Home Blog Page 117

Le 1er spot publicitaire TV de la marque Nuhanciam

Muriel Berradia
Nuhanciam broadcasted on its Youtube channel tutorials on how to use her products and their benefits.

Petite révolution pour la marque Nuhanciam qui a diffusé son tout premier spot publicitaire.

Nuhanciam est une marque de cosmétique spécialisée pour les soins des peaux mates et métisses. Elle a vu le jour en janvier 2011, suite à l’initiative de Muriel Berradia, une femme d’origine indienne. Elle constate alors la carence, sur le marché des cosmétiques français, de produits adaptés aux besoins peaux mates et foncées.

Muriel Berradia marque Nuhanciam
Muriel Berradia CEO Nuhanciam

Some changes for the brand Nuhanciam which released its first commercial.

Nuhanciam is a cosmetic brand specialized in skincare for brown and dark skin. It has been founded in January 2011, at the initiative of Muriel Berradia, a women of Indian origin. At that time she noticed the lack of skincare products in the French cosmetic market for the brown and dark skins.  

nuhanciam peuax mates

En tant que marque ethnique et nouvelle sur le marché, il est parfois difficile de se faire connaître du public. Nuhanciam multiplie alors les initiatives. La marque présente sa gamme sur sa chaîne Youtube par le biais de tutoriels expliquant comment utiliser leurs produits ainsi que les bienfaits. Des affiches publicitaires Nuhanciam et Inaya sont visibles dans le métro parisien. Enfin, pour être visible auprès d’une large audience, la marque beauté pour les peaux foncées a créé un spot publicitaire diffusé depuis quelques jours sur la chaîne française IDF1.

nuhanciam paris

As a ethnical company and also brand new on the market, it may be hard to be known by the public. The brand broadcasted on its Youtube channel tutorials on how to use her products and their benefits. Nuhanciam advertising posters featuring Inaya are visible in the parisian subway. For appealing to mass audiences the brand recently decided to move at a faster pace by launching a commercial on the french channel IDF1.

Pour réduire les différentes tâches sur la peau (effet du temps, boutons éclatés, soleil…), la gamme Nuhanciam propose un rituel en trois étapes, un gommage, l’application d’un sérum et d’une crème antitâche. Les prix s’échelonnent entre 12.00€ pour l’eau démaquillante  à 43.00€ pour le sérum antitâche et il faudra compter 95.00€ pour la gamme complète.

In order to reduce various skin’s stains (time effect, split buttons, sun…), the Nuhanciam line offers a three-stage program, an exfoliation, a serum application and a anti-stain cream. Prices vary between 12.00€ for the cleansing water to 43.00€ for the anti-stain serum and 95.00€ for the complete range.

nuhanciam traitement

Credits Photos : Nuhanciam ; Radio-Canada

Model Joan Smalls cover Vogue Russia April 2013

Joan Smalls cover Vogue Russia looking chic in black and white tuxedo jackets.

La mannequin Joan Smalls fait la couverture de l’édition du mois d’avril du Vogue Russie. Pour le shooting, elle y apparait en veste en tweed noire et blanche.

Joan Smalls cover

Joan Smalls cover

The Joan Smalls cover for Vogue is credited to the well-known Richard Bush.

Elle est prise en photo par le célèbre photographe Richard Bush.

Joan Smalls for Vogue Russia April 2013

Joan Smalls for Vogue Russia April 2013

Amoung the brand the the top model is wearing the we found mostly french designer such as Saint Laurent, Dior, Balmain, Louis Vuitton, Balenciaga and Lanvin styled by Sarah Richardson.

Parmi les marques portées par la top model, nous retrouvons les grandes maisons de haute-couture françaises tel que  Saint Laurent, Dior, Balmain, Louis Vuitton, Balenciaga et Lanvin, choisies et agencées par la styliste Sarah Richardson.

JoanSmallsVogueRussia3

JoanSmallsVogueRussia2

Joan Smalls has been seen on magazines all over the world and this Vogue shoot marks her 11th cover.

C’est la onzième fois que Joan Smalls apparait sur la couverture du magazine Vogue.

JoanSmallsVogueRussia8

JoanSmallsVogueRussia

Joan Smalls cover

Comment Google veut détourner la diaspora africaine de Skype ?

Google+ Africa Brothers

Quand on fait partie de la diaspora africaine ou d’une autre, il n’est jamais évident de rester en contact avec sa famille.

Prenons une famille ghanéenne éparpillée aux 4 coins du continent : Illinois, California, United Kingdom, New Hampshire et Accra.

Les communications coutent rapidement cher et ne sont pas toujours conviviales. Les gens veulent se voir pour partager des moments sincères.

La meilleure façon de résoudre ce problème passe par l’utilisation d’un chat vidéo efficace. Avec 250  millions d’utilisateurs par mois en juin 2012  Skype semblait le seul outil viable.  Mais avec ses 135 millions d’utilisateurs, Google n’a pas dit son dernier mot et a lancé une campagne de publicité à l’attention de la diaspora africaine.

Dans la vidéo Google+ Africa Brothers, on découvre la famille Ohene Adu qui utilise le service de chat vidéo Google Hangout. Du petit bébé à la coupe afro aux grands-parents en Afrique, tout le monde prend du plaisir à se retrouver en direct.

Voir la vidéo ici :

Accessible à tous ceux qui disposent d’un compte Google+, le chat vidéo Google Hangout permet de parler avec 9 autres personnes, de partager des documents et même de lancer une vidéo YouTube, etc.

Par cette campagne ciblée, diffusée uniquement sur le compte  GoogleAfrica, le géant américain démontre sa volonté d’accroître son nombre d’utilisateurs en Afrique.

diaspora africaine

Plus d’information :

google.com/africa

 

10 facts about Miriam Makeba, Mama Afrika

miriam makeba

Des choses que vous saviez déjà, mais aussi d’autres que vous ne saviez sûrement pas sur Mama Afrika. Voici le 10 facts about Miriam Makeba.

1-

Elle était surnommé Mama Afrika. En effet, la chanteuse a été naturalisée Guinéenne  dans les années 1960, algérienne en 1972 et citoyenne d’honneur française en 1990.

2-

Né le 4 mars 1932 en Afrique du Sud et décédée le 10 novembre 2008 en Italie, le vrai nom de la chanteuse de world jazz et activiste politique est Zenzile Makeba Qgwashu Nguvama.

3-

A 18 ans elle donne naissance à son unique enfant Bongi Makeba. Cette dernière meurt en 1985 en laissant deux enfants, Nelson Lumumba Lee et  Zenzi Monique Lee.

4-

En 1959, elle est contrainte à un exil qui durera 31 ans, en raison de son apparition dans le film anti-apartheid « Come Back, Africa » du cinéaste américain Lionel Rogosin. Son passeport est révoqué ainsi que sa citoyenneté et son droit de retour. Elle restera tour à tour aux Etats Unis et en Guinée.

5-

Ses plus grands succès sont Pata Pata et Malaika. Pata Pata a été un succès sur le Billboard Hot 100 aux US, et a culminé à la 12e place. Pour ce qui est de Malaika, Makeba aura été la première à reprendre   dans son répertoire cette chanson dont la paternité est attribuée au Kenyan Fadhili William

6-

Son retour en Afrique du Sud en 1990 se fait suite à la demande de Nelson Mandela un an avant l’abolition définitive de l’apartheid.

7-

Miriam Makeba a toujours rêvé d’une grande Afrique unie. Pour son pays, elle exhortait ses frères noirs au pardon : « Il faut nous laisser grandir. Les Noirs et les Blancs doivent apprendre à se connaître, à vivre ensemble.

8-

Après « Come back Africa », on l’a souvent vu sur le grand écran dans des films comme « Sarafina », « Amandla!: A Revolution in Four-Part Harmony », …

9-

À la fin de sa carrière, Miriam Makeba avait enregistré 30 albums originaux et 19 albums de compilation, et a collaboré avec d’autres musiciens sur plusieurs autres projets.

10-

A l’occasion du 81 ème  anniversaire de la diva, Google a décidé de lui rendre hommage le 4 Mars dernier  à travers  un logo doodle.

Miriam-Makeba-long-450x181

La vente aux enchères d’art Afro-Américain à la Swann Galleries

The-Hawk-Blah-Blah-Blah-Barkley-Hendricks

La maison de ventes d’art Afro-Américain aux enchères Swann Galleries a communiqué les résultats de sa vente organisée à New York.

Parmi les lots vendus :

The Hawk, Blah, Blah Blah de Barkley L. Hendricks, une toile représentant un portrait d’un disc-jockey vendu pour 132.000 $ ;

The Hawk, Blah, Blah Blah de Barkley L. Hendricks art Afro-Américain
The Hawk, Blah, Blah Blah de Barkley L. Hendricks

Up Balls (1971) de William T. Williams, une toile abstraite de grand format, vendue pour 120.000 $ ;

Up Balls (1971) de William T. Williams
Up Balls (1971) de William T. Williams

Poet #4 (1954) d’Hughie Lee-Smith, une huile sur Masonite vendue pour 120.000 $.

Poet #4 d’Hughie Lee-Smith
Poet #4 (1954) d’Hughie Lee-Smith

Les œuvres d’Elizabeth Catlett ont réalisé de bons résultats dont Sister (1971), une sculpture de marbre vert vendue pour 114.000 $;

Sister d'Elizabeth Catlett
Sister d’Elizabeth Catlett

I Am the Black Woman, 14 gravures sur linoleum, (1946-47), imprimées en 1989 vendues pour 90.000 $ et le monumental Sharecropper, (circa 1952) une gravure sur linoleum en couleur, cédée pour 43.200 $; Missouri (1972) de Charles White vendu pour 26.400 $.Untitled (Vertical Abstraction), (circa 1952) une toile de Norman Lewis pour 40.800 $ Red Landscape (The Lonely One) (circa 1953-57), une toile d’Hale Woodruff vendue 26.400$.

Red Landscape d'Hale Woodruff
Red Landscape d’Hale Woodruff

Parmi les artistes qui ont établi de nouveaux records : Sam Gilliam pour Butterfly Feeling, (1972) une acrylique sur toile vendue pour 72.000 $ ;Frank Bowling avec la toile Dan to Beersheba, (1975), vendue pour 19.200 $;

Sam Gilliam Butterly Feeling
Sam Gilliam Butterly Feeling

 

Afro Inspiration : Jon Gosier, CEO of AppAfrica, Hive Colab and Abiyama

jon gosier
jon gosier

Appfrica International by Jon Gosier was founded in 2008 in Kampala, Uganda as an innovative global consultancy specializing in market research, custom technology solutions, and investment in emerging markets.

