeuvre dans les médias, la technologie ou un organisme à but non lucratif, le tableau ci-dessous vousprésente les sites de crowdfunding les plus adaptés à vos besoins.
Retournez donc à vos cahiers, peaufinez votre projet et terminez votre plan d’affaires, car il pourrait déjà il y avoir plusieurs investisseurs qui vous attendent!
Infographie : Cherchez-vous de l’argent pour lancer votre compagnie ?
Sean Combs is bringing music back to television so that he can “get kids back to television.”
The hip hop star is launching Revolt TV in October, a channel he envisions as an ESPN or CNN for music and music culture.
“Young people are unplugging and running to the Internet. But that’s because there just isn’t anything engaging on TV,” Combs said at the summer press tour on July 26. “People were telling me television is nowhere…[But] television is everywhere. It’s on your toilet. It’s in bus shelters, it’s going to be on the sidewalk in the future.”
The network, which Combs is heading with MTV veteran Andy Schuon, will launch in 25 million homes and has distribution deals with Comcast Cable and Time Warner Cable. It will play videos and air news programs and documentaries for music lovers.
Viewers turn to ESPN for sports and CNN for news but have nowhere to go for news in the music world, Combs said.
“If you want to know something about Jay-Z or Beyoncé or Bieber you are homeless,” he added. “You are all alone. We will cover music as a culture. We are not a remixed MTV or another version that just plays videos.”
#IAMREVOLT – Vocaine (Music Producer)
#IAMREVOLT – AV Rockwell (Filmmaker)
#IAMREVOLT – Sibley (Host/Artist)
#IAMREVOLT – Julian Mitchell (Social Media Director)
Le magazine américain Forbes vient de publier une liste des « 10 millionnaires africains du net à surveiller de près ».
Sans surprise, cette liste est essentiellement anglophone avec des représentants majoritairement originaires d’Afrique du Sud, du Nigeria et du Kenya.
Cette dominance reflète le poids économique et l’avance prise par ces pays dans le domaine des NTIC bien que, du Sénégal au Cameroun, de nombreuses startups et entreprises du net participent également à la révolution technologique en Afrique.
Ces 10 pionniers et entrepreneurs africains ont fait fortune grâce au net
Abasiama Idaresit (Nigéria) est le fondateur et directeur exécutif de Wild Fusion, l’une des principales agences de marketing numérique en Afrique. Créé en 2010, Wild Fusion est présente au Nigéria, au Ghana et au Kenya. L’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires de 6 millions de dollars en 2012.
Adii Pienaar (Afrique du Sud) dirige Woothemes, une société spécialisée dans la production de thèmes et de plugins pour les plateformes de gestion de contenus en ligne WordPress et Tumblr. Woothemes affiche des revenus annuels supérieurs à 3 millions de dollars.
Ayisi Makatiani (Kenya) a créé Africa Online, l’un des premiers fournisseurs de services internet du continent, en 1994. Il dirige désormais Fanisi Venture Capital Fund, un fonds d’investissement doté de 50 millions de dollars qui finance des projets en Afrique de l’Est.
Gary Levitt (Afrique du Sud) est le fondateur et actionnaire principal de Mad Mimi, un service de mailing créé en 2008. L’entreprise compte près de 150 000 utilisateurs professionnels et envoie 1 milliard de messages par mois. Elle emploie 20 salariés et enregistre 6 millions de dollars de revenus annuels.
Herman Heunis (Namibie) est le fondateur de MXit, le plus important réseau social et le premier service de messagerie instantanée en Afrique. MXit, qui compte près de 10 millions d’utilisateurs réguliers, a été cédé en 2011 au fonds d’investissement sud-africain World Of Avatar pour plus de 50 millions de dollars.
Jason Njoku (Nigeria) est le fondateur de iRokoTV, le plus important distributeur de films nigérians au monde. IrokoTV permet à ses abonner d’accéder en ligne aux nouveaux films nigérians et ghanéens pour un abonnement mensuel de 5 dollars. L’entreprise, qui compte plus de 500 000 abonnés, a pu lever près de 12 millions de dollars auprès d’investisseurs privés.
Justin Clarke (Afrique du Sud) & Carey Eaton (Kenya) sont les cofondateurs et principaux actionnaires de One Africa Media (OAM). Évalué à 80 millions de dollars, OAM est le plus important fournisseur africain de petites annonces en ligne à travers plusieurs sites spécialisés.
Njeri Rionge (Kenya) a fait fortune en co-fondant Wananchi Online, l’un des principaux fournisseurs de services internet et de téléphonie en ligne, en Afrique de l’Est. En 2011, l’entreprise a cédé 50% de ses parts au groupe américain Emerging Capital Partners (ECP) pour 26 millions de dollars.
