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Comment suivre le MLS Super Draft en direct ?

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Lancement de la saison 2017 avec le MLS Super Draft en direct de Los Angeles où sont réunis les staffs techniques pour faire leur choix de relève.

L’Impact de Montréal a sélectionné Nick DePuy de l’Université de Santa Barbara avec le choix #19 au MLS Super Draft.

Lire aussi : Les premiers choix de l’Impact de Montréal

Lien pour voir le MLS Super Draft :

Abu Danladi de UCLA est le premier choix 2017 de Minnesota. Miles Robison de Syracuse a été sélectionné par Atlanta. Le 3e choix est échangé entre le Chicago Fire et New York City FC pour 250 000$. NYCFC ont sélectionné Jonathan Lewis du club Afkron Zips.


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Le grand n’importe quoi d’un emoji Pogba sur Twitter…

#Pogba emoji Pogba

#Pogba a son emoji et ça fait bien rire du monde sur Twitter. L’international français de Manchester United a fait l’annonce d’un emoji Pogba sur son compte en ce vendredi.

Un joli coup marketing pour Paul Pogba avant de répondre, on lui souhaite, sur le terrain face à Liverpool dans le choc de la 20e journée de Premier League.

C’est le premier joueur du championnat à bénéficier d’un tel honneur. L’ emoji Pogba sera actif jusqu’au 5 février contre Leicester City en utilisant le mot-clic #Pogba

Manchester United a 659 millions de followers sur ses plateformes et Paul Pogba en l’une des principales raisons.

Les réactions n’ont pas manqué…


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Premier League : Manchester City dans le viseur de la Fédération

Manchester City dopage

La Fédération Anglaise de Football (FA) a le club de Manchester City à l’oeil. Les Citizens ont été épinglés récemment pour “défaut de localisation”.

La faute que Manchester City est soupçonné d’avoir commise est plutôt rare dans le football. Le club anglais aurait omis de fournir les renseignements de localisation aux instances antidopage compétentes afin qu’elles puissent procéder à des contrôles si nécessaire. En clair, les instances antidopage ne savent pas où sont les joueurs.

Dans un communiqué la FA indique qu’« il est présumé » que le club de Premier League « n’a pas rempli ses obligations de localisation de manière correcte ».

Un autre club a aussi été épinglé par la FA pour les mêmes raisons. Il s’agit du club de troisième division Fleetwood Town.

Manchester City n’a pas réagi aux accusations. Le club a jusqu’au 19 janvier 2017 pour répondre. Selon les règlements de la FA, les Citizens risquent différentes sanctions si la faute est reconnue. Cela varie d’une simple amende à l’exclusion du Championnat dans les pires cas.


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Mondial 2018 : Des agences antidopage veulent exclure la Russie

Mondial 2018 Russie

Les agences d’antidopage veulent que la Russie soit exclue de toute compétition sportive tant qu’elle n’aura pas réglé son problème de dopage.

Les présidents de 19 agences nationales antidopage (ANA) se sont réunis à Dublin, entre autres pour discuter du dopage en Russie. D’après eux, la Russie devrait être privée de toute compétition sportive jusqu’à ce qu’elle règle son problème de dopage. Compétition sportive, incluant la Coupe du Monde 2018. Coupe du Monde 2018 que la Russie organise…

« À la lumière du second rapport McLaren, les responsables ont demandé l’exclusion des organisations sportives russes de toutes les compétitions internationales ». Le rapport en question est celui d’un juriste canadien qui démontre qu’il existe un système de dopage institutionnalisé en Russie, ce que Moscou réfute évidemment.

Certains présidents d’ANA ont cependant demandé à ce qu’il soit permis aux athlètes russes de participer aux compétitions internationales à condition d’avoir réussi les contrôles antidopage.

Le vice-premier ministre russe Vitali Moutko a, pour sa part, tout nié. « Ne faites pas attention à ces déclarations. Il s’agit d’une attaque délibérée destinée à discréditer le sport russe ».

Richard McLaren a publié en décembre un rapport qui avait dévoilé un système de dopage institutionnalisé en Russie avant les Jeux olympiques. Cela avait mené à l’exclusion de plus d’une centaine de sportifs russes aux Jeux de Rio. Dans le second volet de l’enquête, il est dévoilé que plus de mille athlètes russes, représentant plus de 30 disciplines, sont impliqués.


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Angleterre : L’ancien sélectionneur Graham Taylor s’éteint à 72 ans

Graham Taylor

L’ancien sélectionneur de l’équipe anglaise de football, Graham Taylor, a succombé à une crise cardiaque à l’âge de 72 ans.

Dans les années 80, Graham Taylor était entraineur en Premier League, à Watford, équipe qu’il a d’ailleurs aidé à monter en première division. Il est ensuite passé par Aston Villa, avant d’être nommé à la tête de la sélection aux Trois Lions où il est resté trois ans.

