Le salon Beyond Color s’est déroulé du 8 au 10 juin à la Porte de Versailles. J’ai été très gentiment conviée par la super équipe de Beyond Color pour assister à leur évènement.
La première édition du salon Beyond Color a pour cible les femmes de 7 et 77 ans de toute ethnie. Il faut souligner le facteur ethnique, car, c’est surtout un salon multiracial.
L’ensemble des produits proposés visent pour tout type de peau ou des cheveux. Mais la cible principale est les femmes noires, ce qui est bien parce que c’est un marché énorme et finalement vous pouvez voir que les marques françaises y portent une attention plus soutenue.
Je me souviens être allée aux États-Unis il y a environ 4 ans et d’avoir été agréablement surprise par leurs rayons beauté au supermarché. Il y avait sections pour chaque ethnie ; des peaux noires, asiatiques et caucasiennes. En France, il faut visiter des magasins spécialisés pour trouver ces produits. Depuis je m’intéresse de plus en plus aux marques locales qui ont connu une véritable explosion depuis les dernières années. Les grandes marques leader progressent en élargissant leurs gammes le plus possible, certes, mais ce n’est pas aussi diversifié qu’aux États-Unis.
L’événement Beyond Color est très complet : des conférences, des ateliers, des défilés de mode, des shows de coiffure et bien entendu de nombreuses marques exposées axées sur la beauté, la santé et la mode.
C’est une véritable opportunité pour les marques locales et étrangères de faire découvrir leurs produits. Petit bémol quand même : peu d’échantillons disponibles pour essayer les produits.
J’ai eu la chance d’assister à une conférence très intéressante donnée par l’équipe du magazine Fashizblack sur les nouveaux codes de la beauté noire, les intervenants ont pu apporter leurs connaissances sur l’économie et le marché de la beauté noire en France.
Le marché qui compte aujourd’hui plus de 2 millions de personnes avec une ascendance afro-caribéenne en France Métropolitaine est en pleine mutation. Selon une étude A-KA, le budget beauté d’une femme noire est d’environ 1200 euros par an compare à 300 euros par an pour une femme caucasienne. Le premier poste de dépense étant les cheveux avec les tissages.
On constate également une réelle évolution des consciences des consommateurs notamment par le mouvement Nappy qui est en pleine explosion. Il faut savoir que dans les années 60, environ 80 % des femmes noires étaient défrisées contre 60 % aujourd’hui.
En effet, le modèle black inspire désormais toutes les couleurs. Petite anecdote comique de Florence Dini, auteure du livre « Tissage, mode d’emploi » qui soulignait que Brigitte Bardot portait désormais un tissage.
Un gros remerciement à toute l’équipe de Beyond Color pour cette expérience très enrichissante et nous espèrons faire de nouveau parti de l’aventure l’année prochaine !
This post was written by Cecilia Linval from Heartofcici
Bio de Cécilia : I’m really passionated about women in society, being a twenty something girl makes me very curious. Also makeup and fashion does not consume my life, but it’s a fun hobby to indulge in!
Book Bloggers read and then blog about what they read. I think they are Mavens. What is a maven anyway? In Malcolm Gladwell’s The tipping point, a maven is described as a trusted expert in a particular field, who seeks to pass knowledge on to others.
There are so many African blogging about African literature. Who would have thought so? When I set out to compile this list I certainly didn’t think so. So I had a hard time, choosing just 10 blogs. It was really hard, I have to emphasize on this point.
While I was making this list I keep asking myself: What is African literature exactly? Is it just a black thing? What about African American? What about the Islands?
Chinua Achebe said: “There is no African literature” but “there is just literature”. Alain Mabanckou said that “African literature is not an exotic literature; it is the literature coming from the black continent… One could say that there is an African literature if one could agree on the elements that would define this African literature.”
According to Wikipedia, African literature refers to the literature of and from Africa. “….While the European perception of literature generally refers to written letters, the African concept includes oral literature…”
My view at Under the Neem Tree is that African Literature is any published work by an African author.
A very interesting debate that deserves to be explored in a separate article.
Back to my list, here is a list of 10 African literature mavens (English speaking) that I think you should know about and if, possible, visit daily, ok weekly!
The main criteria used to put this list together, was the amount of reviews in the blog. Some bloggers are also writers who have published books poems, short stories…Those who tend to reviews books a lot, made it to this list.
A Nigerian based in Spain who blog about (mostly) African Literature.
What you will love about her blog: She has read so many books that you can be sure to find almost anything Fiction and African on this blog. I would add that she is partial to Nigerian writers.
He is a Ghanaian blogger who lives in South Africa. He describes himself as a reader, writer, book collector, editor and blogger.
What you will love about his blog: They are a bunch of very good interviews in his blog, mostly Ghanaian writers. You will also find a lot of news about books and literary prizes.
She is a Ghanaian women who is partial to women writers and their works, especially African women writers.
What you will love about her blog: She is also a writer. So if you love short stories and poetry, this blog is for you. She also reviews and comments on novels.
Freddy is a Ghanaian, who is an Agricultural Economist by profession and a Poet by passion. He writes poems and short stories. Some of his poems have been published in magazines and e-zines.
What you will love about his blog: Freddy promotes African Literature; hence, in addition to the reviews you will find on his blog, he conducts interviews, post events, profile authors and their books, and many other literary issues.
A l’occasion du dévoilement du lookbook printemps-été 2013, nous avons rencontré l’équipe de la marque KEVE pour en savoir un peu plus sur cette nouvelle collection!
Bonjour Elodie BADOHOUN, présentez-vous brièvement pour nos lecteurs ?
Bonjour à tous, Je suis Elodie BADOHOUN, styliste-modéliste homme/femme de formation. J’ai travaillé chez plusieurs créateurs avant de créer Kévé avec Olivier BADOHOUN, mon frère et associé.
Comment êtes-vous devenu designer ? Est-ce une vocation ?
J’ai fait la formation précédemment citée à Esmod car j’ai toujours suce que je voulais faire. J’ai eu beaucoup de doutes dû à mon jeune âge ,duà mon manque de confiance et à l’insécurité que peut représenter lemonde artistique. J’ai donc suivie une voie générale, mais ce n’étaitpas cela ! J’ai donc tout plaqué pour suivre cette nouvelle formation etenfin faire ce que j’aimais vraiment. Je voulais partager mes idées,mes envies, mes rêves. Je voulais mettre en valeur le corps humain avecun petit quelque chose de nos origines. C’est une vocation. C’est justeque je l’ai compris tardivement.