Ronnie Apteker (Afrique du Sud) a fondé Internet Solutions, le premier fournisseur de service internet d’Afrique du Sud, en 1993. Quatre ans plus tard, il revendait l’entreprise pour un montant de 65 millions de dollars. Ronnie Apteker, qui continue d’investir dans de nombreuses entreprises en ligne, a également participé à la production et à l’écriture d’une dizaine de films.
Afrikréa est une plateforme communautaire d’e-commerce dédiée à la création africaine.
À travers Afrikréa, les créateurs peuvent promouvoir leurs créations artisanales au-délà de leurs frontières, tout en restant dans leur atelier! Les créations africaines sont faites à partir de matériaux locaux que ce soit le bois, les pierres, les tissus…
Les vacances d’été touchent peu à peu à leurs fin et il est temps de penser au shopping de la rentrée! Voici cinq articles à shopper sur Afrikréa.com!
1. Les compensés wax
2. La pochette wax
3. La pochette iPhone
4. Le tableau “Rencontre de coeur”
5. La boîte à rangement Touareg
Afrikréa is a community platform e-commerce dedicated to African creations.
Through Afrikréa, creators can promote their craft beyond their borders, while staying in their workshop! African creations are made from local materials, whether wood, stones, textiles…
Summer vacations slowly come to an end and it is time to think about the back-to-school shopping! Here are five items that you can shop at Afrikréa.com
Selon l’agence Ecofin, le commerce en ligne se développe de plus en plus en Afrique grâce à l’amélioration de l’accès à Internet, la meilleure accessibilité à la technologie et l’arrivée de la portabilité.
Dans le même ordre d’idées, Mark Chirnside, PDG du service de paiement en ligne PayU, déclare que « 2013 sera une année charnière pour l’e-commerce sur le continent.» C’est donc avec enthousiasme que nous vous présentons « Afrikréa », plateforme communautaire d’e-commerce de surcroît bilingue, dédiée à la création africaine.
Afrikréa nait de la volonté de trois jeunes hommes d’origine africaine. Moulaye Tabouré, Lamine et Yacoub Sidibé partagent la même passion pour l’art et l’artisanat africain. Ils ont joint leurs compétences respectives afin de valoriser ce que notre terre mère a de meilleur. À travers leur site, ils veulent faire découvrir au monde les richesses et talents du continent .
Afrikréa est en quelque sorte un espace en ligne sur lequel acheteurs et vendeurs font rencontrer leurs offres sans se déplacer. Directement on voit des similitudes avec les sites Etsy et ou Alittlemarket, mais avec la particularité d’être dédiée à la création africaine, que l’on recherche de la mode, de l’artisanat ou plus globalement de l’art.
Les modes de paiement quant à eux prennent en compte les réalités du continent. En effet, hormis les modes de paiement classiques (Carte Bleue, Visa, Paypal,…) les fondateurs du site proposent d’autres modes de paiement à savoir le paiement par virement bancaire, par chèque, en main propre, à la livraison.
Afrikrea développe en ce moment sur le paiement par Mobile Money autrement dit paiements mobiles. Il s’agit de toutes les transactions effectuées depuis un téléphone mobile et débitées soit sur la carte bancaire, soit sur la facture opérateur ou soit sur un Porte-monnaie électronique.
Le site compte déjà une dizaine de créateurs allant de l’entrepreneur débutant à la société confirmée. La plupart des fonctionnalités sont gratuites pour ces vendeurs et le resteront d’après les fondateurs de la plateforme. Ils aspirent d’ailleurs à rassembler au moins 100 créateurs pendant les 3 premières années du site et à attirer 500 visiteurs distincts par mois.
Alors, Afro inspiration ou pas ? Faites un tour sur le site d’ Afrikréa et dites nous ce que vous en pensez.
La semaine du 5 au 11 août 2013 du MONTREALIN débute au concert Carte Blanche à Jean-Phi Goncalves
Jean-Phi est un musicien, compositeur et réalisateur issu de la scène québécoise. Il a suivi une formation classique et jazz au conservatoire d’Angoulême, suivie d’une formation jazz et pop au CEGEP de Drummondville. Mercredi soir à la SAT, Jean-Phi était accompagné de 50 jeunes virtuoses de l’orchestre de la Francophonie, des chanteurs Alexandre Désilet et Alejandra Ribera, la danse de LazyLeg, les instruments d’Alex McMahon et bien d’autres. Le show était à la fois décalé et si bien synchronisé. Il y avait de la cadence, adoucit par la voix des chanteurs interprètes. Les profits recueillis lors de la soirée sont remis à l’orchestre de la Fancophonie et à l’organisme Dans la Rue qui accompagne par la musique les jeunes en difficultés.
