Edit décembre 2012 : La vidéo Gangnam Style a maintenant plus d’1 milliards de vues. 😉
LMFAO et Michel Telo peuvent aller dormir, PSY a pris le contrôle des dance-floor! On vous a trouvé LA chanson de l’été. (oui on sait c’est le mois d’aôut…)
Êtes-vous prêts à danser le GANGNAM STYLE ? Le rappeur de la Corée du Sud Park Jae Sang connu sous le nom de “PSY” a lâché une bombe pour son 6ème album [PSY 6甲].
La chorégraphie qui a pris le monde par surprise consiste à imiter un cavalier, sur la plage, dans la ville, dans un spa, dans un bus, aux feux de circulation, et aussi dans une écurie le tout suivi par des filles plastiques. Et ca marche !
Pourquoi je suis encore entrain d'écouter Gangnam Style moi
PSY qui a étudié au États-Unis s’est fait connaître en se déguisant en stars féminines de la Corée du Sud et les imitant. Il est désormais LA vedette du K-pop, la pop sud-coréenne et a réellement réussi à créer un buzz mondial autour de son « Gangnam Style ».
Pour la petite histoire, la chanson traite des filles de Gangnam qui sont classes mais qui savent s’amuser quand il faut. Gangnam est le quartier fashion de Séoul.
Montréal, le 7 août 2012 – C’est le film très attendu WINNIE de Darrell Roodt qui ouvrira la 8e édition du Festival International du Film Black de Montréal le 19 septembre prochain.
Le film Winnie, une co-production canadienne, produit par le producteur québécois Michael Mosca d’Equinoxe Films, ouvrira la compétition officielle et sera présenté en grande première québécoise. « Nous sommes très fiers d’ouvrir le festival avec un si grand film produit par un producteur québécois ; une histoire bouleversante qui ne laisse pas indifférent » a déclaré Fabienne Colas, la présidente du Festival.
Winnie met en vedette Jennifer Hudson (Winnie Mandela), actrice gagnante d’un Oscar et chanteuse lauréate d’un Grammy, et Terrence Howard (Nelson Mandela), acteur nommé aux Oscars.
Adapté de la biographie d’Anne Marie du Preez Bezdrob « Winnie Mandela : A Life », Winnie est un film intimiste, profond et impartial, qui permettra au public de comprendre le parcours remarquable de Winnie Mandela, l’une des plus célèbres femmes activistes au monde,en explorant à la fois sa vie personnelle et politique. Winnie Mandela est une figure historique complexe, appréciée pour son rôle dans le combat contre l’apartheid mené par son mari, mais dont les accointances obscures en font une personnalité tout aussi controversée. Grâce à sa détermination farouche et son indomptable courage, Winnie Mandela a survécu l’emprisonnement de son mari, le harcèlement continu par la police, le bannissement vers une petite ville isolée (Free State town), la trahison par les amis et alliés, et plus d’un an de détention en isolement solitaire – et pendant tout ce temps, en maintenant le nom de Nelson Mandela en vie. Pourtant, tout en étant un portrait sensible et équilibrée, le film enquête en profondeur et examine honnêtement les controverses qui ont hanté Winnie Mandela ces dernières années.
Darrell Roodt, réalisateur et scénariste sud-africain, dont le film Yesterday avait été nommé aux Oscars dans la catégorie « meilleur film en langue étrangère » en 2005, s’est fait un nom à l’international avec son premier long métrage Un lieu de pleurs (1986), une condamnation passionnée de l’apartheid. Formé à l’Université de Witwatersrand, Afrique du Sud, il a acquis une renommée supplémentaire avec The Stick (1988), un autre regard sur la lutte anti-apartheid. En 1990, il réalise son premier film avec l’appui des Américains, Jobman (1990). Son film le plus connu est son adaptation de la pièce théâtrale musicale anti-apartheid Sarafina! (1992) avec Whoopi Goldberg. Il est le réalisateur de près de 30 films et séries télévisées dont Cry, The Beloved Country mettant en vedette James Earl Jones et Richard Harris (1995). Depuis, il réalise des films tant à Hollywood qu’en Afrique du Sud. Winnie est son plus récent film et a aussi été présenté en sélection officielle au Festival de Cannes et au Festival de Films de Toronto.
Après son passage au Festival International du Film Black de Montréal, WINNIE, distribué par Equinoxe Films, prendra l’affiche sur les grands écrans du Québec dès le 5 octobre 2012.
Voici la conférence du prédicateur africain Kemi Seba, à l’Université Hampâté Bâ du Sénégal intitulé “Pour un nouveau type d’homme africain”. Mais autre université, autre discours !
L’intégrale du discours du président français Nicolas Sarkozy à l’Université Cheick Anta Diop de Dakar est toujours disponible pour les intéressés…
http://www.youtube.com/watch?v=MTpgQ_bCPcw
Plus d’information sur Kémi Séba ici : http://www.kemi-seba.com/
Cet article a été rédigé par Jean-Joseph Agoua du blogjeanjosephagoua Bio de Jean-Joseph : Responsable du think tank Générations Horizons. Journaliste Pigiste pour le Bouquet Africa. Jeune homme dans la vingtaine en quête de vérités! Mes écrits n’engagent que ma personne. Suivez-le sur Twitter : @doublej75
La ligne nettoyante et démaquillante Pétales de Roses de Nuxe a été conçue sur mesure pour répondre aux besoins des peaux sensibles.
En plus de proposer un vaste choix, cette gamme féminine est délicatement texturée avec un lait, une lotion, un masque, une eau micellaire, un gel fondant, une mousse micellaire et une gelée exfoliante. Toutes les peaux sensibles y trouveront leur bonheur!
Les produits de la ligne ont été formulés sans savon, sans alcool, sans allergène et sans parabène! Pour la petite histoire, la Rose de Damas se cultive dans la vallée du Dadès au Maroc. Ses pétales sont cueillies à la main pour conserver l’intégrité des molécules odorantes et actives de la rose.
Parmi les principaux ingrédients actifs:
L’Eau Florale, extraite des pétales de la Rose de Damas, est reconnue pour ses grandes propriétés apaisantes et adoucissantes.
L’Allantoïne, connue pour ses propriétés cicatrisante et anti-inflammatoire, c’est un excellent agent hydratantqui renforce l’action de l’Eau Florale de pétales de rose.