A quoi ressemble une journée typique dans la vie du designer Elodie BADOHOUN?
Une journée type ? Réveil à 7h, c’est-à-dire levée à 8h30! Mails, puis constitution de l’emploi du temps du jour, rdv, création/couture, suivi, production… couchée à 1h.
Quelles sont les principales difficultés que vous devez surmonter ?
Ce sont principalement des difficultés dû à la structure naissante de la société. Nous sommes peu nombreux et portons toutes les casquettes en même temps. On court après ce temps justement. C’est le plus gros challenge.
Pourquoi avoir fait le choix (stratégique) du sur mesure?
Il s’agit d’une production de chemises made in TOGO. Ce n’est pas du sur mesure. Seuls quelques modèles sont en série ultra limité (6 pièces par modèle).
Que pensez-vous de ce buzz sur le wax et le bazin chez les designers de haute couture et prêt-à-porter occidentaux?
C’est plutôt positif mais c’est même dommage que ce ne se soit pas passé avant. Cela permet de faire connaitre ces tissus « afro » très portés en Afrique, du grand public occidental. Cela a amené la démocratisation de ces tissus qui les rend plus accessibles quel que soit son origine. Chez Kévé ce n’est pas qu’un effet de mode. L’essence de la marque est cette touche afro soit par le made in Africa, soit par l’emploi de tissus particuliers.
D’où viennent vos tissus ? Présentez-nous un peu les matériaux avec lesquels vous travaillez ?
Nos tissus viennent de Lomé, au Togo. Nous avons la chance de pouvoir bénéficier d’un marché du tissu très bien fourni, où s’approvisionnent d’ailleurs les professionnels des pays limitrophes.Nous utilisons des matières de la chemiserie classique, fil à fil, popeline de coton ou polycoton. Nous les agrémentons de tissus particuliers comme le wax et le bazin, un de mes tissus préférés.
Il n’est pas évident de renouveler une pièce aussi standard que la chemise. D’où vient votre inspiration ?
Effectivement ce n’est pas aisé de renouveler la chemise de prime abord.Du moins, c’est ce qu’on pourrait penser. Mais en réalité, c’est le challenge de la mode masculine. A la fois classique et offrant tellement de possibilités. Il y a tellement de propositions à faire. J’aime particulièrement les vêtements pour homme. Et la chemise est produit à la fois élégant et décontracté, cool, adaptable à tous les styles. Tout est dans le détail pour l’homme. Cette subtilité est intéressante. Je m’inspire du moment, d’envies, de détails de la vie quotidienne, de couleurs, d’une scène de film, d’une discussion …de l’Afrique, de l’Europe.
Qui l’homme, mais aussi la femme KÉVÉ ? Comment l’imaginez vous ?
Il est beau, intelligent, actif …(rire). L’homme Kévé est un homme élégant, qui a ce souci du détail sans trop en faire. Il se soucie de l’histoire que raconte kévé, du made in Africa. Il apprécie d’être bien dans ses vêtements, les belles matières… Il est de toute origine, toute orientation confondue. La femme Kévé est belle, intéligente, active… C’est une femme qui s’assume, qui mène plusieurs vie en une.
Vous avez eu l’occasion de participer à l’African Fahsion Week London, pouvez-vous nous parler de cette expérience?
AFWL a été la première rencontre avec le public. C’était une bonne expérience. Intense et riche. C’était le premier défilé de la marque également. Moment fort en émotion. Cette expérience nous a ravie et confortée dans cette aventure. Les londoniens ont été très réceptifs.
Quelles ont été vos inspirations pour la création de votre dernière collection?
La dernière collection présentée s’appelle Authentic Sun. C’est un clin d’œil au soleil bien aimé et tant attendu en Europe. Le soleil c’est aussi L’afrique. Authentique, pour la marque Kévé dans son ensemble. Nous voulons travailler dans de bonnes conditions avec nos partenaires africains. Kévé est franco-togolaise comme ses créateurs. Nous employons des ressources humaines et matières africaines. C’est simplement pour rappeler que nous ne surfons pas sur une « vogue » : La mode ethnique parce que c’est été et que l’afrique sonne vacances ou que le wax est à la mode. Nous voulons tout simplement mettre en valeur les richesses du continent. Kévé est « authentic ». Notre inspiration c’est l’Afrique est sa culture.
Pour le nom de vos modèles, vous choisissez des villes africaines (Accra, Lagos, Lomé…) et européennes (Madrid, Londres…) très spécifiques, qu’est ce que ces villes représentent pour vous?
Nous avons donné à ces modèles le nom de grandes villes africaines car les modèles sont «cosmopolites ». Ils nous ont fait penser à ces villes qui ont ces caractéristiques d’être multiculturelles et ouvertes sur le monde. On retrouve d’ailleurs les chemises Kévé un peu partout dans le monde, car la clientèle est internationale. Les chemises kévé plus affirmées « afro » portent les noms de Lomé, Lagos ou Accra. Le nom des villes d’Europe ont été données aux modèles uni ton sur ton toujours métissé avec le bazin.
Trois objets que vous amèneriez dans une ile déserte?
Un Kit de couture, mon portable avec l’acces aux mails, une photo de famille.
Pour ou contre le sac à main pour homme?
Pour!
Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui voudrait être designer?
Il faut croire! C’est très important de croire en ses rêves et ses projets. Tout est réalisable même les plus fous. Il faut bien préparer son travail, aucune négligence, être soutenu et entouré, parler de son projet autour de soi, être patient et à l’écoute.
Le rappeur torontois Drake est en couverture de l’édition US de juillet 2013 du magazine masculin GQ!
Dans le magazine, il nous parle d’amour, de ses ambitions pour l’avenir, de Chris Brown et bien plus encore…
…sur sa recherche de l’âme soeur :
“I had lunch the other day with someone I extremely look up to. Okay—I had lunch with Will Smith, and listening to him talk, it made me think I don’t know what love is. He said something profound. He said love is when you become one and you need that person. It’s not about wanting anymore, you need that person. Hearing that, I don’t know if I’ve ever felt that way. I’ve held women in very high regard almost to the point where I felt like I needed them for a very long time, but I don’t know if I comprehend it yet, and I’m okay with that.I’ve made a lot of music about love being the only thing I’m missing. I think this is the first album I’ve made saying, I’m okay. I’m enjoying it right now. Maybe this is my time to grind it out, make a run for it and add some memories with myboys.”
