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Où trouver une librairie Afro à Paris ?

Où trouver une librairie Afro à Paris ?

Retrouvez la liste non-exhaustive et les adresses de toutes les librairies afro, africaines, panafricaines, caraïbéennes… à Paris!

librairie Afro

Une suggestion ? Une photo ? Envoyez nous un message ou sur notre page facebook et nous mettrons à jour cet article ! Y’a pas que Virgin et la FNAC dans la vie 🙂

Librairie Anib’wé
52 rue Grenéta 75002 Paris (M° Etienne Marcel – Ligne 4 ou M° Chatelet, • sortie Rambuteau, longer Rue Montorgueil)
Tél. / Fax : 01 45 08 48 33
E-mail : k2inter@voila.fr
Horaires d’ouverture : 14h – 21h du mardi au dimanche – fermé lundi

Be Zouk
Espace Culturel Afro-caribéen (Livres, CD, k7, DVD)
36 bis, rue de Montreuil (M° Faidherbe Chaligny – Ligne 8 )
75011 Paris
Tél. : 01 43 67 67 17
Horaires d’ouverture : 14h – 19h du Mardi au vendredi, 11h – 19h le samedi – fermé dimanche

Editions Menaibuc
B.P. 109
75862 Paris Cedex 18
Tél./Fax : 01 48 47 77 69
Site web : www.menaibuc.com

Présence Africaine
Editions-Librairie
25 bis, rue des Ecoles (M° Maubert Mutualité – Ligne 10)
75005 Paris
Site web : www.presenceafricaine.com
Tél : 01 43 54 13 74
Fax : 01 43 54 96 67

Editions Paari
16 rue Castagnary
75015 Paris
M° Porte de Vanves – ligne 13, sortir Boulevard Lefebvre, passer sous le pont, prendre Rue Briancon (2e à droite), puis deuxième à droite.
Tél./Fax : 01 48 28 27 65
Port. : 06 76 74 14 58

Librairie Tamery
19 rue du Chalet (M° Belleville – ligne 2 ou 11, sortie Rue du Faubourg du Temple, longer rue Civiale, puis rue du Chalet)
75010 Paris
Tél: 01 48 03 01 36
Mob: 06 10 82 29 18
10h à 18h (toujours appeler avant)
E-mail : tamery@club-internet.fr
(Dispose de nombreux ouvrages rares ou épuisés en français ou en anglais)

Toussaint Louverture
29, rue Claude Tillier
75012 Paris
Métro : Reuilly-Diderot
Tél : 01.43.38.34.13

Librairie MONGO BETI
93, av. de la République – 93140 Bondy

L’Harmattan
16, rue des écoles (M° Maubert Mutualité – Ligne 10)
75005 Paris
01 40 46 79 11
Fax : 01 43 29 86 20
Site web : librairiesharmattan.com
Email : librairie.internationale@harmattan.fr
Heures d’ouverture :
10h-12h30 / 13h30-19h > 10h-19h, du lundi au samedi

Revue Noire
8 rue de Cels (M° Gaité – Ligne 13)
75014 Paris
Tél : 01 43 20 92 00
Site web : www.revuenoire.com
Email : redaction@revuenoire.com

Projecteur sur Jessie Ware – Bobby Caldwell par DILLMATIC

Venez découvrir Jessie Ware – Bobby Caldwell Cover

Jessie Ware

Il y a quelque temps de cela je postais sur une autre plateforme :

Le son qui a révélé Jessie Ware artiste originaire de Grande Bretagne au grand public. Aujourd’hui la belle nous revient avec une cover d’un classique du R’n’B/Soul “What you won’t do for love”, balade interprétée à l’origine par la légende Bobby Caldwell qui ici trouve une nouvelle jeunesse sous la patte du prodo Sampha (bras droit de la belle).

Non contente d’utiliser un sample mainte fois repris par d’autres grand nom de la musique hip hop comme 2pac ou encore MeDaphoar, on retrouve aussi des références Aaliyah qui arracheront un sourire aux puristes. Anyway je parle trop, j’espère que le son vous plaira autant que l’original.

Enjoy !!!

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Cet article a été rédigé par DILLMATIC du blog DILLMATIC.
Bio de DILLMATIC : Créateur du blog musical et culturel dillmatic dont le but est de faire la promotion d’un “hip hop léché et classieux “, je vous partage mes découvertes à travers clips, documentaires et autres capsules vidéos.
Suivez le sur Twitter : @BowTie_TilliDie
Écoutez son soundcloud : http://soundcloud.com/dillmatic

Diablotine, la marque de prêt-à-porter Wax !

En créant Diablotine, l’idée est de proposer une alternative à ce que l’on trouve généralement en magasin avec une règle d’or : promouvoir prêt-à-porter Wax.

Le Concept

Importé en Afrique à la fin du 19e siècle par les Ghanéens qui travaillent en Indonésie, le wax connait immédiatement un succès fulgurant auprès des femmes africaines. Le virus s’étend et toute l’Afrique l’adopte : à l’est, au centre et au sud, toutes s’accordent à dire que les motifs et la matière (100% coton) en font un tissu d’exception.

Parce que toutes les femmes sont singulières, précieuses et uniques, les pièces Diablotine sont donc des éditions limitées, jamais plus de 20 exemplaires d’une même pièce.

Le Processus de confection

L’imprimé choc, positionné sur la bonne coupe, mélangé à la bonne matière tout cela à la bonne saison ainsi que les pièces en édition limitée ne sont pas les seules caractéristiques. Il y a un message, une valeur: celle de l’Afrique dynamique qui se développe, qui investit dans la recherche, qui milite pour l’avenir de ces femmes.

Diablotine opte pour un processus de fabrication éthique :

  • Acheter tous les tissus en Afrique (Sénégal principalement) afin de participer au développement des commerçants locaux.
  • Collaborer avec des fournisseurs engagés. Notre principal fournisseur de wax reverse 100 fcfa pour chaque coupon de tissu acheté à la recherche en faveur des enfants sidéens.
  • Confectionner toutes les pièces dans une école qui milite pour l’insertion des jeunes femmes dans le milieu professionnel. L’école choisie est la SENCAIF: école de formation en couture, stylisme, modélisme, coiffure, restauration et hôtellerie. Retrouvez toutes les informations la concernant sur www.sencaif.com

prêt-à-porter Wax

La Créatrice

Bineta Dramé, jeune créatrice et modeuse généreuse dont la devise est « fashion is about sharing something ». Que cela soit une humeur, une envie, une revendication, elle soutient que la mode représente toujours quelque chose. Avec Diablotine, elle a voulu partager sa passion de la mode mais surtout mettre en avant de belles actions qui se font au Sénégal.

prêt-à-porter Wax

En attendant la mise en place de la boutique en ligne, les produits en vente sont présentés sur le Tumblr de la marque ainsi que sur la page Facebook. Diablotine participe également à de nombreux évènements pour jeunes créateurs: expo-ventes, boutiques éphémères, salons.

Pour plus d’infos:

Tumblr : www.diablotine.tumblr.com

Facebook : www.facebook.com/DiablotineByB/

Twitter : @diablotinebyb 

Lynx une femme hors du temps dans son Koh-Lanta à elle

Imaginez Lynx une femme de 45 ans qui se détourne de la civilisation pour aller vivre dans les forêts. Voila le décor est planté.