LE MONTREALIN – Concert de Wiz Khalifa x ASAP Rocky
Wiz Khalifa et ASAP Rocky se sont arrêtés à la Plaine des Jeux du Parc Jean-Drapeau dans le cadre du Under The Influence of Music Tour ce vendredi 9 août. Accompagné de B.O.B, TRINIDAD JAME$, JOEY BADA$$ & PRO ERA, BERNER, CHEVY WOODS, SMOKE DZA, le duo de choc a déchainé la foule qui était en délire! L’énergie était palpable aussi bien sur scène que dans le public qui était très enthousiaste de vivre ce moment.
Gasandji, « Celle qui éveille les consciences » (signification de son nom en langue bantoue) est tout simplement une bouffée d’air dans le paysage francophone afro/world music.
La belle histoire débute en 2010 quand cette jeune maman remporte le France O Folies de Sannois une banlieue parisienne située dans le Val d’Oise. Suite à cette audition elle se retrouve sur la scène d’un des plus mythiques festivals de l’hexagone pour l’édition 2010 des Francofolies à la Rochelle.
Originaire de la République Démocratique du Congo, ses sonorités ont volontairement ce goût d’Afrique. Rumba congolaise, polyphonies africaines, percussions tout y passe.
Au delà de ses origines, elle se sent investi d’une mission universelle à travers ses compositions et ses chants. Elle dit elle-même : « je chante pour soigner les âmes ». En avril, elle nous dévoile son 1 er bébé éponyme qu’elle autoproduit. Elle touche enfin le bout de son rêve.
Ce premier opus, fort de 11 titres est un subtile mélange entre la folk, le jazz et une voix résolument soul. Elle y chante en lingala, français et anglais. Une douceur envoûtante se dégage de cet album. Impossible de s’en lasser.
Actuellement en tournée dans toute la France, on espère que ce premier album laisse présager le début d’une longue et belle carrière.
Cet article a été rédigé par Astha Konaté
Bio de Astha : Joyeuse Mélomane. Biberonnée à la Soul, au Funk et l’afrobeat. Passionée d’art et de nouveaux médias. Chroniqueuse radio. DJ.
Suivez la sur Twitter : @malaika84
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Black Movies Entertainment est une association qui organise à Paris le festival «Black Movies Summer» l’un des premiers festival consacré aux oeuvres cinématographique d’artistes Noirs à Paris.
Pour sa 4 ème édition le festival avait pour thème «la femme noire». Du 6 au 28 juillet dernier des rencontres, des ateliers et des projections ont rythmés l’été des amoureux du cinéma Afro. Le Festival Black Movies Summer s’efforce de dénicher des longs métrages qui incarnent un cinéma différent et alternatif, par des films qui nourrissent et qui marquent. Nous avons rencontré Cynthia Bazakana, présidente de l’association, Magali Mbianda, attaché de presse, et Simone Mivengue, community manager, pour en savoir plus.
D’où vous est venue l’idée de BlackMovie Entertainement ?
L’idée de création de l’association Black Movies Entertainment est venue de la vision et de l’observation que nous avons du cinéma en France, nous avons tous connu cette époque où il y avait de l’espace pour des films comme Menace 2 Society, Boyz In The Hood ou encore sang noir ou le prix à payer dont Simone conserve précieusement les K7 même si elle n’a plus de lecteur VHS.
Alors, nous essayons de rendre ce cinéma accessible à un large public et surtout à cette nouvelle génération, afin qu’il ne reste pas entre nous, car les belles choses doivent être montrées. Nous sommes réellement déterminées et motivées, nous savons que rien ne se fera tout seul. Chacune de nous, croyions sincèrement à ce projet et nous ne lâcherons rien pour que celui-ci aille super loin.
Black Movies Entertainment, c’est le prolongement que les choses ne peuvent pas être enfouites et nous sommes là pour leur donner ce coup de pouce nécessaire à leur existence et pour que le public aille à la rencontre de ce cinéma afro-descendant.
Parlez-nous un peu de vos parcours respectifs, vos formations, vos origines ?
Cynthia : J’ai 23 ans, j’ai grandi et je vis dans le 91. Au niveau de mon parcours, j’ai étudié la photographie, le théâtre et les langues.
Magali : J’ai grandi dans le 20ème arrondissement de Paris, tout près du marché de Montreuil, mais je suis originaire de Bangangté un village de l’Ouest Cameroun. Mon premier contact avec la pratique du cinéma, s’est fait lors de ma licence en Information-Communication. J’ai eu des cours d’esthétique de la communication, en particulier du cinéma, réalisation de storyboard et de courts métrages… A petite dose bien sûr (rires). J’ai d’ailleurs rencontré Cynthia, la présidente de l’association sur le tournage d’un court-métrage. Le cinéma m’a rattrapé vu que j’effectue mon stage de fin d’études en marketing&partenariat pour Première !!