…concernant sa relation avec Chris Brown:
“I don’t want my name to be synonymous with that guy’s name. I really don’t. I wish we could sit down, just like you and me are right now, and talk it out man-to-man. But that’s not going to happen. I’m not confrontational, but if someone challenges, I’m not going to back down. …It’s embarrassing, the amount of media coverage. Two rappers fighting over the woman. He’s not even a rapper, but still, it’s the last way you want your name out there. It distracts from the music. But he’s made me the enemy, and that’s the way it’s gonna stay, I guess. …If I think about it too much, I feel it wrapping around my foot, like I get a feeling it could end really badly.”
…concernant ses ambitions, notamment son but d’avoir une fortune estimée à 250 millions de dollars à 29 ans :
“I feel this great responsibility to see how far can we take it, how out of reach can I set that bar for whoever comes after. While I’m here, I’m gonna keep pushing that bar higher and higher up and make you really work for it.”
… concernant le fait d’être devenu numéro 1 et de retrouver l’excitation du début:
“You constantly ask yourself: Will I ever be able to excite people the way I did when the Internet was going crazy, back when you first felt like you had a piece of Drake that no one else had, and you wanted to share it with your friends? Is there an album or song we can make now that’s good enough to get people that excited again? I ain’t gonna lie: I want to be the one you listen to this summer.”
Le club new-yorkais 40/40 de Jay-Z fête son dixième anniversaire.
Le nom de l’établissement renvoie à une expression dans la Major League de baseball qui “rangeait” dans le 40-40 Club les joueurs qui avait fait la rare et excellente prestation de mettre 40 home runs et 40 stolen bases en une saison.
A l’occasion de la sortie de la compilation 100% tubes Tropical Family le 1er juillet prochain , on vous donne la chance de 2 x 2 places pour assister au concert privé le 25 juin prochain avec Louisy Joseph, Axel Tony, Fanny J, Corneille, Lynnsha, Kenza Farah, Matt Houston, Lucenzo, Slaï, Sheryfa Luna, Melissa N’Konda, Tom Frager, Medhy Custos, Kim, Layanah, Jessy Matador..
Tropical Family est une compilation de grands tubes repensés à la sauce caribéenne… L’album sera disponible dès le 1er Juillet ! Cette soirée sera l’occasion pour vous d’écouter en avant première les autres chansons de l’album.
Pour participer il vous suffit de dire “Je participe au concours Tropical Family sur @Afrokanlife pour le showcase du 25 juin” sur votre compte twitter et de commenter cet article !
Après des prestations remarqués à la dernière de Piège de Freestyle, lors du planète rap d’Axel Tony, ainsi qu’à la Webreal TV, Rêve en HD dévoile un titre plein d’optimisme. Ce titre annonce un nouveau départ pour le groupe qui s’était fait discret ces derniers mois.
After notable performance at « Piège de Freestyle », during last Axel Tony’s « Planète Rap » show, as well as at Webreal TV, rap artists « Rêve en HD » drop their last track. This single launches a new departure for the group who had been quiet in recent months.
Le samedi 17 juin, l’association Feon’i Gasikara Canada a organisé un atelier de cuisine au restaurant malgache Tsak Tsak!
Nous avons rencontré Tsikimamy (ce qui signifie sourire sucré en malgache!) Onimbola, la fondatrice de l’association Feon’i Gsikara Canada!
Comment avez-vous eu l’idée de l’atelier?
Via l’association, nous voulons promouvoir la culture malgache, pas seulement à travers la faune et la flore, mais aussi et surtout à travers tout ce qui est culturel, comme la musique, la photographie ou l’art et nous voulons partager ça avec les autres communautés présentes au Canada. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes dit que cet été nous allions mettre en place des ateliers pour apprendre à cuisiner la nourriture malgache, mais aussi en profiter pour enseigner aux participants quelques petits mots en malgache! Nous voulions aussi par la même occasion, faire découvrir le restaurant Tsak Tsak, qui est le seul restaurant malgache de Montréal! Nous voulions le faire connaitre aux gens et faire partager la cuisine malgache aux différentes communautés présentes au Canada!
Pourquoi vous êtes vous dit que cela fonctionnerait à Montréal?
Montréal est une ville multiculturelle, les gens sont très ouverts d’esprit, et ils sont plus à même de découvrir d’autres choses! Mais nous allons quand même essayer d’aller voir les autres régions, pour voir si ça peut fonctionner aussi! Nous projettons d’organiser d’autres ateliers de cuisine au profit d’un organisme à but non lucratif qui oeuvre dans le développement social de Madagascar
Peux-tu nous donner deux / trois caractéristiques de la cuisine malgache?
Pour commencer, dans la cuisine malgache, on ne dit pas qu’on a mangé s’il n’y a pas de riz!!! CHAQUE plat doit être accompagné de riz! Ensuite, à Madagascar, on cuisine beaucoup avec de la viande de zébu, sa viande est très appréciée des Malgaches! Mais c’est aussi c’est un animal très respecté à Madagascar, car c’est un symbole de richesse! En fait, plus tu possèdes de zébu et plus tu es considéré comme riche et plus tu seras respecté! Le zébu et le riz font vraiment partie de la culture culinaire malgache. Pour ceux et celles qui ne le savent pas, la meilleure partie du zébu, c’est la bosse! C’est la partie la plus grasse.
La culture malgache est très hétéroclite (originaire des Indiens, Indonésiens, Africains, Chinois, Arabes…), comment retrouvons-nous ces influences dans la culture culinaire malgache?
Moi, personnellement, si je me réfère à mon physique, je descends des Indiens, c’est d’ailleurs pour cela que nous préparons et servons à l’apéritif des samoussas! Ce sont des plats que nous avons hérité de la culture culinaire indienne! Un autre exemple des ces multiples influences c’est le raviototo, la sauce aux feuilles, qui nous vient de l’Afrique!
La préparation du raviototo en photo!
La préparation du rougail au combava en photos!
Recette du rougail au combava en six étapes : 1.Découper les tomates en très petits dés. 2.Découper deux tiges d’oignons verts en petits dés. 3. Découper une gousse d’ail. Astuce : pour faciliter le découpage, saler l’ail! 4. Râper le cambava et ajouter son zeste au mélange. 5. Ajouter du jus de citron. 6. Mélanger le tout! C’est prêt!