La Glycérine Végétale, retient et fixe l’eau dans l’épiderme pour son hydratation. Ses vertus adoucissantes et émollientes rendent la peau souple.
Mes coups de cœur
L’eau démaquillante micellaire
200 ml, 21,00$
Les Plus: contient de la noix de coco pour démaquiller en douceur (visage, yeux et lèvres) et de l’acide hyaluronique d’origine végétale pour limiter la déshydratation.
La gelée exfoliante douce
75 ml, 23,00 $
Le petit plus : contient aussi de la noix de coco et de l’huile de Macadamia pour nourrir et hydrater en laissant la peau douce après le démaquillage.
Alors mes belles, que pensez-vous de cet Essentiel ? Laissez vos commentaires ici ou sur mon twitter @BotaniKap 🙂
VConnect is a local search engine and an information service provider company located at Surulere, Lagos, Nigeria. VConnect Global Services Ltd., founded in 2010, provides information about various products, services and companies in Nigeria.
VConnect.com was founded by Tolaram group represented by Mr. Deepankar Rustagi and performs in the capacity of General Manager of the company. Mr. Rustagi felt that there was a need for creating local search engine that can provide information to users. He launched VConnect.com on 8 March 2011. VConnect is a part of Tolaram Group, which is headquartered in Singapore. VConnect.com has spent $1 Millionon business data gathering and optimization and currently employs more than 125 people. Around 800,000businesses are listed on its website. VConnect is also recognized as “Hottest Tech Startup in Africa” by Forbes Magazine.
Their last promotion video is already a hit. Two young DJs enters into recording studio where two popular personalities were recording a song. These young DJs request them to give a chance to show their talent. It’s a fantastic combination of great lyrics and music. Enjoy the hottest pidgin video song in Nigeria. “You Go Connect – I Go Connect”
Parmi les activités indispensables des vacances (outre devoir dénicher notre glacier favori et essayer tous les restos des bords de mer), se trouve bien évidemment la trouvaille des sandales d’été qui seront le plus nous satisfaire et mettre en valeur notre merveilleuse pédicure!
Les magazines nous bombardent déjà de “look de rentrée”, “shopping de rentrée”, “indispensables de la rentrée” et autres gros titres en tout genre, mais que nenni, nous sommes encore en vacances et on compte bien continuer à en profiter!
Voici donc une sélection de 15 sandales (oui oui, on a le droit de toutes les vouloir et de toutes les avoir), pour le grand plus plaisir des Ladies!
Alors ? Allez vous adopter les sandales d’été ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !
Soccer Sans Frontières Ep. 8 : La suspension Di Vaio
Au programme de l’émission du 04-08-2012 :
Di Vaio suspendu pour 1 an par la FIGC?
Retour la victoire 2-1 contre le NY RedBulls
L’impact de Montreal contre l’Union de Philadelphie
On continue la discussion Football et JO 2012 avec Jean-Joseph
Notre nouveau collaborateur/specialiste du foot anglais, Reginald Joseph nous parle du big Four et des rumeurs de transferts en EPL (English Premier League)
L’After de l’émission :
Écoutez l’émission sur le site web de Soccer Sans Frontiere en cliquant sur le lien suivant.
Soccer Sans Frontières : Émission du 2012-08-04
Soccer Sans frontières :
Soccer Sans Frontieres est votre rendez-vous hebdomadaire footballistique sur les ondes de la radio web de l’UQAM, CHOQ.FM . Soccer Sans Frontiere est votre espace soccer, football, calcio, futebol et encore plus.
C’est aussi un forum d’echange, d’informations et de nouvelles pour les fans du ballon rond a Montreal et ailleurs. Nous aurons des entrevues avec differents intervenants dans le monde du soccer, des reportages sous differents angles et des chroniques d’ici et ailleurs
Après avoir donné des conseils aux jeunes entrepreneurs, Aliko Dangote démontre son intérêt pour la jeunesse nigérianne par le projet de chauffeurs-livreurs “Drivers Academy”.
L’homme le plus riche d’Afrique est sur le point de créer des milliers d’emploi pour les diplômés de l’université chômeurs en les recrutant comme chauffeurs-livreurs !
Le porte-parole du groupe Dangote, Tony Chiejna, a affirmé que “l’Académie vise à constituer un bassin de personnel qualifié pour le Groupe Dangote tout en comblant les besoins techniques de la Division des transports de la compagnie d’Aliko Dangote.”
Le projet devrait révolutionner le secteur du transport routier en améliorant le professionnalisme et la logistique des activités des chauffeurs livreurs. Les diplômés Nigérians recevront plusieurs mois de formation avant de se lancer sur les routes.
En 2013, son groupe possède la plus grande usine de production de ciment subsaharienne, Obajana Cement Plant. Ses projets d’investissement atteignent 10 milliards de dollars dont une part est sur la construction de cimenteries en Afrique (Afrique du Sud, Zambie, Éthiopie, Sénégal, Mozambique et Cameroun)
Dans les 24 heures suivant la réception de la médaille d’or, Kellogg a présenté la champion olympique Gabby Douglas sur une boîte de corn flakes pour la distribution nationale dès cet automne.
Les experts disent que beaucoup n’est que le début, en ajoutant qu’elle devraient gagner potentiellement plus de 100 millions de dollars en contrats publicitaires dont 9 $ – 10 $ millions par anées au cours des quatre prochaines années : RENVERSANT!
