Rencontrée à Bahouan (Cameroun), la belle Cindy Nadège pose sous la lentille d’Afrokanlife pour un Cameroon Street style!
Met in Bahouan (Cameroon), the beautiful Cindy Nadège posed under the lens of Afrokanlife!
Occupation : Auditrice externe
Boutique/ marque préféré : Hum…tout dépend de ce que je cherche! En terme de vêtements, je n’ai pas de chouchou, je vais un peu partout! J’aime bien me laisser tenter par H&M, Forever 21, Jacob, Holt Renfrew ou encore Ogilvy!
Afro-inspiration ? J’aime de nombreux artistes afros, mais je ne qualifierais pas cela d’afro-inspiration! En fait, je m’inspire de pas mal tout le monde, tout ce que je vois autour de moi est susceptible de m’inspirer 😉
L’entrepreneur nigérienne Tara Fela Durotoye fait, avec ses fils, la couverture du magazine In Style consacré à la maternité.
A travers cette interview, la fondatrice et PDG de la marque de maquillage Tara in House nous dévoile son quotidien. En plus de poser avec ses enfants en couverture du magazine In Style elle nous fait pénétrer dans les différents moments de vie de sa vie de mère ! Elle fait notamment part, des défis qu’elle et son mari, le conférencier Fela Durotoye, ont à relever en tant que parents, mes aussi des difficultés que peuvent parfois engendrer le fait d’être une mère qui travaille.
Esclavage et réparation : Le Vatican aussi doit s’engager !
Le 11 mars 2013, à la veille de l’ouverture du conclave, plusieurs associations* ont organisé un happening sur le Parvis de Notre-Dame : devant les yeux ahuris des promeneurs se tenait un homme avec une mitre, un manteau écarlate, un crucifix -c’était le souverain pontife. Deux autres hommes de couleur noire, les fers aux mains, se tenaient à ses pieds, accablés. Le pape et ses esclaves se tenaient donc sur le parvis, mais ceux-ci se redressèrent, crièrent : « liberté », et demandèrent réparation.
Cette mise en scène avait pour but d’interpeler l’Eglise de France et les autorités vaticanes : en effet, les associations estiment que le nouveau pape, qu’il soit noir ou blanc, devra s’atteler à la question des réparations relatives à l’esclavage. De nombreux Etats, de nombreuses entreprises ont bénéficié de ce crime contre l’humanité, mais l’Eglise a également sa part de responsabilité dans cette histoire.
Dès 1454, le pape Nicolas V avait publié une bulle autorisant l’esclavage des nègres, et par la suite, le Saint Siège n’a cessé de bénir la colonisation et l’esclavage, et ce, jusqu’au milieu du 19e siècle. Jean-Paul II lui-même a reconnu cette responsabilité de l’Eglise, et a demandé pardon. Mais le CRAN n’est pas pour la repentance, et estime que c’est la réparation qui est le véritable enjeu.
En 2001, à l’occasion de la conférence de Durban organisée par l’Unesco, Desmond Tutu, évêque anglican et prix Nobel de la paix, avait déclaré : « Nous demandons en outre à nos églises et d’envisager la question des réparations comme une façon de corriger les torts perpétrés dans le passé, et d’affirmer sans ambages que le trafic d’esclaves transsaharien et transocéanique -Atlatique, Pacifique et Incien -ainsi que toute forme d’esclavage constitue des crimes contre l’humanité. »
Aujourd’hui, à l’instar de Desmond Tutu, et de nombreuses voix du Sud, y compris au sein du Clergé catholique, les associations demandent au nouveau pape, dès qu’il sera élu, de mettre en place une politique destinée à réparer les crimes du Vatican liés à l’esclavage et à la colonisation.
* Le CRAN, Le MIR, Le Comité 10 mai de Nantes, l’Alliance Noire citoyenne, la Brigade Anti-Négrophobie, l’Université Populaire Kwame Nkrumah, République et Diversité.
Christianisme, esclavage et réparations : petite chronologie
-1441 : le Pape Eugène IV reçoit du Prince Henri du Portugal un cadeau, 10 Noirs, capturés sur la Côte Ouest de l’Afrique. En retour, le pape lui donne le titre de propriété sur toutes les terres qu’il pourrait découvrir dans la région.
-8 janvier 1454 : le pape Nicolas V publie une bulle dans laquelle il autorise la mise en esclavage des Africains et des païens.
-15e – 19e siècle : l’Eglise bénit la colonisation et le système esclavagiste.
-18e siècle : les missionnaires et les théologiens répandent la légende biblique selon laquelle Cham aurait été maudit par Noé, ce qui expliquerait pourquoi les Noirs, qui descendent de lui, doivent être réduits en esclavage.
-1969 : James Forman fait irruption pendant la messe à New York, et diffuse son Black Manifesto, demandant réparation aux églises. Il est vivement critiqué, mais à la suite de cette opération, plusieurs églises protestestantes mettent en place des programmes d’aides aux Noirs Américains, en guise de réparation.
-1992 : en visite à l’île de Gorée, Jean-Paul II demande pardon pour le soutien de l’Eglise au système esclavagiste.
-1998 : réunis en conférence à Kottayam, en Inde, des prêtres catholiques demandent au Vatican de présenter des excuses en raison de son implication dans la colonisation en Afrique, en Asie et en Amérique latine
-2000 : le symposium des conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar affirme : « les nations riches devraient non seulement annuler la dette, mais elles devraient aussi accorder des réparations en raison des torts qu’elles ont à l’égard l’Afrique. »
-2001 : à l’occasion de la conférence de Durban, organisée par l’Unesco, le Vatican déclare : « le Saint-Siège tient à souligner que le besoin de réparation renforce l’obligation d’accorder une aide substantielle aux pays en voie de développement, une obligation pesant principalement sur les pays développés. »
-2001 : à l’occasion de la conférence de Durban, Desmond Tutu déclare : « Nous demandons en outre à nos églises et d’envisager la question des réparations comme une façon de corriger les torts perpétrés dans le passé, et d’affirmer sans ambages que le trafic d’esclaves transsaharien et transocéanique -Atlantique, Pacifique et Indien -ainsi que toute forme d’esclavage constituent des crimes contre l’humanité. »
Source : Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN)
Nikes Davis Okundayo est sans conteste une des reines du style traditionnel. Elle fait la couverture du magazine Genevieve.
Designer nigériane “batik” de renommée mondiale, elle se dévoile dans l’édition du mois de mars du magazine Genevieve (l’édition phare!) et nous y parle de son histoire d’amour avec les arts.
Genevieve Magazine is Nigeria’s leading lifestyle magazine circulating across Africa, America and Europe. The magazine character is shaped to ‘awaken the sleeping giant’ that lurks within everywoman through its message that We All Can introduced a culture of better lifestyle and a culture of self-improvement and self-empowerment. Their vision is to be a complete lifestyle guide and best friend, inspiring wholesomeness in all women globally.
Né en 1925 au Congo alors belge. Patrice Lumumba est un héros de l’indépendance nationale du pays et de l’unité africaine.
Le discours qu’il prononça lors de la cérémonie d’indépendance de la République du Congo, le 30 juin 1960, résonne encore aujourd’hui dans toutes les mémoires africaines, et même bien au-delà.
Sous pression des gouvernements occidentaux, Lumumba, premier ministre démocratiquement élu et premier chef du gouvernement du Congo indépendant, fut cependant rapidement destitué, puis arrêté, emprisonné, torturé et finalement assassiné. La coalition des intérêts impérialistes occidentaux et de quelques dirigeants locaux à leur solde scellait ainsi pour longtemps le destin du Congo…
Ce petit livre présente quelques-uns des textes les plus importants de Lumumba. A lire absolument, pour l’Histoire comme pour les mouvements de luttes actuels et à venir!
TABLE DES MATIÈRES
Brève notice biographique
Introduction : L’héritage de Patrice Lumumba, par Georges Nzongola-Ntalaja
Textes de Patrice Lumumba :
Pleure, O Noir Frère bien-aimé (poésie)
Discours sur l’unité africaine et l’indépendance nationale (22 mars 1959)
Discours à la cérémonie de l’indépendance congolaise (30 juin 1960)
L’année 1960 est la nôtre ! Discours inaugural à la Conférence panafricaine de Léopoldville (25 août 1960)
Jeunesse congolaise, à toi de porter le drapeau congolais (août 1960)
Le Katanga doit être libéré (17 août 1960)
Message à Dayal pour l’ONU (4 janvier 1961)
Ultime message enregistré de Lumumba
Dernière lettre (à sa femme Pauline)
ISBN 978-2-88053-090-7
Prix: 11 CHF | 8.50 €
96 pages
Commandes pour les librairies en France, Belgique et Luxembourg: Collectif des éditeurs indépendants (CEI)
37 rue de Moscou, FR-75008 PARIS
Tél. : +33 (1) 45 41 14 38. Fax : +33 (1) 45 41 16 74
Courriel : collectif.ei@gmail.com
Site web : www.collectif-des-editeurs-independants.fr
La Collection “Pensées d’hier pour demain” Série Afrique et Caraïbes du CETIM se propose d’offrir au public, jeune en particulier, de courts recueils de textes de divers acteurs qui, hier, furent au coeur de la lutte des peuples pour l’émancipation et dont, aujourd’hui, la pensée s’impose toujours comme de la plus grande actualité.
On June 17-22, 2013, The Council of Young African Leaders in New York City are partnering with the African Economical and Financial Club of Cameroon for the 2013 Cameroon Young African Leadership Conference to be held in Douala. The conference will be collaboration with local businesses, organizations and groups.
The Council of Young African Leaders is an organization whose vision is to inspire the next generation of Africans leaders by challenging their ideas and thoughts in appreciation of Africa’s diversity. Based in New York City, the organization was founded in 2011 by young Africans with the mission to cultivate leadership from awareness to Action by connecting young Africans to programs that promote cultural awareness, networking, and economic development in Africa.
The organization has been successful in putting together two annual conferences in New York with more 300 attendees, and several other programming that aims at training young Africans on the value of building business and marketing skills ; and the art of volunteerism.
The 2013 Cameroon Young African Leadership Conference is aimed for four objectives :
1. Provide a week long training activities for youth on professionalism, internship,
volunteerism and the value of marketing their skills.
2. Cultivate a mentorship relationship between professionals in both public and private sectors with young professionals who are either graduating, or have graduated from
school
3. Connect Young professionals to organizations and companies through a job fair.
4. Encourage participants to come up with a project that they can work on together, being
kept accountable by the organizing organizations.
The African Economical and Financial Club will be the main planning body on the ground in
Douala, with The Council of Young African Leaders providing the training materials and
marketing capabilities for the conference.
Basic Agenda:
MONDAY 17th
Registration and Town hall Meeting:
Address the following questions:
– Why is African youth important?
– How can African youth improve Africa’s growth?
– How can African youth face globalization?
– Can Cameroonian youth rise above their challenges to become assets to their
communities?
TUESDAY 18th: Training DAY 1
Part 1: Transitioning from School to career
– The sources
– The Consequences
– The Solutions
– Building your resume
Part two: Starting your own business:
– Life skills vs Leaderships Skills in Business
– Developing SMART goals and executing them
WEDNESDAY 19th: Training Day 2
Part One: Civic engagement
– The Value of Internships/ Professional Training and Volunteering
Part two: Starting your own Business
– Participants are encouraged to bring with them business ideas, and they will be
provided with advice on how to get started to develop and market their ideas.