Simone : Je suis diplômée en communication et j’ai commencé avec une bande d’amis en créant le 1er magazine gratuit sur le rythm and blues, plus généralement sur les musiques noires, j’interviens au sein de l’émission Midnightlove pour laquelle je raconte l’histoire de la musique afro-américaine.
Comment s’est déroulé votre dernier festival ?
Magali : Le dernier festival s’est très bien passé. Il était question d’une rétrospective du cinéma afro-américain, des Race Movies moins connus du public, aux films afro-américains d’aujourd’hui comme ceux de Tyler Perry par exemple. Nous avons eu de bons retours notamment sur le choix des intervenants : François Durpaire, Anne Crémeux, Bams, Malouda… Il y a vraiment eu un échange et un partage d’idées. Et le public a apprécié nos petits plats et bissap faits maison 🙂
Simone : Le festival était super, je garde en mémoire ce couple mixte lors de la soirée au Bric à Brac Bar. Ils sont restés jusqu’à la fin de la projection du film de Paul Robeson « Song of Freedom (1936) ». A la fin, ils nous ont chaleureusement remercié, car ils n’avaient jamais vu ce film. Ils nous ont vivement encouragé à continuer. Ce qui nous plaît réellement, est de recevoir des personnes de toutes origines. C’est la magie du cinéma et c’est pour cette raison que je dis que c’est super.
Quels sont les bons coups dont vous êtes les plus fières ?
Nous mettons un soin tout particulier à faire une programmation de qualité, donc nous sommes fières de tous les coups. L’idée n’est pas de faire de bons coups, mais de rendre le festival accessible à tous. Nous essayions de toucher du doigt des points importants, pour permettre une identification.
Y’a t’il des événements qui vous servent de modèles ?
On ne peut pas à proprement parler de se référer à un modèle, car Black Movie Summer c’est l’idée d’ouverture qui ne peut être enfermée dans un modèle. On essaie de mettre en place à chaque édition une thématique, pour toujours en garder quelque chose.
À quoi s’attendre pour le prochain festival ?
Beaucoup de rebondissements.
Quelle place y sera accordée au cinéma africain par exemple ? Ne pensez-vous pas que les afropéens auraient plus avantage à regarder du côté de Nollywood plutôt que Hollywood ?
Une grande place le cinéma africain l’a déjà, et Nollywood est une émanation de ça. C’est juste le modèle économique qui fait que Nollywood a pris une telle importance, le phénomène est bien plus présent en Angleterre aux USA et en Allemagne par exemple, en France on se réveille tout juste. Le cinéma africain souffre de visibilité parce que le rayonnement culturel de l’Afrique dans l’ensemble n’est plus une priorité, il est très peu diffusé dans les salles obscures et notre festival ne sert pas uniquement à accorder une place à tel ou tel cinéma, dans ce cas quelle place accorder au cinéma afro-brésilien ?
L’idée est d’aller plus loin et de faire un travail plus profond via notre site tout au long de l’année. Le film GriGris réalisé par Mahamat Saleh Haroun qui est sorti 10 juillet 2013 était en compétition officielle à Cannes, mais pas une seule image n’a été montrée par Canal+, diffuseur officiel du festival. Ne serait-ce que pour voir les images de la montée des marches, il fallait regarder sur le web. Notre travail est aussi là pour montrer et parler de ce cinéma qu’on voit peu. Il ne suffit pas d’accorder une grande place pendant les festivals et de tourner le dos, vous ne trompez personne, sauf vous-même. Le cinéma africain va sincèrement finir par s’installer et c’est une action à mener au quotidien.
Il n’y a pas que le film dans la vie (rires) ! En terme de courts-métrages, documentaires, ou films d’animation que pensez-vous du ciné Afro ?
Simone : Justement le court-métrage est le commencement d’une chose appelée à se prolonger vers le film et il m’est arrivé d’en voir plein et je recommande d’ailleurs “Hasaki Ya Suda-Les Sabres” de Cédric Ido et “Mwansa the Great”, de Rungano Nyoni que j’ai vu au cinéma. Et comme les films, ils ont besoin du soutien de tous pour être connus.
Éprouvez-vous des difficultés en terme d’organisation ? Comment les surmontez-vous ?
Cynthia : Oui, il y a toujours des difficultés, mais il ne faut pas s’arrêter dessus. Il faut sauter les obstacles et prendre le dessus. Votre projet ne peut rester à l’état de rêve, il faut dont se motiver entre nous et se donner la main pour agir ensemble, l’union fait la force et permet de faire face en cas de problème. Je ne crois pas personnellement à la multiplication des projets, car c’est de la perte de temps et d’énergie, cela vous isole en cas de difficultés.
Vous faites beaucoup pour la promotion du cinéma africain, parlez-nous des activités qui se déroulent entre deux festivals ?