Paroles de la chanson Dreamin’ de Youssoupha le lyriciste BANTOU :
Refrain :
Miss me miss me, you’re the one who makes me feel
Makes me feel for real
In the night in the night, you know when I close my eyes
I can hear your voice forever
Im dreaming, singing, hoping, smiling,
Giving, flying, falling, fighting, crying, leaving, writting when you love me (x2)
Youssoupha :
J’écris des textes en relief juste avec des rimes plates
J’ai pas changé mes rêves contre un chèque de 1000 plaques
Quand je suis en concert et que le public back
C’est grâce a Philo mon frère big up a mon big black
J’suis parti de mon bled forcé sous les bruits d’balles
Dans la rue les murs ont des oreilles et les briques parlent
Rap de référence tu sais je ne biz pas, espérant que ce putain de show biz ne me brise pas
D’une manière ou d’une autre j’rêvais de toucher le ciel
J’pouvais pas être astronaute alors j’ai fait de la scène
J’ai un pied sur terre, l’autre dans le vide
Un pied dans le superficiel, l’autre dans le din
J’ai un coeur chez les miens, un coeur chez les fous
Un coeur sur la main, un coeur au milieu de la foule
En guise de refrain pour le public qui m’entoure, y’a cette voix qui revient pour vous dire tout mon amour, pour vous dire tout mon amour
Refrain :
Miss me miss me, you’re the one who makes me feel
Makes me feel for real
In the night in the night, you know when I close my eyes
I can hear your voice forever
I’m dreaming, singing, hoping, smiling,
Giving, flying, falling, fighting, crying, leaving, writting when you love me (x2)
Youssoupha :
J’allume une bougie pour éclairer nos remords
Et je me bouge vite pour ne pas rester dehors
Le temps s’écoule vite donc on a besoin de l’or
Jai le flow de ‘LL Cool J’ quand jai besoin de love
Jai une main sur mes proches l’autre sur une femme
Jai une main sur le microphone l’autre sur une arme
Le succès est de taille mais faut garder nos repères
Plus belle sera la médaille plus lourd sera le revers
J’écris ces quelques lignes car souvent je m’y perd
La défaite est orpheline la victoire a mille pères
J’ai un œil sur nos vie, un œil sur le monde
Un œil sur mon fils, un œil sur la montre
Ma vie sans la foule triste anesthésie
Quand je soufre pour vous je souffre avec plaisir
En guise de refrain pour le public qui m’entoure
Y’a cette voix qui revient pour vous redire mon amour, pour vous redire mon amour
Refrain :
Miss me miss me, you’re the one who makes me feel
Makes me feel for real
In the night in the night, you know when I close my eyes
I can hear your voice forever
I’m dreaming, singing, hoping, smiling,
Giving, flying, falling, fighting, crying, leaving, writting when you love me (x2)
Indila (x2) :
I don’t want to lose you
Im nothing without you
I don’t want it to end
My love is in your hands
Youssoupha :
Quand je pense a vous…
Dreamin’…
Indila, Chante…
C’est Noir Désir…
Dreamin’, Screamin’…
(Sky movie ?)
Il y a cette voix qui revient pour vous dire tout mon amour
Vous avez fait une recherche de votre marque sur Google. Mais étiez-vous heureux avec votre positionnement dans la page de recherche Google?
Certainement pas. La moitié de toutes les personnes ne se trouvent pas dans la première page de résultats Google quand ils leur propre nom ou leur propre marque.
Seulement 2% des personnes sont propriétaires de la totalité de la page première de leurs résultats. La conséquence est que le message que vous diffusez est noyé parmi de liens d’avis, de critiques, ou de commentaires des internautes. Pire, votre message est étouffé par la concurrence.
BrandYourself, une start-up spécialisée sur la réputation en ligne a créé cet infographie pour vous aider à faire mieux.
Et alors qu’est-ce que vous voyez quand vous Googlez votre nom ?
The African Movie Academy Awards, also known as AMAA Awards, are presented annually to recognize excellence of professionals in the African film industry, including directors, actors and writers.
Did you see any of these movies ? Do you have other movies in mind ? Tell us what you think in the comment section below !
« Il n’y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui ne doit pas du tout être fait. » Peter Drucker
Il existe de nombreux moyens d’être plus efficace dans la vie de tous les jours. Nous vous présentons 5 lois à connaître pour être plus efficace au travail.
1. La loi de Parkinson : « Le travail s’étale de façon à occuper tout le temps à disposition »
Procrastinateurs : levez-vous! Vous avez 3 semaines pour réviser un examen ou pour rendre un dossier et comme d’habitude vous vous retrouvez à faire une nuit blanche pour finir le travail. Plus vous avez du temps pour faire une chose et plus vous en prenez. Ayez une conversation avec votre « futur vous » et demandez-lui s’il trouve cela agréable de stresser à la dernière minute À CHAQUE FOIS.
Afro-conseil : Fixez-vous des délais. En découpant votre tâche en succession de mini-étapes, vous maximisez les chances de finir à temps tout en vous récompensant à chaque tâche accomplie!
2. Loi de Mark Zuckerberg : « Facebook n’est pas ton ami. »
Twitter, Facebook, Tumblr sont des outils intéressants, mais très dérangeants lorsque l’on souhaite se concentrer à la tâche. Lorsque votre travail est interrompu, vous perdez beaucoup plus de temps que la durée de l’interruption. Une fois déconcentré, sky is the limit : et si je me faisais des beignets, et si j’allais regarder cette vidéo, et si je faisais une sieste, etc.. De manière générale, il faut globalement trois minutes au cerveau pour se reconnecter à la tâche lorsqu’il a été interrompu et ça, c’est sans compter le risque de ne pouvoir jamais s’y remettre.
Afro-conseil : mettez votre téléphone sur répondeur, désactivez les notifications, utilisez un mot de passe pour accéder à vos applications (suggestion : deconnectetoi2012) et globalement résistez à la tentation du mutli-tasking.
3. Loi de Douglas : « Plus on dispose de place, plus on utilise ».
Faites le ménage! Non sérieusement FAITES LE MÉNAGE! Votre bureau ressemble à une décharge publique et votre boîte de courriels déborde. Bilan : vous perdez un temps fou à mettre la main sur les données nécessaires pour passer à l’action. Stoppez le processus d’accumulation en créant un système de classement simple.
Afro-conseil : commencez par organiser le présent avant d’organiser le passé. Ainsi votre système permettra d’avoir digérer les informations qui rentrent le temps que vous triez les plus anciennes.
4. Loi de Pareto : « 20 % des efforts = 80 % des résultats. »
Cette loi qui est utilisée à toutes les sauces gombo dit une chose : Stop au gaspillage d’énergie (exemple : 80 % du chiffre d’affaires provient de 20 % des clients, 80 % des tâches sont traitées en 20 % de temps). Il faut savoir qu’au-delà d’un certain seuil, votre activité n’apporte plus rien, pire, elle vous nuit. La loi de Pareto est donc à lier à celle des rendements décroissants (plus on produit et plus il est coûteux de produire une unité supplémentaire).
Afro-conseil : trop c’est comme pas assez, le 80/20 n’est pas une formule magique, mais une façon de voir votre activité afin de concentrer votre effort sur ce qui vous rapporte le plus.