Sélectionneur de l’Angleterre de 1990 à 1993, il a connu deux échecs cuisants avec l’élimination de son équipe en phase de poules lors de l’Euro 1992, puis l’élimination en qualifications au Mondial 1994. Suite à cela, il a été forcé de démissionner.

L’ancien capitaine de la sélection anglaise, Alan Shearer, s’est exprimé lorsqu’il a appris la nouvelle. Il s’est dit « tellement triste et sous le choc. J’ai toujours une grande estime pour l’homme qui m’avait offert ma première sélection avec l’équipe anglaise ».

De son côté, Peter Crouch, qui a évolué sous les ordres de Graham Taylor à Aston Villa, a dit avoir « beaucoup de respect pour lui. Il m’avait lancé en Premier League, ce dont je lui serai toujours reconnaissant ! »


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La MLS et Adidas dévoilent NATIVO, le ballon de la saison 2017

adidas MLS ballon 2017

Adidas et la Major League Soccer ont conjointement dévoilé le ballon officiel qui sera utilisé dès le 3 mars et ce, pour toute la saison 2017.

NATIVO. C’est le nom du tout nouveau ballon dévoilé aujourd’hui par Adidas et la Major League Soccer. Habillé du drapeau du Canada, mais surtout de celui des États-Unis, le ballon est original et plutôt bien dessiné.

Qu’en pensez-vous ?

Voici l’évolution design des ballons MLS à travers les saisons.

adidas MLS ballon 2017


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L’Impact dévoile son calendrier 2017 | Montreal Impact

MONTRÉAL – L'Impact de Montréal a dévoilé jeudi le calendrier de la prochaine saison régulière, la cinquième de son histoire en MLS.

L’Impact de Montréal a dévoilé jeudi le calendrier de la prochaine saison régulière, la sixième de son histoire en MLS. L’Impact disputera un total de 34 matchs, 17 à domicile, dont le premier au Stade olympique, et 17 sur la route.

Consultez le calendrier complet ici

Le Bleu-blanc-noir amorcera la saison le samedi 4 mars contre les Earthquakes, au Avaya Stadium à San Jose, à 22h HE, puis disputera son match d’ouverture à domicile le samedi 11 mars, au Stade olympique à 19h contre le champion de la Coupe MLS, le Seattle Sounders FC.

L’équipe jouera ensuite trois matchs sur la route, contre les New York Red Bulls le samedi 18 mars, à Chicago le samedi 1er avril et à Los Angeles, le vendredi 7 avril, avant de revenir à Montréal pour y jouer son match d’ouverture au Stade Saputo le samedi 15 avril contre Atlanta United FC, une des deux nouvelles équipes d’expansion cette saison.

« La saison s’annonce une fois de plus très intéressante, d’abord avec la visite des champions en titre de la Coupe MLS au Stade olympique, puis d’un tout premier duel contre Atlanta pour ouvrir le Stade Saputo, a déclaré le vice-président exécutif de l’Impact de Montreal, Richard Legendre. Nous sommes également très heureux d’avoir plusieurs matchs à domicile en juillet et en août, en plus du tout dernier match de la saison dont l’enjeu devrait être élevé! »

L’équipe disputera un total de 25 matchs le samedi et trois matchs le dimanche pour un total de 28 matchs le week-end, de même que six matchs en semaine, soit cinq le mercredi et un le vendredi.

Autres matchs à surveiller
L’Impact affrontera son rival canadien du Toronto FC à trois occasions en 2017, le dimanche 27 août au Stade Saputo, puis à Toronto le mercredi 20 septembre et le dimanche 15 octobre.

L’Impact disputera également un tout premier match contre la deuxième équipe d’expansion, le Minnesota United FC, le samedi 16 septembre au Stade Saputo. Après avoir accueilli Atlanta à Montréal en avril, l’Impact visitera le Mercedes-Benz Stadium, en Géorgie,le samedi 23 septembre.

La saison prendra fin le dimanche 22 octobre au Stade Saputo contre le New England Revolution.

CAN 2017 : L’Incroyable pub de PEPSI avec Ryad Mahrez et le peuple algérien

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À quelques jours de la CAN 2017, Pepsi a diffusé une publicité à l’effigie du peuple algérien, de son football et de la Coupe d’Afrique des Nations.

Dans le cadre de la CAN 2017, Pepsi diffuse une publicité qui donne la chair de poule. Consacré à l’Algérie, la publicité met en vedette Ryad Mahrez qui parle à tout un pays et en arabe!

7na el Djazair, nous sommes l’Algérie

C’est une vidéo intense et bien filmée qui fait aussi figure de carte postale de l’Algérie. Le football est utilisé pour motiver tout un pays avec clairement un petit coté commercial.

Mais l’esprit du spot publicitaire cerne parfaitement la passion du football au sein d’une population qui a non seulement soif de trophées mais aussi d’émotions, durant le tournoi continental africain autant prestigieux que compétitif.