Ce documentaire de Eric Valli (Himalaya, l’enfance d’un chef) décrit l’histoire de cette femme, Lynx, qui survie tant bien que mal dans son Koh-Lanta à elle.

lynx une femme hors du temps

Pendant 5 mois, un groupe d’hommes et de femmes s’isole avec elle pour apprendre à se débarrasser du plastique, du métal ou du tissu. Une expérience éprouvante dont personne ne sortira indemne. Un documentaire troublant qui place notre mode de vie au centre des débats.

Regardez le documentaire Lynx une femme hors du temps :

Poeme Bantou “Ma foi…” par Benson Le Parolier

Poème Bantou Benson Poeme Bantou

Poeme Bantou “Ma foi…” par Benson Le Parolier.

Poème Bantou Benson Poeme Bantou

Ma foi est un monument sans vie
Une demeure sur la place publique où nul n’habite
une mélodie dont le doute est le plus grand choriste
une vérité prisonnière de ce qu’on lui dit.

Ma foi est une statue qui rêve de liberté
l’échec ne cesse de l’oppresser
ma réussite, elle, n’a de cesse de vouloir percer.

Ma foi est un livre de sage
où les prophéties sont incarcéré pour dopage
une folie qui ces temps ci manque de courage
mais qui attend son jour pour sortir de son emballage.

Beaucoup ont tort de penser qu’ils ont raison
alors que la grâce de Dieu panse nos torts
sans nous accorder raison
elle est venu prendre corps sur cette terre
afin qu’elle devienne notre maison.

Que ceux qui ont des oreilles entendent…
(mon inspi est une schizophrénie engendrée par trop de péripéties)

 

Poeme Bantou sur Facebook :

 

Bonus

Poème Bantou “À bout..” par Benson Le Parolier

 

Le monde est à bout,
l’atmosphère est à cran,
la rue, elle, va jusqu’au bout,
l’injustice jusqu’à quand ?

La dictature a pécho la toux,
l’occident, lui, change de camp,
Moubarak est laché par ses zincou,
Barack lui somme de partir tant qu’il est temps !

Dire la vérité aujourd’hui est un tabou,
la mode est de ne pas être d’accord en souriant !
La vérité est mal vue quand elle est debout,
le mensonge est bien venu derrière l’écran !

La”démocratie” en vérité n’est pas si cadeau,
s’invite à ta table à coup de grands mots,
pour ne pas dire de “gros mots”,
diabolise l’Afrique et lui donne des pseudos,
demande à Dieudo, d’ailleurs qu’en est-il de Mr Gbagbo ?

La démocratie est une pute de luxe,
avec qui souvent la paix se discute
mais jamais ne s’exécute….

Kyrie Irving is #UncleDrew

After being caked in makeup and prosthetics, Cavs rookie of the year Kyrie Irving jump into a pick-up game in Bloomfiled, NJ as an older dude…

and then he starts dunking on people ! This really is an awesome video, and I give Kyrie Irving credit for making ‘Uncle Drew’ so believable.

Kyrie Irving


Après avoir été recouvert de maquillage et de prothèses, la recrue des Cavs,  Kyrie Irving s’incruste dans un match de basket à Bloomfiled New Jersey dans la peau d’une personne agé…

et puis il commence à dunker sur les gens! C’est vraiment une superbe vidéo, et je donne à Kyrie Irving beaucoup de crédit pour avoir su rendre «Oncle Drew si crédible.

Comment les Noirs américains utilisent Internet ?

Les Noirs américains sont connectés. Très connectés. Mais que font-ils sur internet ?

Dans cette infographie de Nielsen, nous en avons un aperçu. Les Noirs américains ont 72 % plus de chances de lancer un blog personnel, faisant d’eux des producteurs de contenus plutôt que des consommateurs. L’infographie revient sur l’activité des Noirs américains sur Twitter et les autres sites de réseaux sociaux. L’étude révèle qu’ils sont les plus susceptibles d’utiliser Twitter que tous les autres communautés américaines. (Lire : Pourquoi Twitter n’aide pas les noirs ? Par Noir Immobile). De plus, les femmes sont plus représentées dans la blogosphère.

Noirs américains

Nielsen a fait une seconde infographie incluant le e-commerce, les videos, et les actualités. On y apprend que 22 % des Noirs utilisent internet pour leur informations de santé / bien-être. Les hommes eux sont plus portés que la moyenne américaine à lire des informations sur la bourse ou les nouvelles technologiques. De leurs recherches, 48 % des Afro-américains regardent leurs vidéos sur Youtube plus que n’importe quel autre site. Cette information est importante si vous cherchez une plateforme pour cibler les Noirs des États-Unis.

Noirs américains

Et vous comment restez-vous connecté ? Avez-vous un blog ? Utilisez-vous Twitter pour vous divertir, pour vous promouvoir etc. Laissez nous vos commentaires.

Gala-Conférence au profit de la lutte contre la malaria en Afrique

Gala-Conférence au profit de la lutte contre la malaria en Afrique

Le paludisme appelé aussi malaria (terme privilégié par les anglo-saxons) est la maladie parasitaire la plus importante et la plus répandue touchant plusieurs pays et territoires avec une prédominance en zone intertropicale.

  • Menace pour 3,3 milliards de personnes à risque et un danger pour les voyageurs
  • Entre 350 et 500 millions de cas sont diagnostiqués chaque année
  • Plus de 5000 personnes meurent chaque jour

Au Burundi : Le paludisme est la première cause de mortalité. Les principales victimes sont les malades du SIDA, les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans.

Le paludisme constitue le frein au développement économique.

Le projet consiste à produire les anti-moustiques accessibles aux populations pour lutter contre le paludisme à partir des ressources renouvelables (la Cataire) dans une vision du développement durable.

Les phases de production:

  • La culture de Nepeta cataria par les populations (avril 2011)
  • L’extraction d’huile essentielle (à partir de juillet 2011)
  • Installation des machines d’hydrogénation (à partir de septembre 2011)
  • Production et distribution d’anti-moustique (savons, sprays, lotion, etc. à partir de 2012)

Le département de Génie Chimique de l’École Polytechnique de Montréal en collaboration avec  l’ACECI  ont le plaisir de vous inviter au dîner bénéfice pour la lutte contre la malaria en Afrique.

contre la malaria en Afrique

Où ?

Hôtel Delta
475, Avenue Président Kennedy, Montréal

Quand ?


20 juin 2012
18h00 à 22h00

 Programme ?

Présentation des activités, repas 4 services, danse et tambour du Burundi.

Pour l’achat des billets ? 

 Valérie Baudart (514 340-3262 ou valerie.baudart@polymtl.ca)

Pour de plus amples informations ?
Site : www.antimalariaomd.org

Contactez Gregory Patience 514-340-4711 poste 3439

Vous êtes cordialement attendus !