His founder, Jon Gosier is also (co) founder of several other initiatives such as AfriLabs, Abayima, Hive Colab, MetaLayer and SeedCapitalAfrica. We met him for an interview.

Blogger, software developer, designer, social entrepreneur, who is Jonathan Gosier?

I am a blogger, software developer, designer and social entrepreneur. (laughs) I grew up in the United States in Atlanta, Georgia where I went to art college.  Growing up I always had a love for computers but it wasn’t until college that I realized that it could be a career. By then I realized that something I had been doing all my life for fun (programming, designing software etc.) was something built businesses and fortunes out of.

Still, I was already headed down a certain path and worked in the music, film and advertising industry for the better part of a decade.  It wasn’t until I got boed of those industries that I decided to pursue technology. At that point I started Appfrica in 2008 while living in Uganda.

jon gosier

What one piece of technology could you not live without? And what are the website you consult the most ?

I think the internet itself has been an indispensable component of my life.  If I look back at what I was doing early in my career, college, and grade school it was going online to better myself and my own education. These things helped me as the school system I was in is actually one of the worst in the United States, so the Internet allowed me to self-educate and remain competitive with some of the best students in the country when it came time to go to College.

In other words, having access to the internet allowed me to ‘live outside my physical boundaries  in ways that would not have been possible if I had been born a decade earlier.

“BUILDING THE FUTURE, FROM AFRICA” concretely how do you proceed?

Practically this means we build high tech solutions from Africa, with mostly African (or African diasporan) staff. But Appfrica also invests in companies like ProWork, SliceBiz, Farmerline, iCow and others through our various programs. By supporting young innovation and investing in the ideas and businesses of young Africans, we help them build their own futures.

Your work been featured in CNN, BBC and more. Appfrica has conducted projects on the ground across 16 African countries in traditional and non-traditional ways. Which ones were the most outstanding?

I’m not sure if you mean which projects of ours or which countries we’ve visited, so I’ll answer both.

Appfrica runs many programs across the continent.  Apps4Africa is our program for catalyzing startup culture and entrepreneurship across Africa, HiveColab is a physical work space and tech hub in Kampala, Uganda, SeedCapitalAfrica is a seed capital fund we founded, and there are many others.  Apps4Africa exceeds our expectations every year, growing in both quality of applicants and reputation year on year.

In regards to countries, every country has it’s own unique features, challenges, and opportunities. Appfrica was born in Uganda so that will always be where our heart is.  I think some of the most surprising tech communities are in places not traditionally associated with the tech sector like DRC and Mozambique.

Right now, how many people are working for you ?

Across our various initiatives, Appfrica has a full-time staff of 7 with 2 additional part-time contractors and 3 interns for a total of 12.

team appafrica

What will be the typical day of your techentrepreneurs ?

The people we invest in all have different schedules and different daily duties. The one thing they all have in common is that they are risk-takers and they are trying to build something out of nothing. On a daily basis the Appfrica staff just tries to find the best ways to help them do so.

Some say there’re small lies, big lies and statistics! How do you proceed to collect the most accurate data?

I love this quote because in some ways all statistics are lies in that they can always be manipulated to show one what they want to see.  For instance: I can say with confidence that because I’ve never seen a space alien, nor can I look through history to find evidence that there were ever any that there cannot possibly be life on other planets.  I can also say with confidence that the sheer number of planets and stars in the known universe makes it statistically unlikely that Earth is the only one that can sustain life.  Which is right?  The answer is actually ‘we don’t know’ and that answer is actually the answer to most scientific questions.

The problem is for humans, ‘I don’t know’ isn’t good enough so we go about trying to prove our assumptions as facts, while disproving the assumptions of others who disagree as fallacy.

But what is fact and what is not fact is a moving target. I read somewhere that the half-life of a proven fact is around 40 years.  So every 40 years or so, science will either modify or completely overturn an assumption that was once considered an infallible truth about our universe.  A good example of this right now is the climate change debate. We’re in the middle of a changing argument.  20 years ago, there was no debate, it was a fringe theory at best. Right now there is a very intense debate going on, and over the next 20 years (probably not even that long) I’m betting this debate will end in the face of of irrefutable evidence one way or the other.  But the point is, at that point, what is considered ‘fact’ has completely changed to the opposite of what it once was.

Collecting the most accurate data is about knowing what your assumptions are, knowing what the evidence says, and trying to remove your ego from making decisions about either.
Data visualisation, mobile phone journalist or internet connectivity, what trends do you foresee in 2013 happening on the continent ?

I think 3D Printing is one that will most revolutionize Africa.  Africa has a manufacturing problem.  It does not compete on any level with the rest of the world when it comes to making things.  Not farming them, not assembling them, but actually engineering and building things. 3D printing has the potential to allow the African continent to leapfrog this challenge and become the makers and consumers of things made in Africa (as opposed to goods imported from Asia, North America, or Europe).

Second, I think better and more accesible education due to connectivity is something else that will revolutionize the continent. Both Microsoft and Google have projects that want to use the upper ‘whitespace’ spectrum that isn’t currently being used in Africa to help connect people in rural areas to the internet.  If they are successful, then we don’t necessarily have to worry about changing the education system of African countries (which over the past 40 years has only been marginally successful), instead we can focus on quality content that allows people to self-educate or take online courses.

AppsAfrica is a competitive funding program for African technologists and innovators runned by Appfrica. We even seen Hillary Clinton launching the last edition! Tell us more about it.

It’s pretty simple, if you have a business or startup that is sustainable and that is technology centric, you fill out an application and a panel of objective judges helps us pick winners who receive $10,000 each in startup capital.  In the past this number was sometimes more or less but going forward we’ve settled on $10k as the right amount to get a venture started.

From there we try to introduce the entrepreneurs to other investors, we mentor them, and we help them promote what they do. We’ve done this now 4 years in a row and have distributed $125,000 in seed capital to early-stage African startups. The best part about this for the entrepreneur is that the capital is non-diluting meaning we don’t take equity.

We do invest for equity as SeedCapitalAfrica, but Apps4Africa is meant to be more of a catalyst or accelerator to get the winning companies ready for investment.

Jon gosier ted
Quick question on your app Abayima. Do you consider it as a political app? What surprised you the most about the use of Abiyama App?

Abayima as an initiative is in fact politically motivated in that our goal is to make technologies that keep individuals connected during times of crisis. Some of the world’s worst human rights abuses are occurring right now around the world because the internet in those countries has been shut-off or mobile networks are compromised.  Abayima provides alternative means for communicating.

But that’s not all Abayima does.  At the end of the day we’re about connecting the unconnected. So the most common use of our OpenSIMKit application is not actually during crisis scenarios, but to help keep people in rural areas abreast of news and current event.

As someone so deeply involve in making change happen, what to you think of this catchphrase: “Africa is the future”?

I think Africa needs prove it.  I’m as pro-Africa as anyone but if Africa is the future, we of the African diaspora need to prove it to the world.  The potential is obvious, but potential also often goes unrealized.

How do we prove it? By transforming our societies from consumption economies to production economies, by electing responsible leaders, by having enough love for our own countries and people that corruption becomes unattractive because of what it costs everyone versus what it gains for self, by building businesses that serve a global market, and by investing in our youth so they have the opportunities some of us never did.

What advice would you give to a young student willing to work in tech industry?

Work hard and don’t expect anyone to give you anything.  Create your opportunities and have the confidence that you can change your own reality.

If I say afro inspiration you answer…

The people.

Anything else you’d like to add?

Visit us at http://appfrica.com or @appfrica on Twitter to keep in touch!

Black & Gold, l’entrepreneuriat au Ghana vu par Jospeh Akwasi

“Black & Gold”, le reportage de Joseph Akwasi traitant de l’entrepreneuriat au Ghana, a remporté la troisième place dans la catégorie Meilleur Documentaire, lors de la compétition d’Afrinolly, qui récompense les meilleurs courts-métrage.

Le festival du court-métrage d’Afrinolly a pour but  d’élargir les débats sur les questions touchant le continent africain.  Par l’entremise de jeunes réalisateurs qui réalisent des courts-métrages et des documentaires, cette compétition vise à motiver et à récompenser ces jeunes talents.

Le documentaire Black & Gold retrace le parcours de Fred Deegbe, jeune ghanéen qui créa la marque de chaussures Heel The Word. Cet ancien banquier voulait prouver à tous que quelque chose de bon pouvait émerger de la jeunesse ghanéenne (et africaine) et qu’impossible n’était rien!

l'entrepreneuriat au Ghana

“Black is for the Hard Work, Gold is for the Reward”. Son parcours ne fut pas simple. Il puisa la force et le courage de mener à bien son projet à l’aide du bracelet à boules Heel the World, composé de boules noires représentant le travail et d’une boule en or, allégorie de la récompense.

black and gold

Pour regarder le reportage dans son intégralité :

7 songs of the Week #13 by Nina Mayers

nina mayers
This one is dedicated to all this people who love music as much as I do. Those people who associate, rhythms, lyrics and sounds to special events in their lives.

It’s been a whole week and I’ve missed my AfroKAN people. It is always a pleasure for me to share my “7 songs of the week ” with you. Truth be told, I am alive end functional only when I have my ear phones bursting with some good soulful music.

#TeamWeLoveMondays say it with me! We LOVE MONDAYS! Come on, I know you love Mondays too and if you don’t just hit up some of the music, it might just cheer you up – no IT IS guaranteed to cheer you up! Nina Mayers says so.

Otis – Jay Z & Kanye West

Sounds so soulful don’t you agree? Man this song, this song….every time I hear it I just want to get up and get out. Be in a desert surrounded by good looking guys and amazing cars. Just throwing my hands up like a mad woman. But the amazing part for me, the old school girl in me just loves the Otis sample. 2011 was a good year!

Our First time – Bruno Mars

It’s so brand new baby…. Do I ever get tired of hearing Bruno Mars high pitch? I doubt it… This one is swinging, mellow, dancy, ballad, reggae….a funny combination that makes me bounce from side to side. I can’t really remember the first time I heard it. Not to long ago nonetheless. It doesn’t evoke much except the urge to move back and forth. If I listen to the words long and hard enough, maybe I’ll think about “our first time”…. But first time songs for me are epic, maybe my play list will eventually allow you to discover them :p But it feels good, have a listen. Just go with it!