THURSDAY 20th: Training Day 3
Part one: Becoming Assertive
– Learning the power of a negotiation and cooperation
Part 2: Job Fair
– Local organizations, businesses and corporations will be invited to scout for potential
employees, interns, and volunteers
FRIDAY 21st: Panel Discussions and Gala: AFRICAN YOUTH AND EMERGENCY
The Speakers and participants will rally around the following questions:
– The role of public sector in Cameroon’s emergence
– The role of private sector in Cameroon in youth development
– The role of informal sector in Cameroon
The conference will be one not to miss and promises to be a start of a greater collaboration
between the youth in Cameroon with those in the African Diaspora.
Des instrus riches, des paroles pleines d’émotion, le jeune Gaël Faye nous livre un premier album solo inspiré et inspirant : Pili Pili sur un croissant au beurre..
Gaël Faye. Ce nom ne vous dit peut-être rien, pourtant cet artiste complet, auteur, compositeur et interprète a, depuis plusieurs années déjà, séduit de nombreuses personnalités de la scène musicale qui lui ont offert leur première partie telles que Oxmo Puccino, Beat Assaillant, Hocus Pocus… ou avec qui il a collaboré, Tumi Molekane du groupe Tumi & the volume, Ben l’Oncle Soul, Bonga (figure emblématique de la musique angolaise)…
Né en 1982 d’une mère rwandaise et d’un père français à Bujumbura, capitale du Burundi, Gaël Faye consacre une grande partie de son album à rappeler son attachement au continent africain et au Burundi ; « Petit bout d’Afrique perché en altitude » comme il le décrit avec poésie dans la chanson « Petits pays ».
(clip de Petit pays – 2012)
Sa passion pour l’Afrique mais aussi sa douleur lorsqu’il évoque son pays natal, Gaël Faye l’explique par son histoire. En 1995, lorsque la région des Grands Lacs s’embrase, il est rapatrié en France. Il parle de l’exil comme une véritable « rupture » dans sa vie.
Son arrivée en région parisienne est vécue comme un déracinement. C’est pourtant à cette période qu’il découvre le rap français et comprend qu’il ne pourra exorciser sa douleur qu’à travers l’écriture.
(clip de Je pars – 2012)
En 2006, après des études de commerce, il effectue un bref passage professionnel à Londres avant de réaliser que sa voie est à Paris, au sein de son collectif de slam Chant d’Encre.
Déterminé à s’investir dans la musique, il fait la rencontre d’Edgar Sekloka, avec qui il crée le groupe Milk Coffee Sugar, MC’S. Leurs morceaux séduisent et ils fondent leur propre label, 6D Production.
(clip de Hope Anthem de Milk Coffee & Suga feat. Jali – 2011)
Produit et réalisé par le talentueux Guillaume Poncelet, Pili Pili, « album d’exil » comme Gaël le dit lui-même, est un concentré de nostalgie, de métissage, de tendresse envers ses origines, un mélange délicat entre ses inspirations tirées du rap des années 90 et son attirance pour les rythmes africains.
En 15 titres, on est transporté par la beauté des textes et de la musique. A écouter d’urgence… Album disponible en téléchargement sur Itunes.
Gaël Faye sera en concert le 26 mars à Metz, le 27 mars à Alençon, le 5 avril à Genève, Bordeaux le 24, Toulouse le 25, sans oublier un passage au Café de la Danse à Paris le 22 mai !
Toutes les dates de concert sur son site : http://www.gaelfaye.fr/
Vanessa Payge est une Chanteuse Auteure-Compositrice de r’n’b et de Soul. D’origine martiniquaise et camerounaise, elle a parcouru le monde successivement à Paris, à Douala, à Londres et à Chicago.
Le titre “Femme-enfant ou infirmière” issu de son premier projet solo “Love Portfolio fait l’objet d’un clip promotionnel sur Youtube. Ce clip produit par SkillStorm Music est à découvrir ici.
Vanessa Payge is a singer-songwriter and Entertainment personality from Cameroon and Martinique.
Being part of the music scene quickly became a passion as she started singing at age 7 and became a solist in church at age 13.
Vanessa Payge followed around the small concerts and participated in various projects.
Her first claim to fame was the successful accoustic remix of DUC-Z «Je ne donne pas le lait» which was played on more than 5 radios stations in Cameroon.
8 choses que vous ignorez au sujet des Orisha les divinités d’Afrique
Un Orisha (également orthographié Orisa ou Orixa) est un esprit ou une divinité qui reflète l’une des manifestations de Olodumare (Dieu) dans le système religieux Yoruba. Olodumare est également connu sous d’autres noms, y compris Olorun, Eledumare, Eleda et Olofin-Orun.
La mythologie yoruba comprenait quelque 600 esprits surnaturels, dont environ 400 Irun Imole et 200 Igbá Imole, les premiers étant ceux de Orun (« le Ciel ») et les seconds ceux de Aiye (« la Terre »).
La croyance des Yorubas dans les orishas (qui correspondent aux différents éléments ou forces naturelles) vise à renforcer, et non à contester celle adressée à Olódùmarè. Les fidèles de la religion s’adressent aux différentes manifestations de la puissance d’Olódùmarè sous la forme des Orishas.
Les ancêtres et les héros traditionnels que l’on vénère sont également mis à contribution pour résoudre les problèmes quotidiens. Les Orihsa seraient donc l’équivalent des Saints ou des Anges de la religion chrétienne.
Parmi les esprits les plus importants, on compte Olorun (dieu du Ciel), Ellegua, ou Exu, (« celui qui ouvre la route »), Ogun (dieu du Fer), Obatala (esprit de la Justice), Yemonja/Yamaya (esprit de la fertilité et des eaux salées ; sirène), Ọya (gardien des morts et des cimetières), Orunmila (esprit de la divination, destin), Ibeji (esprit des jumeaux), Ọsanyin (esprit des médecines et de la guérison), Ọsun (esprit de l’amour, protecteur des enfants et des mères, maître des eaux douces), Sango (esprit du tonnerre et des éclairs), et Ochosi (esprit de la chasse, et protecteur de ceux qui ont des problèmes judiciaires).
Cette religion a retrouvé sa place dans le monde et est désormais exprimée dans diverses croyances telle que Candomblé, Lucumí, Santería, Shango, Anago, Oyotunji, ainsi que dans certains aspects de l’Umbanda, Winti, vaudou, Obeah et une foule d’autres.
Des variétés ou lignées spirituelles de cette religion sont pratiquées dans les régions du Nigeria, la République du Bénin, le Togo, le Brésil, Cuba, République dominicaine, Guyana, Haïti, Jamaïque, Porto Rico, Suriname, Trinité-et-Tobago, les États-Unis, l’Uruguay et le Venezuela, entre autres.
Une tradition spirituelle qui est devenue une partie de la diaspora africaine, et reflète leurs différentes interprétations culturelles. Bien que les estimations varient, certains chercheurs pensent qu’il pourrait y avoir plus de 150 millions d’adeptes de cette tradition spirituelle à travers le monde. L’intérêt dans le système de la religion Yoruba s’est tellement développée que des communautés Orisha peuvent être trouvées dans certaines parties de l’Europe et l’Asie.
Un récent travail artistique de James C. Lewis honore l’origine africaine de la tradition Orisha et Ifa. Les illustrations de James C. Lewis mettent à l’honneur les divinités antiques Yorùbá du Nigeria et du Bénin. Le maquillage, par exemple, représente l’ancien art traditionnel du visage scarification pratiquée dans tout le royaume yoruba en Afrique. Par cet exercice, l’artiste a voulu favoriser la communauté, le dialogue, la recherche et l’appréciation de l’Orisha et Ifa tradition spirituelle.
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Crédit photo : James C. Lewis (http://www.noire3000studios.com/)
Vous avez l’impression de stagner professionnellement, de vous enfoncer dans la routine ? C’est le signe qu’il faut changer quelque chose ! Cinq astuces pour faire avancer sa carrière.
1- Prenez des risques
Pourquoi ne pas tout d’abord obtenir un entretien avec votre employeur afin de discuter de votre évolution de carrière ? Si vous êtes certains que vos ambitions ne seront jamais satisfaites, c’est peut être le moment d’envisager un changement plus radical: changer d’entreprise, de poste, ou même de vie !
2- Faites un bilan de compétences
Avant de vous jeter tête baissée dans un nouveau projet professionnel, un bilan de compétences vous aidera à faire le point sur vos atouts mais également sur vos faiblesses. Et découvrir de nouvelles perspectives : nouvel emploi, création d’entreprise, reconversion…
3- Suivez une formation
Vous aimeriez diriger une équipe mais jusqu’ici, vous n’avez occupé que des postes d’exécution ? Vous travaillez comme assistante depuis dix ans alors que vous rêvez de devenir sage femme ? Reprendre un cursus d’études, suivre une formation courte : des solutions existent pour vous mettre le pied à l’étrier.
4-Envisagez l’international
Multilinguisme, capacités d’adaptation, découverte d’une autre culture des affaires… Il existe de nombreux avantages à travailler à l’étranger. A votre retour, il se pourrait même que de nouvelles opportunités se profilent, à la condition que vous mainteniez des liens avec les centres de décision, au risque d’être sinon oublié…
5- Développez son propre réseau
Qu’il soit professionnel, social ou amical, l’importance est de cultiver votre réseau. De façon parfois informelle, celui-ci peut offrir quelques opportunités inattendues.
Né au Cameroun, éduqué en France et inspiré par le Japon, Constantin Noumbissi souhaite que son design reflète ses trois cultures.
Soucieux de transmettre sa passion aux plus jeunes, Constantin Noumbissi lance le Dream High Project pour les enfants du village de Mbalmayo (Cameroun). Nous l’avons rencontré pour discuter de son parcours hors du commun.
Bonjour Constantin, présente-toi pour nos lecteurs ? Quel est ton parcours ?
Salut, je m’appelle Constantin, j’ai 25 ans et j’espère ne pas trop vous ennuyer avec mes histoires. Je suis né au Cameroun à l’hôpital central de Yaoundé. Débarqué très tôt à Paris, j’y ai effectué toute ma scolarité, autant dire que je connais le Cameroun qu’au travers de mes parents et des vacances que j’y passe. En 2007, je découvre le design un peu par hasard et j’intègre l’École de Design Nantes Atlantique. J’y apprendrai un métier passionnant qui m’emmènera jusqu’au Japon !
Un Camerounais au Japon ? Que retires-tu de ton passage au pays du soleil levant ?
Je ne veux pas parler de rêve, mais c’est vrai que j’ai toujours voulu me rendre dans ce pays. C’est tellement lointain et fascinant qu’il est impossible de rester indifférent devant leur culture, qui a certains points communs avec l’Afrique noire. Malheureusement pour moi, je n’étais pas le premier Camerounais à m’y rendre haha… Il fait bon vivre au Japon, comme si tout y était facile, mais les problèmes de communication ou le simple fait de ne pouvoir lire, ne serait-ce qu’un menu au restaurant, transforment l’expérience en une véritable aventure ! J’y suis allé pour étudier, mais j’avoue avoir vécu plus qu’autre chose.