Pour la plupart des participants, c’était la première fois qu’ils cuisinaient des plats malgaches! L’envie de découvrir une nouvelle culture est ce qui les a attiré à cet atelier! Et sans hésitation, ils réessayeront de faire les plats à la maison! Voici le traditionnel riz malgache, avec de la sauce raviototo, accompagné de rougail au cambava!
Et pour finir, le dessert, le bonbon coco! Pour le réaliser ( quantité: 30 boules): faire caraméliser un kilo de sucre, ajouter trois cuillères à sucre d’eau, incorporer la noix de coco râpée et faire remuer le tout jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène! Sur une feuille de papier sulfurisée, prendre la pâte à la petite cuillère et réaliser des petites boules! C’est prêt!
Enfin, nous avons posé quelques questions à la propriétaire et chef du restaurant Tsak Tsak, situé au 280 Beaubien Est, Montreal, QC H2S 1R6!
Depuis quand avez-vous ouvert votre restaurant?
Je l’ai ouvert il y a quatre ans!
Avez-vous du mal à importer les produits malgaches?
Une fois le côté paperasse terminé, c’est plutôt facile!
Où pouvons-nous trouver les produits malgaches?
Dans les épiceries/ marchés africains et asiatiques.
Comptez-vous ouvrir un deuxième restaurant pour l’avenir?
Un restaurant, c’est déjà tellement de travail, alors deux! Pour l’instant je vais me contenter de celui-ci, nous apprécions beaucoup le caractère familial du restaurant et la proximité que nous avons avec nos clients 🙂
Découvrez l’association Feon’i Gasikara Canada ici. Vous pouvez également la suivre sur Twitter pour rester aux faits de toutes ses activités!
Retour en images de l’émission du 14 juin 2013 qui a débuté au Festival St-Ambroise Fringe
Jusqu’au 23 juin, le Festival St-Ambroise Fringe présente des shows de plusieurs genres: cabaret, cirque, comédie, danse, musique, théatre, et plus encore.
Dans le cadre du festival, nous sommes allés à la présentation de Quintette pour cordes sensibles. La pièce met en scène cinq jeunes femmes se questionnant et rageant sur la vie, l’amour, la solitude et les banalités du quotidien sans forcément y trouver de réponses. La parole de ces femmes est forte, cinglante, parfois amère, parfois noire, mais toujours dotée d’une ironie comique. C’est une courte création de 30 minutes à l’instar d’une composition musicale ou se chevauchent, s’alternent et se complètent 5 voix, les cinq instruments du quintette…
Crédits photos : Charlène Fowo
Casting du Festival Mode & Design
À l’occasion du Casting professionnel en plein air qui a lieu jeudi 13 juin sur l’Esplanade Place Ville Marie quelque 300 mannequins professionnels étaient réunis! le Festival Mode & Design (FMD) a dévoilé les grandes lignes de sa programmation ainsi que la participation de Maybelline New York en qualité de partenaire beauté officiel. Voici des photos streetstyle du casting (voir plus).
Crédits photos : Edwige Fowo
Urbania fête ses 10 ans à la ToHu!
Crée à Montréal en 2003 par l’équipe de l’agence TOXA, Urbania veut divertir, informer et surprendre les visiteurs de sa plateforme Web, les lecteurs de son magazine, les téléspectateurs de ses séries télé et les participants à ses événements. Au programme des festivités de la soirée : bouffe de rue, ateliers interactifs, danse, animations de rue, sports de rue, cirque et plus encore…jusqu’au petit matin!
AYA DE YOPOUGON, un film de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie. Fin des années 1970, en Côte d’Ivoire à Youpougon, quartier populaire d’Abidjan.
C’est là que vit Aya, 19 ans, une jeune fille sérieuse qui préfère rester étudier à la maison plutôt que de sortir avec ses copines. Aya partage ses journées entre l’école, la famille et ses deux meilleures amies : Adjoua et Bintou, qui ne pensent qu’à aller gazer en douce la nuit tombée dans les maquis. Les choses se gâtent lorsque Adjoua se retrouve enceinte par mégarde.
Le défenseur du Canadien de Montréal P.K. Subban a remporté le trophée Norris remis au défenseur par excellence dans la Ligue nationale, samedi, lors de l’émission de remises des trophées individuels de la LNH présentée à la télé.
The Montreal Canadiens defenseman PK Subban has won the Norris Trophy as the top defenseman in the NHL on Saturday during NHL trophies gala.
Il a marqué 11 buts et récolté 27 mentions d’aide en 42 matchs, ce qui a constitué la meilleure récolte offensive parmi tous les défenseurs.
He scored 11 goals and 27 assists in 42 games, which was the best among all defenders.
Créées en 2010, les Hair Academy Bellebene sont des ateliers thématiques favorisant l’apprentissage des bons gestes et la découverte de produits adaptés à la mise en beauté des cheveux.
Reflétant les questions et les préoccupations des femmes aux cheveux bouclés, crépus ou frisés, les HA portent sur des thèmes variés : les soins à réaliser en hiver ou en été, le retour au naturel, les soins à prodiguer aux enfants, l’entretien des cheveux défrisés, etc.
Pour commencer l’été en beauté nous vous offrons 3 places pour assister à la Hair Academy Spéciale Summertime du 29 juin.
Pour cela rien de plus simple
1) Remplissez le formulaire suivant :
2) “Partager ” l’article avec tes amis.
Vous avez jusqu’au 22 juin pour participer, bonne chance!
2.0 est un jeune groupe français composé de quatre membres ayant pour ambition de “remettre à jour” le R&B français!
2.0 c’est FeyB, Denzel, Deï et Jimmy, quatre jeunes bourrés de talent ! Le groupe se compose de deux danseurs et emcees expérimentés, FeyB et Denzel, qui faisaient parti de feu le groupe 2LN, ainsi que Deï et Jimmy, les deux principaux chanteurs du groupe. Une composition qui s’avère être gagnante!
Largement influencé par la nouvelle vague R’n’B made in US, le groupe réalise la double performance d’être non seulement crédible en chantant en français dans un genre dominé par les artistes anglophones, mais également de s’être attaqué à un genre musical qui stagne.
Le premier Clip du groupe “808” est disponible sur Youtube depuis janvier dernier, et de ce côté du monde nous “plussoyons”! La prod est réalisée par Heses, ami et producteur du “groupe chiffré” qui assure un bon travail, et le visuel n’est pas en reste! Il faut le dire le quatuor semble maîtriser l’art de se mettre en scène! En effet, la toilette de ces messieurs est sophistiquée, travaillée, étudiée, bref une pléthore de mélioratifs que l’on résumera en disant qu’ils ne donnent tout simplement pas le lait!