Tata N’zambe – Bisso na Bisso

First big French speaking African group to make it to my musical listings. You know my issues and stories with French rap. But Bisso na Bisso broke those barriers very early on in my teenage years. Why? Because their beats were afro funky as I like to call them. It was rap yes, but there was the background of heavy rhythmical drums in most of their music. This one in particular I first heard it on KTN in Nairobi, on one of those weekday shows “kasskass” or “rapem” not quite sure. It was one of those uniting us videos. And the fact that their musicians hail from so many various countries… Anyways, God is great!

Satisfy you – Puff Daddy

Back when he was Puff Daddy….this nigga has been through so many name changes that I honestly don’t know how he is called now in this day and age. In fact I can’t think of the last song I heard from him (that made it to my play list)- maybe coming home? Anyways, as I have mentioned many a times, if you don’t hear something from before the 2002 era on my play list then it means there is something wrong with me. This one is a go to song, a groove to song… Just makes me want to break out and burst a move. R kelly always makes me smile.

In those Jeans – Ginuwine

2003/2004 – around the time I was loving 100% G

I worry about the effect this song has on me today… Ginuwine was the HOT guy when I was growing up. He could sing, he could dance and he could just make anything look good. My most memorable Ginuwine song however is probably “same ol G” but we are not here to talk about that. You can discover all the greatness of Ginuwine in your own time. As far as am concerned he is worth listening to especially because Timbaland is the one who makes his beats. I was probably too young to understand the implications of this song when I first heard it, but I can definitely tell you that today if Ginuwine from the 90s asked to get into my jeans, I would tell him Yes, Yees, YEEESS!

Tchokolo – X Maleya

One of the best Cameroonian discoveries over the years. Let me explain; Cameroon music in the 70s, 80s and 90s was just at its best. We had high calibre musicians with music that was accessible world wide. Everyone could sing to a camer tune. Over the years this trend died and Cameroonian artists could no longer sell themselves across borders. X Maleya to me is one of those groups that has fought that barrier. Why? Because recently I listened to an artist (Timbulo) that had remixed every one of their singles (same shit diffferent language) – that to me is a true attestation to their brilliance.

Anyways, this song make me want to groove…every time…every time. I may not understand everything they say but still. The other thing I like about them is that afro pop vibe. They could rival with the Psquares of this world in my book.

Confessions – Koppo

In my attempt to discover more music from Cameroun I bought as many Cds as possible on my last holiday in Douala. So I heard this Koppo song for the 1st time in December 2011 – although not the first Koppo song I was hearing. What I like about him, he is authentic and talks about real live situations in a cynical and comical way… The fact that he uses street lingo and colloquialisms makes him accessible to the youth. Conscientious artists have never had any real success (anywhere) …Unfortunate, the reality is everyone wants to make money and wants club bangers. Anyways, I will always support these artists…so have a listen. Soft, rhythmic almost r&B like (unfortunately hard to follow if you don’t understand the lingo) but if you want I would galdly translate for you…another time.

No confessions today on this play list. But I hope you enjoy it as much as I did. Tell me about your 7 of the week AfroKANs

D’où vient la croissance africaine ? Par Lionel Zinsou

defis africains
money

La croissance vigoureuse des économies africaines a démenti les pronostics pessimistes portés il y a quelques décennies, quand le continent croulait sous le poids de la dette. D’où vient la croissance africaine, quelles sont ses particularités, que manque-t-il encore à l’Afrique pour faire la course avec les grands émergents ?

ParisTech Review. On parle souvent de l’Afrique au singulier. N’est-ce pas un abus de langage ?

Lionel Zinsou. Il serait évidemment absurde de réduire à un modèle unique les 54 pays du continent, dont les spécialisations économiques et les niveaux de développement sont très variés. Mais l’idée d’une unité africaine n’est pas dénuée de sens, et il faut savoir qu’il s’agit d’une revendication formulée par les Africains eux-mêmes. Cette revendication s’exprime sous plusieurs formes : reconnaissance dans les institutions internationales, représentation au G20 (le siège de l’Afrique du Sud est à cet égard très important), pression pour obtenir un statut de membre permanent au Conseil de sécurité des Nations unies… On peut noter aussi le rôle croissant joué par l’Union africaine. Addis-Abeba, où siège l’UA et où se trouve également la Commission économique pour l’Afrique de l’ONU, apparaît ainsi comme la capitale du continent.

Cette revendication d’unité répond à un mouvement d’intégration croissante au plan économique. Les pays africains échangent de plus en plus entre eux, et pas seulement des biens : les flux d’investissements directs étrangers à l’intérieur du continent sont également très dynamiques. Par exemple, les Sud-Africains investissent dans les télécoms, les mines d’or, l’agroalimentaire, et ils créent aussi des entreprises financières, notamment dans le private equity. Le Maroc investit dans la banque et les transports. L’Égypte se tourne vers le Soudan et l’Afrique de l’Est. Ces flux financiers transfrontaliers traduisent l’émergence de puissances régionales, capables d’exporter des capitaux. On peut y voir aussi, bien sûr, un signe des différences de développement.

Ces différences de rythme traduisent-elles l’existence de différents régimes de croissance ? Plus largement, quels sont les facteurs qui expliquent le décollage économique du continent ?

Il y a effectivement des régimes de croissance variables selon les pays, ce qui renvoie à la complexité des causes de la croissance : pour expliquer le dynamisme actuel de l’Afrique, on peut identifier plusieurs variables, qui se combinent différemment selon les pays. Essayons d’y voir plus clair.

Ce qu’on met en avant, le plus souvent, c’est la hausse des prix relatifs des matières premières minérales et agricoles (produits alimentaires, coton). Il y a, c’est vrai, un trend de rareté sur un certain nombre de ces matières, dont les cours ont tendance à monter. Il faut savoir cependant que cette hausse est inégale : elle est faible sur le coton, un peu plus vigoureuse sur le café et le cacao, réelle mais volatile sur les hydrocarbures, et enfin elle est forte sur les terres rares et les métaux.

Mais ce qui me semble tout aussi important, c’est qu’en même temps on assiste à une baisse du prix des produits manufacturés, qui sont encore largement importés. C’est donc ce double mouvement qui est intéressant : par rapport à il y a dix ans, avec une quantité donnée de coton ou de diamant, on peut acheter aujourd’hui davantage de machines-outils, d’équipements agricoles, de matériel pour développer des infrastructures… Le continent dans son ensemble présente ainsi depuis plusieurs années un excédent commercial. Le double mouvement de hausse des cours pour les productions locales et de baisse des prix pour les produits importés se traduit par un effet significatif en termes de pouvoir d’achat – ce qu’on appelle en économie les « termes de l’échange ».

La deuxième grande variable, c’est que depuis une quinzaine d’années, les flux financiers sont positifs. C’est plus sensible au Maroc et moins au Bénin, mais c’est un mouvement qui touche l’ensemble du continent et qui me semble fondamental. Des années 1960 aux années 1980, on assistait au contraire à des sorties de capitaux. Aujourd’hui, c’est l’inverse.

Pouvez-vous préciser la nature de ces mouvements de capitaux ?

Il y a tout d’abord le désendettement. Alors que de nombreux pays très endettés consacraient une part sensible de leurs revenus à payer des intérêts, le désendettement a permis de freiner ces sorties de capitaux.

Ce désendettement a pris deux formes. L’annulation de dette, tout d’abord : l’initiative PPTE (« pays pauvres très endettés »), qui a annulé une partie de la dette en échange du développement de services sociaux, a été à cet égard une révolution. C’est d’ailleurs une manière beaucoup plus judicieuse de gérer l’aide au développement : quand on travaille avec des aides directes pour soutenir des projets qu’il faut gérer dans le temps, un milliard versé représente environ 400 millions d’aide utilisée sur le terrain. Alors que si on annule la dette publique, un milliard égale un milliard.

Deuxième forme, le remboursement de crédits. Des pays comme l’Angola, l’Algérie, le Nigéria ont ainsi remboursé leurs dettes. En une décennie, et sans négliger bien sûr l’impact de la croissance du PIB africain, on est passé d’un endettement public moyen de 125% du PIB à 25% seulement. Se désendetter ainsi, c’est se donner la possibilité de se ré-endetter, mais d’une façon plus judicieuse, à meilleur compte par exemple, ou sur des projets porteurs de croissance économique et non sur du fonctionnement.

Au désendettement s’ajoutent des entrées nettes de capitaux. Il y a par exemple les flux de financement par la diaspora, qui sont très importants. Au Maroc, cela représente 15% du PIB par exemple. Au Cap Vert, c’est plus de la moitié ! Si l’on considère les chiffres en valeur, ce sont le Nigéria et le Soudan qui en bénéficient le plus. En tout, la diaspora apporte de 50 à 60 milliards de dollars par an, un montant équivalent au total de l’aide publique au développement.

Il y a enfin les investissements directs étrangers. J’évoquais tout à l’heure ceux des pays africains dans d’autres pays africains, mais il y a bien sûr les flux provenant de l’extérieur du continent : l’Europe, l’Asie, l’Amérique… Les grands émergents sont venus réveiller la conscience du monde sur l’intérêt de l’Afrique. Les capitaux du Brésil sont partout en Angola et au Mozambique. La Chine s’est beaucoup concentrée sur les investissements des secteurs des ressources naturelles et les infrastructures. L’Inde a réalisé la plus grande transaction jamais conclue en Afrique : le rachat du réseau téléphonique africain du Koweïti Zain par Bharti. On pourrait citer d’autres exemples… Mais les grands investisseurs traditionnels se ré-intéressent : européens et américains. Il y a désormais émulation et accélération.

Le continent dans son ensemble présente ainsi, on le sait trop peu, une balance des paiements courants excédentaire, qui tient pour partie à l’excédent commercial, et pour partie à l’excédent des flux de capitaux.

Ce double excédent permet d’accumuler des réserves – l’Afrique suit ici clairement un chemin emprunté par la Chine. Savez-vous par exemple que les avoirs cumulés des Banques centrales africaines représentent 500 milliards de dollars, soit plus que l’Union européenne ? Ces avoirs, il est vrai, sont concentrés dans quelques institutions : la Banque centrale nigériane, celle de l’Algérie, celle de la Libye.

On voit bien comment ce contexte peut libérer la croissance économique, qui atteint 5% par an pour l’ensemble du continent. Mais, plus précisément, qu’est-ce qui nourrit cette croissance ?