Voir la Vidéo

Réactions

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Transferts : Drogba au Brésil ? La rumeur folle qui l’envoie aux Corinthians

Didier Drogba au Brésil

Didier Drogba au Brésil ? L’attaquant est resté très discret sur son avenir depuis la fin de son contrat à l’Impact de Montréal.

On l’a entendu brièvement sur son éternel retour à l’Olympique de Marseille mais rien de très concret n’a fait surface.

Selon le journaliste André Ranieri les représentants de Didier Drogba aurait contacté le club brésilien pour rejoindre l’effectif.

twitter drogba bresil

Fait cocasse, ce ne serait pas les Corinthians qui ont présenté une proposition, mais bien l’entourage de Drogba.

Selon André Ranieri l’attaquant ivoirien aurait ordonné $ 120 000 de salaire /mois ainsi qu’un traducteur, une maison et une voiture blindée.

Le journaliste ajoute que le club est intéressé par l’offre et va rencontre le joueur.


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Omar Da Fonseca pète un plomb après un but de Messi, et c’est génial !

Omar Da Fonseca

Omar Da Fonseca aux commentaires c’est toujours savoureux. Il pète un plomb après un but de Messi, et c’est génial !

L’ancien attaquant argentin ne cache jamais son chauvinisme mais là il semble avoir atteint des sommets. Le commentateur de BeInSport ne peut s’empêcher de contenir sa joie au coup-franc de Lionel Messi. Et avec les sous-titres c’est encore mieux. Merci Minute Buzz.

Battu à Bilbao à l’aller (2-1), le FC Barcelone a renversé la situation mercredi au Camp Nou (3-1) en 8e de finale retour, grâce à des buts de Luis Suarez, Neymar et Lionel Messi. Tenant du titre, le club catalan disputera les quarts de finale.


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Episode 239 – Rentrée de l’Impact de Montréal 2017

PODCAST SOCCER MONTREAL

Le Kan Football Club revient pour l’année 2017 avec ses chroniqueurs habituels pour évoquer la rentrée de l’Impact de Montréal et plusieurs dossiers chauds.

Cliquez pour écouter l’épisode 239 « Rentrée de l’Impact de Montréal 2017  »

 

  • Est-ce que Atlanta peut mieux faire que toutes les équipes à leur première année ?

  • Est-ce une bonne chose que TVA sport aie les droit exclusif jusqu’en 2021 ?

  • Est-ce qu’on peut arrêter le repêchage MLS (MLS Draft) sous sa forme actuelle ? 

  • Est-ce responsable de la part de l’Impact de Montréal de refuser un profit de plusieurs millions $$ en cas de vente de Piatti ?


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Le niveau de la Super League chinoise est “encore plus faible que je le pensais”

niveau de la Super League chinoise

Tout le monde a les yeux rivés sur la Chine mais le niveau de la Super League chinoise laisserait encore à désirer.

L’équipe belge du KAA La Gantoise a affronté le club de Yanbian, qui évolue en Super League chinoise, lors de son stage en Espagne. Yanbian Funde F.C. a terminé neuvième la saison dernière (sur 16 équipes). Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette rencontre n’aura pas été un fameux test: Gent l’a emporté 11 buts à 0!

“Le niveau du football chinois est encore plus faible que ce que j’avais imaginé. Regardez, on nous a proposé deux équipes chinoises, une D1 et une D2. Je suis content d’avoir choisi la première option. Leur niveau était digne d’une D3 en Belgique. Après le repos, je dirais même une provinciale. Le rythme était lent et il y avait des boulevards entre les lignes”, analyse le coach gantois.

SOCCER EN CHINE – Lire aussi
Mercato : La Chine à l’assaut du marché des transferts
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“Si elle est prête à réaliser de tels investissements pour attirer des joueurs comme Witsel, elle devra encore recruter beaucoup d’autres Witsel. Il y a d’autres ajustements nécessaires pour mieux armer ces équipes et les faire jouer de manière différente. Injecter une ou deux vedettes dans chaque équipe ne va pas tirer le niveau du foot chinois vers le haut”, termine-t-il.


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Repêchage MLS : Les choix de première ronde de l’Impact de Montréal

2017 MLS SUPERDRAFT MLS Super Draft

Une revue des choix de première ronde de l’Impact de Montréal.

Le Repêchage MLS ou la loterie du soccer nord-américain. La version 2017 du MLS Super Draft se déroule à Los Angeles ou les dirigeants et entraîneurs de clubs MLS vont choisir leurs futurs vedettes et joueurs de banc parmi les meilleurs joueurs de la NCAA.

Avant de rêver à la perle rare, surtout que l’Impact repêche au 19e rang sur 22 en 2017, revivons ensemble les choix du Bleu-Blanc-Noir depuis 2012.

2012 – Andrew Wenger

andrew wenger

 

 

 

 

 

Le débat du repêchage 2012 était clair et net : Wenger ou Mattocks. Et c’est le jeune américain qui est devenu le premier choix de l’histoire de l’Impact de Montréal.