Concours : Gagnez un panier de bain Maghair

Beauty Contest – Concours Maghair

Suite au DiasPortrait réalisé avec Maguy la fondatrice de la boutique en ligne Maghair, courez la chance de remporter un panier de bain aux saveurs de fleurs de coton pour cajoler votre peau de la tête aux pieds !panier de bain MaghairLe panier de bain Maghair contient :

un Gel Douche (270 ml)

un Bain Moussant (270 ml)

un Exfoliant pour le Corps (50 ml)

des Cristaux de Bain (200 gr)

et des Cubes Effervescents pour le Bain (80 gr).

 

Pour participer au concours via Twitter :

1) Twittez ” Concours Maghair via @afrokanlife

2) Envoyez pseudo Twitter + ville à l’adresse concours@afrokanlife.com

Pour participer au concours via Facebook:

1) Taguez afrokanlife  sur votre statut ” Concours Maghair via @afrokanlife”

2) Envoyez nom complet facebook + ville à l’adresse concours@afrokanlife.com

Le ou la gagnant(e) du concours sera annoncé vendredi 25 mai 2012 à minuit (ET)

Bonne chance à tous !

Afro Inspiration : Stéphane Bak, un petit rigolo

Faites-vous parti de la #TeamBak ?

Stephane Bak, Blanc-Mesnilois de son origine, est simplement le futur de l’humour français. Oui oui rien que ça! Alors ne dites pas qu’on ne vous avez pas prévenu.

Si vous pensiez avoir tout vu de lui pendant au grand journal alors comment présenter cet ovni du paysage audiovisuel français (PAF)  ? Nous pouvons reprendre sa bio facebook :

C’est en voyant Jamel, Foresti ou Eddie Murphy que Stéphane Bak a eu envie de se lancer dans le stand-up. Le Blanc-Mesnil (93) lui sert d’inspiration pour écrire ses textes qui abordent entre autres ses origines. Très tôt, Stéphane pense à écumer les salles de Paris. Dopé aux rêves d’Olympia, il monte sur scène en 2010. A tout juste 14 ans, formé de façon autodidacte, il passe à l’Olympia, au Trévise, au Palace et même au Grand Rex en compagnie de Jamel Debbouze, Gad Elmaleh, Omar et Fred et d’autres et assure même les 1ères parties de Shirley Souagnon & Yacine du Jamel Comedy Club.

présenter son fameux sketch sur l’école :

ou l’un de ces nombreux rôles de “noir de service”…

MAIS NON ON VA FAIRE MIEUX !!!

Ils sont malins chez AfrokanLife

On va vous présenter un top 10 des ses derniers tweets. On vous prévient, ça va du très drôle au très engagé. Twitter est un espace où il est à l’aise et il n’hésite pas à vous le faire savoir. Et c’est ça que l’on apprécie par-dessous tout chez ce jeune bourré de talent.

Comment s’habiller pour aller bruncher ?

Certes, c’est le premier repas de la journée, on est sorti (tard) du lit, mais qui dit terrasse et ragots entre amies dit aussi style. Alors comment s’habiller pour aller bruncher : tendance et confo !

Ndlr : après un bon brunch, on n’oublie surtout pas sa séance de gym suédoise !

Comment s'habiller pour aller bruncher ?

Les marques présentées dans Vue de Style :

Veste : Acne
Chemise : Cheap Monday
Collier : Mango
Short : Nicole Miller
Sac cartable : Marc by marc Jacobs
Boucles d’oreilles : Banana Republic
Chelsea boots : Opening Ceremony

Alors ? Allez vous adopter le look brunch ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !

Casey Veggies à Montréal by SoSoLisa

Le dimanche 6 mai 2012, SosoLisa, va à la rencontre du jeune rapper Casey Veggies originaire de Los Angeles qui donne son premier show à Montréal au Cabaret Underworld.

Le concert fut ouvert par trois groupes Ghettosocks, Big Dreams , Markings et enfin Casey Veggies. A notre grande surprise pas de line up devant la salle, uniquement une vingtaine de personnes sont présent dans la salle.

Les gens commencent à se rapprocher de la scène lorsque Casey Veggies fit entrée sur scène avec son acolyte Anwar. Casey essaye de faire bouger le petit nombre dans la salle. Mis à part deux fans qui connaissent les paroles de l’artiste par cœur, l’autre partie de l’audience a plutôt l’air de découvrir.

Casey Veggies enchaîne les morceaux, et l’audience vibe sur les bons sons old school et les rhymes du jeune artiste. Il fait principalement la promo de sa dernière mixtape Customized Greatly Vol. 3, mais il interprète également des morceaux de son ancienne mixtape Sleeping in Class.

Après son succès sur la côte ouest avec sa précédente mixtape Sleeping in class, Casey Veggies et son collectif Peas & Carrots traversent les frontières étatsuniennes pour se produire dans les grandes villes canadiennes Vancouver, Ottawa, Montréal et Toronto.

Casey Veggies

SosoLisa a répondu présent à l’appel, et fait la rencontre des initiateurs du mouvement Peas & Carrots. Nous avons eu la chance de rencontrer Casey Veggies et Anwar, seul Josh (autre pilier du concept Peas & Carrots) manquait à l’appel.

Voici ce que nous avons pu retenir de cette soirée!

Cet article a été rédigé par Sonia Mitouri du blog sosolisa
Bio de Sonia : I am a Believer, Dreamer, Daughter, Sister, Woman. Hip-hop lover, Jazz lover, Art lover, English Literature student. Passionate by the Sixties, African and Afro American history. I observe the world, and God gives me the tools to analyse it and share it with others . That’s what I’m doing here,sharing my passion for music and African culture.
Peace.
Suivez-la sur Twitter : @ACandidObserver
Likez-la sur Facebook : SosoLisa

Article écrit en collaboration avec Elisabeth Badji : @cocoapuffzz22

Baiyu feat. Rotimi : Watch Invisible video clip

Baiyu ft Rotimi a cataclysm that condenses into a single stroke of melodic genius.

With the masterful touch of producer & songwriter Kaleb “KQuick” Rollins of Grand Staff L.L.C., thus is the birth of Invisible, a collaboration between artists Baiyu and Rotimi, wherein a blossoming romance is veiled with a sense of unrequited passion.

Baiyu ft Rotimi

Baiyu is preparing for her highly anticipated Summer release of a brand new project entitled Hunter, slated for the 13th of June. Baiyu is getting geared up through yet another visual created by director Eif Rivera.

For this first video off of Hunter, Baiyu hit the studio and the set with Rotimi. More than a musician, is also an accomplished actor. His work was featured on Starz channel’s award-winning television series BOSS, as well as the new face of T.I.’s AKOO line of apparel.

For additional information on both Baiyu ft Rotimi collaboration, check the links below.  To download Invisible, as well as to listen to Baiyu’s existing projects, go to music.baiyuonline.com.

Afro Inspiration : Maguy, Fondatrice de Maghair

Maguy est d’origine togolaise et issue d’une famille commerçante de Nana Benz. En 2010, Maguy décide de créer sa boutique en ligne de produits ethniques : Maghair

Maghair

Parlez-nous de votre parcours et de vos premiers pas dans le domaine des cosmétiques?

Toute petite, après l’école ou le week-end, j’aidais toujours mes parents. Ce qui a été pour moi la meilleure des formations. J’ai toujours aimé prendre soin de moi et je me suis intéressée de près au monde fascinant de la cosmétique et en 2010, j’ai donc lancé mon premier site.