L’essentiel de la croissance est permis par des gains de productivité dus à la technologie. Le mouvement de gain de pouvoir d’achat que j’évoquais tout à l’heure permet d’importer de la productivité, en incorporant de la technologie dans la production de biens et de services. C’est notamment le cas dans les télécoms mais aussi, dans la production agricole. Dans la production agricole, les gains de productivité se font parfois selon un multiple de un à 10. Au Bénin, par exemple, l’écart de productivité à l’hectare sur le coton est de 600 kg à 3 tonnes (avec une moyenne de 700). On mesure ce que représente l’apport de capitaux et l’intégration de la technologie. Si l’on prend la production marchande de lait, on peut passer avec les mêmes espèces animales de ½ litre par jour à 15 litres, soit un écart de un à 30. Il y ainsi de 30 à 40 ans de croissance économique devant nous simplement par la croissance de la productivité agricole.

Le développement des services est également source de croissance. L’Afrique, ce n’est pas du manioc, du pétrole et des terres rares : c’est tout cela, mais aussi des transports, du commerce, du tourisme, des télécoms, etc. Et la contribution de la production agricole et minière au PIB est minoritaire.

Il faudrait citer aussi la bancarisation accélérée, qui permet de faire entrer davantage d’activités dans l’économie formelle, mais aussi de développer le crédit et donc l’investissement.

Lire la suite sur ParisTechreview :

La 7ème édition des Journées Camerounaises de l’Autisme

En parallèle à la journée mondiale de l’autisme célébrée chaque année à la date du 02 Avril,  Madame Marie Mélanie BELL, directrice du Centre Orchidee Home (COH) organise depuis sept années consécutives les Journées Camerounaises de l’Autisme (JCA). Elles se tiendront comme par le passé sous le Haut Patronage de la Première Dame Chanta BIYA du 1er au 5 Avril 2013 et sur deux sites : du 1er au 2 Avril à Yaoundé au MINEDUB, et du 3 au 5 Avril à Douala au COH.

L’objectif visé est de renforcer la sensibilisation des pouvoirs publics, des partenaires au développement, des acteurs privés et de la société civile, des Collectivités territoriales décentralisées et des familles sur l’importance, la nécessité et l’urgence d’une éducation inclusive au profit de l’enfance en difficulté en général, et les enfants atteints d’autisme en particulier.

Au Cameroun, la prise en charge des enfants autistes ou de troubles de l’enfance en difficulté (TED) au sein des structures spécialisées et adaptées est très insuffisante. Handicap neurobiologique causé par des anomalies du développement et du fonctionnement cérébral, l’autisme est mal connu et encore assimilé à la sorcellerie. C’est  un trouble du comportement qui se manifeste par une inadaptation à l’environnement social et familial et une impossibilité à communiquer avec son entourage.

Mais avec le temps quelques structures spécialisées sont mises en place, à l’instar du Centre Orchidée Home à Douala ou encore le Cesam Créra à Yaoundé. Les JCA 2013 sont une énième occasion de sensibiliser les parents, familles et personnes concernées de près ou de lien par cette maladie. AFFICHE-JCA-2013

La nature humaine et le principe d’égalité aujourd’hui Par Jean-Joseph Agoua

Partie 2 : La nature humaine et le principe d’égalité aujourd’hui.

cliquez ici pour la partie 1

Qu’est-ce que l’homme ? Question fondamentale de la philosophie et de l’histoire, s’il est pour certains. La recherche du sens de notre de différence, de notre supériorité supposée aussi, au sein du règne du vivant a toujours été un moteur majeur de notre évolution, en tant que genre  et en tant qu’espèce. Depuis l’ère moderne, le signe distinctif de cette quête transita par la volonté avouée et marquée de dompter la nature externe, autrement dit notre environnement. Cette mission que la race humaine s’est donnée à elle-même connaît aujourd’hui grâce aux ouvertures des technologies convergentes, une dimension parallèle.

La science procède à des modifications procédurales de l’ordre établi, c’est-à-dire, la possibilité de modifier notre nature interne, biologique,  spirituelle, et humaine tout simplement. Mais alors que la maitrise du monde et les tentatives d’interprétation de l’univers servirent d’outils à la conquête de ce que l’on nomme a postériori PROGRÈS. L’idée qui ressort est celle d’une transgression, une transgression de la frontière entre nature externe et nature interne, comme le laisse sous-entendre Jürgen Habernas (Auteur que nous avons souvent utilisé comme référence dans nos études en  science politique) dans son livre « L’avenir de la nature humaine ». Il y critique l’ « eugénisme libéral », c’est-à-dire la possibilité pour les parents de modifier librement le génome de l’enfant à naitre, ôtant par la même occasion à celui-ci, son droit à l’indéterminé.

Pour le citer, il estime par exemple que : «  le phénomène préoccupant, c’est la disparition de la frontière entre la nature, que nous somme, et l’appareil organique que nous nous donnons. ». Selon Habernas, l’égalité dialogique essentielle aux échanges entre individus serait rompue lorsqu’une autre personne intervient dans le récit de vie d’un être en devenir. On perçoit ici une dualité dialectique entre amélioration et dénaturation, altruisme et hétéro détermination, paternalisme parental et autonomie de l’individu ou encore liberté et dignité. Selon ma pensée, c’est justement sur ce dernier point que la volonté de transformation de l’être humain constitue une transgression. A contrario ceux et celles qui s’inscrivent dans le paradigme libéral, sans verser dans l’apologie quasi mythique des TRANSHUMANISTES pour la technoscience, affirment dans le titre de plusieurs ouvrages (Exchancing Evolution de John Harris ou encore, Redesigning humans, De Gregory Stock) un exercice large de la liberté.

En sommes la référence au naturel représente bel et bien le bastion suprême d’interdiction et de protection pour les conservateurs, de même que l’argument d’autorité ultime lorsque la rhétorique de leurs constitutions vient à faillir. Pour les libéraux, le naturel n’est pas normativement figé et est subordonné à l’expression de la liberté individuelle, alors que pour les TRANSHUMANISTES, il est aisé de voir où et comment se dessinent les zones de fractures entre les partisans et détracteurs de l’amélioration, mais à ce stade et dans l’objectif introductif que se fixe cette réflexion, il est simplement question qu’au-delà des divergences de forme, la question qui se pose vise à déterminer , afin de la protéger, la part d’humanité en l’homme.


Cet article a été rédigé par Jean-Joseph Agoua du blog jeanjosephagoua
Bio de Jean-Joseph : Responsable du think tank Générations Horizons. Journaliste Pigiste pour le Bouquet Africa. Jeune homme dans la vingtaine en quête de vérités! Mes écrits n’engagent que ma personne.
Suivez-le sur Twitter : @doublej75

L’humanité (partie 1) par Jean-Joseph Agoua

Après bientôt quatre siècles de cartésianisme et de volonté de « maitrise de la nature » (Hegel), l’humanité se retrouve face à elle-même. Ce que certains intellectuels aiment appeler « amélioration humaine » est une vaste question à mon sens. Dès lors, de quoi parle-t-on ? Je (on se permet de prendre ce risque) vise dans ces questionnements une réflexion de l’être humain par la technique.

Cette dernière qui, dans cette société postmoderne (dans une certaine mesure), est passée d’un statut d’outil objectivité à un véritable cadre autonome fonctionnant selon ses propres lois. Ce système détermine graduellement chaque aspect de notre existence. Celui-ci a déstructuré les représentations sociales et déconstruit les normes symboliques. Nos (j’emploie ce déterminant, car force est de constater que c’est le paradigme dominant, même dans les pays émergents ou « sous développés ») sociétés démocratiques libérales, capitalistes et individualistes, sont caractérisées par un culte exacerbé de la compétition et de la performance. Souvent pour en faire quoi par la suite ?

Le sujet, enfermé dans la bulle de l’individualité est passé d’un partage entre le PERMIS et le DÉFENDU à un déchirement entre le POSSIBLE et l’IMPOSSIBLE. La gamme des horizons ouverts a considérablement augmenté la responsabilité des choix posés et de leurs conséquences, horizons rendus possibles et réalisables par le progrès scientifique et technologique.

Le caractère matériel du réel a de la sorte, pris le pas sur l’IDÉEL de nos constructions THÉORIQUES. Pour s’adapter à la complexité sans cesse grandissante de ce monde, mû, semble-t-il, par sa propre rationalité, il est donc impératif de redéfinir non seulement notre environnement, mais aussi d’examiner de façon critique les possibilités de changer ce que nous sommes appelés « nature ».

La possibilité de plus en plus marquée d’un au-delà de l’humain, d’un posthumain diront certains, pour ne pas dire tout le monde, recoupe malgré toute sa nouveauté, les trois questions fondamentales à mon sens: que puis-je faire?. : La dimension déontologique d’un humain se voulant pourtant de plus en plus libre, à la fois vis-à-vis des normes sociales et à la fois vis-à-vis des normes naturelles. Deuxièmement, que puis-je espérer ? C’est-à-dire, un espoir parfois utopique versé dans le progrès, face aux craintes que celui-ci ne manque pas non plus causer. Ces interrogations ramènent toutes à la question synthétique suprême : qu’est-ce que l’homme ? Dans sa formulation sémantique et universelle, elle constitue probablement le point névralgique de tous ces questionnements.

Le déterminisme de ce qui pouvait un jour sembler être le destin de l’espèce, à progressivement laissé la place à une liberté DÉMIURGIQUE d’une sorte d’auto contrôle. La logique de l’évolution selon Darwin (je ne suis pas un grand admirateur de ses théories histoire de nuancer le tout marquer un paradoxe), risquerait peut-être alors de s’estomper sous la pression technique d’une requête visant à installer une évolution voulue et décidée unilatéralement par l’homme. C’est d’ailleurs très précisément, les deux versants de cette crainte que se cristallisent les forces en présence de cette problématique.

En somme, pour mieux comprendre les fondations philosophiques et les enjeux que la question de l’amélioration de l’être humain incarne, de même que de permettre une entrée tout aussi introductive que didactique dans le sujet, un panorama des différents courants, ainsi que de leurs arguments d’opposition, s’impose.

Fin de la première partie.


Cet article a été rédigé par Jean-Joseph Agoua du blog jeanjosephagoua
Bio de Jean-Joseph : Responsable du think tank Générations Horizons. Journaliste Pigiste pour le Bouquet Africa. Jeune homme dans la vingtaine en quête de vérités! Mes écrits n’engagent que ma personne.
Suivez-le sur Twitter : @doublej75

Projecteur sur Clarisse Albrecht, la mulata universal

Le nouveau clip de Clarisse Albrecht apporte du soleil dans notre hiver.

Clarisse Albrecht est née d’un père français et d’une mère camerounaise. Son enfance, elle l’a passée entre la Guinée-Bissau, le Mozambique et la France.