Physiquement apte et mature, mais techniquement approximatif, l’attaquant de pointe n’a jamais impressionné personne à Montréal.

Quand on savait qu’il a été parmi les meilleurs joueurs du circuit NCAA, une année en tant qu’attaquant et une autre en tant que défenseur, il fallait se poser un peu plus de questions. Il a été échangé à Philadelphie pour Jack McInerney, qui n’a pas fait long feu.

2013 – Blake Smith 

Blake Smith Montreal Impact

Une bonne patte gauche, mais le jeune latéral gauche n’a jamais pu s’imposer dans l’effectif de Marco Schallibaum. Il disparaît de la circulation et s’est trouvé une place au FC Miami d’Alessandro Nesta.

Il sera plus connu pour ses célébrations qu’autre chose.

2013 – Fernando Monge

Oui, il était un choix de première ronde. Va voir sur Wikipédia pour le reste.

2014 – Eric Miller

C’est le joueur qui avait clairement le plus de potentiel pour s’intégrer rapidement à un groupe pro. Un latéral droit simple, mais direct, sa vitesse n’était pas à négliger quoique ses centres n’étaient pas encore à point.

Il est échangé au Colorado, où il trouve sa place, en échange d’argent allocation. Cet échange a coïncidé avec l’arrivée de Harry Shipp en provenance de Chicago en retour d’argent d’allocation. Depuis, Shipp a été échangé à Seattle pour de l’argent d’allocation.

« Argent d’allocation » est le mot clé de votre journée.

2015 – Romario Williams

Le Jamaïquain était très coté en 2015 qui avait un profil d’attaquant assez intéressant avec une capacité d’accélérer et de trouver les espaces. On n’a jamais vu ça avec l’Impact alors qu’il a très peu joué. Il est prêté au Charleston Battery de la USL en 2016 (10 buts en 27 matchs) et ensuite échangé (pour un choix de 3e ronde) à Atlanta sous la tutelle de Tata Martino.

2016 – Kyle Fisher

Le défenseur central est rapidement reconverti en latéral droit avec l’Impact, mais va surtout trouver du temps de jeu avec le FC Montréal en 2016, jouant aux côtés de Thomas Meilleur-Giguère.

Il est encore au club… donc c’est une bonne chose.

2017 – Argent d’allocation

Plus une suggestion qu’une prédiction, l’Impact pourrait échanger directement son choix de première ronde pour de l’argent d’allocation.


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CAN 2017 : Portrait des forces en présence (GROUPE B)

CAN 2017 Algérie Tunisie Zimbabwe Sénégal Zimbabwe

Voici un portait des quatre sélections qui s’affronteront dans le Groupe B.

Du 14 janvier au 5 février 2017, la 31e édition de la CAN 2017 (Coupe d’Afrique des Nations), la plus importante compétition continentale au sein du Berceau de l’Humanité, battra son plein au Gabon en plus de fêter le 60e anniversaire de son existence. Voici un portait des quatre sélections qui s’affronteront dans le Groupe B.

ALGÉRIE

Avec la meilleure attaque des qualifications de la CAN 2017, l’Algérie dispose d’un arsenal offensif redoutable composé du meilleur joueur de la Premier League et joueur africain de l’année 2016, Riyad Mahrez, de son coéquipier à Leicester Islam Slimani, de Yacine Brahimi (FC Porto), et de Rachid Ghezzal (Olympique Lyonnais) pour ne nommer que ceux-là. Avec une telle artillerie lourde, les Fennecs peuvent frapper de partout, en autant qu’ils soient maître du jeu sur la pelouse. Car la défensive est loin d’être aussi rassurante lorsque l’adversaire prend le contrôle du ballon, surtout en l’absence de son vétéran leader Carl Medjani (Leganés), non retenu dans la sélection, au même titre comme Sofiane Feghouli qui a souffert de la concurrence au poste de milieu offensif étant donné sa décevante saison avec West Ham.

Une autre ombre au tableau est survenue récemment avec l’erreur de casting qu’a été l’embauche de Milovan Rajevac comme sélectionneur, suite à la démission de Christian Gourcuff. Devant les pauvres performances des Fennecs sous Rajevac, la Fédération l’a licencié et a embauché à sa place le belge Georges Leekens, reconnu pour être un pragmatique. Mais on ignore comment l’effectif va réagir et s’ajuster face à son système de jeu qui est d’attaquer et de défendre en bloc, avec en plus le manque de temps pour le peaufiner.

Somme toute et malgré un groupe B difficile, l’Algérie devrait logiquement passer en quarts-de-finale après la phase de poules. Reste à savoir cependant comment les Fennecs répondront par la suite, surtout sous la pression énorme venant de leurs supporters et de la presse algérienne qui n’espèrent rien de moins qu’un second sacre continental depuis celui remporté en 1990.