Entre le festival, on prépare les projets futurs, on n’a pas le temps de chômer. Il y a beaucoup à faire, et on fait un travail journalistique sur l’actualité du cinéma pour permettre à nos 17500 followers (chiffres en constante augmentation) de découvrir l’histoire du cinéma, mais aussi la nouvelle génération du cinéma afro-descendant avec des actrices comme Quvenzhané Wallis, 9 ans, qui a concouru cette année pour l’Oscar de la meilleure actrice. Nous étions les seules en France, en mai 2012 a parié sur sa nomination aux Oscars. Et à parler de Rachel Mwanza, qui a reçu de nombreux prix d’interprétation dont l’Ours d’argent, de la meilleure actrice (pour le film Rebelle, de Kim Nguyen), mais également à faire découvrir le réalisateur, Ryan Coogler pour son premier long-métrage “Fruitvale Station” récompensé au festival Sundance. Du travail, il y en a encore beaucoup et on ne peut pas s’arrêter. On est en perpétuel mouvement pour dénicher les choses intéressantes, bien plus encore pour 2014. On n’achète pas son billet le jour du départ, alors il faut y penser longtemps à l’avance et c’est pareil pour notre activité les orientations ne se décident pas à la dernière minute.
Depuis peu, on essaie de créer d’autres concepts pas forcément estivaux autour du cinéma afro. Nous avons créé “The Black Box”. Le concept est simple : le temps d’une soirée, revisiter des séries emblématiques (Prince de Bel Air, Moesha, Martin, The Steve Harvey Show, tout le monde déteste Chris…), partager des rires en passant un bon moment.
Nous avons également mis en place notre propre ciné-club, le BME-Club. Il s’adresse aux passionnés de cinéma ! Il permet aussi aux adhérents de participer à des événement et de profiter d’avantages. “From Eslewhere To Paris” est le premier événement mis en place en place par BME-Club. C’est la projection de films indépendants de cinéastes venus d’ici et d’ailleurs. L’activité reprendra à la rentrée.
Nous préparons de nombreuses activités pour nos adhérents pour la rentrée 2013, donc inscrivez-vous à notre newsletters sur le site .
En étant bénévole au sein de notre association pour l’aider à grandir.
Qu’est-ce qui vous inspire dans le cinéma Afro ?
Simone : Ce qui m’inspire c’est la manière dont le scénario est écrit en tenant compte du vécu des personnes, de leur histoire, mais aussi de la vision du monde.
Magali : Le cinéma comme tout art est “inspirant”, que ce soit les répliques, l’atmosphère, les jeux de lumière, le stylisme, tout peut m’inspirer. Pour le cinéma afro, on va dire que certains films me parlent plus que les films qui sont à l’affiche en France. Le franc parler, les proverbes, etc.
Cynthia : Ce qui m’inspire… Beaucoup de choses. C’est l’univers improbable qui transmet le cinéma, un peu comme dans les films de Tarantino. De base, je suis une grande cinéphile et une grande fanatique de film de la Blaxploitation depuis trois ans. Bizarrement, je n’ai pas grandi en regardant les films de la Blaxploitation, mais c’est très vite devenu une fascination pour moi. Un décor, une ambiance, un discours, un comportement, que je retrouve dès lors que je regarde un film afro. C’est ça qui est fascinant.
Si on devait avoir 3 films afro dans notre DVDtèque ou BlueRaytèque (rires) ce serait lesquels ?
Cynthia : Mais, c’est un nid à pièges cette interview! C’est super dur, mais je dirais Cotton Comes To Harlem, Antwon Fisher, Bal Poussier (rires).
Simone : Je donne 3 noms mais il y en a bien plus que ça, c’est juste pour rester dans l’exercice. Jason Lyric, Sometimes In April, Malcom X.
Magali : Je vais dire 3 films qui ne sont pas tellement des films afro… : LA HAINE, de Mathieu Kassovitch, je peux revoir ce film des centaines de fois, sans m’en lasser !! THE ROOTS, d’ALEX HALEY, c’est pédagogique, tous le monde devrait l’avoir dans sa bibliothèque et TWO CAN PLAY THAT GAME, c’est une bonne comédie romantique sympathique… Et non je n’ai pas encore de film africain en dehors de Bal Poussière, Moolaadé et VIVA RIVA, mais j’y travaille !!
D’ailleurs quels sont les films afro que vous attendez ces deux prochaines années ?
Cynthia : Le dernier Spike Lee qui ne sortira malheureusement pas en France : Red Hook Summer, Best Man 2 et Fruitvale Station
Simone : Je choisis les films qui ne sortiront malheureusement pas en France : Yellow Half Sun, Fruitval Station, Oversification Beauty (prévu dans la programmation du ciné-club…) , Four, Ma’George.
Etre un acteur noir en France, ça rend les choses plus difficiles ? Encore en 2013 ?