Après son baccalauréat en Lettres & Langues, elle étudie le Cinéma à La Sorbonne. C’est à cette époque que cette mélomane, membre d’une chorale de Gospel puis choriste dans un groupe de reprises Soul & Funk, décide de devenir interprète.

Clarisse_Albrecht_2    

Elle se plonge dans le répertoire des standards brésiliens : MPB, Bossa, Samba et s’imprègne de la culture brésilienne synthèse de ce qu’elle est, africaine et occidentale.

Son premier single “Você Me Dá” est gagnant du MOAMA 2011 comme Meilleure Chanson de la Diaspora africaine. Clarisse écrit, compose, en portugais et en anglais. Sa musique est l’expression de son identité “mulata universal”, métisse universelle.


Clarisse_Albrecht_3

Não Posso Parar, disponible depuis février dernier est un single Soul et Bossa Nova qui signe le retour de l’artiste franco-camerounaise. Le single propose même deux remix produits par Lugo Santiago Afrodiziac et Macrofunk. Une version plus groove l’autre plus deep.

Le style de Clarisse est empreint de nostalgie néanmoins il est chaleureux. Deep-house, musique du monde et de la bossa se mélange avec une voix suave et fragile.

“À travers ma musique, je suis prêt à partager un état d’esprit, une ambiance, une émotion …”

Découvrez en exclusivité le clip de Não Posso Parar réalisé par Ivan Herrera :


Pour aller plus loin :

Site : www.clarissealbrecht.com
Facebook : www.facebook.com/clarissealbrecht
Twitter : www.twitter.com/clarisseonline
Instagram : www.instagram.com/clarissealbrecht

Pivot East : Conférences et Compétitions de Start-ups dans le Mobile en Afrique de l’Est

pivot-east
pivot-east

Qu’est-ce que Pivot East ?

Pivot East
Pivot East

Pivot East est la plus grande compétition entre start-ups du Mobile en Afrique de l’Est tenue annuellement depuis 2011. C’est une initiative de m:lab East Africa dont le rôle est d’accélérer la croissance des start-ups, avec un objectif d’amplifier et consolider les gains de l’écosystème entrepreneurial de l’Afrique de l’Est.

Les start-ups participants à Pivot East doivent être domiciliés dans l’un des pays : Ouganda, Kenya, Tanzanie, Rwanda, Éthiopie, Soudan du Sud, Somalie ou République Démocratique du Congo.

m:lab East Africa tiendra son troisième Pivot East le 25 et 26 juin 2013 à Kampala en Ouganda. Parmi les sponsors de Pivot East 2013 se trouvent : Microsoft, Samsung, Qualcomm, Nokia, Facebook, et bien d’autres.

Qui est le producteur ?

Moses Kemibaro
Moses Kemibaro

Le producteur de Pivot East 2013 est Moses Kemibaro, un célèbre professionnel dans les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) basés à Nairobi, au Kenya. Il est le fondateur de Dotsavvy, une agence de Marketing numérique au Kenya.

Au cours des dernières années, Moses a servi en tant que directeur des ventes chez InMobi, le leader mondial de publicité mobile avec une portée importante en Afrique de l’Est. Moses apporte sa grande connaissance et expérience dans l’écosystème mobile en Afrique à Pivot East 2013.

Quels sont les objectifs de Pivot East en 2013 ?

L’objectif le plus important de Pivost East 2013 est de faciliter la découverte de la prochaine vague de start-ups mobile à fort potentiel. La principale différence entre la compétition de 2013 et celle des années précédentes est la volonté que les start-ups deviennent des entreprises viables et pérennes, au lieu de simplement présenter les applications mobiles des développeurs.

La compétition inclue 5 catégories avec chacune 5 finalistes présentant devant une riche audience d’investisseurs, de partenaires au développement, de représentants du gouvernement, d’opérateurs télécoms, etc. Les catégories sont les suivantes :
– Mobile pour la Finance : paiements mobiles, banques, assurances, etc.
– Mobile pour les Entreprises : gestion du capital humain, chaîne de valeur, marketing, production, clients, etc.
– Mobile pour le Divertissement : jeux, réseaux sociaux, magazines, musique, vidéo, photographie, etc.
– Mobile pour la Société : éducation, agriculture, santé, gouvernance, thèmes de développement social
– Mobile utilitaire : applications pour améliorer la convivialité et la polyvalence des appareils mobiles.

Cette compétition donne aux start-ups la possibilité de présenter leurs applications mobiles aux opérateurs de télécommunications, aux Venture Capitalists, aux Business Angels. Elle facilite ainsi l’intégration de ces start-ups dans les programmes d’incubation de m:lab East Africa.

Quelles sont les prochaines étapes ?

De nombreux succès tels que M-Pesa, M-Farm, MedAfrica témoignent du fort intérêt pour les technologies mobiles en Afrique de l’Est. En parallèle près d’une 50 incubateurs et Tech hubs (structure d’accompagnement de projets de création d’entreprises) se sont déjà construits aux quatre coins du continent et continuent à fleurir au rythme d’un nouveau par mois.

Pourrions-nous observer un jour l’équivalence d’un Pivot East pour l’Afrique de l’Ouest, du Centre, du Nord et du Sud afin d’accélérer et pérenniser le développement technologique du continent ?

Liens utiles

Sit web
Moses Kemibaro


Cet article a été rédigé par Boubacar Diallo du site Tutorys.com
Bio de Boubacar : Cet article a été rédigé par Boubacar Diallo du site Tutorys.com Bio de Boubacar : Co-fondateur de Tutorys (Formations en ligne sur les applications Web). Tutorys est un site web qui vous permet d’apprendre à utiliser des logiciels comme Mailchimp, Twitter, Dropbox, Photoshop avec des tutoriels vidéo de qualité.
Suivez-le sur Twitter : @BoubacarDiallo

Mais où sont tous les Noirs célibataires (qui en valent la peine) ?

single black male
single black male

Best Black Dating Sites fournit des informations, des offres, des coupons et des conseils principalement orientés vers célibataires afro-américains intéressés dans les sites rencontres. (Lire le dossier : l’amour en ligne tour d’horizon des sites de rencontres).

De plus, l’auteur éditeur Joseph Atkin alimente la communauté des célibataires Noir(e)s en fournissant des articles de fond sur le blog. Revenons sur leur dernière infographie répondant à la question controversée  «Où sont tous les Noirs célibataires qui en valent la peine ? »

Selon Best Black Dating Sites, cet homme là doit répondre à certaines conditions. Il est doit être Noir, hétérosexuel, intéressé par les femmes Noires, jamais emprisonné, diplômé, avoir un emploi, gagner au moins 30 000$/an, être beau et en forme, ainsi que ne pas avoir d’enfants avec une femme. 

Léger problème si on fait le calcul il n’y aurait que 3 “bons” Noirs pour 100 femmes Noires.

Les statistiques présentées datent de 2011 et sont parfois douteuses (55% des Noirs de Chicago auraient un casier judiciaire). L’erreur mathématique réside aussi dans la façon de soustraire des variables dépendantes (école, travail, salaire) tel que le suggère l’étude.

Il y a les petits mensonges, les gros mensonges et les statistiques. Et puis imaginons que les 100 femmes Noires soient filtrées de la même façon, le ratio tomberait surement à 3 “bons” hommes Noirs pour 7 “bonnes” femmes Noires (fight!). 

Cependant, nous sommes cependant en droit de s’interroger sur le constat. Est-ce un ressenti que vous partagez ? Pensez-vous que l’amour répond à certains critères ? Et plus important Mais où sont tous les Noirs célibataires (qui en valent la peine) ? 

Laissez votre avis dans les commentaires. 

WhereAreAllTheGoodSingleBlackMen.jpg

Frantz Fanon : Recueil de textes introduit par Mireille Fanon-Mendès-France

Né en 1925 sur l’ìle de la Martinique et décédé à 36 ans, le 6 décembre 1961, Frantz Fanon reste formidablement présent et éclairant.

Docteur en médecine psychiatrique, militant, compagnon de combat du FLN algérien, écrivain, on lui doit plusieurs ouvrages et écrits. Les plus connus, Peau noire, masques blancs et Les Damnés de la terre, comme les autres frappent par leur surprenante actualité et leur caractère souvent prémonitoire. Aussi, génération après génération, la lecture de Frantz Fanon s’impose au cœur et à l’esprit de qui veut changer le monde.

Vient de sortir- Frantz Fanon - Collection Pensees d'hier pour demain - CETIM

« C’est que, pour ceux qui résistent, derrière l’appropriation des mots de liberté, de justice, de droits des peuples par les tenants de l’ordre impérial et néo-colonial, se révèle, dans la misère et l’exploitation, la permanence de la laideur du désordre du monde. »
Mireille Fanon-Mendès-France

Ce petit livre présente un choix de textes de Fanon parmi les plus marquants sur le racisme, le néo–colonialisme, la migration, l’aliénation, la perversité des discours dominants…

TABLE DES MATIÈRES

Brève notice biographique
Introduction :
Lire Frantz Fanon aujourd’hui, par Mireille Fanon- Mendès-France
Textes de Frantz Fanon :
Mésaventure de la conscience nationale (Extraits du chapitre 3 du livre Les damnés de la terre)
Racisme et culture (Extraits de l’intervention de Frantz Fanon au premier Congrès des écrivains et artistes noirs à Paris, septembre 1956. Publié dans le numéro spécial de Présence africaine, juin-novembre 1956)
L’Algérie face aux tortionnaires français (Texte publié dans El Moudjahid, N° 10, septembre 1957)
Pour en savoir plus

ISBN 978-2-88053-091-4
Prix: 11 CHF | 8.50 €
96 pages

Commandes pour les librairies en France, Belgique et Luxembourg:
Collectif des éditeurs indépendants (CEI)
37 rue de Moscou, FR-75008 PARIS
Tél. : +33 (1) 45 41 14 38. Fax : +33 (1) 45 41 16 74
Courriel : collectif.ei@gmail.com
Site web : www.collectif-des-editeurs-independants.fr

La Collection “Pensées d’hier pour demain” Série Afrique et Caraïbes du CETIM se propose d’offrir au public, jeune en particulier, de courts recueils de textes de divers acteurs qui, hier, furent au coeur de la lutte des peuples pour l’émancipation et dont, aujourd’hui, la pensée s’impose toujours comme de la plus grande actualité.

Levi’s x Liberty London Spring Summer 2013

A l’occasion du printemps, les US et les UK s’associent pour créer la collection capsule Levi’s x Liberty London!