Lire Aussi : CAN 2017 Groupe AMLS Africa Plus 29: Spécial CAN

TUNISIE

Suite à son élimination en quarts-de-finale de la CAN 2015 par le pays hôte, la Guinée Équatoriale, dans la controverse (décisions arbitrales douteuses), le parcours de la Tunisie n’a jamais été un long fleuve tranquille depuis. Il a fallu une ultime victoire contre le Liberia dans le dernier match des qualifications pour que les Tunisiens obtiennent leur billet pour la CAN 2017. Si bien qu’on se demande à quoi s’attendre des Aigles de Carthage, eux qui avaient dominé aisément leur poule en 2015, mais qui font face à une forte compétition cette fois.

Sous la houlette du polonais Henryk Kasperczak, la brigade défensive est demeurée bien organisée (1 seul but concédé lors des 7 derniers matchs) avec Aymen Abdennour (Valence) comme valeur sûre dans la charnière centrale. Il manque toutefois un avant-centre capable de marquer des buts avec régularité depuis l’absence d’Issam Jemâa, meilleur buteur de l’histoire de la sélection. Quand votre meilleur buteur actif Wahbi Khazri (Sunderland) se trouve à jouer au poste d’ailier, et que la majorité de vos buts en qualifications ont été inscrits contre le Djibouti, il n’y a pas de quoi pavoiser.

Il n’en demeure pas moins que la sélection tunisienne est capable de rivaliser avec les meilleures nations africaines. Lors de leurs trois derniers matchs contre l’Algérie, un rival direct dans le groupe B, la Tunisie a récolté une victoire, une défaite et un verdict nul, ce qui est plus que respectable, et elle n’a pas connu la défaite contre le Sénégal, un autre rival direct, à leurs quatre derniers affrontements. Les Aigles de Carthage ne sont peut-être pas favoris pour remporter cette CAN 2017 à première vue, mais ils sont des battants et ont suffisamment d’atouts pour au moins franchir la phase de poule.

SÉNÉGAL

On a beau dire que la sélection sénégalaise a franchi l’étape des qualifications de cette CAN 2017 comme une lettre à la poste en remportant tous leurs matchs. Mais depuis 2002, seule année où ils ont atteint une finale de la CAN en plus des quarts-de-finale de la Coupe du Monde, les Lions de la Téranga n’ont jamais été capable de confirmer leur place parmi les grands du foot africain. À chaque fois que le Sénégal semble parmi les favoris, à chaque fois il trébuche et souvent trop tôt au grand dam de leurs supporters.

Ce n’est pourtant pas le talent qui manque dans cette nouvelle génération de joueurs sénégalais dirigée justement par un des anciens joueurs de la sélection de 2002: Aliou Cissé. Mais comme le dit l’adage, le talent ne suffit pas pour gagner des titres, et cette génération devra confirmer les espoirs placés en elle, surtout après un autre échec cuisant en phase de poules de la CAN 2015.

Sur papier, le Sénégal dispose néanmoins d’une formation très équilibrée. Kalidou Koulibaly (Naples) est certainement un des meilleurs joueurs africains en défense avec le capitaine et polyvalent milieu récupérateur Cheikhou Kouyate (West Ham), tandis qu’en attaque, l’ailier Sadio Mané (Liverpool) est sans contredit l’un des joueurs surdoués du moment qu’il faudra surveiller de près, sans oublier le vétéran buteur Moussa Sow (Fenerbahçe) et les jeunes attaquants talentueux Moussa Konaté (FC Sion) et Keita Baldé (Lazio Rome).

Les Lions de la Téranga devront quand même faire face à l’adversité face à la Tunisie et l’Algérie qu’ils n’ont pas battu depuis 2014 sans avoir inscrit un seul but au compteur. Le potentiel pour aller très loin est là, à la condition qu’ils demeurent concentrés et livrent un effort collectif constant face à des opposants résolus du même calibre.

ZIMBABWE

Les Warriors sont de retour à la CAN après 11 ans d’absence contre toute attente. Cependant, les choses ne sont pas au beau fixe entre la ZIFA et la sélection. Alors que la Fédération est endettée de plus de 4 millions de dollars, les joueurs ont refusé de prendre l’avion pour jouer un match amical au Cameroun samedi dernier étant donné les primes toujours non versées pour leur qualification. Comme si le torchon ne brûlait pas déjà assez, les hommes du sélectionneur Callisto Pasuwa avaient auparavant refusé de s’entrainer sur un site de la Fédération jugé trop médiocre et refusé un dîner avec le vice-président de la ZIFA. Bref, autant de distractions qui risquent de miner la performance du Zimbabwe dans une poule relevée où ses chances d’une quelconque réussite sont déjà très minces.