Au début, je ne souhaitais pas forcément vendre des perruques. Mais, j’ai très vite été sollicitée par des femmes qui me demandaient comment il fallait s’y prendre pour porter correctement une perruque. Tout cela m’a donné une motivation à intégrer la vente de perruques et à donner des conseils à ces femmes.

Quels étaient vos motivations à créer votre entreprise? Avez-vous rencontré des difficultés?

Ma motivation vient du fait que je suis issue d’une famille de commerçants et que j’ai toujours aidé ma grand-mère et ma mère  qui étaient des Nana Benz et mon père qui avait une boutique. Maghair est donc pour moi une juste continuité.

Comment se positionne Maghair sur le marché des cosmétiques ethniques en plein essor?

Maghair sait s’adapter aux différentes clientèles du marché des cosmétiques ethniques. Tant pour les femmes qui veulent revenir au naturel que pour celles qui veulent porter des perruques. Dans les deux cas, ce sont des femmes qui prennent soin de leur cheveux. Maghair se positionne donc à la croisée de ces deux façons de prendre soin de ses cheveux.

Ce que je souhaite surtout faire connaître aux femmes, ce sont les bons gestes et les bons produits pour entretenir leur chevelure. Un mauvais entretien peut être très néfaste. Par exemple, il n’est pas recommandé de  mettre sa perruque sur la tête sans tresser ses cheveux. D’ailleurs, on peut retrouver l’ensemble de ces conseils sur le blog de Maghair.

Quels types de produits peut-on retrouver dans votre boutique en ligne ? Proposez-vous un service de livraison à l’international?

On peut trouver des produits pour tous les types de cheveux : cheveux secs, cheveux abîmés, cheveux bouclés… Afin de répondre aux besoins des clientes en terme de tissages, perruques, mèches brésiliennes, etc.Nous livrons en France, en Europe et à l’international !

QUIZ : une cliente vous contact au service à la clientèle et vous dit qu’elle cherche une perruque car elle remarque qu’elle présente une chute de cheveux et qu’elle ne sait plus quoi faire. Que lui recommandez-vous?

Dans un premier temps, je lui recommande plutôt de faire un soin anti-chute. Il existe un grand nombre de soin anti-chute, il faut que la personne le choisisse en fonction de la nature de ses cheveux.

Puis, je lui recommande une perruque. Si elle a des cheveux sur la tête à tresser, de les tresser et de mettre la perruque dans la journée. Il faut surtout qu’elle l’enlève chaque soir et qu’elle poursuive ses soins de façon quotidienne.

Certaines personnes portent leur perruque sans tresser leurs cheveux : c’est précisément ce qui abîme le cuir chevelu et provoque la chute de cheveux. Les cheveux tombent en commençant par ceux situés à la base du front.

Un message pour les lecteurs d’Afrokanlife?

Découvrez les produits proposés par la boutique Maghair et surveillez la page facebook d’AfrokanLife pour participer au concours Maghair et courir la chance de gagner un panier cadeau de cosmétiques !!

The Miseducation of a Woman’s Worth (Documentary)

The Miseducation of a Woman’s Worth (Documentary)

Four prominent Black Women of the Indianapolis Art scene give a dynamic analysis of women of today through their unique forms of poetry.

Told in both eloquent and raw forms, Naz The Anti-Star (Nazeeha Khalid), Gabrielle Patterson, Chenzira Allen, and Januarie York (Kendria Smith) represent the vast spectrums of black women. No one viewer will walk away without being touched.

Watch The Miseducation of a Woman’s Worth 

Quatre éminents femmes noires de la scène d’art d’Indianapolis donnent une analyse dynamique des femmes d’aujourd’hui à travers leurs formes uniques de poésie.

Dit dans des formes à la fois éloquentes et brutes, Naz L’Anti-Star (Nazeeha Khalid), Gabrielle Patterson, Chenzira Allen, et Januarie York (Kendria Smith) représentent le vaste spectre de femmes noires. Pas un spectateur ne repartira sans avoir être touché.

Afro Inspiration – Bamba Diaw, artiste afro-folk

Valentine Larici, étudiante en Anthropologie à l’UdeM et en Sciences des religions à l’UQAM a rencontré Bamba Diaw un artiste afro-folk.

Bamba, pourrais-tu, pour nos lecteurs, commencer par te présenter, et nous raconter tes débuts dans le milieu.

Et bien voilà, je m’appelle Bamba Diaw. Quand j’étais enfant, je vivais au Sénégal. Mon père, était un grand artiste, et très connu dans le milieu du théâtre. Très jeune c’est ces traces que je voulais suivre. Ma mère s’opposait à mon choix, car c’est un milieu et choix de vie difficile. De plus, au Sénégal ce sont les griots qui peuvent faire de la musique, et vue que je ne suis pas griot…

Excuse moi de t’interrompre, mais les “griots”? Est-ce comme un système de caste ?

Oui exactement, la société sénégalaise fonctionnait traditionnellement grâce à un système de caste. Comme je disais avant, les griots sont ceux qui font de la musique, divertissent et amusent la population. Puis nous trouvons des bijoutiers, des forgerons… Personnellement je fais partie de la caste des bijoutiers, et cette place au niveau de la société, ne me destinait pas au monde de la musique. C’est un autre facteur qui laissait ma mère perplexe. Malgré tout cela, la musique finit par prendre le dessus; et ma mère changea même d’avis quand elle vit la passion que j’avais pour la musique.

Pourrais-tu nous dire qui ont été tes influences musicales ? As-tu eu une formation musicale à proprement parlé ?

Très tôt j’ai commencé par interpréter, à ma manière, les chansons de Youssou N’dour, Yandé Codou, et Ndiagua Mbaye, un grand chanteur sénégalais. C’est grâce aux réinterprétations des chansons de mes idoles que j’ai été lancé dans le milieu. De nombreux amis m’appelaient pour me demander de venir chanter pour eux, et ainsi de suite. Par ailleurs, au Sénégal, l’on trouve sur le plan religieux, l’importante confrérie des Mourides. Les gens se rassemblent et récitent les versets, appelés les khasaïdes, écrit et chanté par Cheikh Ahmadou Bamba. C’est au sein de cette confrérie que j’ai beaucoup appris. L’on retrouve aussi les Bay-fall (qui sont aussi des mourides), qui errent dans la rue tous les jeudis soirs, et qui chantent jusqu’au bout de la nuit. C’est grâce à eux que j’ai pu développer ma technique. Je pense que ceci correspond bien à une définition de formation.

Cheikh Ahmadou Bamba. Tu portes le même nom…

Oui en effet j’ai le même nom, et je fais également partie de la confrérie du mouridisme. Cheikh Ahmadou Bamba était un guide spirituel très populaire et respecté au Sénégal, qui fonda, le Mouridisme au sein de l’Islam.

Merci pour la précision. J’en apprends des choses (rires)… Quel fut l’événement qui te propulsa dans le monde de la musique ?

Ça à commencé un peu au Sénégal, ou je me faisais inviter chez les gens et à des cérémonies, mais je ne savais pas comment faire pour être plus. Je ne savais pas comment écrire des chansons, etc. Je me posais de nombreuses questions, et il m’est paru évident que j’allais devoir travailler très dur pour réussir !