Environs 50 000 vues après “808”, le groupe sort un remix du “5 a.m in Toronto” d’un certain rappeur torontois, au travers duquel un message est envoyé à leurs détracteurs “There’s no futur in your frontin'”, le changement est inéluctable so deal with it ! Du moins c’est comme cela que j’ai compris le son, alors plutôt que de vous imposer mon interprétation, je vous invite à prendre cinq minutes de votre temps pour écouter ces petites sucreries !
Cet article a été rédigé par DILLMATIC du blog DILLMATIC.
Bio de DILLMATIC : Créateur du blog musical et culturel dillmatic dont le but est de faire la promotion d’un “hip hop léché et classieux “, je vous partage mes découvertes à travers clips, documentaires et autres capsules vidéos.
Suivez le sur Twitter : @BowTie_TilliDie
Écoutez son soundcloud : http://soundcloud.com/dillmatic
They are 7 Billions human living on planet earth. Out of 7 Billions, 1 billion people are poor.
Now, it is really important to agree on a common definition of poor. According to the UN, if you live on less than a dollar a day, then you are very poor. This measure is used for the poor worldwide.
According to Wikipedia, poverty is the state of one who lacks a certain amount of material possessions or money. And absolute poverty or destitution refers to the deprivation of basic human needs, which commonly includes food, water, sanitation, clothing, shelter, health care and education. Relative poverty is defined contextually as economic inequality in the location or society in which people live.
I tend to agree more with Wikipedia than the United Nations. I have issues with the UN “less than a dollar a day”. So for the reminder of this post, we will adopt the Wikipedia definition.
You want to participate in the development on your country? You don’t know really now where or even how to start.
Let me introduce you to books that will help you understand the problem and also provide practical solutions.
Africa’s Destiny : Understand the problem. Why is Africa the way it is? Understand the context, know your history!
In this section, I recommend fiction and non-fiction. The fiction work is based on reality.
1. Things Fall apart By Chinua Achebe (Nigeria: The Effect of the colonization)
2. Pre-Colonial Black Africa By Cheikh Anta Diop (Africa: Ancient Civilization- Benin, Ghana, Mali…)
3. Weep, not child By Ngugi Wa Thiong’o ( Kenya: The Mau Mau Rebellion)
Dans le cadre du cocktail beauté organisé par Glosstoi.com, l’Institut Guerlain de Montreal ses services…
Situé à Westmount, quartier huppé de Montréal, l’Institut Guerlain vous accueille dans un univers étincelant de beauté.
Grâce à ces produits de soin et de maquillage, l’Institut Guerlain propose un vaste choix de services pour le visage et pour le corps. À l’approche de l’été, voici une suggestion de soin à essayer avant votre départ en vacances:
Traitement Orchidée Impériale ( 120 min, 150$): Le soin désigné pour redessiner les contours du visage et redonner du tonus au cou et décolleté grâce à la Crème Orchidée Impériale.
Thérapie Impériale ( exfoliation + massage: 90 min, 150$): Le soin idéal pour favoriser l’oxygénation, stimuler la circulation et vous procurer un moment de relaxation inédit.
Un moment pour vous ( 3 heures, 140$): soin de visage personnalisé ( 1h30) + soin des mains ( 1h00) + un maquillage (30 min)
Lors du cocktail beauté, j’ai testé le vernis Guerlain La Laque Couleur 165 confortablement assise dans un fauteuil spacieux.
Au bout de 5 jours, le vernis est toujours en place…test réussi avec succès! Ce vernis s’applique très facilement et de façon homogène grâce à son pinceau aux poils souples et larges. La brillance et la longue de La Laque Couleur viennent de la résine utilisée dans son processus de fabrication qui optimise la rétention de la couleur.
Spécialement pour l’occasion, deux stations maquillage étaient à notre disposition pour des retouches maquillage. C’est avec plaisir que j’ai confié mon visage aux mains d’expertes de Sally, artiste maquilleuse chez Guerlain, qui a à son actif de nombreuses années de pratique dans la mise en beauté. N’hésitez pas à spécifier son nom lors de votre prise de rendez-vous maquillage à l’Institut Guerlain!
Finalement, prenez note que tous les parfums Guerlain sont disponibles à l’Institut. Ce voyage olfactif vous transporte d’un bout à l’autre du monde…
Boutique et Institut Guerlain
1350 Avenue Greene, Westmount, QC
Heures d’ouverture: Lun-Ven 10h à 18h et Sam 10h à 17h
L’Impact de Montréal a accueilli mardi après-midi le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec (RJCCQ).
Parmi les invités, étaient présents des membres de la Jeune chambre de commerce française au Canada, l’Association des jeunes professionnels chinois, la Jeune chambre commerce haïtienne, la chambre de commerce latino-américaine du Québec, le Congrès maghrébin au Québec et le Réseau des entrepreneurs et professionnels africains .
Je voudrais remercier Sydney d’AfrokanLife et collegue de Soccer Sans Frontieres d’avoir recueilli les commentaires des joueurs et de Richard Legendre durant cette journee multi-culturelle au Stade Saputo.
Richard Legendre, vice-président exécutif de l’Impact de Montréal, a été l’hôte de ce rassemblement multiculturel afin de continuer à établir et renforcer des liens entre le club et un public montréalais multiculturel.
Le melting pot que représente Montréal n’est rien de nouveau ni pour le club ni pour ses résidents. Utilisant la carte du Soccer/Football, l’Impact de Montréal tente de briser la glace avec le Montréal ethnique, peut-on même dire le Montréal moderne.
ON VEUT QUE LES DIFFÉRENTES COMMUNAUTÉS CULTURELLES DE MONTRÉAL SUIVENT LE FOOT D’ICI- RICHARD LEGENDRE – VP EXEC. IMPACT DE MONTRÉAL
Les Italiens sont “In The Pocket” mais le reste ?
Il y a évidemment un gain économique, marketing et de visibilité pour l’Impact de rassembler une foule représentative de la Ville dans les estrades du Stade Saputo. Certaines de ces communautés l’appellent Soccer, mais beaucoup l’appellent Football. Cette culture foot est un héritage reçu et transmis via les différentes communautés ethniques de Montréal.