Ce n’est pas la première fois que la ZIFA et les Warriors sont impliqués dans des histoires d’argent. En 2009, la ZIFA et des joueurs de la sélection zimbabwéenne ont été mêlés à une affaire de corruption à la suite de paris truqués lors d’une tournée de matchs amicaux en Asie. Plus récemment en mars 2016, un membre du comité exécutif de la ZIFA a été suspendu pour une autre tentative de corruption, cette fois impliquant deux matchs de qualifications pour la CAN 2017. Auparavant, le Zimbabwe a été disqualifié des qualifications de la Coupe du Monde 2018 par la FIFA pour non-paiement de la ZIFA d’une dette à leur ancien sélectionneur Jose Claudinei Georgini. Bref, l’ombre de tous ces scandales semblent continuer de planer au-dessus de cette équipe du Zimbabwe.

Sur le plan du jeu, l’effectif ne manque pas de dynamisme au niveau de l’attaque, notamment avec le tandem composé de Knowledge Musona (KV Oostende, Belgique) en pointe et de Khama Billiat (Mamelodi Sundowns, Afrique du Sud) comme milieu offensif, qui a la capacité de prendre à contrepied une défensive qui sous-estimerait leur vitesse ou ne les prendrait pas au sérieux. Mais à moins que leur jeune gardien Tatenda Mukuruva (Dynamos FC Harare) n’accomplisse des miracles, la défense poreuse ne devrait pas tenir bien longtemps face à des puissances établies comme l’Algérie ou le Sénégal. À défaut de franchir la phase de poules, on peut souhaiter que cette sélection zimbabwéenne joue honorablement et vient brouiller un peu les cartes, surtout qu’elle n’a rien à perdre malgré tout le mauvais feuilleton extra-sportif qui la précède.


Cet article a été rédigé par Mathieu Lemée

Bio de Mathieu: Chroniqueur et journaliste foot pour football365.fr page Afrique et pour Animateur du podcast via


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Une vidéo émouvante pour le départ d’Obama

WASHINGTON, DC - DECEMBER 16: U.S. President Barack Obama waves goodbye at the conclusion of a news conference in the Brady Press Briefing Room at the White House December 16, 2016 in Washington, DC. In what could be the last press conference of his presidency, afterwards Obama will be leaving for his annual family vacation in Hawaii. (Photo by Chip Somodevilla/Getty Images)

Barack Obama fait mardi ses adieux, pour remercier les Américains d’une “extraordinaire aventure”. L’occasion pour de réaliser une vidéo émouvante pour le départ d’Obama.

 

OBAMA LAST SPEECH FULL TRANSCRIPT

It’s good to be home.  My fellow Americans, Michelle and I have been so touched by all the well-wishes we’ve received over the past few weeks.  But tonight it’s my turn to say thanks.

I first came to Chicago when I was in my early twenties, and was still trying to figure out who I was; still searching for a purpose to my life.  It was in neighborhoods not far from here where I began working with church groups in the shadows of closed steel mills.  It was on these streets where I witnessed the power of faith, and the quiet dignity of working people in the face of struggle and loss.  This is where I learned that change only happens when ordinary people get involved, and they get engaged, and come together to demand it.

After eight years as your President, I still believe that.  And it’s not just my belief.  It’s the beating heart of our American idea–our bold experiment in self-government.  It’s the conviction that we are all created equal, endowed by our Creator with certain unalienable rights, among them life, liberty, and the pursuit of happiness.

It’s the insistence that these rights, while self-evident, have never been self-executing; that we, the people, through the instrument of our democracy, can form a more perfect union. This is the great gift our Founders gave us.  The freedom to chase our individual dreams through our sweat, toil, and imagination–and the imperative to strive together as well, to achieve a common good, a greater good.

For 240 years, our nation’s call to citizenship has given work and purpose to each new generation.  It’s what led patriots to choose republic over tyranny, pioneers to trek west, slaves to brave that makeshift railroad to freedom.  It’s what pulled immigrants and refugees across oceans and the Rio Grande, it’s what pushed women to reach for the ballot, it’s what powered workers to organize.  It’s why GIs gave their lives at Omaha Beach and Iwo Jima; Iraq and Afghanistan–and why men and women from Selma to Stonewall were prepared to give theirs as well.

So that’s what we mean when we say America is exceptional.  Not that our nation has been flawless from the start, but that we have shown the capacity to change, and make life better for those who follow.  Yes, our progress has been uneven.  The work of democracy has always been hard, it’s always been contentious and it’s sometimes been bloody.  For every two steps forward, it often feels we take one step back.

But the long sweep of America has been defined by forward motion, a constant widening of our founding creed to embrace all, and not just some. If I had told you eight years ago that America would reverse a great recession, reboot our auto industry, and unleash the longest stretch of job creation in our history… if I had told you that we would open up a new chapter with the Cuban people, shut down Iran’s nuclear weapons program without firing a shot, and take out the mastermind of 9/11… if I had told you that we would win marriage equality, and secure the right to health insurance for another 20 million of our fellow citizens… If I had told you all of that, you might have said our sights were set a little too high.