Je me suis lancé, j’ai commencé à écrire, j’ai rencontré des artistes… les compliments étaient nombreux et ça ma poussé à persévérer. J’ai une anecdote pour toi, une anecdote qui a une grande place dans ma carrière. J’ai rencontré un animateur sénégalais Jules Junior, lors d’une soirée sénégalaise, qui ne m’a pas lâché et a largement contribué à ma motivation. J’avais peur de faire le “premier” pas, et il m’a dit : “Réveille toi! N’attends pas d’avoir 35 ans pour chanter! Je ne te lâcherais pas!” Je lui dois beaucoup, comme je dois beaucoup également à mon guitariste Assane Seck. Il m’a beaucoup aidé à composer de la musique qui me correspondait : l’afro-folk.

Parlons un peu de tes textes. Malgré le fait que je ne parle pas le Wolof, les gens ont l’habitude de me dire que tes chansons sont toutes engagées, et que tu as de belles idées politiques. Peux-tu nous en dire plus ?

Oui en effet mes textes se veulent toujours un minimum engagé. Mon vécu prend une place importante dans l’écriture de mes textes. Tout ce que j’ai vécu dans mon pays me permet aujourd’hui de relater, de partager, de sensibiliser… Toutes les choses que j’ai vécues j’arrive enfin à en parler et le partager grâce à la musique.

Est ce que tes textes sensibilisent de la même manière, qu’il s’agisse de Montréal ou de Dakar ?

Je dois dire qu’au Sénégal, je n’étais pas très connu, mais les gens qui m’écoutaient (rires) venaient me demander après mes concerts d’où venaient les textes, et quand je leur disais qu’ils venaient de moi, ils étaient tous surpris et trouvaient ça très intéressant.

J’avoue quand même qu’au Sénégal je faisais encore beaucoup de recherche musicale. C’était quand même encore mes débuts. Depuis que je suis à Montréal, je continue d’écrire des textes engagés, et je pense que ce voyage m’a énormément appris et m’a permis de perfectionner mes textes. Je trouve que c’est très important de dire ce que l’on pense; attention mes idées n’engagent que moi. Évidemment j’utilise la musique avec beaucoup de respect : pour faire passer des messages, et non pas me venger de quelqu’un que je n’aime pas par exemple.

Est-ce que des associations font justement appel à toi pour cette humanité ?

Oui oui, il y a des gens qui ont des projets et qui font appel à moi, mais il n’est jamais arrivé qu’on me mette en tête d’affiche, par exemple. C’est plus comme une collaboration. Ils voient que j’ai des idées, qui les correspondent également, d’ou ma participation. Des fois aussi ils font appel à moi pour que je leur fasse de la pub, ce que je fais quand je trouve leurs idées honorables.

Dans le futur, j’aimerais faire partie intégrante d’une association; mais pour l’instant je me construis encore. Cependant comme je viens de le dire, dans le futur, si ma carrière me permet d’aider les autres, ça me ferait très plaisir.

Dans un futur lointain, si tu rentres au pays, penses-tu être comme la célébrité Wyclef-Jean? C’est-à-dire avoir une réelle implication politique?

Je ne sais pas. J’ai un amour profond pour mon pays, et je ferais tout pour lui… mais je ne sais pas, peut-être, on ne sait jamais. Même si la politique est un domaine que je ne connais pas, mais ne sait-on jamais. Quoi qu’il en soit je veux m’impliquer pour qu’il y ait du changement. J’ai écrit des chansons qui démontraient ma colère, et je suis même en train de tourner un clip pour pouvoir sensibiliser le plus de monde. En parlant de toucher le plus de monde possible, j’ai même commencé à écrire en anglais, puis des traductions qui accompagnent mes chansons, pour être sur que tout le monde comprenne.

Quels sont les événements qui vont composer votre été ?

Tranquillement. L’été c’est une saison plus facile, car il y a des festivals, plus d’opportunités dans les clubs. L’hiver c’est dur (rire), les gens n’ont pas le temps.

Vu qu’on parle d’hiver… pourquoi tu as choisi le Canada ?

Ahhh… Je n’ai pas choisi le Canada, je pense que c’est le Canada qui m’a choisi. Jamais je n’aurais pensé un jour venir ici, mon rêve c’était les États-Unis. Puis un jour j’ai rencontré une Québécoise, nous sommes tombés amoureux et donc je suis venu avec elle. J’aime ce pays, qui m’a donné beaucoup d’opportunités.

Pour l’instant tu ne vis pas encore de ta musique. Que fais-tu pour joindre les deux bouts?

Je travaille dans la construction, plus précisément dans les portes-fenêtres. Ça fait 10 ans que je suis là-dedans, et ça va. Ça me permet de survivre et de financer le train de vie de ma famille.

Je pense avoir fait le tour, mais est ce qu’il y a des choses que tu n’as pas pu dire et qui te tiennent à cœur ?

Oui… j’aimerais que ma musique soit accessible à tous, qu’elle vienne chercher les gens, même si l’on ne comprend pas forcément les paroles. Je souhaite que les sonorités émeuvent les gens. Je ne veux pas que ce soit vu uniquement comme de la musique africaine, et c’est pour cela que je mélange avec des styles plus occidentaux : du folk, du jazz, du swing, acoustique, sans oublier le mbalax. Le style musical de Youssou N’Dour, quelqu’un que j’admire beaucoup, comme je te l’ai dit avant.

Voilà, je pense, que c’est tout…

Et bien merci beaucoup beaucoup Bamba de ton temps, et d’avoir partagé tout ça avec AfrokanLife. Nous te souhaitons que du bonheur!


Cet article a été rédigé par Valentine Malaïka Larici.

Bio de Valentine : Étudiante en Anthropologie à L’UDEM, et en Sciences des religions à l’UQAM. “Rien ne me rend plus heureuse que de voyager, découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles saveurs… Bonne lecture et garder en tête l’ouverture l’esprit et la tolerance !”

Concert des Boys II Men à L’Olympia de Montréal

Les Productions Revel et Producshow présentent le Concert des Boys II Men à Montréal !

Video de Presentation

Le jeudi le 7 juin 2012 à 21h00, le légendaire groupe de R&B des années 90 sera sur la scène de l’Olympia pour le grand bonheur de leur fan et de tous ceux qui souhaitent les découvrir.

En première partie, vous aurez l’occasion de vous mettre dans le bain avec Lukay !

Concert des Boys II Men

BILLETS:
Prix des billets : $35.00 assis et $45.00 admission générale.
(Taxes et frais non inclus)

Pour plus d’informations, connectez-vous sur le site de l’Olympia.

Les Essentiels de Botanikap – Burt’s Bees

Les Essentiels de Botanikap: Burt’s Bees

I’m not a big fan of no-rinse make-up remover but in case of travelling conditions or if you are extremely tired, facial cleansing towelettes could be an excellent alternative.

Burt’s Bees facial cleansing towelettes pre-moistened remove dirt, oil, make-up and tone in one easy step. Infused with White Tea, Cucumber extracts, Aloe and other botanical extracts for a naturally clean face.