D’ou t’es venu l’idée de Noumbissi Design ? Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Quand on crée une activité, on se met toujours un peu à nu. Si je laissai parler le philosophe, je dirais qu’avec noumbissidesign, c’est une partie de moi-même que je recherche. Je confronte les différentes cultures dont je suis issu et j’aspire à concevoir des produits qui ressemblent à cette génération de jeunes qui, comme moi, possèdent plusieurs identités culturelles. Et c’est aussi ce qu’il y a de passionnant dans le métier de designer, mettre l’individu au cœur de la réflexion, observer leur quotidien, leurs habitudes et tenter d’y apporter des solutions créatives et innovantes. On ne s’ennuie jamais !
Quelle est ta formation artistique ?
Ma formation artistique à proprement parler est assez sommaire. J’ai visité des musées à l’école comme tout le monde, mais j’ai réellement découvert l’art à mon entrée en école de design. Je remarque d’ailleurs que la plupart des gens ont tendance à assimiler le design à de l’art, mais en réalité, le design se trouve quelque part entre l’art et l’ingénierie. Chaque designer se situe vers l’un ou l’autre en fonction de sa sensibilité. Il y a un adage qui dit, ‘Il y a autant de définitions du design qu’il y a de designer’.
Parle-nous de tes œuvres, tu en recenses combien, quels sont tes matériaux de prédilection ?
Je suis sorti de l’école en 2011, ce qui fait que je suis encore en phase de conception de mon activité. J’ai énormément de projets qui sont à l’état de maquette ou qui attendent d’être développés. Donc mes matériaux de prédilection pour le moment, c’est le carton ! Il faudra attendre encore un peu avant de voir les produits noumbissidesign inonder le marché…
Tu as notamment exposé à l’African & Afro-Caribean Design Diaspora ? Raconte l’expérience ! Et si tu pouvais exposer n’ importe où dans le monde ce serait dans quelle galerie et pourquoi ?
AACDD 2012 était vraiment excitant puisque c’était la première fois que j’exposais en dehors de la sphère universitaire et en plus, dans un environnement qui me correspond. J’avais déjà participé à la deuxième édition du festival en 2011 en tant que simple bénévole. J’y ai rencontré Karin BEATE PHILLIPS, une dame respectable qui se bat depuis de longues années pour promouvoir le design britannique & européen. Elle porte également beaucoup d’affection pour la culture africaine, ce qui la pousse à monter ce genre d’événements. Rencontrer pleins d’artistes qui partagent un parcours ou une vision commune ne peut-être qu’une source de motivation. C’était une expérience très enrichissante et malheureusement le festival risque de ne pas revoir le jour.
Alors, bien sûr j’aimerai être présent dans les plus grandes galeries d’Europe, mais la raison d’être des objets que je conçois est l’usage. Du coup, les lieux où je voudrais le plus être exposé, en réalité c’est chez vous.
En fait qu’est-ce qui t’inspire, on sait qu’il y’a le Japon, mais en Afrique qu’est-ce qui t’allume en toi l’étincelle de créer ? À quel endroit du Cameroun puises-tu ta plus grande inspiration ?Quels sont les artistes camerounais qui t’ont le plus influencé ?
Quelqu’un à dit un jour, ‘Toutes les expériences sont bonnes pour la créativité’ ce que j’interprète par le fait que la créativité peut naitre de tout et n’importe quoi. J’ai choisi d’appeler mon activité noumbissidesign d’après le nom de ma mère. D’ailleurs si un Camerounais entend ça, il vous dira que c’est un nom Bamiléké. Ils sont avec les Bamouns, les ethnies qui manifestent le plus leur culture au Cameroun. Paradoxalement, je ne maitrise pas du tout leur art qui est pourtant mondialement reconnu. Je tâcherai de remédier à cela. Il y a tout de même une poignée d’artistes et de designers camerounais que j’admire : Jules WOKAM, «furniture designer» basé au Cameroun. Fred EBAMI, pop artiste entre Paris et Londres. Serges MOUANGUE, cross cultural designer qui partage mon intérêt pour le Japon et dont les travaux m’inspirent énormément. Sans oublier tous les gens très talentueux qui vivent leur passion dans l’anonymat.
Pourquoi cette volonté de transmettre ta passion aux enfants au travers du Dream High Project ?
Il y a surement une part de culpabilité. J’ai quitté le Cameroun pour la France à l’âge de 18 mois et je me sens privilégié. Je pense parfois à ce qu’aurait pu être ma vie si j’étais resté à Yaoundé. Et l’une des choses qui me frappent quand j’y retourne, c’est que les jeunes y sont certes très ambitieux, mais ne semblent pas avoir de rêves. Et c’est un peu ça l’idée de départ du projet : amorcer un voyage dans l’imaginaire pour y trouver des rêves pourquoi pas.
En quoi consiste exactement le projet ? Combien d’enfants sont concernés ? Qu’est-ce qui est prévu ?
Dream High Project, c’est quatre workshops ayant pour thème : l’autoportrait, les super héros, la faune/flore et le village. Parfois seules et souvent en groupe, ces activités permettront à une quinzaine de jeunes (par thème) du village d’enfants de stimuler leur imaginaire et leur créativité via plusieurs modes d’expression. L’autre objectif étant de les soulager de leur condition et de les encourager dans la poursuite de leurs rêves, quels qu’ils soient. Je remercie infiniment Claude-Alvin MBAPPE TANKOUA, la Présidente de l’association SOS Village d’Enfants Cameroun qui rend tout cela possible. Le projet démarre cet été au mois de juillet pour une durée d’un mois.
Tu es tout seul ?
J’étais seul jusque très récemment, mais grâce à l’engouement que suscite le projet, j’en viens à rencontrer des jeunes qui comme moi sont prêts à s’investir. Ainsi, Jessica SAGOU, va m’aider à planifier, organiser, voir même dispenser les séances d’art plastique. Je suis très heureux de sa venue et je suis persuadé qu’on fera du bon boulot !
Si je suis intéressé quels sont mes moyens de supporter tes activités ?
À mon avis le plus simple est de laisser un petit message d’encouragement sur mon blog (noumbissidesign.tumblr.com). Cela te permettra de suivre l’actualité du projet et de me faire bien plaisir !
Quelles sont les difficultés que tu éprouves pour mener le projet Dream High Project et comment tu les surmontes ?
Le plus grand obstacle c’est le manque d’expérience, tout est nouveau pour moi, mais je suis armé de volonté, de courage et de patience, donc pas de sushi. ^^
Quels sont tes bons coups dont tu es le plus fier ? Des anecdotes à nous partager ?
Haha, j’ai bien des anecdotes, mais je préfère éviter de me discréditer tout de suite^^ pour rester dans le sujet, je vais plutôt vous raconter l’origine du nom du projet. Bon, comme vous le savez je m’intéresse de près à la pop culture asiatique dont je regarde régulièrement les séries télé. L’une d’elles, originaire de Corée du Sud, raconte l’évolution d’une poignée d’élèves dans une prestigieuse école d’art du spectacle. Issus de divers horizons et plus ou moins talentueux, ils sont tous animés par l’envie de réaliser leur rêve, quoi qu’il en coute. La série s’appelle Dream High, les plus curieux n’auront qu’à googler.
Parle-nous de la région du projet. Mbalmayo c’est où? Que peux-tu nous dire sur ta région que beaucoup de gens ignorent ?
Alors, Mbalmayo est une petite ville située à 50km au sud de Yaoundé, la capitale du Cameroun, mais c’est surtout là que se trouve le village d’enfants où le projet aura lieu. Pour s’y rendre depuis Yaoundé, on emprunte la route de Mbalmayo, qui comme par hasard, est jonché d’artistes et d’artisans.
Que faudrait-il pour développer l’art camerounais, qu’est-ce qui est le plus critique/urgent ?
Je connais vraiment trop peu le sujet pour apporter une critique constructive, mais on ne peut pas dire que l’art au Cameroun soit dans une situation critique. Des choses se font comme le Salon International de l’artisanat du Cameroun qui eut lieu l’année dernière ou encore le centre d’art contemporain de Douala. Nombreux sont ceux qui se battent pour faire émerger et rayonner l’art, l’artisanat et le design au Cameroun, mais ça prend du temps. Beaucoup de temps.
Si je te dis Afro Inspiration tu me réponds ?Ima wa Africa da ! (l’Afrique, c’est maintenant). Voilà. Merci de m’avoir lu jusqu’à la fin et n’oubliez pas le Dream High Project cet été au Cameroun. Toutes les infos sont sur mon blog. Mata na^^
Facebook : http://facebook.com/noumbissidesign
Site :
À l’occasion de la sortie DVD de La Bête immonde, nous avons rencontré le réalisateur Jann Halexander.
Jann Halexander est un indépendant en marge des circuits principaux du cinéma franco-français. Il a déjà réalisé des films essentiellement pour le marché dvd, écoulés à des milliers d’exemplaires dont J’Aimerais J’Aimerais (2007), Occident (2008) et Une dernière nuit au Mans (2010).
Bonjour Jann, comment vous est venue l’idée de réaliser La Bête immonde ?
Bonjour AfrokanLife ! Alors j’ai suffisamment parlé du métissage dans mes textes, chansons, pièces de théâtre, courts-métrages précédents, depuis 2003 et je ne voulais pas tourner la page, mais boucler la boucle. Passer à autre chose.
Je ne renie rien, au contraire, mais voilà, je crois que ce que j’avais à dire, personnellement sur le métissage, la condition métisse, et bien j’avais fait le tour. Je devais ‘en finir’ en tournant LA BÊTE IMMONDE. C’est un film d’apparence assez simple, pas très long, mais il brasse cette thématique-là, en plus d’autres thèmes : le sida, l’orientation sexuelle, le rapport enfants-parents. Le deuil.
Comment réussit-on à tourner un film fantastique avec un 6000euros de budget ?
Ai je vraiment eu le choix ? Je pars du principe que le cinéma au même titre que le roman ou la chanson appartient à tout le monde. Je n’attends pas de légitimité sur ce point. Donc on prend une caméra et on tourne. Après on voit. Je ne m’imagine pas courir pendant des années après les financiers, des institutions, faut quand même pas exagérer, je suis un grand garçon. À noter en plus que je ne me considère pas spécialement comme réalisateur. Disons plutôt créateur ou alors artiste, c’est global et plus juste, car je suis avant tout chanteur. Et une partie du public qui me suit est sensible aux films que je réalise. Ces films circulent en France, ailleurs, sont enregistrés à la BNF.
Le budget concret pour ce film-là c’était 6.000 euros, mais parce que nous avions, avec l’équipe, fait des économies partout où on pouvait, sinon on en aurait eu pour 40.000, 50.000 euros. J’ai pu compter sur des gens extraordinaires. C’est une belle expérience. Et une belle aventure. Mais, et là j’en parle de façon générale, il est temps que le ‘grand public’ cesse de s’autofreiner par rapport aux questions de budget. Un film de 200 millions d’euros de budget peut être exceptionnel. Il peut être nul. Un film dont la réalisation n’a coûté que 400 euros peut être une merveille. Il peut être nul aussi. Djin Carrénard après tout à fait un film qui tient la route, Donoma, avec 150 euros. Ce qui compte, c’est ce qu’on dit, les thèmes, la force des thèmes. Dans mon cas, même ceux qui ne supportent pas mon travail reconnaissent que mes choix thématiques -et les musiques- font la force de mes films.