But that’s what we did.  That’s what you did.  You were the change.  You answered people’s hopes, and because of you, by almost every measure, America is a better, stronger place than it was when we started.

In ten days, the world will witness a hallmark of our democracy:  the peaceful transfer of power from one freely elected president to the next.  I committed to President-Elect Trump that my administration would ensure the smoothest possible transition, just as President Bush did for me.

Because it’s up to all of us to make sure our government can help us meet the many challenges we still face. We have what we need to do so.  We have everything we need to meet those challenges. After all, we remain the wealthiest, most powerful, and most respected nation on Earth.  Our youth and drive, our diversity and openness, our boundless capacity for risk and reinvention means that the future should be ours.

But that potential will be realized only if our democracy works.  Only if our politics better reflects the decency of the our people.  Only if all of us, regardless of party affiliation or particular interest, help restore the sense of common purpose that we so badly need right now.

That’s what I want to focus on tonight–the state of our democracy. Understand, democracy does not require uniformity.  Our founders argued, they quarreled, eventually they compromised. They expected us to do the same. But they knew that democracy does require a basic sense of solidarity–the idea that for all our outward differences, we are all in this together; that we rise or fall as one.

There have been moments throughout our history that threatened that solidarity.  The beginning of this century has been one of those times.  A shrinking world, growing inequality; demographic change and the specter of terrorism – these forces haven’t just tested our security and prosperity, but are testing our democracy as well.  And how we meet these challenges to our democracy will determine our ability to educate our kids, and create good jobs and protect our homeland.

In other words, it will determine our future. To begin with, our democracy won’t work without a sense that everyone has economic opportunity.  Today, the economy is growing again; wages, incomes, home values, and retirement accounts are rising again; poverty is falling again.  The wealthy are paying a fairer share of taxes even as the stock market shatters records.  The unemployment rate is near a ten-year low.  The uninsured rate has never, ever been lower.  Health care costs are rising at the slowest rate in fifty years.  And I said, and I mean it, if anyone can put together a plan that is demonstrably better than the improvements we’ve made to our health care system–that covers as many people at less cost–I will publicly support it.

That, after all, is why we serve–not to score points or take credit, but to make people’s lives better, not worse.

But for all the real progress we’ve made, we know it’s not enough.  Our economy doesn’t work as well or grow as fast when a few prosper at the expense of a growing middle class. But stark inequality is also corrosive to our democratic principles.  While the top one percent has amassed a bigger share of wealth and income, too many families, in inner cities and rural counties, have been left behind – the laid-off factory worker; the waitress or health care worker who is barely getting by and struggling to pay the bills – convinced that the game is fixed against them, that their government only serves the interests of the powerful – a recipe for more cynicism and polarization in our politics.

There are no quick fixes to this long-term trend.  I agree–our trade should be fair and not just free.  But the next wave of economic dislocations won’t come from overseas.  It will come from the relentless pace of automation that makes a lot of good, middle-class jobs obsolete.

And so we’re going to have to forge a new social compact–to guarantee all our kids the education they need; to give workers the power to unionize for better wages; to update the social safety net to reflect the way we live now and make more reforms to the tax code so corporations and individuals who reap the most from this new economy don’t avoid their obligations to the country that’s made their very success possible.  We can argue about how to best achieve these goals.  But we can’t be complacent about the goals themselves.  For if we don’t create opportunity for all people, the disaffection and division that has stalled our progress will only sharpen in years to come.

There’s a second threat to our democracy–one as old as our nation itself.  After my election, there was talk of a post-racial America.  And such a vision, however well-intended, was never realistic.  Race remains a potent and often divisive force in our society.  Now, I’ve lived long enough to know that race relations are better than they were ten, or twenty, or thirty years ago no matter what some folks say. You can see it not just in statistics. You can see it in the attitudes of young Americans across the political spectrum. But we’re not where we need to be.  All of us have more work to do.

After all, if every economic issue is framed as a struggle between a hardworking white middle class and an  undeserving minority, then workers of all shades will be left fighting for scraps while the wealthy withdraw further into their private enclaves.  If we’re unwilling  to invest in the children of immigrants, just because they don’t look like us, we diminish the prospects of our own children–because those brown kids will represent a larger and larger share of America’s workforce.  And we have shown that our economy doesn’t have to be a zero-sum game.

Last year, incomes rose for all races, all age groups, for men and for women.  So if we’re going to be serious about race going forward, we must uphold laws against discrimination–in hiring, in housing, in education and the criminal justice system.  That’s what our Constitution and highest ideals require.

But laws alone won’t be enough.  Hearts must change. It won’t change overnight. Social attitudes often take generations to change. But if our democracy is to work in this increasingly diverse nation, each one of us must try to heed the advice of one of the great characters in American fiction, Atticus Finch, who said “You never really understand a person until you consider things from his point of view… until you climb into his skin and walk around in it.”