Il faut prendre plus d’initiatives et chercher à se faire sa place encore plus quand on est un acteur noir, mais pas seulement en France. Les gens attendent des acteurs noirs qu’ils soient d’éternelles victimes. C’est dommage. L’acteur ne peut se définir en terme d’appartenance à une communauté noire, le cinéma est universel.
Idris Elba et Omar Sy ont affirmé ‘ne pas être des acteurs noirs mais des acteurs tout court’. Que pensez-vous de ces déclarations ?
C’est vrai. La preuve en est lorsque le réalisateur Bryan Singer annonce sur Twitter l’arrivée d’Omar Sy dans X-Men, idem Idris Elba avec Pacific Rim de Guillermo Del Toro. C’est vraiment ce qu’ils dégagent en tant que comédien.
Des conseils pour les jeunes acteurs, réalisateurs et producteurs qui se lancent dans le milieu ?
D’être audacieux et curieux et avoir des priorités. Nous leur conseillons d’entrer par la fenêtre s’ils ne peuvent pas entrer par la porte et de ne rien se refuser parce qu’on va toujours tout leur refuser. Rien ne se donne, les choses se conquièrent alors il faut aller à leur conquête pour exister par soi-même et non attendre un improbable coup du destin qui risque de ne jamais se produire. C’est le talent qui fait que les Denzel Washington, les Forest Whitetaker, les Don Cheadle, les Viola Davis seront toujours en haut de l’affiche. La force est en chacun d’entre nous, il faut croire beaucoup en soi pour l’exprimer en temps voulu. Il ne faut jamais s’arrêter sur ces échecs, il faut toujours trouver les voies et les moyens de s’améliorer et toujours donner le meilleur de soi.
Quels sont les acteurs afro de la relève ?
Simone : Rachel Mwanza, Nate Parker, Michael B Jordan, Quvenzhané Wallis.
De quoi a le plus besoin le cinéma afro en France ?
De crédibilité et de visibilité.
Ok, rêvons un peu, je vous donne carte blanche pour réaliser un film afro en France, quelles seraient les acteurs et la trame ?
Cynthia: (rires) L’interview de la mort! Je prend comme acteur Eriq Ebouaney, d’office (c’est mon Denzel Washington, français) ! Cet acteur a un charisme de fou. Il aura le rôle du Président de la République. Il aura pour mission la sauvegarde de la race humaine, car une armée de zombie néerlandais aura attaqué la terre… (non sérieusement, j’en sais rien).
Magali : J’ai une idée de manga afro avec des lutteurs sénégalais… J’en dis un peu trop, c’est une idée que j’ai en tête depuis un moment, on ne sait jamais je peux réaliser ce manga un jour. Pour le film j’imagine bien un film sur un cartel de Feman camerounais, un thriller à la Ocean Eleven.. L’un d’entre eux souhaiterait reprendre une vie normale, mais ses potes lui proposeraient un dernier coup… Un truc dans le genre.
Simone : Je donne sa chance à un jeune acteur débutant pour me faire voyager dans le monde imaginaire de la forêt vierge africaine et faire s’exprimer des émotions qui passeraient des larmes au rire.
Enfin si je vous dis Afro Inspiration, vous me répondez ?
Inspiration simplement.
Merci les filles pour cette entrevue. Pour plus d’information rendez-vous sur :
Site :
Twitter : https://twitter.com/BlackMoviesEnt
Facebook : https://www.facebook.com/Blackmoviesentertainment?fref=ts
Afrique: L’essentiel n’est pas de s’unir mais d’avoir un ennemi commun Par ASSOUKA
L’unité africaine est un cheval de bataille qui voit se succéder des générations de cavaliers tout autant valeureux que volontaires. L’Afrique a toujours connu une pluralité de peuples et de tribus simplement unis devant la nécessité de définir et de maintenir un Culte des morts associé le plus souvent à une lignée d’ancêtres. Chaque région ayant son panthéon et rites que le voyageur ou le commerçant se mettait en devoir de respecter le temps de son passage. Cette foi primordiale et issue des questionnements de l’âme a laissé place à la révélation de l’Éternité et de son nouveau séjour dans l’autre monde. Animisme et Islam universel ont su alors cohabiter selon les époques et les régions.
Néanmoins, un phénomène de standardisation culturelle par le biais des religions et des langues de leur diffusion a accosté et essaimé un modèle de sous-ensembles ne tenant pas compte de la diversité du continent. La logique de rassemblement a été depuis poursuivie en passant de la réalité de peuples sous la domination d’un souverain local puissant ayant des liens tribaux ou des attributs reconnus à un regroupement arbitraire de peuplades par souci administratif et point de vue exogène.