Quelles anecdotes retenez-vous du tournage de la Bête immonde ?
À part des crises de fous rires pour détendre l’atmosphère, entre les prises, je n’ai pas vraiment d’anecdotes, mais plutôt le souvenir d’un tournage long, éprouvant étiré sur plusieurs mois. Des acteurs motivés et doués.
Je me souviens aussi d’une équipe travaillant pour France 3 venue filmer dans le cadre d’un documentaire, mes collègues et moi en train de tourner dans un appartement. Ils n’ont pas gardé les images au montage final. Enfin, tant pis.
Et maintenant, sur quels projets travaillez-vous ?
Je viens de finir l’écriture de romans, j’attends des réponses de maisons d’édition. Je chante le 14 décembre dans un lycée en région parisienne.
Et l’an prochain, je ‘fête’ mes 10 ans de ‘carrière’, un concert le 22 mars à l’Auguste Théâtre, à Paris, un beau théâtre de 100 places, suivi de concerts à Angers, Bordeaux, ailleurs…tout cela se met en place progressivement.
Dernière question, si vous tourniez un film en Afrique, il parlerait de quoi ?
Il y a beaucoup de mythes fascinants.Je dirais un sujet sur les mamiwatas. Ou la sorcellerie. Les hommes politiques qui font faire des sacrifices pour maintenir leur pouvoir.
Présenter une autre Afrique que celle encore trop souvent représentée dans les médias francophones. Même si les choses changent enfin. Filmer Libreville en long, en large. Ou alors filmer une comédie simple dans une station de ski en Afrique du Sud.
Merci Jann !
Merci la team AfrokanLife
Synopis de la Bête immonde,
Maggelburg, quelque part en Europe. Une jeune femme lesbienne issue de la petite bourgeoisie enquête sur la mort de son frère, dont le corps a été retrouvé à la lisière d’une forêt surnommée la forêt de Charniers.
Avec Ariane., MaïkDarah (la voix française de Whoopi Goldberg), Olivier Magdeleine, Marlène Pons, Mathilde de Sèvres, Karine Elwen, Gildas Jaffrenou, Marcel Déan, Dorian Isaac, Kevin Duplenne, Laurent Péan, Julien Macé, Bernard Froutin, JolyonDerfeuil. Le film fut diffusé dans plusieurs festivals et salles d’art et d’essai à Paris et en province de novembre 2010 à juin 2011.
Et si on vous disais pourquoi cette vidéo est la meilleure publicité de la NBA ?
Je vous préviens article confus, ultra-subjectif et à prendre au second degré… ou pas. Allons-y franchement! Ceci est la meilleure publicité de la NBA, la meilleure à vie. Mieux que micheal vs bird, Mieux que je suis pas unrole model, Mieux que les jonglages de Nike, Mieux que les affaires de black mamba.
This is simply the best ad ever. Period.
C’est parti pour un play-by-play du MONTAGE :
0-5 sec : La course du BigThree[1], celle de Kobe et les regards de TP et RIP[2], Tu sens que c’est chaud!! Les confettis des gars de Cleveland qui à cette époque ne se doute vraiment de « The decision »[3]
8 sec : Cest le meurtre. Lebron James with no regard for human life. Ce dunk m’a fait péter mon salon. Je balançais les objets en criant ARRH ARRH ARRH. Comme dit la daronne « Mais ça c’est quel genre de comportement?? »
11 sec : En fait j’étais comme Kobe là juste trop content rempli d’une énergie furieusement joyeuse.
12-20sec : Bon deux beaux circus shot de Dwayne Wade et Chris Paul aka CP3[4], et avant ça mentionnons Paul Pierce. 1-moi je l’aime pas ce mec là. Mais 2- Je mentionne Pierce aka « The truth »[5] car cette scène symbolise sa grande abnégation qui lui permet de jouer blessé (moi gros hater, je pense qu’il fake ses blessures.. drama queen!)
36 sec : Pom-pom girl!
52 sec : Lebron il vole, cest fou hein!
58 sec : Leon Powe il se casse la gueule! Bien joué Joe Johnson. Le cross-over c’est l’un des moves les plus ghetto. Les gens qui se demandent c’est quoi le pire entre un block et se faire casser une cheville… À partir du moment où l’on s’interroge sur ta santé C’EST ÇA QUI FAIT MAL.
1m 6 : Kobe Bryant has hit a shot at the buzzerrrrrr (les commentateurs rendent l’action légendaire : quand les bons mots sont lachés l’action atteint un autre level)
1m 10 : La mythique Gatorade balancée sur le coach des Celtics Doc Rivers en slow-motion… chilly!! Rivers
1m 21 : “And one more thing… BOUNCE.”
Et puis y’a des choses irréelles comme Wade qui bat Dallas à lui tout seul ou comme Baron Davis qui casse un dunk de fou sur Andrei Kirilenko.
Et puis y’a une belle nostalgie comme Tim Duncan ou Shaquille O’Neal qui devaient gagner 12 titres en tout.
Et puis tout simplement car 3 vieux compères qui n’ont jamais rien remporté à part un titre de MVP joignant leurs forces, devenant Team America et gagnant à la fin ca cest vraiment amazing. (rien à voir avec le scénario de la note #4 lol).
Un mot sur ce son! ce son!! ce son!!! j’avoue je le kiffe trop. Il m’enjaille, me donne le feu, me donne envie de jeter retirer mon t-shirt et sauter dans la foule comme un rockeur. Y’a ses petites phases comme le bruit de l’aigle (wtf?!) ou bien Jeezy qui pose un refrain lourd :
“Incroyable. Je suis la raison pour laquelle ils sont tous chaud ce soir. Je suis fatigué, je respire à peine, me raccroche à ce que je crois. Personne ne m’ôtera cela, quoi que tu fasses ma puissance est aussi grande que ce que tes yeux peuvent voir. Je suis ton monstre, je suis ton tueur, je suis un problème que ne se résout pas.”
Bref ce qui correspond parfaitement à la description de Dirk Nowitzky l’Amazing Champion 2011.
This is simply the best ad ever. (and i just dropped the mic)
[1] Nom donné aux trois joueurs majeurs des Boston Celtics : Ray Allen, Kevin Garnett et Paul Pierce.
[2] TP = Tony Parker (celui qui était avec Éva Longoria.. comment tu peux être « était » avec Éva Longoria?? Je wanda.. ; RIP = Richard Hamilton (celui qui a le masque; pour info il en avait même plus besoin mais bon il aimait bien et cétait devenu son « look » .. euh ok d’accord!)
[3] Le joueur vedette de Cleveland Cavaliers, Lebron James, annoncera à la télévision qu’il quitte son équipe et qu’il ira « ramener son talent vers les plages du sud » (hein?!) et jouer avec ses super-potes, en passant y’avait genre 8 millions de téléspectateurs lool. The most watched break-up ever. Lebron James (et Miami Heat) devient le sportif le plus détesté de l’histoire, tin tin tin tiiiiiin.
[4] Bon les surnoms c’est pas si compliqué en fait (sauf quand t’es Shaquille Oneal => voir la liste ici) on prend tes initiales et le collent avec ton numéro. Ex : Dwight Howard devient D12, Chris Bosh devient CB4 etc. ou bien tu apprends qu’un serpent appelé black mamba est super rapide et tu demandes à Nike de faire une campagne dessus heum.. heum..
[5] Bah y’a aussi des surnoms qui sortent d’ailleurs faut pas croire que tous les surnoms sont bidons comme AB32 ou XY99.. vous aussi!
Soccer Sans Frontières : L’alternative foot ! Retrouvez les meilleures phrases entendues ce samedi 09 mars
La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ.FM pour votre rendez-vous hebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus. Sydney est aux commandes avec Reginald Joseph, Sofiane Benzaza, Somdo Keke et Jean-Joseph tous chaud bouillant.
Sofiane Benzaza
Tout le monde riait de la signature de Bernier, il a prouvé que c’est l’un des meilleurs milieux centraux.
Je te garantis que Camara va souffrir contre les milieux de Portland.
C’est une victoire de Mourinho face a Manchester.
Si tu matches la sanction avec la durée d’indisponibilité faudra être constant
Reginald Joseph
Pourquoi Di Vaio doit forcément jouer 90 minutes ??
Au final la Disney Classic a été une bonne préparation
Totenham sans Bale ils seraient dixièmes.
La maladresse de Van Persie est récurrente dans les grands matchs européens.
Somdo Keke
On a vraiment l’impression que Nesta est enfin le patron.
Bale c’est un Ryan Giggs sans technique.
Quand on voit le déroulement du match y’a rien à dire sur Rooney sur le banc.
Sans Ibra est-ce que le PSG est le PSG ?
Jean-Joseph Agoua
Gareth Bale me fait penser plus à Djibril Cisse que C.Ronaldo
Van Persie c’est un peu comme Zlatan les grands matchs européens il disparaît.
Au-delà de l’aspect sportif, je retiens le respect de Manchester United face à l’arbitre.
Sakho et Gameiro ? S’ils ne sont pas contents qu’ils partent !
RÉAGIS A L’ANTENNE EN APPELANT LE 514 987 3000 poste 1610 et n’hésite pas à laisser tes commentaires ici ou sur notre compte twitter @soccersansf
Soccer Sans Frontières : Émission du 2013-03-09
Soccer Sans frontières :
Soccer Sans Frontieres est votre rendez-vous hebdomadaire footballistique sur les ondes de la radio web de l’UQAM, CHOQ.FM . Soccer Sans Frontiere est votre espace soccer, football, calcio, futebol et encore plus.
C’est aussi un forum d’echange, d’informations et de nouvelles pour les fans du ballon rond a Montreal et ailleurs. Nous aurons des entrevues avec differents intervenants dans le monde du soccer, des reportages sous differents angles et des chroniques d’ici et ailleurs
Moïse Katumbi, président du TP Mazembe est le nouvel investisseur de Walhain, un club belge de 4ème division.
Désormais, le club de Walhain appartiendra aussi bien au président du Tout-Puissant Mazembe qu’à Fredéric Davister, l’actuel président du club brabançon. Il s’agit d’un partenariat et non pas d’une reprise.
«On parle bien ici d’un nouvel investisseur, pas d’une reprise du club», commente Philippe Coppe, le manager des Boscailles.
L’objectif est double pour les deux présidents Le Wallonia Walhain espère ainsi accéder aux divisions supérieures en bénéficiant de l’apport de joueurs fournis par les Corbeaux.
« C’est tout un projet que nous venons de finaliser avec lui. Trois à quatre joueurs congolais, des jeunes de 19 ans, viendront s’acclimater au football belge sous la vareuse de Walhain afin de se mettre en vitrine. Ils sont d’un excellent niveau et c’est un plus évident pour notre équipe », a assuré Philippe Coppe.
«Tout ce qui se passe est très positif pour le club et cela doit rassurer tout le monde. Même nos jeunes sont concernés puisque dès la saison prochaine, une nouvelle structure va se mettre en place pour eux avec l’arrivée de quelques gros noms,» ajoute-t-il.
Champion du Congo, le Tout Puissant Mazembe participe également à la Ligue des Champions africaine. Véritable référence en Afrique, le club dispose également de nombreux jeunes qui ne demandent qu’à s’illustrer sous d’autres cieux.