5. Loi de Murphy : « Après la pluie vient l’orage. »
La loi de Murphy est un adage qui dit : « Si une chose peut mal tourner, elle va infailliblement mal tourner. » Selon une autre version du même adage, s’il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu’au moins l’une de ces façons peut entraîner une catastrophe, alors il se trouvera forcément quelqu’un quelque part pour emprunter cette voie. Bien que l’on ne puisse pas tout prévoir, la meilleure façon de contourner la loi de Murphy est tout simplement de faire attention aux détails.
Afro-conseil : Rien n’est aussi facile qu’il n’y paraît donc planifiez vos actions autant que possible, instaurez des indicateurs de suivi et faites preuve de bon sens pour anticiper et réduire les tracas.
Bonus. Loi du pouce
Comme les plus jeunes, apprenez à dire “pouce” et faites une pause. Après 1 h 30, nous avons généralement le cerveau en compote. Allez mettre le nez dehors et changez-vous les idées.
Si vous voulez réussir, il faut d’abord vous en donner les moyens. Bossez. Apprenez. Aidez les autres. Dans votre coin à tout remettre au lendemain, vous ne progresserez pas. Allez hop au boulot!
Par où est ce que je devrais commencer ? Afin de vous en dire plus sur BOOBA, un des personnages les plus macho, égocentriques, travailleur, et bien évidemment musclé (pour mesdames) du rap Game.
Revenons un peu sur ces quatres dernières années, nous sommes donc en 2008. Depuis un an, Monsieur Booba a quitté la France pour s’installer une partie de l’année à Miami, cependant en tant que bon citoyen français il paie toujours ses impôts, contrairement à ce que les mauvaises langues voudraient nous faire croire.
Là où la musique est comme la sienne, sourde électronique et sensuelle. Il voit dans la France “un pays conservateur où le rap n’est toujours pas accepté comme une musique à part entière“, où “l’on donne jamais leur chance aux jeunes” et où “l’on va finir par voir crever en direct les vieux présentateurs de télé” (petit hommage à Thierry Roland). Booba est ce que l’on peut appeler un mélancolique, ses principales références concernent l’histoire Afro-Américaine. En effet, il n’y a quasiment pas un de ses titres qui ne fasse pas allusion à l’esclavage ou à la lutte pour les droits civiques.
“Inspiré par Martin Luther et Shawn Carter“, il ajoute à l’ego trip des références historiques au moment où on les attend le moins. Par exemple lorsqu’il dit : “Va dire au chauffeur que je pose mon cul où je veux comme Rosa Parks“.
Ou bien avec des allusions cryptées comme un prolongement de son arrogance. “Je suis mort deux fois: une fois à Memphis, une fois à Harlem“, il faut comprendre par cette mesure, qu’il fait référence aux lieux de mort de Martin Luther King et Malcom X.
Les textes du “meneur leader black entrepreneur” télescopent tout, la ségrégation dans les bus de l’Alabama et ses virées en Lamborghini, le vulgaire et le sublime.
J’étais tout mignon avec mon bleu de travail, déambulant candide le long du boulevard Voltaire sous un soleil encore timide. Chemise blanche encore indemne, sifflotant ostensiblement des mélodies de Gainsbourg et de Paolo Conte (t’as qu’à ouvrir un dico garçon !). Je me rendais au Bataclan (Paris) pour un live de Skip the Use, groupe de musique lillois dont on parle beaucoup beaucoup en ce moment (on le conseille même sur Madmoizelle, c’est tout dire !). Mon tout premier concert de punk depuis mes années fac, j’étais tout excité ! Pour couper l’herbe sous le pied de mes détracteurs, je préciserais que Skip the Use ne joue pas vraiment du punk, mais plutôt du punk open qui tirerait ses influences de The cure, Blur, Dionysos, Peter Tosh ou autres styles n’ayant pas grand-chose à voir avec ce genre musical. Le dernier opus « Can be late » (2012) en est la parfaite représentation puisque l’électro, la pop, le reggae, la transe sont subtilement distillés au fil des chansons pour conférer à cette galette une véritable palette sonore, ce qui en fait son principal atout mais aussi son plus gros défaut.
M’attendaient devant la salle, mes comparses de toujours, Carole et Guillaume, bienheureux possesseurs du précieux sésame (je peux balancer des noms, personne ne les connaît de toutes façons). Pour rester dans la roots attitude, j’avais déjà prévu des seize achetées au coin de la rue chez un arabe, mais nous n’avions que le temps d’une file pour les descendre. Belle mise en jambe avant le massacre annoncé.
Just another love song.
Tous les billets étant partis, la salle était noire de monde. Arrivée modeste des protagonistes, et sans mot dire, c’est l’électrisant « People in the shadow » que la guitare hurle depuis la scène. La fosse (dans laquelle je me trouve) commence à s’animer, au loin devant, je vois déjà des mouvements de foule se mettre en place. Slim dégueu et gueule de bois de la veille, le chanteur Mat Mastard n’aura pas attendu longtemps pour s’emparer du micro et se débarrasser de son T-shirt. Au bout de trois chansons, je m’écœure moi-même à rester immobile si loin du point chaud de la fosse, et je craque. Je retire ma veste que je dépose dans un coin sombre de la salle en espérant la retrouver à la fin du live, et je m’élance dans la foule en essayant de percer cet amas de chair pour me frayer un chemin. Comme à la (très) belle époque quoi ! Autour de moi ça grogne et ça se plaint d’être bousculé en plein concert, ça vient pour écouter du punk comme si on assistait aux noces de Figaro, mais qui donc a invité ces crétins d’hipsters ?
La rangée de fillettes s’écarte pour que je puisse rejoindre le cœur de la fosse, et la scène qui se déroule sous mes yeux ébahis ne me déçoit pas. Une horde d’armoires à glace, tatoués sur leurs torses nus, sans un poil sur le caillou se rentrent dedans avec enthousiasme, à coups d’épaules, de coudes, et parfois de boule. C’était un foutoir sans nom qui s’étendait, des gobelets et des T-shirt abandonnés se tiraient la bourre sur le sol déjà devenu glissant. Le chanteur qui haranguait de sa main droite tendue le public qui semblait pris de folie, ressemblait de manière frappante à un gourou qui exaltait ses fidèles. Du haut de mon mètre soixante-seize, je ne réfléchis pas l’once d’un instant et m’enfonce déraisonnablement dans ce bouillon de culture.