Depuis la course à l’unité égalitaire et paritaire est lancée avec des efforts pour fédérer qui font penser à un exercice de « team building » où il faut tenir compte des intérêts et réticences de chacun. Pendant que ces « états sous vérins » se querellent sur le mot d’ordre d’union, les grands architectes et artisans de la discorde cimentent plus et en secret le mur de leur prison à grand renfort de taloches, règles et truelles. Pis encore, l’extradition se négocie déjà de la prison vers une réserve économique où l’accès à des produits à bas coûts travestissent la dépendance en pouvoir de consommation. Pourquoi alors continuer à chercher un socle unique ou un projet commun de construction pour l’Afrique qui a toujours vécu dans la diversité tandis que s’unir face une menace grave d’aliénation économique serait un fort raccourci d’engagement des populations. Le tout est une question de prise de conscience du danger et d’exaspérations face au frein à l’accès à une richesse disponible mais qui ne bénéficie pas à tous. La plupart des dirigeants de cette génération pro émergence économique n’oubliera sans doute pas ses prédécesseurs résistants et illustres (Keita, Shaka, Tall, Nzinga, Cabral, Sankara, Mandela…) qui ont osé ce qui leur semble impossible à faire à cause des intrications secrètes auxquelles ils ont souscrit eux-mêmes pour parvenir au pouvoir. Le Pouvoir se mérite et est une mission de service à la nation et non de rayonnement personnel. L’Afrique ne pourra sans doute pas s’en sortir sans partenariat. Ainsi, le choix doit se faire dans un esprit de partage d’un dessein d’affirmation où les parties prenantes de ce revirement prennent la mesure du réel combat à mener sur soi et son conditionnement. Les nombreuses diasporas noires et autres bonnes volontés exilées par l’absence de conditions sociales favorables sont autant de piliers sur lequel construire le nouveau Royaume Noir fait d’une diversité de peuples alliés pour la défense et l’émergence de leur continent.
Le Recteur de ma famille spirituelle vous raconterait sûrement cette histoire de notre gnose, pour vous éveiller à la nouvelle dimension de ce combat :
Le tapis
D’yeux avait deux pupilles de son état qui lui permettaient de juger son point de vue. Un jour il décida d’aller à son atelier fabriquer un miroir en laissant la Calebasse où il vivait à la garde des deux mineurs. Il leur confia à chacun un tapis en peaux-pierre d’un blanc parfait en les exhortant à prier pour qu’il ne manque pas de Lumière pendant qu’il réfléchirait. L’aîné qui était de la nature des Djinns dit à son cousin Homme « Allons donc nous promener dans le jardin ». Une fois-là l’aîné dit encore à son cousin Homme « Descend donc dans le puits pour y recueillir de l’eau pour que nous arrosions les plantes. Vois-tu, je porte des chaussures et je ne suis pas aussi habile que toi qui est pieds nus ». L’Homme travaillait dur pour arroser les arbres fruitiers tandis que le Djinn passait son temps à apprécier la senteur des fleurs. Quand ils revinrent dans la Calebasse et que ce fut l’heure de la prière, l’Homme se rendit compte que ses pieds plein de boue saliraient le tapis. Le Djinn lui dit « va donc te purifier avec un peu d’eau ». En l’absence de l’Homme, Djinn se dit « Je ne peux enlever mes chaussures pour prier et de l’eau en abîmerait le cuir. Je vais donc essuyer mes pieds sur le tapis de l’Homme pour garder la pureté de mon tapis. De plus je vais y répandre des roses pour le parfumer ». L’Homme revint et vit son tapis souillé. Le Djinn lui fit comprendre que ceux qui ont des chaussures sont les préférés de D’yeux et qu’il fallait qu’il l’aide à rester pur en acceptant qu’il utilise son tapis. L’Homme confus mais longanime resta accroupis devant son tapis pour prier pendant que le Djinn priait l’air supérieur et superbe sur le sien. Ceci se répéta tous les jours, tant et si bien que le tapis de l’Homme pris la couleur noir de la terre et celui du Djinn le rouge des roses. D’yeux revint de son atelier sourcilleux et soucieux de savoir quels cils ou imbéciles l’avaient bridé d’autant de blancs de mémoire pendant qu’il concevait ce nouvel objet. Le Djinn s’avança et accusa l’Homme de ne pas avoir un tapis pur tandis que le sien était bien odorant et plus pur que jamais. D’yeux considéra les deux tapis et dis « Comme ce noir est apaisant à ma vue. Homme je vais accrocher ton tapis sur le mur de mon logis afin de méditer dessus et me reposer de la logique. J’en ferai un symbole d’accomplissement pour ceux qui fournissent des efforts tout en restant fiers et soumis. Je te donne ce miroir en échange pour que tu puisses continuer à prier selon ton état d’âme. Hérite aussi du jardin où tu as tant travaillé. ». Puis il se tourna vers le Djinn et lui dis « Ôte toi de ma vue avec ce parfum qui risquerait de faire couler des larmes sur mon Saint visage. Tu aimes la sophistication matérielle et te crois toujours le plus rusé. Garde ta pureté et ta préciosité loin de moi tant que tu affecteras les relents de ton esprit. Je t’envoie donc dans les roses tant que tu ne changeras pas d’attitude ». Sur ceux D’yeux s’endormit. Nul ne sut à quoi il rêva mais depuis ce jour l’Homme a le bonheur en point de mire et le Djinn s’évertue à l’endormir avec son eau de rose. »
« Réveille-toi Ô Afrique, tu es un géant qui ne dors pas, mais qui ne crois juste plus en lui »
Cet article a été rédigé par ASSOUKA du blog Le Cri de la Calebasse. Bio de ASSOUKA : le Mystère du double de l’Auteur. Il est le personnage d’une série de textes qui permettent de suivre et de comprendre une formidable aventure spirituelle dont l’accomplissement permettra à un Peuple de faire résonner Le Cri de la Calebasse.