Dans cette optique, le TP Mazembe avait d’ailleurs déjà collaboré avec Anderlecht en 2012 en lui prêtant deux joueurs : Bedi Mbenza et Patou Kabangu.
Moise Katumbi Chapwe constitue un investisseur de renom. Il est l’homme qui a relancé le TP Mazembe au Congo. Avec lui, le club a remporté la Ligue des champions africaine en 2009 et s’est ainsi qualifié pour la Coupe du monde de football des clubs.
Le Tout-Puissant Mazembe a atteint la finale de cette Coupe du Monde des Clubs en battant l’Internacional Porto Alegre (2-0) en demi-finale.
LE TP est devenu le premier club non-européen ou sud-américain à atteindre la finale de cette compétition. L’équipe congolaise s’est toutefois lourdement inclinée au stade ultime face à l’Inter Milan (3-0).
Dans le cadre de la journée mondiale de la femme, l’artiste Veeby et KVN Productions présentent le projet WOMEN FOR WOMAN : VOICES ACROSS THE WORLD.
Huit femmes originaires du Canada, de Côte d’ivoire et du Cameroun vous présentent des pièces musicales qui surfent sur les sonorités de la Soul, du R&B et de la musique du monde. Les morceaux de la compilation vous parlent des femmes, de l’amour sous toutes ses formes, du respect et de la grandeur de ces êtres qui sont nos mères, nos sœurs, nos femmes.
Pour en savoir plus, nous nous sommes entretenues avec l’artiste Veeby
Depuis quand avais-tu ce projet en tête ?
Le projet voit le jour il y a environ 6 mois, lorsque je décide de faire une collaboration avec une artiste Soul nommée Danielle Eog. Le thème de la féminité surgit naturellement et la collaboration se passe tellement bien que je me dis, pourquoi ne pas faire participer d’autres artistes que j’apprécie. La suite vous la connaissez.
Comment s’est passé la collaboration avec les autres artistes?
Extraordinaire est le mot! Fluide et professionnel fut le travail.
Comment a été fait le choix des artistes ?
Honnêtement, c’est vraiment au feeling! Les artistes approchées comme vous le constaterez à l’ecoute sont des voix exceptionnelles et des femmes incroyables tant au niveau artistique qu’au plan humain. De plus, je tiens toujours à fusionner les genres musicaux et les origines. Raison pour laquelle nous retrouvons à la fois des canadiennes, des camerounaises et une ivoirienne sur le projet. Pour montrer que les femmes de partout même eloignées partagent les mêmes réalités et ont la même sensibilité. De plus des compositeurs de qualité nous ont accompagnés dans le projet. Ainsi, Nunshack de la Côte d’Ivoire nous a livré 3 compositions, Deetah de Montréal 2, nous avons aussi des musiciens de l’Europe, de Vancouver et des États Unis qui nous ont fait confiance. Au Mix, Blingstef a fait un travail remarquable et pour notre image, on a eu la chance de travailler avec Doro Saiz de Montréal.
Est-ce que les titres figurant sur l’opus sont inédits ?
Oui, tous les titres sont des inédits. Nous avons même eu droit à des exclusivités, car Lady B du Cameroun nous gratifie d’une pièce sur le projet qui sortira dans son album ‘O pays des femmes sages’ le 11 mars prochain, et Danielle Eog sort son album le 21 mars prochain aussi.”
C’est une compilation “for woman” mais que dirais-tu à un homme pour le convaincre de télécharger la mixtape?
Pas besoin de convaincre. Il faut écouter seulement, car ces voix sont envoûtantes.
Est-ce toujours important en 2013 de souligner la journée internationale de la femme?
Je pense que cette journée est un prétexte et non une fin. Elle sert à s’arrêter et à se dire : Oui nous sommes fortes, indépendantes et importantes. Ce n’est pas une question de revendication à travers ce projet mais plus un hommage.
Récemment sur scène au Ballatou, comment cela s’est-il passé? À quand la prochaine scène?
Le public est extraordinaire et j’aime Montréal. Je remonte sur scène aux côtés de mon ami et frère KINSHA le 24 Mars prochain.
Que faut-il te souhaiter pour 2013?
Sérénité et encore plus de force au travail.
L’opus sera en téléchargement libre et gratuit sur le site bandcamp dès le 8 Mars 2013 et pour plus d’informations visitez le site officiel du projet.
La semaine dernière nous avons eu le plaisir d’interviewer Mcfly et Ahms Beatz, deux membres du groupe cosmopolite The C-tizens dont la première mixtape. The C-tizenship Vol.1 est sorti le 14 février dernier.
La mixtape est disponible en téléchargement comme à l’achat sur le bandcamp du groupe. Les liens sont dispos à la fin de l’interview. J’espère que celle ci vous plaira autant qu’à moi car discuter pendant presque une heure avec ces deux bonhommes aura vraiment été un plaisir.
Pouvez-vous présenter votre groupe pour nos lecteurs qui ne vous connaissent pas déjà ?
Beatz : Alors je suis beatmaker dans le groupe, cela fait 3-4 ans que je fais des beats et en plus de bosser sur les projets de C-tizen. Je prépare d’ailleurs une mixtape d’instrumentals qui devrait sortir pour le mois de mars.
McFly: Je tiens à ajouter que de tous les membres du groupes Beatz est celui qui a le plus progressé ! On a aussi Dj Safir comme Beatmaker, plus spécialisé sample, il est aussi notre Dj attitré. Ensuite vient Asap, il est fort, il est vraiment très très fort !
Vous vous êtes présentés, vous avez un peu parlé des autres membres du groupes, mais pouvez-vous mieux expliquer ce qu’est Citizen, quelle est votre approche, votre concept, qu’est-ce que c’est Citizen en fait ?
Beatz : Citizen c’est plutôt simple en réalité; c’est un collectif de jeunes passionnés de la musique qui se réunissent pour faire ce qu’ils aiment. On travaille et on va tous dans la même direction, tu vois par exemple il y a d’autres crews qui travaillent ensemble difficilement car les membres n’ont pas les mêmes idées, y a des divergences et tout mais nous, rarement on a eu ce genre de problèmes.
Fly: Je rajouterai qu’on est assez ouvert en fait, un gars comme Ahms va nous ramener par exemple de la musique tropicale, on a un gars comme Asap aime plus les mélodies un peu lovers, ou je peux prendre un autre exemple avec Bad qui est plus nu-soul… On a tous notre propre univers mais on aime aussi ce que les autres aiment, ça nous permet de nous compléter.
Un groupe composé de 6 membres un peu éparpillés sur le globe, comment est ce que ça impact votre manière de travailler ? D’ailleurs quel est votre processus créatif ?
Beatz: Alors, il y a 3 membres qui sont en France : Asap, Bad et Safir. Ces 3 ont déjà travaillé ensemble, donc ils ont déjà cette expérience de sessions freestyles et de projets communs. La même est valable pour McFly et moi au Canada. On a déjà travaillé ensemble sur divers projets et musicalement, on a une vision commune. Le seul c’est K-Style mais il arrive à bien s’adapter.
Mcfly: Il faut dire aussi qu’internet réduit réellement les distances ! Dropbox nous aide beaucoup à rester constamment connecté ! Pour les sons il suffit juste de les déposer dans la boîte pour que les reste les ait. Il y a aussi des gens qui nous ont aidé notamment un mec qui s’appelle Mathias Beranger, que j’aimerais big up parce que c’est un gars qui nous a fait notre mastering et notre mix, tout ça gratuitement dans un studio professionnel, ça nous a beaucoup aidé. En fait avec C-tizens on veut dire que la musique est internationale. Peu importe d’où tu viens ta culture, ta religion tu peux être touché par la musique donc c’est vraiment commun à tous !
On constate que chaque ville à son identité musicale, le son qui est fait à L.A par exemple est clairement différent de celui de NYC par exemple, donc ma question est, est ce que la ville où vous habitez, la région, influence votre style, votre flow, votre identité musicale ?
Beatz : Moi perso je suis presque dans un désert so, je pense pas vraiment être influencé par la musique que les gens d’ici consomment (ndlr : Beatz vit à Moncton dans le Nouveau-Brunswick) mais ça doit être vrai pour une ville comme Montréal. Par contre c’est vrai ce que tu dis et je le constate lorsque je dois bosser avec des artistes qui sont en Afrique et d’autres qui sont par là. Tu leur envois des vibes par exemple qui ne sont pas tendances la-bas et ça marche pas. Puis pour te mettre dans leurs vibes à eux c’est assez difficile. Mais à mon niveau non j’ai pas ce problème.
Mcfly : Je pense que la localité va plus influencer ce que j’écoute plutôt que ce que je fais. Par exemple j’ai grandi en France et avant d’arriver à Montréal j’écoutais beaucoup de rap Fr et peu de US. Une fois arrivé ici le ratio s’est inversé mais par contre à cause de l’identité de Montréal, j’écoutais pas beaucoup de mainstream, so oui je pense qu’il y a quand même une influence.
En tant que rappeur/beatmaker , quelles sont vos influences ? Pouvez vous m’en citer 5 ?
Fly: Hum j’ai pas vraiment une personne qui m’a influencé tellement que j’ai eu envie de rapper. Alors oui j’ai écouté les classiques, Big, Pac, Jay etc mais pas au point de me dire que je voulais faire comme eux. Par contre j’ai des artistes que j’écoute en boucle, J Cole, Kendrick Lamar, Method Man, argh c’est dur ! Alors attend 5 c’est difficile, disons en rap français y a un mec que je viens de découvrir, Joke ! Le petit est grave bon ! Sinon t’as 3010, 1995…
Je vais transformer un peu la question pour toi, y a t il quelqu’un qui, lorsque tu l’a écouté t a dit: « Yo, je veux faire la même chose ! » ?
Fly: Alors tu vas rigoler mais c’est un de mes potes. En fait j’ai commencé à rapper tard j’avais 20 piges donc y avait ce gars avec qui je jouais au basket et qui après un playground me dit “yo vas y viens on va à la maison on va écouter des sons”. Donc il me faisait écouter des sons de rap français et là il me dit “vas y écrit un truc on fait quelques lignes”. Et de fil en aiguille on a enregistré, j’ai rejoins son groupe et puis voilà quoi.
Et toi Beatz ?
Beatz: Si tu veux moi c’est classique hein, Scott Storch, Timbaland, Dr Dre, peut être aussi un prodo de mon pays Bob Dynan et en 5 je mettrais Pharrell.
Fly: En même temps il y a aussi un gros manque d’artistes à la hauteur du sens créatif de grosses pointures comme Timbaland ou Dre. Par exemple Timbo on l’attend sur les albums de Jay z et Justin Timberlake.
Quels sont les Emcees que vous trouvez Hot/Not en ce moment ?
Beatz: En hot je dirai Kendrick a cause de son album que je trouve osé vu les tendances du moment, J Cole aussi. Je dirai aussi Meek Mill, ceux que je kiffe pas du tout y a French Montana, Trinidad James, Wacka Floca, je valide pas du tout ça je peux pas (rires).
Mcfly: C’est un peu comme moi, mon top du top c’est vraiment Kendrick, matin midi soir. Comme j’ai dit précédemment j’aime beaucoup J Cole aussi a cause de ce qu’il est, et il est bon beatmaker. Je le trouve complet. Dans les not je met direct 2 chains.