Burt's Bees( price: 9.99$ CAD)

  • No parabens, petrochemicals or phthalates
  • Not tested on animals
  • Dermatologist-tested, ophthalmologist-tested
  • Natural cloth, FSC certified

Ingredients: aqua, aloe barbadensis leaf juice, glycerin, camellia sinensis leaf extract, cucumber fruit extract, tocophenol, citric acid, parfum, xanthan gum, polyglyceryl-a caprate, dicaprylyl carbonate, caprylyl/capryl glucoside, soybean oil, alcohol, potassium, sodium, amyl cinnamal, citral, citronellol, limonene, linalool

What i like: leaves the skin soft and cleans well!

Alors mes belles, que pensez-vous de cet Essentiel ? Laissez vos commentaires ici ou sur mon twitter @BotaniKap 🙂

Poeme Bantou “L’amitié..” par Benson Le Parolier

Poème Bantou Benson Poeme Bantou

Poeme Bantou “L’amitié..” par Benson Le Parolier.

Poème Bantou Benson Poeme Bantou

La fidélité et la sincérité,
sont aussi courtes que l’été.
Elles s’évanouissent à la vitesse du son,
paraissent jolies à l’horizon,
mais devant l’intérêt perdent la raison.

L’amitié se calque aux multiples saisons.
En automne, elle chute et devient monotone.
En hiver, se fragilise et devient aussi solide qu’un verre.
Au printemps, se réchauffe au gré des hommes et du vent.
Et en été, elle remet son string et redevient aussi belle que Beyoncé.

Dure ou triste réalité ?

Je dirais juste pure et stricte vérité.
Époque où le fric s’est emparé de la royauté,
et a été proclamé parmi les hommes suprême divinité.
Époque où l’amitié passe pour le grand des ostéopathes,
en oubliant que mes yeux sont sous mes omoplates.

Poeme Bantou sur Facebook : https://www.facebook.com/bensonleparolier.bantou

Bonus.

Ma Génération…

Génération célibataire,
le mariage lui porte plainte,
celui ci est en colère;
Génération j’élève mes enfants seul
mais t’inquiètes pas,la CAF est leur beau père !

Génération je me sens seul à parler tout seul,
ma frustration ne parvient pas à fermer sa gueule !
Génération talents gâchés, avec la vie, on s’est fâché,
frustré d’une jeunesse trop vite passé,
on se ressasse sans cesse les années baclées.

Génération peur du couple,
parmi eux trop d’agents double,
la sincérité y est louche et
la fidélité y voit trouble !

La vie est une intox dont
ma génération est le paradoxe,
elle vit en mourrant,
réussit en échouant
et pleure tout en riant !

 

Comment porter la tendance denim ?

Comment porter la tendance denim pendant l’été ? Déjà une tendance depuis plusieurs étés, le denim signe et persiste! Alors, comment ajouter de nouvelles pièces de cette matière dans notre dressing ?

Comment porter le denim “revisité” version été 2012? On navigue entre le plus chic (blazer ou chemise) en passant par le plus summer (le short, la jupe ou la brassière) en finissant par le plus hype (les sneakers). On fonce!

Comment porter la tendance denim ?

Les marques présentées dans Vue de Style :

1. Acne
2. Pull and Bear
3. Topsop
4.Adidas x Jeremy Scott
5.Oasis
6. Mango

Alors ? Allez vous porter la tendance denim cet été ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !

Projecteur sur l’agence de design AMA Design

ama design afrokanlife

AMA Design est une agence de design et d’événementiel qui se donne pour mission d’accroître la visibilité du métissage culturel à travers la promotion de l’art afro et ethno-contemporain au Québec.

AMA Design

AMA met ainsi en place une plateforme pour faire découvrir les designers, les artistes, les entrepreneurs qui contribuent par leurs créations à l’harmonie d’un design nouveau et varié qui prend davantage d’ampleur à l’échelle internationale.

Dans le cadre de son lancement officiel prévu le 16 mai, l’agence AMA Design vous convie au défilé de mode du designer Patrick Asso sous le thème “Fashion & Nature” au Parc Jean-Drapeau.

AMA Design

Pour infos et réservation: afromodernart@gmail.com.

Suivez l’actualité de l’agence AMA Design via Twitter @AMADesignMtl.

Bouba et Zaza le dessin animé pour éduquer les enfants africains

bouba et zaza

Bouba et Zaza le dessin animé pour éduquer les enfants africains.

éduquer les enfants africains

L’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA) et le Bureau régional de l’UNESCO à Dakar, au Sénégal, lancent « Cultures d’enfance », une collection africaine de livres pour enfants intergénérationnelle.

A travers les expériences de Bouba et Zaza, qui en sont les personnages principaux, la collection vise à développer chez les jeunes enfants de l’âge de trois ans à huit ans des compétences de vie et de socialisation, en dehors du contexte familial. Elle s’adresse également aux plus grands enfants, aux parents et aux enseignants.

Projecteur sur Alex Wagner, un togolais à Bollywood

Alex Wagner, un togolais à Bollywood

Alex Wagner est un jeune acteur et réalisateur d’origine togolaise et espagnole, Alex Wagner profite de cet apport multiculturel afin de d’accrémenter d’une nouvelle touche, le cinéma hexagonale. Globe-Trotteur invétéré, il parcourt le monde depuis des années afin d’affiner ses techniques de jeu et réalisation.

A l’aurore de sa carrière il a participé à plusieurs productions en tant qu’acteur, et consacre désormais le plus gros de son temps à la réalisation et l’écriture de nouveaux projets. Sa démarche artistique s’oriente vers des films engendrant une réflexion sur l’homme et son existence, quel que soit le genre abordé, de dramatique en passant par les films comiques…

Born Again

Projecteur sur Alex Wagner, un togolais à Bollywood

Alex Wagner a écrit, réalisé et tourné dans ce court-métrage en anglais, ou l’action se déroule en Inde. Born again nous fait voyager au coeur de Bombay par l’intermédiaire de plans magnifiques et éclatants de couleurs. Une oeuvre pleine d’émotions qui aborde une histoire d’amour victime de ses inéluctables aléas…

Comment comprendre l’immigration en France en dessin animé ?

La députée européenne d’Europe Écologie-Les Verts Hélène Flautre a imaginé et conçu une vidéo d’animation de quelques minutes visant à recontextualiser les enjeux et à tailler en pièces les fantasmes liés à l’immigration en France.

Nous y apprenons notamment que 86 % des gens ne quittent jamais leur foyer et parmi les 14 % qui sautent le pas, seul 1/3 traverse leurs frontières. Dans leur grande majorité, les immigrants viennent de pays émergents et rentrent sur les territoires de façon légale. Contrairement aux idées reçues, ce sont les immigrants qui contribuent le plus à l’aide internationale au développement. En 2010, ils ont contribué pour 334 milliards d’euros 4 fois que l’aide publique.

À 26 000 euros le rapatriement, la vidéo affirme que la politique migratoire est chère et inefficace la politique migratoire et s’interroge sur qui sont les véritables bénéficiaires : les passeurs ? Les politiciens ? Les industriels ?