Liberty London

Le Liberty Design Studio a en effet mis au point le “Carlin”, motif pictural fleuri, et “Kerr Bandana” qui, comme son nom l’indique, reproduit le motif bandana.

liberty x levis 2 La collection Levi’s x Liberty London, qui est composée de 15 pièces, revisite nos classiques, dont le fameux short en jean 501  ou encore  le jean skinny boyfriend sans oublier la veste denim!

Levis

Disponible chez Liberty London à Londres en avril puis progressivement dans les boutiques Levi’s du monde entier et sur le e-shop des marques Liberty London et Levi’s début mai. En attendant, on se contente de la campagne publicitaire.

VUE-DE-STYLE1

Projecteur sur Marcus Gram et son remix Azonto : Niggas in Africa

Azonto Dance Jay-Z & Kanye West - Ni**as In Paris - Marcus Gram Remix Niggas In Africa
Azonto Dance Jay-Z & Kanye West - Ni**as In Paris - Marcus Gram Remix Niggas In Africa

Auparavant connu sous le nom DJ Lord, Marcus Gram changé mon nom d’artiste pour donner une nouvelle évolution à sa carrière. Une évolution qui a des consonances Afro House. Nous l’avons rencontré dans le cadre de son dernier projet le remix Azonto de Niggas in Paris : Ni**as in Africa.

Bonjour Marcus, Tout d’abord, présente-toi pour nos lecteurs.

Marcus Gram est un DJ, producteur qui réalise aussi mes vidéos. Je mix du Tropical Rnb et Hip-hop et j’évolue sur la scène européenne depuis 10 ans j’habite en Suisse à Lausanne.

D’ou t’es venu l’idée de faire un remix Azonto de Ni**a in Paris ?

J’aime remixer tout et n’importe quoi je remix du rap en passant la variété française (pas mal de mes remix je les joue dans mes soirées) et j’aime surtout remixer et mélanger des titres qui ne se font pas d’habitude.

Mes idées viennent, quand j’écoute un titre et surtout à quelle vitesse est le titre. Le Ni**as in Paris est un remix que j’ai fait il y a 1 année et il est devenu un gros tube, quand je le joue en club tout le monde bouge, comme il était à 70bmp et que les bases du coupé décalé, kuduro ou les musiques africaines sont à 140 BMP.

C’était propice à un bon remix. Après avec le temps et mes événements j’ai rencontré les danseurs et j’ai proposé l’idée de faire un clip avec ce remix, car beaucoup de personnes me demandaient ce remix. D’ailleurs il y a plein de sons raps propices à des remix de ce style, j’en fais un dernièrement Cheef Keef – I don’t Like que vous pouvez retrouver sur mon site: http://www.marcusgram.com/news/chief-keef-i-dont-like-marcus-gram-kuduro-remix/

C’est quoi les ingrédients de la musique Azonto ? Parle-nous un peu du processus créatif.

Pour ma part, l’Azonto est un tout, il y a la musique et l’instrumental reste le standard afro, mais très minimal, il y a très peu de notes et une grande place aux percussions et parole. Il n’est par rare de voir un titre Azonto avec 1 voir 2 notes.

Après il y a la danse qui marque complètement le style et la manière dont les artistes rappent ou chantent est différente des autres styles africains.

Azonto Dance Jay-Z & Kanye West - Ni**as In Paris - Marcus Gram Remix Niggas In Africa (3)

Revenons au tournage, alors où s’est passé le tournage de “Niggas In Africa”?

Lausanne, Suisse dans un parking.

Et comment s’est passé le tournage ? C’est quoi l’affaire des masques Anonymous (rires)?

L’idée de base était un parking et comme c’est moi le réalisateur j’ai fait participer tous les danseurs et chacun a donné des idées et vous avez vu le résultat.

Pour les masques (rires), c’était juste histoire de se démarquer. Tout le monde prend les mêmes masques dits “Afro Mask” je me suis dit on va ne pas faire la même chose et encore prendre ces masques blancs.Comme les Anonymous ne parlent jamais alors j’ai décidé de les faire danser. (Rires)

Azonto Dance Jay-Z & Kanye West - Ni**as In Paris - Marcus Gram Remix Niggas In Africa (2)

Présente-nous un peu les danseurs ? Vous êtes originaires d’où ? Où peut-on les voir performer d’habitude ?

Alors tous les danseurs vivent en suisse CliquMe et Jones sont de la RD Congo, Travis, Mikel et BenJ 100% Azonto du Ghana. On peut les voir dans différents événements en Suisse.

Et toi tu ne sais pas comment danser l’Azonto ou bien (rires) ?

Je me débrouille comme je peux (rires). Je sais bouger et j’ai dansé plus jeune, mais je suis loin du niveau des danseurs de la vidéo.

Parle-nous un peu de toi, sur quoi tu as travaillé avant cela?

Je suis un touche-à-tout et en général j’ai de la facilité avec les nouvelles technologies, je mix beaucoup en Suisse et France & Belgique peut-être un jour chez vous au Canada.

Avant cela j’ai sorti des singles et un clip des 2010 et plein d’autres remix. J’ai réalisé environ 25 clips pour des artistes indépendants en Europe vous pouvez voir les vidéos sur mon site dans la rubrique video director.

Niggas In Africa

Quels projets as-tu pour 2013 ?
J’ai fait 2 autres remix cette année et je viens de sorti mes nouveaux single et clip, une nouvelle danse die le “Bah Bravo Morray” déjà disponible sur toutes les plateformes de téléchargement et sur YouTube. 

Pour cette danse je me suis inspiré de clash Booba, La Fouine, Rohff. Booba avait dit dans la phrase “Bah Bravo Morray” dans le titre “AC Milan” et “TLT” pour félicité La Fouine concernant son casier judiciaire. Suite à cela, ça m’a inspiré une petite danse (rires), la réussite de Booba me motive et m’inspire alors, j’ai fait ce titre pour le fun et je l’ai fait écouté à mes proches et ils m’ont motivé à sortir ce titre, donc j’ai fait le casting, la réalisation et le montage du clip en 2 semaines. Histoire d’être dans le mouvement. Je vais me consacrer à la promotion de ce titre ces prochaines semaines et je sortirais mon prochain single plus afro pour l’été.

Merci pour cette entrevue.

Merci à la Team AFKL vous pouvez trouver toute mon actualité sur mon site


Plus d’information sur les réseaux sociaux de Marcus Gram

Facebook : http://www.facebook.com/djmarcusgram
Youtube :
Instagram : http://instagram.com/djmarcusgram/
Soundcloud :

Les Essentiels de Botanikap – Lift Minceur Défi Capitons de Clarins

Le printemps débute cette semaine, c’est le moment idéal pour préparer la venue de l’été avec le Lift Minceur Défi Capitons!

Clarins lift minceur défi capitons(prix: 65$)

À qui s’adresse le Lift Minceur?

Pour les femmes, toutes formes confondues, qui souhaitent affiner leur silhouette, raffermir la peau et réduire les capitons sur les cuisses, les hanches et les fessiers.

En quoi le Lift Minceur se démarque-t-il?

Formulé sans parabène et testé sous contrôle dermatologique, le Lift Minceur intervient à toutes les étapes de la formation du tissu adipeux en réduisant l’apparence des capitons rebelles et en prévenant l’apparition des nouveaux. Grâce à son action raffermissante et drainante, il embellit l’aspect de la peau en surface.

La texture gel-crème rosée ultra-fondante procure une sensation de fraîcheur et de légèreté immédiate, en plus d’un effet tenseur sur la peau qui paraît plus lisse. Le produit est rapidement absorbé par la peau, ce qui permet de s’habiller sans difficulté.

Quelles sont les particularités de la formulation du Lift Minceur?

Au cœur de la formule du Lift Minceur Défi Capitons, 6 extraits de plantes s’associent pour freiner l’emballement des cellules progénitrices et éviter l’hypertrophie des adipocytes:

  • L’extrait de scabisieuse, de caféine, de cangzhu et de géranium agissent sur les adipocytes en optimisant la réduction des capitons installés.
  • L’extrait de menthe aquatique et de célosie freinent l’extension du tissu adipeux.

Comment appliquer le Lift Minceur?

Pour obtenir le meilleur du Lift Minceur, réchauffez le produit dans vos mains quelques secondes avant utilisation le matin et le soir. Selon les parties à traiter, voici quelques astuces d’application à adopter:

  • Les jambes – Appliquez en remontant lentement des chevilles vers la taille par pressions légères avec les mains en forme d’entonnoir.
  • Le haut du corps – Commencez aux poignets et remontez vers les épaules.
  • Le ventre – Appliquez dans le sens des aiguilles d’une montre
  • Le bas du dos – Appliquer en mouvement circulaire

Il est important d’exfolier la peau régulièrement pour la rendre lisse et douce de sorte qu’elle soit plus réceptive aux ingrédients actifs.

 Êtes-vous prêtes?

Package ClarinsParce qu’il n’existe pas de résultat sans effort, adoptez dès aujourd’hui une alimentation saine et intégrez des exercices de remise en forme à votre quotidien.

*Nutrition*

Savourez les aliments provenant de tous les groupes alimentaires

Favorisez les ingrédients frais et les plats cuisinés maison

Buvez beaucoup d’eau pour éliminer les toxines et clarifier le teint

Limitez la consommation de sel qui favorise la rétention d’eau

*Sport*

Faites de l’exercice régulièrement à raison de 3 à 4 fois par semaine

exo lift minceurexo clarins

essentiels botanikap

Concours : BOYZ II MEN à l’Olympia le 6 Avril

Boyz ii Men
Boyz ii Men

À la demande générale, après le succès incontestable du 7 juin dernier : Boyz II Men est de retour à Montréal.

L’évènement initialement prévu en admission générale a finalement adopté un tout autre plan de salle permettant ainsi de libérer d’avantage de places assises. Et nous on vous donne la chance de gagner 2 billets pour ce concert des légendes à l’Olympia le 6 Avril !

Boyz ii Men

Pour gagner 1×2 places c’est simple :

1

Envoyez un e-mail avec pour objet “Concours : BOYZ II MEN à l’Olympia le 6 Avril” en indiquant votre prénom, nom et adresse mail à concours@afrokanlife.com

2

Partagez cet article sur Facebook :

3

Likez les pages BOYZ II MEN x AFKL

Concours se terminant le 25 mars.

Concours CODY CHESNUTT x LAETITIA DANA 2 billets à gagner !