Ca ne te surprend pas d’ailleurs qu’il n’ait pas un peu plus le soutien de Jay z ?
Fly: Non pas du tout ! De Jay z ça ne me surprend pas, c est un gars qui veut que tu avances tout seul, il te pousse un peu au tout début mais après il veut que tu fasse toi même tes preuves. Y a plusieurs exemples, Bienie Siegel, les Youg Gunz dont par exemple le second album n’a pas fonctionné malgré le buzz de fou qu’ils avaient. Jay ne va pas te pousser comme un Rick Ross le ferait par exemple en étant la à tous tes concerts, toutes tes mixtapes etc. tandis que Mr carter est plus le genre à donner une plateforme et te regarder faire. Ça fait ressortir de la qualité intrinsèque de chacun.
On va recentrer les choses un peu sur vous, votre mixtape est sorti le 14 février une signification derriere le choix de la date ?
McFly: Non pas vraiment, quand la mixtape a été terminée, on regardait les dates marquantes sur le calendrier, ce qui venait c’était la Saint-Valentin donc on s’est dit que pour tous les amoureux du hip hop ce serait une bonne chose d’avoir notre tape à télécharger ce jour là.
Qu’est ce qu’on peut attendre de the Citizens pour 2013 ? un nouvel Ep ? Des projets solo ?
Fly: On a chacun nos projets, comme Beats l’a dit sa Tape sort bientôt, de mon côté j’ai une mixtape aussi de track produites que par lui. Pour le groupe on va tenter aussi de faire des hard copies histoire de revenir aussi un peu à la base.
Il y a quoi dans le lecteur Mp3 de Fly ? De Beatz ?
Fly : Juste avant l’interview j’étais sur Cruisin’ de TI sur son dernier album.
Beatz : Pour ma part j’ai une playlist bizarre, mais en ce moment cette semaine je suis pas mal sur Salif Keita. D’ailleurs il est en promo en ce moment pour son nouvel album.
Avec qui aimeriez-vous bosser par exemple dans la scène française ?
Beatz : dans la scène française il y a LECK, je le trouve plutôt diversifié, il a un album dehors qui est vraiment bon et gagnerait vraiment à étre connu.
Fly : Je dirai 3010 directement je le trouve balaise.
Maintenant une tradition chez AfrokanLife, l’interview façon Bernard Pivot:
Quel est votre Mot préféré ?
Beatz: “Musique” car c’est ce qui me soulage, c’est ce dont je vis, c’est ce que j’aime.
Fly: “Shit ” j’adore ça tu peux le sortir dans toute situation !
Le mot que vous détestez ?
Beatz: “Impossible” ! Car quand tu veux tu peux !
McFly: hum c’est un mot anglais, “schedule” je parle pourtant anglais couramment mais je sais pas pourquoi j’ai du mal en plus au Québec ils en font un verbe alors …
Votre drogue favorite ?
Beatz: Hum je ne consomme pas mais bon je vais choisir la boisson Arizona, je dors presque avec une cannette dans le lit !
McFly: Les femmes ! Je sais que ça risque de me causer des problèmes cette réponse mais j’assume, c’est une drogue.
Le son ou le bruit que vous préférez ?
Mcfly: Franchement je ne me suis jamais posé la question mais bon je vais dire le son de la sonnerie de mon téléphone lorsque ma copine m’appelle.
Beatz: et si tu change de copine comment tu fais ?
Le son ou le bruit que vous détestez ?
Mcfly: Le son qui me réveil le matin peu importe d’où vient ce son.
Votre insulte, blasphème ou gros mot favoris ?
Beatz: C’est dans ma langue « angaïa », c’est une manière de dire « putain » !
McFly: Facile celui j ai déjà dit, c’est « Shit »
Quel métier vous n’auriez vraiment pas pu faire ?
Beatz: Professeur des écoles ou enseignant non je ne pourrais pas ! Ma mère est enseignante et je vois la manière dont ce métier la stresse donc je pense pas que je pourrai le faire.
La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel tu aimerais te réincarner ?
Beatz: Un lion ! À cause de sa prestance, du charisme qu’il dégage, l’autorité, bref tu vois quoi.
Le métier que tu n’auras pu faire ?
Mcfly: Homme politique parce que bon mentir toute la journée et après se regarder sans etat d’âme nan c’est pas pour moi ça.
Si vous veniez à mourir demain, et rencontriez Dieu, qu’aimeriez-vous qu’il vous dise ?
Beatz: Elle est facile celle la, qu’il me dise yo mec t’as ta place au paradis sans procédure.
Mcfly: Toutes les choses que j’ai pu mal faire dans ma vie.
Est-ce que vous avez quelque chose à dire à ceux qui comme vous veulent se lancer dans une carrière musicale ?
Beatz: Hum je dirais qu’avant de rentrer dans la musique il faut essayer de la comprendre. La musique il en passe partout, à la radio, à la tv, sur internet, c’est commun d’écouter de la musique ça fait partie de la vie de tous les jours même sans que l’on s’en rende compte. Mais il faut prendre son temps pour la comprendre, prendre ton temps pour comprendre ce qu’est le rap, le rnb, comprendre pour s’adapter aussi. Il y en a beaucoup qui aujourd’hui font de la musique sans la comprendre et ça tu le sens dans leur rap ou dans leurs prods. Donc avant de se lancer dans une carriere musicale il faut comprendre ce qu’est la musique.
Mcfly: Soyez patient et surtout faite ce que vous aimez. Quand tu te lance dans la musique il faut savoir exactement dans quelle direction il faut aller, il faut avoir de la patience et de la persévérance !
Cet article a été rédigé par DILLMATIC du blog DILLMATIC.
Bio de DILLMATIC : Créateur du blog musical et culturel dillmatic dont le but est de faire la promotion d’un “hip hop léché et classieux “, je vous partage mes découvertes à travers clips, documentaires et autres capsules vidéos.
Suivez le sur Twitter : @BowTie_TilliDie
Écoutez son soundcloud : http://soundcloud.com/dillmatic
Okoumé Formation est spécialisé dans la formation : informatique, bureautique, management, et les techniques de ventes. Wilfried Bekale nous explique sa vision d’entrepreneur.
L’avènement des nouvelles technologies a apporté de nouvelles approches pédagogiques dans la formation professionnelle. La majorité des formations sont devenues dispensables à distance grâce à Internet, réduisant du même coup les tarifs. Les logiciels comme Skype, Teamviewer et autres, permettent d’assurer l’échange en temps réel. L’exploitation du Cloud assure l’accès aux fichiers de l’entreprise de n’importe où dans le monde.
Avec mon expérience terrain, j’ai constaté que les formations telles que l’e-learning, la visiophonie et d’autres approches à distance étaient sous-exploitées en France et presque inexistantes en Afrique. Or, l’utilisation d’Internet s’est mondialisée et le phénomène prend de l’ampleur. La grande majorité des entreprises en Afrique forment leurs personnels en face à face physique. Cela engendre des coûts considérables, impliquant dans de nombreux cas des voyages à l’étranger et des frais d’hôtels. D’autres n’envisagent même pas de former le personnel. Or, les croissances économiques élevées des pays africains, montrent que le continent prend le chemin du développement. Les besoins en main d’œuvre compétente dans tous les domaines vont devenir importants. La formation à distance par ses frais réduits et la diversité de son offre peut être la solution pour pallier à cela.
Le personnel professionnel en Afrique peut, de ce fait, améliorer ses compétences à moindre coût ou apprendre de nouveaux métiers plus facilement.
J’ai donc créé Okoumé Formation avec différentes formules, cela va du face à face présentiel, au face à face visiophonie et e-learning. On peut également combiner les formules. Cette approche me permet de répondre à toutes les demandes.
Ainsi, nous pouvons proposer les mêmes services en Afrique qu’en France, ou dans toute autre région du monde. Les stagiaires peuvent être en Afrique et avoir un formateur en France, ou inversement.
Nous avons beaucoup d’intellectuels en Afrique qui ont été formés sur place ou en occident et qui n’ont pas l’opportunité d’exprimer leur savoir-faire. Par ce biais, ils peuvent devenir formateurs pour notre structure. Tout comme un stagiaire en Afrique peut avoir un professeur en France. Nous avons ainsi des collaborateurs à l’étranger.
Je pense qu’aujourd’hui le marché est mûr techniquement, les seules réticences résident dans les habitudes, en France notamment. Ainsi tout mon combat réside à éduquer et à convaincre. Pour cela des moyens financiers sont indispensables pour élaborer une stratégie marketing offensive. Une équipe de commerciaux pour le développement de notre activité est nécessaire.
Par ailleurs, j’ai mis en place une charte qualité que nous respectons quelque soit la formation choisie. On s’engage à gérer intégralement le déroulement de la formation.
Ainsi, les formations à distance telles que nous les proposons, permettent de contribuer à l’épanouissement du personnel professionnel.
Cet article a été rédigé par Wilfried Bekale fondateur de Okoume Formation
Bio de Wilfried : Après plus de dix-sept ans d’expérience comme cadre commercial dans la bureautique, l’informatique et dans la formation professionnelle, dans un besoin d’obtenir plus d’autonomie et de développer mon approche pédagogique, j’ai décidé de créer ma propre structure Okoume Formation.
Le mercredi 8 mai 2013 au Théâtre National de Chaillot aura lieu la 7è édition des Trophées des Arts Afro-Caribéens. L’occasion pour nous de répondre aux questions qu’on se pose à propos des TAAC.
Quand la cérémonie a t-elle été crée ?
Les Trophées des Arts Afro-Caribéens récompensent ceux qui par leurs oeuvres et actions participent au rayonnement de la culture afro-caribéenne au niveau national et international. Ce projet a vu le jour en 2006. Son nom original est “Césaire de la musique”.
Soutenu par le ministère de l’Outre-mer et le ministère de la Culture, le projet a rapidement pris de l’ampleur. Dès les années suivantes, la cérémonie des “Césaire de la musique” s’enrichit avec les domaines littéraires et cinématographiques devenant ainsi les Trophées des Arts Afro-Caribéens.
Qui organise les trophées des Arts Afro-Caribéens ?
L’organisation des TAAC 2013 est confiée à une association : L’Union Nationale de l’Outre-Mer français.
Pourquoi la septième édition rend hommage à Aimé Césaire ?
Aimé Césaire est un poète et homme politique français né le 26 juin 1913 en Martinique. L’année 2013 est symbolique car elle marque le centenaire de l’un des fondateurs du courant littéraire et politique de la Négritude.
Quelles sont les récompenses ?
Musique
Meilleur(e) artiste de l’année
Meilleur groupe de l’année
Meilleur clip de l’année
Artiste révélation de l’année
Littérature
Meilleure fiction
Meilleur essai
Cinema
Meilleure fiction
Meilleur documentaire
Personnalité sportive de l’année
Athlète qui s’est démarqué(e) par ses performances et son palmarès au cours de l’année passée
Personnalité de l’année
Personne ayant marqué l’année par ses actions
Trophée d’Honneur
Personne choisie pour l’ensemble de son oeuvre
Quel est le trophée ?
Peu d’information disponible sur la récompense, l’on sait cependant que c’est la fonderie Art de Fondre qui est à la création. Le trophée représente le corps d’une femme Noire les bras en l’air avec les mains tournées vers le ciel.