Hassoun Camara s’exprime sur le partenariat de l’Impact de Montréal avec le Regroupement :
La communauté italienne est une communauté influente avec une passion du football assez présente. L’influence italienne de l’Impact de Montréal est assez claire et évidente. Mais cette culture footballistique vient avec une envie de gagner et une structure assez européenne qui mise sur le talent avant tout. La détection de ce talent commence au niveau de l’académie, vantée par PatrickBernier qui brise le mythe de l’image du club fermé :
Si tu regardes dans le passé, c’est facile à comprendre. Mais avec la formule de l’académie, qui est nouvelle, c’est quelque chose auquel, il faut s’habituer. Ce n’est pas comme avant, quand tu arrives directement dans l’équipe, si tu as du talent. Il y a une formation pour devenir un professionnel.
Il y a beaucoup de jeunes dans l’académie, qui sont issus [des communautés ethniques]. On a signé Zakaria Messoudi et il y en d’autres qui sont québécois de souches. Mais il yen a beaucoup d’autres qui sont d’origine haïtienne ou africaine et qui sont dans l’académie.
Tout ça est nouveau et c’est la transition de comprendre que c’est plus comme avant […] ou tu ne pouvais pas arriver à l’Impact de Montréal. Si tu as le talent, ton nom va arriver aux oreilles de l’Impact.
Patrick Bernier s’exprime sur la présence de la communauté Afro dans les gradins Saputo :
Un joueur qui s’y connait très bien en intégration et communauté est le latéral droit de l’Impact : Jeb Brovsky. ” Empowering youth through peaceful action ” est la devise de Peace Pandemic , dont Jeb Brovsky est le fondateur et président.
Jeb Brovsky
It takes us players to get involved, going into the communities […] . It’s got to be almost selective when you go into an area and really spread the game and let the game speak for itself.
We have enough passionate guys in this team. If you go to the community and show our passion to the game, I think children will rally around. and no matter what culture they are in, children will say ” wow , that is a guy who is very passionate about he does”
It’s got to be a give and take with us, the players and the staff. We have to take on ourselves to be responsible for this initiative. We can just let everyone in the office take care of this. This has to be something that has to be hands-on.
Événements à suivre
Le 7 juillet 2013 aura lieu une journée multiculturelle au Stade Saputo en ouverture du match contre le Chivas USA. Un festival de nourriture et de musique des différentes communautés sera au menu pour cette journée.
Une session de réseautage sera organisée au Stade Saputo par le RJCCQ, lors de son prochain match le mercredi 19 juin, contre le Houston Dynamo.
Les U21 de l’Impact de Montréal affronteront l’équipe nationale d’Haïti, le samedi 22 juin à 19 h 30, au Stade Saputo, dans le cadre d’un match amical.
L’album Tropical Family sort le 1er juillet ! Et pour fêter l’occasion l’occasion nous vous offrons 5 gift bags comprenant un sac en toile, un ventilateur de plage et un sticker!
La compil « Tropical Family » réunit de nombreux artistes dont Axel Tony, Corneille, Sheryfa Luna, Kenza Farah, Matt Houston, Lucenzo, Melissa N Konda… Cette compil sera l’occasion pour ces artistes de former des duos inédits et de reprendre des titres mythiques en y ajoutant une sonorité caribéenne : Sensualité, Belle-île en mer, Couleur café…
Pour gagner ton sac cadeaux rien de plus simple :
1
Envoyez un e-mail avec pour objet “Concours Tropical Family ” en indiquant votre prénom, nom et ton adresse à concours@afrokanlife.com
A l’occasion du dévoilement du lookbook printemps-été 2013, nous avons rencontré l’équipe d’INYU pour en savoir un peu plus sur cette nouvelle collection!
Félicitations pour votre travail, quelles ont été vos inspirations pour cette collection ?
Pour cette collection, nous avons voulu rappeler l’aspect esthétique du tissu attaché à l’art africain. De la fabrication à la coupe, le wax se travaille à la main. Chaque yard a sa particularité, chaque dessin a sa singularité. Nous avons voulu proposer un imprimé reconnaissable entre tous à l’instar du kita ou du bogolan. Au travers du thème United States of Africa, on joue avec les étoiles et les cubes qui sont un clin d’œil au drapeau américain. Des symboles qui habillent des coupes audacieuses et résolument modernes à l’image de la nouvelle mode africaine que l’on souhaite mettre en lumière sur notre plateforme de créateurs.
Quelle est l’origine des tissus ? Est ce qu’il y a des raisons particulières qui ont justifié ce choix ?
Pour cette collection, nous avons souhaité une nouvelle fois, travailler le wax. Ceux utilisés pour les différents thèmes viennent d’Afrique de l’Ouest principalement de la Côte d’Ivoire et du Ghana. D’origine congolaise, j’ai grandi avec ce tissu. Je l’ai toujours vu sur les kabas de ma mère et je ne comprenais pas pourquoi je ne le retrouvais pas dans les rues. J’ai eu envie de lui donner une seconde vie. Aujourd’hui, j’ai la chance de découvrir d’autres tissus, de vivre d’autres histoires, que je partagerai avec vous sur les collections à venir…
La femme INYÜ printemps-été 2013, vous l’imaginez comment ?
La femme INYÜ, je l’imagine légère et audacieuse avec l’envie de croquer la vie à pleines dents ! La mode reste un jeu, elle doit colorer le quotidien et être le reflet de nos pensées. J’aimerais que la femme qui s’habille en INYÜ n’ai pas peur de s’afficher telle qu’elle est. Qu’elle se sente libre de mixer les imprimés et les couleurs si elle en a envie. Lors de la création de la collection, on a eu envie de proposer des pièces parfaites pour les festivals ou la plage, j’ai hâte de recevoir les photos de nos afrophiles en vacances !
Question pratico-pratique, comment s’entretiennent les vêtements en tissus wax et bazin utilisés pour confectionner les vêtements INYÜ ?
Pour le moment, nous n’utilisons que du wax. En terme d’entretien, il est recommandé de le laver à la main surtout la première fois pour bien fixer les couleurs. Malgré son épaisseur, le wax est un tissu qui mérite un soin particulier. Le repassage doit toujours se faire à l’envers pour éviter d’abîmer les couleurs.
Une collection pour homme est-elle à attendre pour l’automne-hiver 2013/2014 ?