Mais vous êtes des animaux !
Dans tous les sens, je suis secoué, m’encastre dans de la matière molle (les gros libidineux, les pires !), on m’envoie valdinguer comme une boule de billard amorphe, si bien que j’en perds mon orientation et me retrouve dos à la scène. A ce moment, les douleurs corporelles du lendemain ne se font pas encore entendre mais d’ores et déjà, cette position de vulnérabilité me révulse, m’écœure… Soudain, je me jette la tête en premier vers un grand échalas qui me tourne le dos. J’envoie valser le pauvre garçon trois mètres plus loin qui s’écroule sur une femme trapue et chétive… Ah ahaha (rire sardonique) !!! Ce mec n’avait rien fait, mais quel soulagement ! Mon souffre-douleur était déjà tout désigné, il faut croire puisque je remets le couvert à moult reprises (coude dans les côtes). En général, après une belle bourrade, ce sont des vagues de gens bousculés qui nous reviennent dans la tronche (la réponse). C’est ce qui fait le charme de cette activité : tous ces gens bondissant sur place, et se tamponnant dans une organisation aveugle, anarchique, injuste et tout ceci dans une promiscuité incongrue mais consentie.
Aucun des morceaux de la set-list n’offre de répit. Le pogo ininterrompu se profile, et on fonce droit vers les une heure trente d’exercices dans la fournaise. Mat Bastard grand connard de son état excite d’avantage la foule : « Bon les mecs, c’est un peu mou tout ça, on faire comme ça : les gens à gauche là, vous allez essayer d’aller le plus à droite possible, les gens à droite, vous allez faire de même, mais vers la gauche. Ceux qui sont au milieu… ben, vous êtes dans la merde ! ». Je sens d’un coup la pression monter, beaucoup s’empressent de quitter la fosse tandis que les plus hésitants sont déjà en train de se faire dessus, et les vrais tarés du pogo trépignent d’impatience à l’idée de foncer tête baissée vers de parfaits inconnus. A droite de la scène, je suis littéralement emporté par des brutes et manque de m’éclater la tronche par terre, fort heureusement, en sens inverse arrivent d’autres olibrius, contre lesquels, je suis écrasé de part et d’autres, je ricoche entre tous et me retrouve à dix mètres de ma position initiale, un peu étourdi mais ricanant couillonnement tout seul. Je ne suis pas le seul à avoir pris cher, des ados meurtris se déploient pour aller pleurer dans les jupons de leur maman. La copine qui prend un coup d’épaule dans les dents (« T’inquiète, tu crains rien à mes côtés » lui aviez-vous assuré cinq minutes plus tôt), le binoclard qui voit (flou) ses lunettes virevolter puis se faire pulvériser par des paires de Vans impitoyables, eh oui, l’injustice est l’apanage de la folie.
Le grand bleu
Sans même avoir le temps de cirer ouf, la partie de billard reprend. Il fait une chaleur à en crever dans cette arène, et l’air est tout simplement irrespirable si bien que je prends un maximum de hauteur pour avaler de grandes bouffées d’air tiède salvatrices. Ça suinte de partout, je manque même de glisser sur une flaque incolore ! Les corps nus luisent sous les projecteurs : ils ne se cognent plus, ils glissent les uns sur les autres tellement leur derme est lisse et humide. Je déboutonne ma chemise que j’essore pour la rendre moins lourde, puis je m’arrête, et me demande combien de personnes ont contribué à mouiller mon habit de leur sueur ? Impossible à estimer, je remets mon haut et regagne la fosse. Bien évidemment ça ne sent pas la rose, mais je ne développe pas.
Autre bizarrerie du groupe : le groupe s’arrête d’un coup de jouer, et impose avec chantage au public de poser son cul à-même le sol. Nous sommes près de quatre individus par m², autant dire qu’en nous exécutant, c’est la pagaille totale, les premiers assis servent de siège pour les retardataires, on voit des gens qui tiennent en équilibre sur un coude ou trois doigts, manquant de s’écrouler, personne ne proteste, c’est un entassement de troncs et de membres, qui se plaint ou bien s’esclaffe. Charmant tableau. Et avant même que le public ait pu prendre ses aises, M. Bastard se met à hurler des imbécilités pour exciter la foule informe, suivi rapidement par les riffs tranchants de la guitare et les futs fracassés par les coups de baguettes d’une marche militaire.
Nous pouvons donc diviser le monde en deux : d’une, les gens qui dans un réflexe habile de survie prennent appui sur tout ce qui traine pour se redresser avant d’être broyé par les petits voisins (« l’enfer c’est les autres »), et de deux, lesdits « appuis » dont les genoux, bras, cous, figures servent de supports providentiels pour ces derniers. Les premiers sont tout excités d’être sortis vivants de là, et jubilent comme un ado qui vient de se faire Space mountain, et de l’autre, des visages de désespoir déformés par la grande injustice évoquée précédemment, leurs cris disparaissent avec eux, engloutis par les zautres. Qu’est-ce qu’on a bien ri ! La musique ne s’est jamais arrêtée entre temps.
Singin’ in the rain !
Et soudain, une main inconnue me saisit l’épaule. Je me retourne, une fille maigre comme un clou et dont les gouttes de sueur perlent du nez, me crie dessus. Je ne comprends rien, mais elle semble me connaître. Je feins de la reconnaître en concéder un hypocrite : « Ah ouiiiiiii, mais c’est toi ! », elle vocifère des propos incompréhensibles à cause de la sono trop balèze et retourne pogoter sans demander son reste. Une petite meuf toute chétive qui prend un maximum d’élan pour aller dégommer des gros dégueux de 100 kg, moi ça me touche ce flot de bons sentiments. Il parait que l’on trouve de tout dans la faune de concert, là, j’ai été servi !
A la fin des cent minutes éreintantes de son non-stop, j’ai la tronche dépitée de ceux qui ont pris un RER B bondé en plein cagnard. Trempé de la tête aux pieds, on dirait que l’on m’a poussé dans la Seine, dans la main droite, je tiens avec dégoût une boule d’habits enroulée car je me rends compte que c’est un véritable nid à microbes. Puis, je me représente dans la tête lesdits micro-organismes avec la tronche des bactéries mochissimes de Dr. Mario, ça me fait ricaner, ce n’est pas si grave au final. J’ai l’air fin devant mes chums qui me retrouvent à la sortie, partagés entre l’hilarité et la répulsion, au-delà de mon look « dégâts des eaux », je crois que c’est mon odeur de fennec qui les éloigne.