Après avoir fait les premières parties de Michael Mc Donald ou encore de The Pharcyde, le tourneur MC*5 vient d’annoncer DANA en première partie du soul-man de génie Cody ChesnuTT sur 4 dates en France. À cette occasion gagnez 2 billets pour le concert de Paris à la Cigale le 27 Mars !

laetitia dana cody chesnut
Pour gagner 1×2 places c’est simple :

1

Envoyez un e-mail avec pour objet “Concours : Laetitia Dana” en indiquant votre prénom, nom et adresse mail à concours@afrokanlife.com

2

Partagez cet article sur Facebook :

3

Likez les pages Laetitia Dana x AFKL

Concours se terminant le 25 mars.

Assister à l’un de ses concerts est comme participer à une fête, un festin, avec Aretha Franklin, Nina Simone, Stevie Wonder, Marvin Gaye ou Curtis Mayfield pour figures tutélaires.

Sa notoriété, Cody Chesnutt ne la doit qu’à la sincérité d’une expression artistique qui connaît ses classiques et se connaît elle-même. Sa voix puissante et chaleureuse, maîtrisant toutes les nuances de l’assourdi à l’éclatant, fait chaque fois merveille. Non sans malice, ChesnuTT aime à rappeler qu’il faut mettre de la soul dans la musique mainstream, puisqu’elle a perdu son âme… Et ses thèmes de prédilection relèvent de l’immémoriale tradition du blues : toutes les dimensions de la vie quotidienne et de sesvies parallèles, la misère sociale battue en brèche par l’espoir battu en brèche par la misère sociale, la solitude et l’amour… Autant de raisons de participer à notre tour à cette fête, ce festin.
Source : France Info

7 songs of the week #12 by Nina Mayers

nina mayers
This one is dedicated to all this people who love music as much as I do. Those people who associate, rhythms, lyrics and sounds to special events in their lives.

It’s been a whole week and I’ve missed my AfroKAN people. It is always a pleasure for me to share my “7 songs of the week ” with you. Truth be told, I am alive end functional only when I have my ear phones bursting with some good soulful music.

#TeamWeLoveMondays… You feel me? When am suffering from the Monday blues, I usually just put on some music and go with the flow. That is what inspired my 7 songs of the week.. So as promised last week, here is this week’s 7. As I mentioned, I randomly play 7 songs on my play list and tell you my story, my emotion, my memory… Discover the naked musical truth about me.

1. Confessions Nocturnes – Diams

Summer of 2006 or 2008 I think – it’s a little blurry. Not sure of the year, but it was definitely summer. One of my good friends was playing it in his car while driving me down town. He was so into it, singing along. I had until then never really been into the whole French rap thing. I just didn’t think that they would do it like my boys down on the other side of the Atlantic. But J found myself so into it that I thought it must have something special. I started listening to the words, and all I could do was smile to myself. It was another he cheated on me story, told in such a hilarious way. This one is on my frenchie playlist. When I just want to break out and thug it out. End of the story; I discovered all of Diams’ albums and I can’t lie, she’s got a fire that I love.

2. #YaKoi – Black Kent

Mid year 2012. I’ve been listening to Black Kent since he stared rapping in Nairobi. Sometimes actively, other times in passing. He is an artist I respect, and a person I appreciate. When his album Vendeur de reves came out it took me a while to get my hands on it. But in the mean time I had heard quite a few of the singles. There was no denying that I appreciated (appreciate) his style. So I head yakoi when I finally got a hold of the album mid year last year. I listened to the album in one go. I liked this one for its fast vibe. I recommend the song, the album too… Had I not fallen in love with French rap in the 2000s would I be listening to Blacky today? Who knows.

3. She’s hot – P Square feat Naeto C

This is one of those songs that doesn’t have a story behind it. A beautiful song though, if you like the P Square style. Its mellow and off ‘The Invasion’ album. If you don’t know Naeto C then discover him through this track. This one features on my “mellow evenings” playlist.

4. Dance with my Father – Luther Vandross

July 2003 and consequently the video in 2005. Even just hearing it at this instant I am tearing up. And every time I hear it, I always tear up a little. When I watch the video am usually close to balling out. For those who know me, they also know that I have and will always be a daddy’s little girl. No matter when, how, what or why? I have had a special relationship with the man from the womb. You don’t believe me? Ask my mum. We are just so similar that we clash as much as possible, but underneath it all there is just pure unconditional love. So back to the song… Well… It is emotional because I have sometimes thought about the day my father would no longer be there. Not that I think about death, but I have come to realise that birth and death is a part of our lives. And I shudder at the thought, but I am comforted by all the love we have and continue to share. I wish onto every girl (every child) to know a “father’s love” it does not compare to that of a mother but it is special in its own way.

5. The track of my tears – Smokey Robinson

If I do a 7 of the week and you don’t see some “old school”, “mo town” then am probably sick or my playlist has gone bonkers. If anyone had to determine perhaps I was musically born in the 60s, 70s, my cut off is around the 90s. I like everything from the past, so much so that you’ll notice that very rarely will you find some “new school”… Track of my tears is part of my Sunday blues. Every time I
hear it I picture Smokey with his long hair and peculiar eyes. “My smile is my make up I wear since my break up with you”… It is also part of the “you left me” playlist. It always makes me feel better.

6. I’ll be missing you – Faith Evans and Puff daddy

So ironic that this one made it to the list, especially because only just the other day (March 9th) we were celebrating the life of Big Poppa. Anyone from this generation knows that when this song came out, it brought tears to most eyes. Everyone who loved Biggie (who didn’t?) felt the love at his loss. That’s what the song meant for me in 1997. But only just in 2007 the meaning of this song changed for me completely. After the hardest lost of my life the only song I wanted to hear was this one. I wanted my brother to know that every time I would be praying I would be missing him. I thought of the day he left, it felt like he had run away… So every time I hear it, I think of him and I remember the good times… and I know one glad morning I will see his face.

7. Charlene – Anthony Hamilton

Am convinced one of my brothers is in love with Anthony Hamilton. Ok perhaps I should say in love with good music, even though I sometimes question his playlist. But Charlene became a part of my Saturday morning routine in Ottawa in 2004. Every time I woke he was playing some Hamilton, cleaning – Hamilton, cooking – Hamilton… he was so into this song. Then it just sort of started growing on me. I finally downloaded it into my playlist in 2006 and it made it to my Saturday morning cleaning routines. Does it evoke anything in particular? Nah…I just love his husky voice. Am coming home to you Anthony.

There you have it, am still waiting on y’all to share some of your musical tastes and memories with me. It’s all about the music… Because if it spreads as much warmth through your body as it does me then please… tell us about it.

PSG – ASSE : Les notes des parsiens

l-asse-empeche-le-psg-de-faire-le-grand-ecart-iconsport_jpt_170313_01_03,52503

Le PSG a encore failli alors qu’il mené 2-0 en terre stéphanoise. Il aurait pu assommer la concurrence et filer vers le titre, au contraire ils ont encore eu des errances défensives qui font de cette équipe une équipe fébrile.

Sirigu : 6
Match sérieux de l’italien, qui a même sauvé ses partenaires sur une frappe splendide d’Aubameyang.

Van Der Wiel : 4
Bien en dessous techniquement et tactiquement pour être titulaire dans l’équipe du PSG.

Alex : 3
Mais comment Ancelotti peut préférer mettre un international (Sakho) sur le banc et faire jouer Alex qui est bien loin de son niveau qu’il avait à Chelsea ? Il est apathique sur le 1er but stéphanois et donc il marque contre son camp.

Thiago Silva : 7
Sobriété, calme et aisance technique Merci Monsieur Silva. Il subit en plus une faute énorme sur le second but stéphanois de la part de Brandao.

Maxwell : 4,5
Match terne au niveau offensif et a parfois été dépassé par la vitesse d’Aubameyang.

Matuidi : 6,5
Encore et toujours Blaise Matuidi homme du match.

Beckham : 6
Bien en jambe durant tout le match, a bien su orienter le jeu parisien et aurait même pu marquer sur coup franc avec un peu plus de réussite.

Chantôme : 5,5
A fait un très bon travail défensif, il a bien su aider Beckham et Matuidi à la récupération, mais il manque de percussion offensivement. On ne comprend pas pourquoi Ancelotti s’entête à le faire jouer sur le côté. (Remplacé par Jallet 65e, qui n’a pas fait une bonne rentrée).

Pastore : 6
Un but plein de malice et de sang froid, une passe décisive sur le pénalty obtenu par Lavezzi et une bonne combativité. On aimerait le voir plus souvent comme cela. Mais quand même on préférerait le voir dans l’axe plutôt que sur le côté où il apporte moins offensivement.

Lavezzi : 3,5
No comment juste un match à oublier (remplacé par Gameiro 75e qui mériterait plus de temps de jeu)

Ibrahimovic : 5
Il alterne entre le coup de génie (une Panenka sur le pénalty) qui lui permet de marquer son 25ème but de la saison, et la passivité et la nonchalance surtout dans la phase défensive. Espérons que contre le Barca sa motivation sera toute autre.

Cet article a été rédigé par Julien. On le remercie.
Credit photo : icon sport

Regardez Africa mon Afrique un clip de Amadou et Mariam

Africa mon Afrique
Amadou et Mariam poursuivent l'exploitation de leur dernier album "Folila", sorti l'an dernier et très récemment récompensé aux Victoires de la Musique.

“Africa mon Afrique” est un extrait de l’album Volia, récompensé lors des Victoires de la Musique. Le clip Amadou et Mariam a été produit par No-Mad Films et dirigé par Spencer Wright.

Africa mon Afrique
Amadou et Mariam poursuivent l’exploitation de leur dernier album “Folila”, sorti l’an dernier et très récemment récompensé aux Victoires de la Musique.

Lancé comme un véritable message politique, le single “Africa mon Afrique” est un clip graphique où défilent des images de célébrités afro, de masques traditionnels, de figures politiques et même d’animaux africains. Découvrez immédiatement « Africa Mon Afrique » le nouveau clip d’Amadou et Mariam.

Festival des afro cultures : “Abidjan mérite un festival de cette trempe”.

MARIE JOSEE DJEHOURY
MARIE JOSEE DJEHOURY

Célébrer et promouvoir les artistes africains à travers une plate forme d’expression culturelle recouvrant la musique, la danse, le cinéma, l’art et la mode, est l’objectif que s’est assignée Marie-Josée Djéhoury, présidente du festival de ‘’La nuit des afro cultures’’.