Comment se déroule le vote ?
Pour les prix de cinéma et de littérature, c’est un jury de professionnels sélectionnées par le Comité des Trophées des Arts Afro-Caribéens qui qui désignent les vainqueurs. Pour la musique, c’est le grand public qui choisit parmi une sélection des professionnels de l’industrie musicale.
Qui assiste à la cérémonie ?
Du beau monde! Les dernières cérémonies des TAAC ont vu défiler Maryse Condé, Teddy Riner, Harry Roselmack, Dany Glover, Audrey Pulvar, Inna Modja, Stephane Bak, Passi, Matt Pokora, Claudy Siar, Ophélie Winter, Thomas Njigol, Lilian Thuram, Youssoupha et bien d’autres.
Où a lieu la cérémonie ?
Le Théatre National de Chaillot est le cadre de la cérémonie des TAAC 2013. Situé sur la place du Trocadéro, c’est l’un des quatre théâtres nationaux de Paris. La cérémonie se tient dans la grande salle du foyer où fut signée la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1948.
Quoi de neuf pour cette édition ?
Cette édition aura pour président du jury sportif : l’international camerounais Samuel ETO’O ! Une ouverture plus grande sur l’Afrique est à prévoir alors que la cérémonie sera diffusée sur plusieurs chaines sur le continent.
Quand a lieu la 7è édition des Trophées des Arts Afro-Caribéens ?
Rendez-vous le 08 mai 2013 pour 2 heures de spectacle.
Plus d’information :
Facebook : www.facebook.com/LesTaac2013
Twitter : www.twitter.com/TAACofficiel
Site : www.lestaac.com
Le très respecté hebdomadaire britannique consacre une couverture « afro-optimist » à l’Afrique. Pour la deuxième fois en moins de deux ans, il célèbre les progrès du continent et ses perspectives alléchantes pour les investisseurs.
Bis repetita. En décembre 2011 déjà, The Economist s’était enthousiasmé pour cette « Afrique qui monte » (« Africa rising »). Dans son édition du 2 mars 2013, l’hebdomadaire britannique récidive et vante le potentiel d’« un continent plein d’espoir » (« A hopeful continent »). « En dix ans, écrit-il, d’énormes progrès ont été accomplis, et les dix prochaines années seront encore meilleures. »
Enthousiasme
The Economist n’est pourtant pas réputé tendre. On se souvient de l’acidité de ses couvertures consacrées en 2012 au « déni » français et au « dangereux M. Hollande », ou de la verdeur avec laquelle il s’en était pris aux élites sud-africaines avec cette une (« Pleure, ô mon pays bien-aimé ») qui avait suscité l’ire de Jacob Zuma en octobre dernier. Mais cette fois, l’enthousiasme est – presque – sans réserve : « Les guerres, les famines et les dictateurs sont plus rares. Comme en Inde ou en Chine, les gens ont encore du mal à joindre les deux bouts […]. Mais la plupart des Africains ne redoutent plus de mourir prématurément ou de façon violente et peuvent espérer que leurs enfants s’en sortiront. »
En une quinzaine de pages sont ainsi énumérées les prouesses d’un continent où, dans la majorité des cas, le multipartisme est autorisé, les sociétés civiles sont actives et les perspectives économiques alléchantes… Même si bien souvent, concède-t-il, « les pots-de-vin résolvent les problèmes plus rapidement que les réunions ». Elle est loin l’époque où le même hebdomadaire décrivait « un continent sans espoir » (« The hopeless continent », en mai 2000). L’heure est à l’afro-optimisme.
SIRA International effectue un pas de plus vers l’innovation avec l’ouverture d’un point de vente de proximité en plein cœur de Paris.
Sira International, 1ère initiative permettant à la diaspora d’acheter et de faire livrer à leurs proches en Afrique des produits et services de toutes sortes via le site internet www.sirainternational.fr, vient de franchir une nouvelle étape dans son développement avec l’ouverture d’un point de vente en lieu stratégique en plein cœur de Paris (Château Rouge et Marcadet).
Lancé en avril 2010, le projet SIRA International entend établir un pont entre la diaspora africaine et les proches restés au pays, en permettant à la première d’acheter et de faire livrer directement les produits de première nécessité aux seconds, en lieu et place du transfert d’argent, les frais sont exorbitants et dont on ne sait pas toujours à quelle fin il est utilisé.
Aujourd’hui, SIRA International dispose d’une clientèle régulière et le site internet www.sira-international.frest visité par plus 1000 personnes quotidiennement. Avec l’ouverture de ce point de vente, SIRA International entend renforcer sa proximité avec sa clientèle et assurer l’accessibilité de son offre à un plus grand nombre (population sans papier et n’ayant pas régulièrement accès à internet…).
Les points de vente fonctionneront sur le même principe que celui des agences de transfert d’argent. Les clients arrivent, sélectionnent les produits qu’ils souhaitent faire livrer à leurs proches et règlent leurs achats. La société offre un large éventail de produits et services, allant du panier alimentaire à la prise en charge médicale, en passant par la gestion de projets immobiliers.
Depuis quelques jours, il suffit de taper le terme « esclave » dans la barre de recherche du site de vente en ligne Mango, pour faire une découverte surprenante…
En effet, on peut alors voir apparaître quelques parures de cou et bracelets à grosses chaînes dorées … répertoriés « style esclave » (!), à l’appellation plus qu’inappropriée.
De nombreux internautes ont très rapidement interpellé la marque espagnole via les réseaux sociaux Facebook et Twitter. Choqués, ils demandent le retrait immédiat de la collection ainsi que des excuses de la part de Mango.
On a qu’à mettre aussi des bottes style “Enfants soldats” ou des jupes effet “viol”… POURQUOI PAS? #LT#Mango
Un jour les fils d’esclave auront droit au respect. Un jour oui mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui @mango sort un collier “style” esclave. — Colonel Reyel (@ColonelReyel) 3 mars 2013
Alors comme ça, chez MANGO ils vendent des Colliers “Style Esclave” sur leur site: bit.ly/ZRKTuM(0_O) — Paola Audrey N. (@PaolaAudrey) 1 mars 2013
CHOC ! Un collier nommé “COLLIER D’ESCLAVE” by MANGO ??J’ai mal à mes origines, enfant d’enfants de Déportés…. fb.me/1oX2etnYY — Freepon (@Mr_Freepon) 3 mars 2013
Se sont jointes à eux des personnalités telles que la comédienne Aïssa Maïga, la chroniqueuse et militante associative Rokhaya Diallo et l’ex-miss France et actrice Sonia Rolland, qui ont lancé une pétition afin de montrer à la marque la gravité de leur erreur.
Bijoux Mango : L’esclavage n’est pas un « style » qu’on porte autour du cou !SIGNEZ LA PÉTITION EN LIGNE :change.org/fr/p%C3%A9titi… — Aissa Maiga (@AissaMaiga) 3 mars 2013
On y trouve en guise d’introduction et sous le titre « L’esclavage n’est pas fashion », un appel des trois jeunes femmes engagées. En voici quelques extraits :
L’entreprise Mango banalise ainsi des tragédies qui ont traversé l’histoire de l’humanité et qui frappe encore aujourd’hui des millions d’êtres humains dans le monde. […] C’est pour cette raison qu’en 2001, la France a promulgué la loi Taubira, énonçant : “La République française reconnaît (…) que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’océan Indien (…) et l’esclavage constituent un crime contre l’humanité.
En réduisant ce crime contre l’humanité à un ornement décoratif, Mango manque gravement à l’éthique qu’une telle marque devrait porter. L’esclavage n’est pas un ” style ” pour fashionistas en mal de sensation fortes, ni un créneau commercial. C’est un drame dont il faut respecter la gravité».
Elles concluent ainsi : « A travers cette pétition nous demandons le retrait de tous les objets ainsi que des excuses de Mango qui à travers ces “créations” offense la mémoire des victimes de l’esclavage, leurs descendant-e-s ainsi que celles et ceux qui respectent la dignité humaine. »
Déjà plus de 4000 personnes ont signé la pétition en ce lundi 4 mars, vous pouvez la retrouver en cliquant sur le lien suivant :
Mango parle d’une erreur de traduction entre les sites des différents pays, pourtant le terme « esclave » apparaît également sur la version espagnole du site, mais cela ne suffit pas à convaincre. De plus les excuses de la marque sur son compte Twitter ce matin sont loin d’être satisfaisantes pour la toile : « Nous regrettons l’erreur de traduction. Les services correspondants sont prévenus et effectueront la correction immédiatement. »
@deejaydie94nous regrettons l’erreur de traduction. Les services correspondants sontprévenus et effectueront la correction immédiatement.
Mango dénonce une ”erreur de traduction” looool. En Allemagne ou aux USA il n’y avait pas marqué ”Slave” pourquoi ?
— Leighton. (@Leightonolivia) 4 mars 2013
En début d’après-midi, la marque a retiré une partie de la collection de la vente en ligne mais on s’aperçoit que le terme « esclave » est encore bien visible après une simple recherche sur le site.
Après les baskets Adidas à chaînes d’esclaves en juin 2012 et la mannequin blanche maquillée en femme noire pour les « besoins » d’un thème African Queen du magazine de mode Numéro en février, que pensez-vous de cette nouvelle polémique qui touche à de sombres heures de l’Histoire ?
Est-ce un scandale trop amplifié par les internautes ou êtes-vous prêts à boycotter la marque un temps après cette faute médiatique ?
Publiée sous le compte Youtube de DaveroFilms, l’histoire des jeux vidéos de foot permet de replonger en enfance et constater les énormes progrès du genre (voir liste complète ci-bas).
L’occasion de vous plonger dans notre dossier : Pro Evolution Soccer vs FiFa.
FIFA VS PES : toi-même, tu sais ! (partie-1)
Chers lecteur profane, toi qui n’a certainement rien compris à ces acronymes, ces sigles cabalistiques qui relèvent plus de l’hystérie collective que d’un blasphème anticlérical ou d’une saillie à connotation érotico-trash, je te dis tout de suite : FUIS ! Cet article n’est pas pour toi, tu n’y trouveras que frustration et incompréhension, car je parle là, d’une époque révolue, un âge d’or du jeu vidéo footballistique qui suscita tant d’émotions, et que seuls les joueurs du temps jadis peuvent comprendre.
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FIFA VS PES : toi-même, tu sais ! (partie-2)
Avec l’arrivée de la Playstation, le passage à la 3D ne se fit pas sans mal, difficile de recréer une maniabilité aussi intuitive que sur consoles 16-bit. Les programmateurs eurent alors deux chemins possibles : l’arcade et la simulation. La simulation était une voie risquée car la prise en main devait se faire rapidement sans pour autant que le moteur physique des joueurs ne s’attire les moqueries des puristes. Konami s’était bien lancé dans l’aventure en pondant un hybride entre ces deux genres, nommé ISS PRO 98.