Il fait un froid sibérien dehors. Tant pis, ça valait grave le coup !
Du 1er au 15 Août 2012 – le Show Room de NIKAULE à Paris !
La marque NiKaule a vu le jour en 2007 et au gré du temps elle a su dévoiler l’essence de son art, les valeurs de son univers et l’esprit d’une passion profonde. C’est a travers 4 Collections que NiKaule a su témoigner sa créativité et sa vision d’un monde métissé unit qui s’enrichit de ses différences.
Dans l’espérance d’une humanité de paix et de tolérance pour tous les enfants de la planète, NiKaule allie mode, art et humanitaire en inscrivant dans chacune de ses créations un témoignage d’amour, d’entraide et de partage (Fondation Rêve d’ange).
C’est à travers vos marques de soutien et vos encouragements qu’elle a su puiser sa force. De 2007 à 2012, au delà d’une marque de vêtement c’est une histoire humaine entre NiKaule et vous. Et l’histoire se poursuit…
C’est le projet de Jamel Ben Mahammed qui a été choisi comme affiche du 8e Festival International du Film Black de Montréal, qui se tiendra du 20 au 30 septembre.
Le Festival International du Film Black de Montréal est présenté par Global Montreal en collaboration avec la Fondation Fabienne Colas. Cette affiche a été choisie à la suite d’un concours ouvert à des graphistes et illustrateurs des 4 coins du monde.
« Pour la création de l’affiche du 8e Festival International du Film Black de Montréal, j’ai voulu illustrer le fait que cette manifestation posait un regard nouveau sur les réalités noires des 4 coins du monde. C’est pourquoi j’ai utilisé tous ces regards qui peuvent correspondre à ceux des cinéastes mais aussi à ceux du grand public qui finissent par former un seul regard, celui de ce festival dont l’objectif est de donner une vision moderne du cinéma Black. » – Jamel Ben mahammed.
Jamel Ben mahammed a fait ses études en arts appliqués à l’école Estienne (ESAIG) en France. Après une expérience enrichissante de graphiste pendant plus de 10 ans en agences de publicité, les projets sur lesquels il a participé lui ont permis d’aborder différents domaines de la communication publicitaire comme l’institutionnelle, le packaging, les événements culturels et le cinéma. C’est son expérience pour la création d’affiches de films et de festivals qui l’a poussé à travailler pour le Festival du film Black.
Source: Festival International du Film Black de Montréal – www.montrealblackfilm.com
L’été 2012 n’est pas toujours synonyme de color-block, couleurs flash ou encore d’imprimés en tout genre, mais pour porter la tendance blanche, il faut savoir le faire sans tâche.
Comme la bloggeuse WhichClothesToday, on l’adopte en version chic pour ne pas passer inaperçue, en arborant toutefois des accessoires minimalistes afin réaliser un sans faute.
Version ville, comme les bloggeuses Helloitsvalentine, Wheredidyougetthat, Thebrainstormkid, on n’hésite pas à adopter le total “white-look” et à miser sur des petits détails afin de donner une légère touche colorée à notre tenue. Carte blanche est laissée à notre créativité, afin de personnaliser le plus possible notre ensemble quasi-monochrome.
Enfin, version un peu plus champêtre, de la même façon que les bloggueses Couturenervure et Lesdessousdemarine, on fait rêver en donnant envie à chaque passant de filer à la campagne! Sont alors privilégiées les robes, davantage en matière légère et fluide, faisant croire que tout s’envolera au premier coup de vent!
S’habiller en blanc avec classe fait partie de vos plans ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !
Après avoir converti la salle du Divan Orange lors du MEG Showcase du 30 mars 2012, le collectif AFRIKANA SOUL SISTER revient souffler ses rythmes africains à l’occasion du MEG Montréal Festival le vendredi 3 aoüt à 22h au Divan Orange.
Le groupe qui laisse une grande part à l’improvisation dans sa musique, allie les percussions sauvages de Mélissa Lavergne et de Joannie Labelle (djembé, congas, bongos, darbouka), à la basse de J-F Lemieux et aux cuivres de Marie-Josée Frigon, le tout savamment mixé aux laptops. Lire la suite.
After converting the Divan Orange venue to the sounds of organic-electro AfroHouse at the MEG showcase on the 30th of March 2012, the AFRIKANA SOUL SISTER collective is back to swoon the crowds with its African rhythms at the MEG Montreal Festival Friday 3rd August at 22:00 @ Divan Organge. Their music leaves a lot of room for improvisation, combining Mélissa Lavergne’s and Joannie Labelle’s wild drums (djembe,congos, bongos, darbouka) with J-F Lemieux’s bass and Marie-José Frigon’s brass instruments – all artfully mixed together with laptops. Read more.
Le Festival Osheaga débutera ce vendredi 3 août 2012 au Parc Jean Drapeau, parmi les grandes têtes d’affiche, on retrouve des noms tels que Snoop Dogg, the Black Keys, Amadou & Mariam, Karim Ouellet etc.
Cette année, le public découvrira aussi de nombreuses perles musicales telles que Karim Ouellet, Nosaj Thing, Peter Peter et bien d’autres !
Pour la petite histoire, Karim Ouellet est originaire de Dakar et a vécu sa jeunesse entre le Canada, le Sénégal, la France, le Rwanda et la Tunisie. Actuellement établi au Québec, il a sorti son premier album solo Plume. Mis en avant lors des Francouvertes, Karim Ouellet s’illustre dans un mélange d’électro, folk et hip-hop de quoi vous donner une pêche d’enfer ! Également, il a été sacré Révélation musicale Radio-Canada 2012-2013 aux côtés de Lisa Leblanc. Après un concert à Paris en janvier 2012 et la scène des Francofolies en juin dernier, ne manquez pas son passage au Festival Osheaga qui se tiendra du 03 au 05 août 2012.
Les Amazones du Dahomey ou Mino étaient un régiment militaire entièrement féminin du Royaume du Dahomey qui a duré jusqu’à la fin du 19e siècle.