What Is IrokoTV.com? Simple answer: Africa’s Netflix.
Jason Njoku, the CEO of Iroko partners was inspired by the popularity of Nollywood movies in the diaspora. The movies were popular all right, but they were nowhere to be found online. He had to drive all over town to be able to buy them for his mother. I invited you to read about Jason here (http://www.jason.com.ng).
Today, IROKOTV is the world’s largest, legal online distributor of Nollywood films, with a library of over 5,000 movies. That’s where I come in. 5000 movies and that number keeps increasing daily. What to see and what not to? Ghanaian movies? Nigerian movies? Yoruba movies?
Jimah and Pabi are a match made in heaven until a domestic accident turns their loving marriage into one of violence and abuse. Time to make decisions is here. Pabi, the woman at the center of the controversy must choose between love and life, companionship and independence. What will she choose? What will you choose? Jimmy Jean Louis, Ama K Abebrese, Yemi Blaq. Directed by Leila Djansi. Drama genre.
Adobea, Buki and Theresa are three women from different walks of life bound together by a similar pain; the loss of a child. In a destined meeting in a small village in Kroboland, the women journey together to redemption, love, life and forgiveness as they renovate a dilapidated clinic for the villager. Omotola Jalade Ekeinde, Kimberly Elise, Ama K Abebrese. Directed by Leila Djansi. Family genre.
A bloodthirsty military leader establishes a new regime in Kimbala, overthrowing the President and assuming position as of Head of State. A brave journalist heads on a mission to expose injustice there, under the guise of being a Reverend visiting on religious pilgrimage. Majid Michel, Amanobia Opoku Boakyi, Martha Ankomah. Directed by Frank Rajah Arase. Family Genre.
A handsome brand executive makes a daring bet with his business partner that he can bed a gorgeous but highly independent divorcee in just two weeks, the forfeit being that the loser gives the winner-controlling share of the company. Joseph Benjamin, Desmond Elliot, Monalisa Chinda. Directed by Desmond Elliot. Family genre.
A razz village girl who has never left her community is plunged into a sophisticated new world when she goes to university in Lagos. She quickly learns that she must fight to earn respect and become popular. Funke Akindele, Ronke Odusanya, Mosunmola Filani. Directed by Muhydeen .S. Ayinde. Drama genre. Yoruba language.
The son of a poverty stricken teenage orphan resorts to a life of crime to support his mother. As an adult he is initiated into an organised crime gang called the hunters and trained to exceed the ruthlessness that is already instilled in him. Jackie Appiah, Adjetey Anang, Bellinda Effah, Kofi Adjorlolo, Ekow Blankson, Gavivina Tamakloe. Action Genre.
Three recently married female friends, all with challenges within their marriages embark on a journey to discover what it is that it takes to make a marriage succeed. Yvonne Nelson, Chris Attoh, Nadia Buari. Directed by Pascal Amanfo. Drama Genre.
An engaged man goes on a two-week trip to Gambia, to source the perfect honeymoon location. His fiancée is left behind in Ghana and he unexpectedly falls in love with a Gambian tour guide. Majid Michel, Jackie Appiah, J.J Bunny. Directed by Frank Rajah Arase. Drama Genre.
A belligerent village girl, who fights with the ferocity of a man sees her life transformed when she dares to challenge the prince of the land. Mercy Johnson, Ramsey Nouah, Enebeli Elebuwa. Directed by Ifeanyi Ogbonna. Mercy Johnson, Chika Ike, Enebeli Elebuwa. Drama genre
A prince and princess from different kingdoms leave the comfort of their royal homes in search of life partners in faraway cities. They happen to coincidentally run into each other. Van Vicker, Mercy Johnson, Charles Anwurum. Directed by Ugezu J. Ugezu. Traditional genre.