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FIFA VS PES : toi-même, tu sais ! (partie-3)
Puis un jour, un de mes potes lance un nouveau CD sur sa Playstation trafiquée. On ne comprend rien, le jeu est tout en japonais, je constate finalement qu’il s’agit de foot. La partie commence après 10 minutes de quiproquos (menus en japonais). Je prends la manette, et réflexe fifaien, je fonce avec mon attaquant de pointe, dans l’espoir de dribler sept joueurs puis d’humilier publiquement le gardien après avoir martelé comme un débile sur la touche magique (roulette, crochet, passements de jambes, tout y est), résultat, mon joueur s’empale imbécilement sur le premier rideau défensif. Pathétique. –
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FIFA VS PES : toi-même, tu sais ! (partie-4)
Peu après, le même pote chez qui je jouais, avait reçu la version japonaise du jeu qui allait en Europe, devenir ISS Pro Evolution 2. Ne me demandez pas comment, ce mec avait tous les jeux en avant-première, sans claquer une seule thune dans le domaine. Nous avions déjà commencé à faire le tour du premier opus, et il fallait l’avouer, ce jeu était une véritable tuerie, c’était le « un » corrigé de toutes ses merdes (inertie des joueurs, cubisme prononcé, stratagèmes perfides, anti-jeu de l’I.A). –
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La liste complète ici :
1. 1978 – Football 0:58
2. 1980 – Atari Soccer 1:16
3. 1982 – Pele Soccer 1:28
4. 1982 – Soccer Raupisoft 1:42
5. 1982 – RealSport Soccer 1:59
6. 1983 – International Soccer 2:13
7. 1984 – Match Day 2:29
8. 1984 – Match Day 2:47
9. 1984 – Mexico 86 3:02
10. 1987 – Match Day 2 3:27
11. 1987 – Match Day 2 3:40
12. 1986 – AmSoccer 3:57
13. 1987 – Superstar Soccer 4:18
14. 1986 – Peter Shilton’s Handball Maradona 4:39
15. 1987 – Mexico 86 5:00
16. 1987 – Kick Off 5:26
17. 1988 – Microprose Soccer 5:48
18. 1989 – Italia 90 (VIRGIN GAMES and NOVOTRADE) 6:06
19. 1990 – Sega Soccer 6:28
20. 1990 – Italy 90 (US GOLD) 6:58
21. 1990 – Retee 7:20
22. 1990 – Kick Off 2 7:42
23. 1992 – European Championship 1992 8:13
24. 1992 – John Barnes European Football 8:41
25. 1992 – Sensible Soccer 9:09
26. 1992 – Striker 9:33
27. 1992 – Super Sidekicks 10:10
28. 1993 – Lothar Matthaus 10:37
29. 1993 – Goal 11:03
30. 1993 – Fifa International Soccer 11:26
31. 1994 – World Cup USA 94 11:53
32. 1994 – Manchester United 12:12
33. 1994 – Sierra Soccer 12:37
34. 1994 – Kick Off 3 13:03
35. 1994 – Football Glory 13:25
36. 1995 – International Superstar Soccer 14:01
37. 1995 – International Superstar Soccer Deluxe 14:32
38. 1995 – Actua Soccer 15:00
39. 1996 – Fifa 96 15:22
40. 1996 – Total Football 15:54
41. 1996 – Striker 96 16:20
42. 1996 – VersusNet Soccer 16:31
43. 1996 – Atlanta 1996 16:55
44. 1996 – Sensible World of Soccer 17:20
45. 1998 – Fifa Road to World Cup 98 18:05
46. 1998 – International Superstar Soccer PRO’98 18:47
47. 2000 – Euro 2000 19:16
48. 2000 – Winning Eleven 19:50
49. 2002 – Fifa World Cup Korea Japan 20:12
50. 2003 – ProEvolution Soccer 3 20:44
51. 2004 – Euro 2004 21:28
52. 2006 – Sensible Soccer 2006 22:07
53. 2006 – Fifa World Cup Germany 2006 22:38
52. 2006 – Pro Evolution Soccer 6 23:30
53. 2008 – Fifa 09 24:19
54. 2008 – Pro Evolution 2009 25:28
55. 2009 – Pure Football 27:33
56. 2012 – Fifa Street 28:18
57. 2012 – Pro Evolution Soccer 2013 29:16
58. 2012 – Fifa 13 31:03
It’s been a whole week and I’ve missed my AfroKAN people. It is always a pleasure for me to share my “7 songs of the week ” with you. Truth be told, I am alive end functional only when I have my ear phones bursting with some good soulful music.
So what’s the concept? Well you get to share a little bit about my life, because in this section….I am baring it all. Am going real naked with you. I will randomly pick songs from my play list. For each song, I will tell you about the first time I heard the song (if I can remember) but most importantly I will tell you what that song represents for me and how it makes me feel. If for some reason I have no attachment to the song, I will let you know and skip to the next one in line. Most importantly am sharing my musical passion with you, isn’t that enough? But sharing is caring, so you gotta share your songs and your moments with me too….DEAL?
Here it goes.
Like you’ll never see me again
I smile, I smile. Secretly I was hoping that this one wouldn’t show on the play list. Because well, I made a promise to tell you the naked truth and this one is quite the naked story. I first heard this song on Alicia Key’s “As I am” album. It was November 2007. I was already so in love with the other single “No one”. Every time I heard it (No one) I thought about ‘him’ and the album kind of described our relationship. But the reason this song (like you’ll never see me again) is so particular to me is because we separated in September of that year, rough but necessary. A year later, he was visiting. There was always chemistry between us. One night we had a little bit to drink and he asked me to stay with him. A torrid night. Ms Keys was playing in the background, he loved her album just as much as I did. A few days later when we talked he said, “you made love to me the other like it was the last time”. I went silent. We had always played this hot and cold game. Then he said, ‘like you’ll never see me again’. I was like What? And he said, “that moment was like Alicia Key’s song, Like you’ll never see me again. You had so much passion and yet I could feel you slipping away. You might not remember but towards the end, it was that song that was playing and I could feel you saying goodbye.”
I remember. Oh boy do I remember. Yes. It was my goodbye. That was the most intense and last time I shared anything that special with ‘him’. Every time I hear that song, I think back to that night and what never was.
Longue _ Charlotte Dipanda
(Although a beautiful song, it is perhaps only the second time am hearing it – so no special attachment)
La nuit- Kimberlite Zouk
This Zouk although not particularly special, always makes me want to dance to Zouk. I remember Montreal nights and swaying to it. Definitely the kind of song I will always want to dance to and makes me want to learn creole.
Leon on me – Michael Bolton
I started listening to Michael Bolton aged 7. I thank my dad for this one. There were two cassettes (yes CASSETTES – if you don’t know what those are, you are probably too young for my posts). There was the Phil Collins ‘another day in paradise’ and Michael Bolton ‘lean on me’. I knew them by heart, I could sing every single song on the albums. And I always had my pen in hand to rewind when the radio was acting up. This song digs up some sweet childhood memories, but more importantly it makes me think of my dad. Because truth be told, I can always lean on my dad and I can always call on him. Yes, this is when I fell in love with soft rock ballads….and they are still my genre of choice on a mellow Sunday.
Sauti Sol – Coming Home
August 2011 when I came home. My little sister kept on blasting it around the house. Whenever I got in the car with my moms it was playing on the radio. I like the ballad feel to it, but couldn’t quite figure out why everyone was just so into it. Then I sat down and youtubed it and listened to it again, this time I was listening to words and watching the video. It made it to my top 10 list for the whole month of September. Sometimes I want someone to tell me, “am coming home” At about 2.22 of the song, the guitar vibes just make me silly happy.
p.s I recommend their albums. Strongly. If you are the ballad type.
p.p.s: I later met the producer of this video, amazing woman; it was interesting to listen to her vision for the video. Let me know what you think so I can pass it on to her.
Muntula moto Richard Bona
As you get to know me, you’ll notice I like what most people call “old music” – I just call it GOOD music. Richard Bona for me was perhaps one of the best musical discoveries (of all time). I started listening to his music around 1999/2000; about the same time I discovered Henri Dikongue. I was so proud to have such great musicians from Cameroun. I had been playing the saxophone actively for 2 years by then and was completely in love with Jazz and blues. This particular song (2001) reminds me of car drive with my parents; because Richard Bona is perhaps the only album that existed in both their cars. Later on Richard Bona came to represent quiet evenings in Ottawa, sometimes studying and sometimes just thinking about my life.
Vuli Ndela – Brenda Fassie
For some reason this song always reminds me of weddings. Yes because every time the dj plays it I insight my friends and guests to break into a very “africanised” shuffle. May her soul rest in peace, she brought us some great southern vibes.
Coup de Tonnerre sur la ligue 1, le colosse Parisien a une nouvelle fois perdu contre une modeste équipe rémoise réduite à 10 peu après l’heure de jeu mais qui a su faire valoir sa combativité et son envie comparativement aux millions d’euros du PSG.
Sirigu : 5
Il n’a pas eu grand-chose à faire, ne peut rien sur le but
Van Der Wiel : 3
Ce jeune joueur n’a jamais su élever son niveau de jeu. Alors qu’il sortait d’un bon classico contre
Marseille mais n’a pas le standing du PSG
Alex : 4
Fautif sur le but parisien, il lâche son marquage. Beaucoup trop lent et peu rassurant dans ses
relances
Sakho : 5
Le seul défenseur qui a su sortir son épingle surtout dans les duels.
Armand : 4.5
Il a passé une mauvaise soirée notamment à cause du virevoltant Fortès, n’a pas su apporter offensivement avec son bon pied gauche.
Matuidi : 6.5
Encore le meilleur parisien hier soir, s’est dépensé sans compter et aurait même pu marquer en fin de match sur une balle mal négociée par Agassa.
Verrati : 5
S’est battu comme à son habitude, a su sauver son camp sur frappe rémoise mais est demeuré approximatif dans ses passes.
Pastore : 2
Encore un match que notre intermittent du football ne voulait pas jouer mais quand est ce que Carlo Ancelotti prendra ses responsabilités ?? (Remplacé par Ménez 60ème minute qui a une nouvelle fois apporté de la percussion mais sans l’effet escompté.)
Lucas : 3.5
Aie Aie, notre fameux brésilien a été gelé par le froid rémois. Un match à vite oublier pour lui (remplacé par Beckham 60ème minute, qui a perdu un nombre incalculable de ballons pour un joueur de son niveau)
Lavezzi : 4.5
Toujours autant d’énergie dans son jeu, mais là le réservoir était presque vide, et surtout son manque d’efficacité dans le dernier geste commence à faire beaucoup (il rate notamment une énorme occasion en 1ère mi-temps) : remplacé par Gameiro 75ème minute qui a fait ce qu’il a pu
Ibrahimovic : 4
On lui refuse un but qui était valable, sinon rien de bien à se mettre sous la dent, on espère voir le vrai Ibrahimovic la semaine prochaine.
Les designers japonais Nigo de la marque Human Made et Hiroshi Kubo de Beams, se sont associés pour faire créer une Collection capsule Coca Cola !
Pour l’occasion de la Collection capsule Coca Cola, les créateurs ont customisé des sweatshirts, des bermudas, des casquettes et des t-shirts avec le logo ou des images vintages de la célèbre marque de boissons gazeuses et nous font voyager à travers l’histoire de la marque !
La campagne publicitaire s’inscrit dans l’esprit de la collection capsule. Le lancement aura lieu dans les boutiques Beams, à Tokyo. (vidéo ci-dessous)
Japanese designers Nigo brand Human Made and Hiroshi Kubo for Beams have teamed up to create a capsule collection Coca-Cola!
The campaign is part of the spirit of the capsule collection. The launch will take place in the shops Beams in Tokyo.