Elles été ainsi nommé par les observateurs occidentaux et des historiens en raison de leur similitude avec les Amazones semi-mythiques de l’Anatolie antique et de la mer Noire.
« Elles sont là, 4000 guerrières, les 4000 vierges noires du Dahomey, gardes du corps du monarque, immobiles aussi sous leurs chemises de guerre, le fusil et le couteau au poing, prêtes à bondir sur un signal du maître. Vieilles ou jeunes, laides ou jolies, elles sont merveilleuses à contempler. Aussi solidement musclées que les guerriers noirs, leur attitude est aussi disciplinée et aussi correcte, alignés, comme au cordeau ». Roi Houegbadja
Le Roi Houegbadja (qui régna de 1645 à 1685), le troisième roi du Dahomey est, dit-on, à l’origine a du groupe qui allait devenir les Amazones comme un corps de chasseurs d’éléphants appelés le gbeto. Il est le véritable fondateur du royaume du Dahomey qu’il organise sur des bases légales. Sa devise, « faire le Dahomey toujours plus grand » a été adoptée par tous ses successeurs.
La Mino était recruté parmi les ahosi (« épouses roi »), dont il y avait souvent des centaines. Certaines femmes en Fon société est devenue ahosi volontairement, tandis que d’autres ont été involontairement inscrits si leurs maris ou pères se plaint au roi sur leur comportement. L’adhésion au sein du groupe était censée parfaire les traits de personnalité agressifs, dans le but de la guerre. Elles ne pouvaient ni se marier ni avoir d’enfants tant qu’elles étaient dans l’armée : elles étaient formées à la guerre et elles devaient en principe y consacrer leur vie. Beaucoup d’entre eux étaient vierges. Le régiment a un statut semi-sacré, qui a été étroitement lié à la croyance en Fon vaudou.
La Mino formée à l’exercice physique intense. Discipline a été soulignée. Dans la dernière période, ils étaient armés de carabines Winchester, des clubs et des couteaux. Les unités étaient sous le commandement féminin. Captifs qui sont tombés dans les mains des Amazones étaient souvent décapités.
Empiétement européen en Afrique de l’Ouest s’est accélérée au cours de la seconde moitié du 19e siècle, et en 1890 le roi Béhanzin commencé à se battre les forces françaises dans le cadre de la Première Guerre franco-dahoméenne. Selon Holmes, la plupart des soldats français combattent au Dahomey hésité avant de tirer ou à la baïonnette sur la Mino. Le retard qui en résulte conduit à un grand nombre des victimes françaises.
Toutefois, selon certaines sources, l’armée française a perdu plusieurs batailles non pas à cause d’une «hésitation», mais en raison de l’habileté des femmes guerrières dans la bataille des qui était «l’égal de tous les corps contemporains des hommes des soldats d’élite parmi les puissances coloniales ».
Finalement, renforcée par la Légion étrangère et disposant de meilleures armes dont des mitrailleuses ainsi que d’une cavalerie et d’une infanterie de marine, ils finissent par l’emporter. Les Légionnaires écrivent plus tard sur « l’incroyable courage et audace » des Amazones.
La dernière Amazone du Dahomey meurt en 1979.
Pour en savoir plus : Alpern, Stanley B. (1999). Amazons of Black Sparta: The Women Warriors of Dahomey. New York: New York University Press. ISBN0-8147-0678-9.
Concours : African Pulse – Top Bustier Dakar Connexion
C’est l’été, il fait beau, il fait chaud ! Moment idéal pour se vêtir de ce jolie bustier de la collection Dakar Connexion distribué par AFRICAN PULSE !
Top bustier en voile de coton et wax (taille L)
Se noue devant
Fabriquée au Sénégal
Comment faire pour gagner le top bustier Dakar Connexion ?
– Via twitter : twittez « Concours @AFRICANPULSE via @Afrokanlife »
– Via facebook : cliquez « j’aime » sur la page African Pulse Fan Page et Afrokanlife
– Via afrokanlife.com : donnez nous votre avis sur la marque
La marque Shea Moisture propose des produits organiques pour l’entretien de la peau et des cheveux.
Dans un esprit de commerce équitable, la marque affirme acheter ses principaux ingrédients directement des coopératives où travaillent généralement les femmes ou auprès de fermes agricoles localisées en Afrique, afin d’améliorer leur niveau de vie.
Également, ils travaillent de près avec des organisations local et international tel que AFRICARE pour la protection de l’intégrité des ingrédients et des processus de fabrication. Aussi, la marque entretien un partenariat avec The Liberian Education Fund and Todee Mission pour la construction d’école et l’accès à l’éducation des jeunes filles provenant de milieux défavorisés.
Les produits capillaires Shea Moisture ne contiennent pas de parabène, phtalate, paraffine, glutène, propylène glycol, huile minérale, parfum et colorant synthétique, sulfate, DEA et PABA. De plus, la marque n’effectue pas de test sur les animaux.
Il y a quelques mois, j’ai testé le shampoing conçu à partir du savon noir Organic African Black Soap Deep Cleansing Shampoo:
Ce shampoing est recommandé pour les cuir chevelu secs, les démangeaisons, les pellicules, l’eczéma et le psoriasis. En plus du savon noir, les principaux ingrédients sont les suivants:
Enzyme de plantin: aide à atténuer les démangeaisons et les irritations
Extrait de thé: enlève les excédents accumulés à la surface du cuir chevelu
Extrait d’écorce de saule: exfolie et détoxifie le cuir chevelu
Ce shampoing nettoie de façon efficace, cela dit malgré l’ensemble d’ingrédients soigneusement sélectionnés et plusieurs applications, je n’ai pas apprécié ce shampoing. En effet, mes cheveux étaient très difficile à démêler, encore plus sec et la sensation au touché n’était pas agréable. Même l’application du conditionner au beurre de karité Raw Shea Butter Restorative Conditioner ne fut pas d’un grand secours…
Ce conditionner au beurre de karité est conçu pour les cheveux secs et abîmés afin de les hydrater et les réparer en profondeur. Ce conditionner contient entre autre de l’huile d’argan qui restaure la brillance et l’élasticité, mais aussi des oligo-éléments qui détoxifient les follicules pileux des impuretés et des résidus.