Pour l’instant, nous concentrons nos efforts sur la femme INYÜ. Nous souhaitons réellement mettre le travail des coupes et le choix des imprimés au cœur de nos collections avec l’envie de sublimer chaque courbe et chaque carnation.
Le Gourmet Touriste : L’île de la Réunion – Cuisine
Influencée par des saveurs diverses (indiennes, chinoises, françaises, malgaches et africaines) et fruit d’un métissage culturel, la cuisine réunionnaise est empreinte d’exotisme et de curiosité. Il est quasiment impossible de trouver des mets si singuliers ailleurs. En effet, c’est une multitude de courants qui a contribué à l’enrichissement culinaire de l’île de la Réunion. Il ne serait donc pas étrange de voir un restaurant mêler allègrement les saveurs française, indienne, chinoise, créole dans une seule et même recette pour le plus grand plaisir de vos papilles gustatives !
Les Réunionnais sont férus de gastronomie et leurs repas constituent des occasions de retrouvailles en famille. Le Cari est la spécialité régionale, c’est un plat créole par excellence dans lequel de nombreux ingrédients sont mijotés ensemble. Le cari réunionnais est cuisiné à base d’épices indiennes et d’ingrédients locaux comme de la viande, de la volaille, du poisson ou des fruits de mer. Il est épicé d’ail, d’oignons, de tomates, de curcuma, de clou de girofle et de gingembre. Le Cari est meilleur avec du riz bouilli. Sa fadeur permet ainsi d’apaiser la fougue du rougail, une garniture du plat.
Les mets phares de l’île sont le Carri bichique, le Carri tangue (un cousin de notre hérisson) et les larves de guêpe servies avec du rougail. De nombreux restaurants et cafés de la région servent des plats traditionnels indiens, chinois et français. Le délicieux vin de Cilaos et des vins français arrosent les repas. Le « bourbon » n’est pas à oublier lors des dégustations, cette bière qu’on surnomme affectueusement ici « dodo ».
Des camions-bars servent des plats variés au cas où vous ne choisissez pas d’aller au restaurant. Malheureusement, McDonald existe aussi ici. Mais, vous pourrez toujours profiter des saveurs d’une cuisine tropicale authentique en famille et dans une ambiance créole.
Crédits photos : Ile de la Réunion Tourisme
Réveillez vos papilles gustatives et vos sens en découvrant des secrets de la cuisine Africaine, Caribéenne et Afro-américaine sophistiquee sur DALEKH.COM
Mboa Urban Music, nouveau portail en ligne de diffusion et de promotion de la musique urbaine camerounaise a annoncé la mise en ligne de son site internet le 5 Juin.
La plateforme a pour objectif de permettre aux camerounais et autres amoureux de la musique camerounais partout dans le monde de découvrir, écouter, partager, télécharger et échanger sur l’actualité de la nouvelle scène urbaine camerounaise.
Nous avons eu l’occasion de rencontrer Esther Diane Naah la fondatrice de Mboa Urban Music qui nous annoncé en exclusivité la sortie de la Mboa Tape Vol 1 ! Cette compilation est un savant mélange d’Afropop, Afrosoul, R&B et de HipHop à la sauce bien de chez nous et représente le testament de notre solidarité à la scène urbaine Camerounaise en plein essor.
La chanteuse barbadienne était au Stade de France, à Paris, à l’occasion de sa tournée mondiale Diamond WorldTour, et en a profité pour jouer les touristes dans la capitale française! Au programme : grimaces avec ses girls devant la tour Eiffel, razzia shopping chez Chanel et diner avec le designer Alai Azzedine (oui oui, rien que ça!)
The Barbadian singer was at the Stade de France in Paris and took the opportunity to play tourists in the French capital! So what to expect from Riri ? Fun with her girls before the Eiffel Tower, shopping at Chanel and dinner with designer Azzedine Alai. Classic.
For it’s 5th issue AFRO-FUTURISM AFRIKADAA invites you to a cosmic tripp in borders of an outstanding artistic universe. The Afro-futuristic theme is an opportunity to look out to the past, to investigate the present, and to imagine the future.
In this issue the magazine pay a tribute to Sun Ra, a legendery character comming from saturne. A genius which had a very prolific musical career (more then two thousand albums).
To honor this symbolic artist and celebrate Afrofuturism, The collective AFRIKADAA took you on May 27th on a spatiotemporal journey the first stopover of which is a live editorial act punctuated by the projection of the movies of the artists Marc Johnson and Kapwani Kiwanga, and the performances of Edem Allado (accompanied by the choreographer Nawel Oulad), and Holly Bass.
On May 30th, 2013, the space ship makes a musical stopover with a mix tribute to Sun Ra concocted by the great Smokey and broadcasted by Radio Nova.
You will find in the ART TALK section
Afrofuturism : a metaphisical deconstruction, an original equation. A reflection of Kemi Bassene on Afrofuturism
You will discover or re-discover Sun Ra’s legacy through :”The Myth of Sun Ra : Space is the Place cries Afrofuturism” by Frieda Ekotto and Anne Gregory’s article “Who Ra?”
“The next narrative” by Jean Pierre Bekolo. The Cameroonian project us in his vision of afica’s cinema futur.
Can we talk about a futuristic practice of contemporary art in Cameroon? Ask Landry Mbassi
Yinka Shonibare : A(rt) lien by Julie Crenn
Destins noirs – Dynasties blanches de Patrick de Lassagne
Chassol, in this anterior life by Camille Moulonguet
Camille Moulongue makes the state African photography place in the global art market
Remix Africana: Computational Code in the Generation of “Art” by Mukwae Wabei Siyolwe.
Lowtech solutions for High tech challenges by Olivia Anani
Utopia… Anonymous by Louisa Babari, an interview with Mohamed Bourouissa
« Les particules picturales d’Edem Allado » by Pascale Obolo
“The man who discovered the world” by Louisa Babari
In PLACES
Pascale Obolo met the founder and director of Chimurenga Magazine, Ntoné Edjabe, to discuss is « Panafricanspacestation » project.
In CONCEPT
Artist Michèle Magema proposes “Duplicity”, an artistic stylistic composition with the artist Vitshois Mwilambwe, inviting him to share is ” cosmic visions “.
Without forgetting, the tribute to Betty Davis by the talented Holly Bass, under the shape of two poems.
In PORTFOLIO
We will presente the works of two unusual artists: Marc Johnson et Paul Sika.