Dans la deuxième partie, le dessin animé d’Europe Écologie-Les Verts aborde la notion de « terre d’accueil ». Il faut savoir que le premier pays d’accueil est le Pakistan avec près de 2 millions de réfugiés loin de la France (160 000 réfugiés). Ce qui n’est pas étonnant puisque 80 % des réfugiés dans le monde sont accueillis dans les pays du Sud.

fonctionnement de l'intégration en France immigration en France

La vidéo aborde ensuite la diminution du nombre de demandeurs d’asile au prétexte d’un coût élevé et s’interroge sur les raisons qui poussent les États à saper leurs droits d’asile reniant leurs obligations internationales : la suspicion ? Le désintérêt ?

Dans la troisième partie de la vidéo, l’animation des Verts européens s’adresse aux coûts de l’immigration. On y apprend notamment qu’en 2009 les immigrés vivant en situation légale ont coûté 48 milliards d’euros (éducation, logement, retraite, famille, travail) tandis qu’ils ont rapporté 60 milliards d’euros. La vidéo affirme qu’il est irrationnel de considérer l’immigration comme un fardeau économique. Alors qu’attendent les gouvernants pour proposer une politique de migratoire ouverts et de régularisation responsable : la retraite des boomers ? La grève des immigrés ? La grogne des patrons ?

Après 6 minutes de visionnement, la vidéo pose plus de questions qu’elle n’y répond, mais a le mérite de faire passer un message clair au sujet de l’immigration. Alors que pensez-vous de cette initiative ?

How will you impact Africa in the next 20 years ?

image beyonce solange sister

Since I arrived in Nairobi (Kenya, Africa)  in August of 2011 it has been a great journey. One of my greatest adventures has been the one with my younger sister.

I am finally getting a chance to see and watch her grow into an incredible woman. Part and parcel of being an older sister is that you often have to sit and listen to her ramblings (when she decides she wants to talk); my father says I have some what of a positive influence on her *beams*. One of those things she has been going on and on about is attending the African Leadership Academy in South Africa for her A levels in 2012 on a full scholarship. I had not heard of ALA before then, now I can tell you I am fully educated (I guess you learn from younger people too).

In the midst of her application, I have sat with her to fill in forms, to learn more about the school and to convince our parents that it will be a great stepping stone for her before she attends either Witwatersand or UTC for her university degree and then go on to Colombia for her law degree. As you can see she is a determined one and seems to have everything in play. Far from me the idea of crushing her dreams, but rather, I look to allow her to dream until they become true.

So you can imagine my pride as an older sister when 3 weeks ago, she got the letter announcing that she was a finalist in the ALA application. It is a 2 round application process. The finalist weekend is organised here in Nairobi, as a 2 day event where they meet the coordinators, do tests and prove their skills as leaders of tomorrow.

This morning I was on the verge of tears as i saw her off . Tears and emotional for 2 reasons, one being that she was one step closer to her dreams and the other being that May 5th is always a whirlwind for me. Today will mark 5 years since my older brother and lawyer PC passed on.

I like to think that it is some sort of cosmic coincidence that today is the day she goes in for that interview and that as always he will be shinning down on her with Peace and Calm as she challenges all the other finalists to the top.

I would like to share with you something she wrote for her application (hoping that she doesn’t mind) – I think it might give you insight into the brilliant 15 year old that she is. As she prepares for her O level examinations, I can only wish success!

When asked how she will impact Africa in the next 20 years, she had this to say:  In twenty years’time, I want to show people the real Africa. Right now it is hidden behind a veneer of poverty, hunger and death. It is hidden under corruption and greed. I don’t want to give hand-outs. I’d rather teach the men how to fish and not just give them fish.

I will do this by investing in a firm that will help in the development of Africa, starting with my country Cameroon. Building roads, houses, 5 star hotels and ensuring it is a perfect tourist attraction. In the long run it will enable for job openings for skilled, semi-skilled and unskilled workers. It will also bring back Africans to their homes. I believe that there is no use getting a degree in a European or American nation and not being able to put it to use because you cannot find a job there. So my goal will be to create jobs and provide a better lifestyle for African’s

When asked to write what would appear on page 217 of her biography had she written it today, she had this to say: “As I sat on the porch, on the 5th of May 2012, exactly 5 years after his death, I saw a cobweb unwind and as it did so did my thoughts. I looked back to the times when he would carry me in the garden and we would laugh and dance around with no care in the world. Yes, he had been the one, the one to motivate my dreams of becoming a lawyer and on this very day I was graduating from high school and I would pursue that dream.

Now I know I am just 15 years old but there is so much I have accomplished and so much I am yet to. The real definition of me is that I am far from what I once was, but not yet what I want to be…

I stand up and head back into the house and this path in my mind signifies the path to my future, I see myself a law graduate in a prestigious school and coming back to Africa to better my continent and my country. I want to be able to say that I was able to emulate two of my role models Pierre-Christian Ouandji and Nelson Mandela and leave something to be remembered.”

I don’t think I need to convince you any further, my father said to me last night; “Nina, this girl is going to be a better writer than you are. Watch out” I certainly have to believe him (reluctantly). *smile*

As has been tradition in our family for years now, we have always decided to celebrate life and celebrate the life of PC; so that his efforts and passions (justice, education & basketball) are never in vain. This year will mark in my hopes and dreams the launch of the PCO Foundation; that seeks to help young kids receive an education in Kenya and Cameroon.

So as you have a thought and prayer for our family today ; I invite you to pray and think of Lydia as well.

C’est décidé : je rentre au pays ! par Edwige Suzon

retour au pays diaspora

C’est décidé : je rentre au pays ! par Edwige Suzon

Aéroport de Yaoundé-Nsimalen, 13 août 2001. Une famille plutôt nombreuse se presse autour d’une jeune femme au regard pétillant d’excitation. Son père, à la fois fier et ému, lui prodigue quelques derniers conseils : « Donne régulièrement des nouvelles, concentre-toi sur tes études, et surtout n’oublie jamais d’où tu viens. Quand tu auras fini tes études, reviens ici pour utiliser ton savoir afin de faire fructifier la terre qui t’a vue grandir ». Tiraillée entre l’enthousiasme et la peur de l’inconnu, anxieuse face à cette nouvelle vie qui l’attend, elle embrasse tout le beau monde assemblé là : parents, sœurs, frères, cousines, copines tout le monde est là ou presque. Même le voisin d’en face a fait le déplacement pour saluer son départ. Un peu plus tard, alors que notre jeune femme vibre au rythme de l’avion qui prend son envol, sa mère écrase discrètement une larme en l’entendant s’éloigner de sa ville, de son pays.

Beaucoup plus loin, beaucoup plus tard… au terme de multiples nuits blanches à travailler d’arrache-pied, après des quantités impressionnantes de pizzas et de surgelés ingurgités, des rames de papier gribouillées à produire des devoirs, des examens plus ou moins brillamment passés, la voici, diplôme en poche. Le monde s’ouvre à elle! Lancera-t-elle une fléchette à l’aveuglette vers une mappemonde pour décider du lieu où elle posera ses valises? Suivra-t-elle les consignes de ses parents, en rentrant promptement au pays? Ou alors sera-t-elle séduite par un poste dans sa ville d’adoption? Après tout, elle y a passé les années les plus enrichissantes de sa vie; c’est là qu’elle est devenue une femme. Et puis, là-bas, il faudra réapprendre le système, et peut-être sacrifier confort et conditions de vie. Bref, le choix n’est pas évident! Pourtant, certains l’ont fait. Au terme de leurs études, ou quelques mois plus tard, ils ont décidé d’aller tenter leur chance dans leur pays d’origine. Et ils ont accepté de partager avec nous leur expérience née du rêve de réaliser quelque chose de significatif et nourrie par leur ambition de réussir chez eux.