Suite à cette insatisfaction avec le shampoing au savon noir, j’ai opté pour le shampoing Organic Coconut & Hibiscus Curl & Shine Shampoo et le lait coiffant Coconut & Hibiscus Curl & Style Milk:
Cette gamme est recommandé pour les cheveux épais et bouclés afin de les hydrater et nourrir en profondeur. Parmi les ingrédients principaux, on retient:
Noix de coco: hydrate et protège les cheveux contre la chaleur extrême (séchoir, fer plat)
Protéine de soie: réduit les chutes de cheveux, adoucit la chevelure et renforce la fibre capillaire.
L’huile de Neem: renforce la tige capillaire et ajoute de la brillance
En plus d’avoir une odeur très agréable, le shampoing nettoie bien, donne du volume et laisse les cheveux doux. Par la suite, j’applique le conditionner au beurre de karité présenté précédemment. Ces deux produits se combinent très bien ensemble. Suite au rinçage du conditionner, j’enlève l’excès d’eau à l’aide d’une serviette et j’utilise le lait coiffant pour peigner mes cheveux. Une fois le tout terminer, les cheveux sont près pour une nouvelle coiffure…
Alors mes belles, que pensez-vous de cet Essentiel ? Laissez vos commentaires ici ou sur mon twitter @BotaniKap 🙂
L’ailier des Bleus Nicolas Batum est la deuxième star de l’équipe de France de basket derrière Tony Parker. Après sa saison au Portland Trailblazers, et avant les JO 2012, il est allé se ressourcer au Cameroun.
L’accueil au Cameroun ?
Nicolas Batum : Cela faisait dix ans que je n’y étais pas allé. A ma dernière visite, j’avais seulement 13 ans ! Revoir ma famille, voir comment ça se passe là-bas, m’a vraiment fait du bien. J’ai réalisé pendant ces quelques jours de vacances que j’avais acquis un statut impressionnant. Je ne le pensais pas, mais les gens suivent beaucoup la NBA. Ma notoriété est même plus importante au Cameroun qu’en France. Dans les rues, à l’aéroport, c’était assez flagrant…
Retrouvailles de l’équipe de France ?
Ca fait toujours du bien de revoir les têtes de tout le monde. Découvrir les nouvelles coupes de cheveux de certains, belles ou moins réussies (rires). Ça manque pendant l’année… On se croise un peu durant la saison, évidemment, mais le fait de se retrouver fait vraiment plaisir. Il existe entre nous une forte connexion. En se retrouvant, les uns et les autres, j’ai toujours l’impression qu’on ne s’est jamais lâchés. Le groupe France compte certains nouveaux venus, à l’image du jeune Kim Tillie.
Les premiers pas en bleu ?
J’ai été un peu bizuté. Des ballons à aller chercher dans les tribunes, un groupe de quinze gars, des vrais ogres, dont j’ai dû payer la note au restaurant… Porter les sacs, rentrer à pied parce qu’il n’y avait plus de place dans le bus… Le genre de choses qui forgent le caractère. On a tous connu ça, c’est un passage obligé. Ce n’est jamais négatif. J’en garde un très bon souvenir.
Soccer Sans Frontières Ep. 7 : Thierry Cros de RMC Sports
Au programme de Soccer Sans Frontières Émission du 28-07-2012 :
La semaine de l’Impact* Alessandro Nesta foule la pelouse du Stade Saputo contre l’Olympique Lyonnais* Marco Di Vaio: marquera t-il ?* L’Impact de Montreal recoit les New York Red Bulls au Stade Saputo
Calcioscommesse: Enquete sur les matchs truqués en Serie A, Serie B et Lega Pro* C’est quoi exactement: retour sur les différentes étapes du processus de la FIGC (Fédération Italienne de Football)* Focus sur le cas de Marco Di Vaio dans le Calcioscommesse.
Discussion sur le tournoi football aux Jeux Olympiques de Londres 2012.
Notre invité d’honneur Thierry Cros est spécialiste de la Serie A et du football Italien à TF1 Sport, Eurosport et RMC Sport. Vous pouvez le suivre sur twitter @tcros
Écoutez l’émission sur le site web de Soccer Sans Frontiere en cliquant sur le lien suivant.
Soccer Sans Frontières : Émission du 2012-07-28
Soccer Sans frontières :
Soccer Sans Frontieres est votre rendez-vous hebdomadaire footballistique sur les ondes de la radio web de l’UQAM, CHOQ.FM . Soccer Sans Frontiere est votre espace soccer, football, calcio, futebol et encore plus.
C’est aussi un forum d’echange, d’informations et de nouvelles pour les fans du ballon rond a Montreal et ailleurs. Nous aurons des entrevues avec differents intervenants dans le monde du soccer, des reportages sous differents angles et des chroniques d’ici et ailleurs
Le Festival Culinaire Omnivore World Tour 2012 investit Montréal pour la première fois !
En passant par Bruxelles, Paris, Genève, Copenhague, Moscou, New York, Sao Paulo, Shanghai, le Festival Omnivore sera présent à Montréal. Ne manquez pas le rendez-vous des amoureux de l’art culinaire du 17 au 20 août 2012 au Labo culinaire – Foodlab de la Société des Arts Technologiques (SAT) de Montréal situé au 1201 boulevard St-Laurent.
Appréciez l’ambiance du Festival en visionnant cette série de teaser des éditions précédentes:
Une occasion unique pour rencontrer des grands chefs internationaux et des jeunes talents locaux. Au programme :18 démonstrations de cuisine, 5 Maudits Soupers et 1 Omnivorious Party avec les chefs Derek Dammann et Alex Cruz (Orignal, Mtl), Gregory Marchand (Frenchie, Paris), Petter Nilsson (La Gazzetta, Paris),Marc Cohen (Lawrence, Canada) et plusieurs autres!
<< De continent en continent, la caravane Omnivore transporte ainsi ses concerts de rock culinaires. À la rencontre des plus grands chefs mondiaux tout autant qu’à la recherche de nouveaux talents. Car c’est désormais au niveau planétaire que la cuisine se goûte, s’échange, se vit. Avec son OMNIVORE WORLD TOUR, Omnivore impulse clairement le mouvement.>> Luc Dubanchet, créateur d’Omnivore.
En attendant que la caravane fasse escale vers d’autres destinations du globe, rendez-vous sur le site de la SAT pour plus d’informations sur le Festival Omnivore World Tour !