Avant cet événement qui se veut un brassage culturel et de célébration de la culture africaine, Marie-Josée Djéhoury, l’initiatrice de cette manifestation en donne les détails.

afro cultures
MARIE JOSEE DJEHOURY

Bonjour Mme Marie Josée Djéhoury. Présentez–vous à nos internautes ?

Je suis Marie-Josée Djéhoury, Présidente de la structure 100% Afrique Solidarité, une association loi 1901 créée en Mai 2006 en France qui vient en aide aux femmes et aux enfants défavorisés de France et d’Afrique et plus généralement aux personnes qui sont en souffrance. Et je suis aussi diplômée de l’EFAP Paris (Ecole Française des Attachés de Presse et Professionnels de la Communication), de l’ENS Anglais (Ecole Normale Supérieure) et du CAMPC (Centre Africain de Management et de Perfectionnement des Cadres) à l’Université de Cocody.

Pourquoi avez-vous eu l’initiative de créer cet événement appelé ‘’La nuit des Afro Cultures’’ ?

Après le rendez-vous culturel manqué du Festival Mondial des Afromusiques, ma rencontre avec la Structure CEGACI Productions a été déterminante ; ensemble, nous avons ressenti le besoin d’organiser des retrouvailles festives, mais nous avons surtout voulu asseoir une plateforme d’expression culturelle africaine, un canal de rapprochement, d’échanges entre l’Afrique, l’Europe, l’Amérique voir même l’Asie.

Par ailleurs, au-delà de la musique et des spectacles vivants, il ya tout l’environnement de la création qui passe parfois sous silence. Etendre l’initiative aux Afrocultures semble être plus adapté à la promotion des valeurs africaines dans le monde.

Nous avons voulu apporter en quelque sorte un regard différend et rechercher des solutions globales de management de la création et de l’expression des cultures afro : le premier acte qui ressort de cette fusion s’appelle « La Nuit des Afrocultures et les premiers chantiers sont : la Danse, la Musique, le Cinéma, la Mode mais dans une vision afro mondiale.

Mme Marie Josée Djéhoury, ou en êtes-vous pour les préparatifs de la 1ère édition ‘’La nuit des Afro Cultures’’ ?

Ce volet est géré par CEGACI Productions avec brio ; de nombreux artistes nous ont en effet contactés pour manifester leur soutien et leur désir de participer à l’évènement : des Nigérians, Gabonais, Camerounais, Ivoiriens etc…

Il y a beaucoup d’engouement autour de l’évènement et nous voulons lancer un appel à tous ceux qui souhaitent prendre une part active de ne pas attendre la dernière minute pour se signaler.

Quelles seront les grands axes de cette 1ère édition de la Nuit des Afro Cultures ?

Je voudrais souligner que nous sommes au lancement de la 1ère édition des Afro Cultures ; l’originalité de ce Festival, c’est qu’il se déroule sur plusieurs continents la fois : l’Europe, L’Amérique et l’Afrique.

C’est une aventure, une folie et si on arrive au bout, on va révolutionner « le Monde de la Culture Afro » en créant une vraie plate forme d’échange et de promotion.

Imaginez un instant tous les professionnels et les amateurs des différentes Cultures Africaines réunis sur un seul et même Festival ; nous allons réaliser tout simplement ce que beaucoup de jeunes ivoiriens et africains souhaitent voir se réaliser en Angleterre, en France et en Côte-d’Ivoire. Le lancement de ce festival aura lieu le 6 juillet 2013 à Londres et du 13 au 14 juillet 2013 à Nantes. En Côte d’Ivoire, ce sera le 27 juillet 2013 au Palais de la Culture de Treichville autour d’un gala.

Les premiers chantiers de ce Festival sont : la Musique, la Dance, le Cinéma, la mode, l’Art de façon générale.

Lire la suite de l’article sur Abidjan Show : http://abidjanshow.com/v2x/home/article/index?id=10096&categorie=237

Afro Inspiration : Djib Stanford, Nu Soul Artist

Djib Standford is a very talented artist and we had a great time knowing more about him.

Hi Djib, could you introduce yourself in few words ?

Hi, i’m Djib Stanford. I’m a singer, songwriter, composer. I’m a vocalist, rapper and producer. My style can be called Nu-Soul. I chose “Djib” because it’s an african name, and my father is african born in Dakar in Senegal. “Stanford” (american name) because my grandfather is American. He’s a New-Yorker but he was born in Cabo Verde islands. “Djib” means strenght of God.

musician Djib Stanford

Who are your favorite R&B/Soul Singers of All Time ?

For Soul music i would say Steevie Wonder, Prince, Lauryn Hill, Michael Jackson, Aretha Franklyn and Chaka Khan. For R&B music, Usher, Beyoncé Knowles, Brandy, and Whitney Houston.

How do you describe your Nu-Soul style ? Looking back, who were some of the artists that influenced you in your career, regardless of genre ?

Nu-Soul style is a mix of Soul, Hip-Hop, Jazz and Funk music. Regarding the lyrics, the themes are closed from those of Soul music. I mean real life, soical issues etc. In my music, i’m inspired by music of artists like Prince, Musiq Soulchild, D’Angelo, Jill Scott, Lauryn Hill, India Arie, Raphael Saadiq or Cody Chesnutt.

Other artist influenced me in a less specific way, and in different kind of musics such as Michael Jackson, Lenny Kravitz, Donny Hataway, Teddy Riley, The Fugees, Nas, Destiny’s child, SWV, 2pac, Jimmy Jam and Terri Lewis, Daft Punk, Rodney Jerkins, Brandy, Kassav’, Felah Kuti, Boyz II Men, Sade, Ray Charles, Ginuwine, Aaliyah, Blur, Dru-Hill, Mary Mary, Eric Satie.

I like different kind of artists.

chanteur Djib Stanford

 What are your feelings on the R&B genre and the direction it’s heading ?

I like R&B music very much, but i think that these last years this style loose so much in quality. I guess that it happens with the breakthrough of DJs and Electronic music in the charts. I have nothing against new comers in that genre, but to my eyes they do not have the same level than precedent generations of R&B singers. They don’t have the same control of their art.

I like electronic music too but R&B singers who tried to incorporate it in their own music, loosed the essence of R&B music. Then it really sound like Pop music. R&B needs to go back to her roots.

I understand that as a young people you expect something new but roots are very important.

I mean we need strong vocals, harmonies, instruments, new style, as these times when TLC and Destiny’s Child came out with a new and refreshing sound or when New-Jack swing came out. That was new sounds but with fundamental elements of R&B music.

I remember Black Street, or Mary J Blige wen she came out with Hip-Hop Soul music. That was so innovative.

 Back to your latest project How did LifeandMusic album come to be?

I was performing my own songs on stage, and some of the staff members introduce me to a young producer called Mister Bibal. We talk, and we wanted to work together on some music. He suggested me to run an album. We start to work and then he produced four tracks on my first album Life and Music.

I got a chance to meet and work we three other great producers for this album : Offmike, Woodini and Fayze. I choosed to produce the album to get the entire control of it especialy on the creative process. This was the most exciting and fulfilling experience i ever done creatively speaking.

Djib Stanford image

Do you ever think to sing in French ?

I do, but on the contrary of french, english fit Soul and Nu-Soul music perfectly. English can be really poetic and to write songs in french is very demanding and require a lot of style.

Only one feat in this album with Ollie. Why him and how went the collaboration?

I wanted my first album to introduce myself and my music. I need to express myself, and music is the way i do it. I had a lot to say and to sing. I talk about personal things in every song on this album. That’s why there’s just one featuring.

It’s kind of risky to put out an album with just one guest and with no big names. But i guess it’s good to take the time to discover the universe of an artist in a whole album, which allow space to showcase your music.

I choosed Ollie (an MC coming from Holland) ’cause the first time i heard him i thought that he just slay.

His rap is so on point and he was perfect for the track (Thankful). I could feel the passion he has for Hip-Hop when i listened to his songs, and the track talks about passionated people, love for music, love for performing : because talent is to be showacased and music is to be shared.

So, that’s why i asked him to share the track with me and he said yes.

Are there any artists you’ll want to collaborate with?

Let’s say… the Nubians. I like their Afro influences. They’re great and i like their messages. They have a great music style.

You said it is a conceptual album about different situations people can live along life but what do you want to communicate through music?

I want to share stories, experiences, my relections, emotions, the love that i have for music. I’m trying to write lyrics that makes sense. I talk about real life, and try to describe situations that people can live such as me. I denounce things but in a constructive way.

Talk a little bit about your songwriting process..

I write the music first, then the music inspire me the lyrics. But sometimes i have a theme which is inspire me a song.

For example, one day i was in New-york, walking in harlem, and there was that old man sitting in the front of a grossery, and he was singing some blues, something that goes like “oh o o …” I thought he has a great voice and i remember that lil’ melody, and then you can hear it on one of the track of the album called “Street Walk “. This little thing inspire me the entire song. I mean anything can inspire me.

I use to record the background vocals first, ’cause to my eyes they’re an another instrument on the songs. I use my voice definately like an instrument in my way to work.

I like to sing acapella too. Maybe i will record an acapella with background vocals for the next album.

What song you enjoyed recording the most?

“Make a choice” produced by Fayze. Because i would never imagine recording something like that. The music is very electronic which is not my roots, but i love it. The challenge was to make it Soul, make it Hip-Hop and get the groove on that. That was very creative, and i think that this is one of the most creative and unexpected song on the LP.

Djib Stanford

What’s next ? Talk about some of the new music you’ve been working on.

I ‘m working on new material. I already wrote lot of songs for a second album. It will be a much more personal album, cause i’m supposed to write it and composed it entirely. The sound will be more live and different. I’m actually doing gigs for the moment with great musicians. I’m thinking about featurings too for this next LP.

Also you’ve been performing recently in Paris. What is like being on stage?

Yes, stage is my favourite place as an artist. It’s definately something very difficult, especially for a new-comer, because people don’ t know the songs etc. But as you work hard, it becomes easier. I’m doing great gig with this album, and i start to know how is my audience, i see them, i see their reactions and they’re very cool.

Anything you want to add ?

Thank you for this interview. Congratulations for your great website. God bless all your readers. You can get my debut album “Life and Music” on iTunes.

Last question, If I Say “Afro Inspiration” What comes to your mind ?

I don’t know… i would say : Fela Kuti, Manu Dibango, Xuly-Bet, Les Nubians, Erykah Badu, sun, strenght, art, dance, music, smile, faith.

Thank you!

More information :

https://itunes.apple.com/fr/album/life-and-music/id414319000

http://www.deezer.com/fr/album/750167