Une décision bien motivée

Abidjan Plateau

Pour la plupart des personnes interrogées au cours de cette enquête, il n’a jamais été question de s’installer à l’étranger. Bien sûr, plusieurs d’entre nous se sont souvent promis, plus ou moins résolument, de ne rester que quelques années, le temps de gagner une bonne expérience professionnelle pour s’assurer une meilleure intégration une fois rentrés. Par contre, ceux que nous vous présentons ont décidé de sauter le pas, une fois leur diplôme en poche. Mais quelles étaient donc leurs motivations?

L’amour de la patrie et l’influence de la famille ont indubitablement joué un rôle. Pour Didier, particulièrement attaché à son village, il était inimaginable de vivre longtemps loin de sa famille. D’ailleurs, ses parents l’ont vivement encouragé à rentrer. Sylviane, quant à elle, a été confortée dans sa décision par la volonté de retour de son conjoint et le fait d’avoir trouvé un emploi. Chantal, autre amoureuse de son pays d’origine, confie ceci : « J’ai vécu sept années en Europe (France et Belgique) et pour moi c’était déjà beaucoup! Il n’y a pas eu de réel déclic puisqu’au cours de mes études, je projetais déjà de retourner au pays ».

Par ailleurs, plusieurs étaient mus par une volonté de contribuer au développement de la terre qui les a vus naître et grandir. C’est ce qu’Eddy explique lorsqu’il déclare : « Je me suis toujours dit que vu que nous sommes en retard sur le reste du monde, il est donc de mon devoir de prendre la connaissance hors de mes frontières et de faire profiter mon pays et mes compatriotes qui n’ont pas l’opportunité de voyager pour l’étranger ». Samuel, qui avait reçu comme instruction de ses parents de revenir chez lui une fois sa quête de savoir accomplie, explique : « Après mûre réflexion, je me suis dit qu’un ingénieur de plus n’apporterait pas grand-chose à la marche de la Nation canadienne ». Il a donc décidé de prendre son vol retour, afin de participer au changement nécessaire au Cameroun pour asseoir sa véritable indépendance et sa prospérité économique.

Si pour certains le retour au pays après les études était inéluctable, pour d’autres il a plutôt été précipité par des conditions professionnelles inintéressantes dans le pays d’accueil. C’est le cas de Nadia dont des perspectives limitées d’évolution professionnelle se sont ajoutées à une socialisation difficile constituant ainsi une ambiance de vie assez précaire. Eva aussi a fait le choix du retour à la suite d’une longue période de chômage. Alors, pourquoi se sentir mal à l’étranger, quand on peut tenter sa chance chez soi, en ayant au moins la garantie de bénéficier du coussin social?

Rentrer au pays en a également attiré plusieurs en raison des opportunités nombreuses qui s’offrent à ceux qui font le saut. Pierre s’est fié à son analyse de la conjoncture socio-économique indiquant qu’« un grand nombre de la population active irait en retraite dans les 5 ans à venir. Et le meilleur moyen de se positionner dans le circuit professionnel était à mon sens la période de mon retour ». Eddy demeure convaincu que « l’avenir est chez nous. Il y a tant de choses à faire, à créer, tellement d’opportunités; il faudrait donc en profiter ». Ce à quoi Didier ajoute que les bases solides permettent à tout jeune qui n’a pas peur de travailler dur d’entrevoir le futur avec assurance au Cameroun.

Préparation pour un retour réussi

Aéroport de Douala

Pourtant, si la décision ne semble pas avoir été ardue à prendre, on peut tout de même s’interroger sur la préparation effectuée par ces jeunes avant de se lancer dans l’aventure. Après tout, il n’est pas toujours évident de quitter la vie réglée comme du papier à musique, ni le confort des pays occidentaux dans lesquels ils étaient installés. Alors, se lève-t-on tout simplement un beau matin, pour sauter dans le premier vol direction Abidjan ou Douala? C’est presque ce qui s’est passé dans la vie de Pierre où tout s’est enchaîné plutôt rapidement. Après obtention de son diplôme, il décroche un poste dans son pays de résidence, tout en déposant ses demandes d’emploi au pays. À peine un an plus tard, il reçoit une réponse favorable et le choix lui paraît évident. Eddy, qui s’est également jeté à l’eau, mais sans aucune garantie d’emploi avant de rentrer, souligne ceci : « J’ai croisé beaucoup de compatriotes qui se “préparent” pendant 10 ans, sans jamais faire le pas. Évidemment, on se prépare un minimum quand même, on se renseigne sur les entreprises, les opportunités, les villes où il serait intéressant de s’installer; on utilise les relations que l’on peut avoir sur le terrain (amis, familles, etc.) Il faut aussi penser aux finances et faire des économies parce que le travail ne nous tendra pas les bras dès notre arrivée ».

Pour d’autres, la préparation a aussi été mentale et elle avait pour but de ne pas se sentir trop dépaysé une fois plongé dans la réalité locale. Didier avoue que sa stratégie de retour s’est étalée sur plusieurs années. « Le retour au pays n’est pas évident lorsqu’on a passé plusieurs années à l’étranger, dans une société dont on a acquis les réflexes et qui progressivement prennent le dessus sur nos habitudes quotidiennes. Pour éviter ce piège, je rentrais régulièrement au pays pour éviter d’être un étranger chez moi ». Eva et Samuel, quant à eux, ont d’abord profité d’une remise dans le bain de quelques mois avant de rentrer pour de bon. Ceci leur a permis de tâter le terrain, de cerner exactement ce qu’ils voulaient faire et de planifier comment ils allaient procéder pour l’exécuter. Pour Samuel, cette période préparatoire a également permis « d’élargir mon réseau de contacts dans le secteur d’activité qui est le mien ». Selon Chantal, « on se prépare tout d’abord dans la tête puisqu’on se pose quand même des questions; on se demande si l’on fait le bon choix en retournant au pays. Donc il y a quand même des moments de doute. Dans mon cas, l’envie de retourner au pays était plus forte et a pris le dessus ».

Déterminés à poursuivre et réaliser leur rêve africain, ces jeunes gens ont donc sauté à bord d’un vol à destination de chez eux. Dans la suite de cette série, Chantal, Eva, Nadia, Sylviane, Armel, Didier, Eddy, Pierre et Samuel relatent comment s’est effectué le retour aux sources : évidente intégration professionnelle pour certains et repositionnement obligé pour d’autres. Ils évoquent avec beaucoup d’enthousiasme les atouts qu’ils avaient dans leur manche, ainsi que les obstacles auxquels ils ont dû faire face.

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Cet article a été rédigé par Edwige Suzon du blog Ora Magzine

Bio de Edwige : Le silence est d’or, mais je m’exprime quand même…
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