The FOCUS section
For this issue, the editorial board of AFRIKADAA chose to make a focus on the work of Kapwani Kiwanga, and particularly on her tribute-project entitled “The Sun Ra Repatriation Project”.
Dans la section ARCHITECTURE
Meeting with the Senegalese artist Mamadou Cissé who share with us his “afro-optimism” on the future of African cities.
Dans la section DESIGN
Interview with one of the rising values of the design made in Kenya: Cyrus Kabiru (on the cover of this issue).
In CARNET DE BORD
An exclusive interview of Paul D. Miller (alias DJ Spooky) who share with us his personal point of view on its domains of preference that are art, music and politics.
In EXHIBITION REVIEW
Sonia Recasens returns on a selection of artistic events which stood out these last months.
AFRIKADAA’S PLAYLIST
To conclude your reading, listen to the special AFRO-FUTURISM playlist concocted by Kool Koor !
Enjoy your journey: « Space is the Place [to be] » !
To read the issue click on the link below http://www.afrikadaa.com/p/la-revue.html First francophone webmagazine specialized in afro contemporary art, architecture and design.
Retour en images de l’émission du 7 juin 2013 qui démarre avec l’Expo Grace
au Musée McCord
L’exposition De Philadelphie à Monaco : Grace Kelly, au-delà de l’icône présente celle qui fut la plus célèbre des princesses de Monaco! Femme aux multiples talents, d’actrice à princesse, on découvre Grace Kelly à travers ses robes, ses accessoires, des photographies, des extraits de films, des lettres… L’exposition Grace Kelly au Musée McCord est un plongeon dans l’intimité de la princesse et fait rêver les petits comme les grands!
Bal annuel du Musée McCord
Le mercredi 5 juin, s’est tenu au Théâtre Saint-James le Bal annuel du Musée McCord. Cet évènement est une soirée prestigieuse au profit du patrimoine culturel canadien. Pour cette édition, le Haut Patronage était assuré par Son Altesse sérénissime le Prince Albert II de Monaco! La soirée était divisée en trois parties : un cocktail dès 18h30, où les convives pouvait apprécier champagne Moët et petits fours, suivi d’un diner concocté par la chef Mannica Utapat et pour finir les invités pouvait danser au rythme d’un groupe interprétant la musique de Shine!
Chroniqueur(euse) : Charlène Fowo Animateur(trice) : Joanne Dorcé DJ : Joanne Dorcé Réalisateur(trice) : Sydney Fowo
Hello Peeps ! Pour notre rendez-vous hebdomadaire j’ai choisi de vous parler de Laetitia Dana, chanteuse Néo soul // r’n’b // jazz à laquelle il faut aussi ajouter une vraie influence hip-hop.
En effet le craft de la demoiselle trouve son origine dans le multiculturalisme dans lequel la belle aura été élevée, mère séfarade et père issu de l’Afrique de l’Ouest, influences allant d’Erykah Badu à The Roots en passant B.I.G ou “Bus-A-Bus” Busta Rhyme pour terminer sur Sade ou Outkast.
Ce melting-pot d’inspirations se retrouve bien évidemment dans la musique de Laetitia Dana, difficile d’ailleurs de lui attribuer une case. Son soundcloud regorge de sons dont les productions raviront autant les amateurs de soul electro ou soul Deep house à la “Flying Lotus” comme sur le titre “Lounge Coffee”
par exemple, que les amateurs de sons plus groovy ou dansants comme sur From The Jungle
https://soundcloud.com/laetitia-dana/from-the-jungle-lemy-leopard-feat-la-titia-dana
Ne vous affolez pas ô amateurs de soul ! Si nous vous parlons aujourd’hui de Dana c’est surtout pour vous notifier de la sortie du premier Ep de la star montante de Fresh Records. Iboga “drop” donc le 10 Juin prochain et le teaser mis en ligne par la belle sur sa chaîne YouTube laisse présager de très bonnes choses que confirme son souncloud d’ailleurs.
Résolument plus hip-hop et soul, Laetitia Dana annonce la couleur de ce qui semble être son travail le plus abouti jusqu’à aujourd’hui avec son Woo haa hommage à Busta rhymes, ou encore “Courant d’air” jolie ode de Dana à cet homme insaisissable que beaucoup de femmes ont eu dans leur vie.
10 Juin 2013 date donc à marquer au fer rouge dans vos mémoires, elle correspond à l’avènement d’une artiste que nous suivons depuis un bout maintenant et dont on espère que le talent vous frappera autant qu’il nous a séduit ici chez Afrokan.
Enjoy !!!
Cet article a été rédigé par DILLMATIC du blog DILLMATIC.
Bio de DILLMATIC : Créateur du blog musical et culturel dillmatic dont le but est de faire la promotion d’un “hip hop léché et classieux “, je vous partage mes découvertes à travers clips, documentaires et autres capsules vidéos.
Suivez le sur Twitter : @BowTie_TilliDie
Écoutez son soundcloud : http://soundcloud.com/dillmatic
La chanteuse et DJ Solange Knowles pose pour l’édition juin/ juillet du magazine Complex pour lequel elle y livre un interview-confession sur son style, sa musique et son enfance!
Photographiée par l’équipe JUCO en maillot de bain et en talons hauts, la fashionista répond aux questions de la journaliste Laura Checkoway, qui passe au crible les étapes phares de la vie de Solange, des leçons de vie enseignées par son professeur de CM2, à sa collaboration avec Dev Hynes.
On y apprend qu’à l’école, due à son imagination et à son style vestimentaire hors-norme, elle était régulièrement sujette à des moqueries de la part de ses camarades ! On (re)découvre également que l’origine du succès des Knowles est dû en grande partie à leurs parents, qui leur ont inculqué les notions de persévérance, de ténacité et de patience!
I have a mother who never took no for an answer when it came to her creative pursuits,” she adds. “She started a hair salon in her spare bedroom and four years later had 30 employees. I have a father who was the first Black student at his junior high and high school and had to do a lot to get to that point. So it’s really in my bloodline when it comes to having an idea and making it happen
En attendant de pouvoir tenir le magazine entre leurs mains, les fans de la chanteuse font part de leur excitation sur Twitter :
Solange looks like a modern day Diana Ross in her latest cover/shoot for Complex magazine, love it.
— M (@yungmercy_) 2 juin 2013
Solange’s complex shoot, I’m still in awe. so stunning
— . (@LovingBey_) 2 juin 2013
I need to get that complex magazine with Solange on the cover. I’m gonna have to check Barnes and Noble.