For blacks and other minority groups, that means tying our own struggles for justice to the challenges that a lot of people in this country face–not only  the refugee, or the immigrant, or the rural poor, or the transgender American, but also the middle-aged white man who from the outside may seem like he’s got all the advantages, but who’s seen his world upended by economic, cultural, and technological change.

For white Americans, it means acknowledging that the effects of slavery and Jim Crow didn’t suddenly vanish in the ‘60s; that when minority groups voice discontent, they’re not just engaging in reverse racism or practicing political correctness; when they wage peaceful protest, they’re not demanding special treatment, but the equal treatment that our Founders promised.

For native-born Americans, it means reminding ourselves that the stereotypes about immigrants today were said, almost word for word, about the Irish, and Italians and Poles, who it was said were going to destroy the fundamental character of America. And as it turned out, America wasn’t weakened by the presence of these newcomers; they embraced this nation’s creed, and it was strengthened.

So regardless of the station we occupy; we have to try harder; we all have to start with the premise that each of our fellow citizens loves this country just as much as we do; that they value hard work and family like we do; that their children are just as curious and hopeful and worthy of love as our own.

For too many of us, it’s become safer to retreat into our own bubbles, whether in our neighborhoods or college campuses or places of worship or our social media feeds, surrounded by people who look like us and share the same political outlook and never challenge our assumptions.  The rise of naked partisanship, increasing economic and regional stratification, the splintering of our media into a channel for every taste – all this makes this great sorting seem natural, even inevitable.  And increasingly, we become so secure in our bubbles that we start accepting only information, whether it’s true or not, that fits our opinions, instead of basing our opinions on the evidence that’s out there.

And this trend represents a third threat to our democracy. Look, politics is a battle of ideas; that’s how our democracy was designed. In the course of a healthy debate, we prioritize different goals and the different means of reaching them. But without some common baseline of facts; without a willingness to admit new information, and concede that your opponent is making a fair point, and that science and reason matter, we’ll keep talking past each other, making common ground and compromise impossible.

And isn’t that part of what makes politics so dispiriting?  How can elected officials rage about deficits when we propose to spend money on preschool for kids, but not when we’re cutting taxes for corporations?  How do we excuse ethical lapses in our own party, but pounce when the other party does the same thing?  It’s not just dishonest, this selective sorting of the facts; it’s self-defeating.  Because as my mom used to tell me, reality has a way of catching up with you.

Take the challenge of climate change.  In just eight years, we’ve halved our dependence on foreign oil, we’ve doubled our renewable energy, and we’ve led the world to an agreement that has the promise to save this planet.  But without bolder action, our children won’t have time to debate the existence of climate change; they’ll be busy dealing with its effects: more environmental disasters, more economic disruptions, waves of climate refugees seeking sanctuary.

Now, we can and should argue about the best approach to the problem.  But to simply deny the problem not only betrays future generations; it betrays the essential spirit of this country, the essential spirit of innovation and practical problem-solving that guided our Founders. It is that spirit, born of the Enlightenment, that made us an economic powerhouse – the spirit that took flight at Kitty Hawk and Cape Canaveral; the spirit that cures disease and put a computer in every pocket.

It’s that spirit–a faith in reason, and enterprise, and the primacy of right over might, that allowed us to resist the lure of fascism and tyranny during the Great Depression, and build a post-World War II order with other democracies, an order based not just on military power or national affiliations but built on principles–the rule of law, human rights, freedoms of religion, speech, assembly, and an independent press. That order is now being challenged–first by violent fanatics who claim to speak for Islam; more recently by autocrats in foreign capitals who see free markets, and open democracies, and civil society itself as a threat to their power.

The peril each poses to our democracy is more far-reaching than a car bomb or a missile.  They represent the fear of change; the fear of people who look or speak or pray differently; a contempt for the rule of law that holds leaders accountable; an intolerance of dissent and free thought; a belief that the sword or the gun or the bomb or propaganda machine is the ultimate arbiter of what’s true and what’s right.

Because of the extraordinary courage of our men and women in uniform, and the intelligence officers, law enforcement, and diplomats who support them, no foreign terrorist organization has successfully planned and executed an attack on our homeland these past eight years; and although Boston and Orlando and San Bernardino and Fort Hood remind us of how dangerous radicalization can be, our law enforcement agencies are more effective and vigilant than ever.

We’ve taken out tens of thousands of terrorists–including Osama bin Laden.  The global coalition we’re leading against ISIL has taken out their leaders, and taken away about half their territory.  ISIL will be destroyed, and no one who threatens America will ever be safe.

To all who serve, it has been the honor of my lifetime to be your Commander-in-Chief. But protecting our way of life–that’s not just the job of our military.  Democracy can buckle when we give in to fear.  So just as we, as citizens, must remain vigilant against external aggression, we must guard against a weakening of the values that make us who we are.

And that’s why, for the past eight years, I’ve worked to put the fight against terrorism on a firmer legal footing.  That’s why we’ve ended torture, worked to close Gitmo, reformed our laws governing surveillance to protect privacy and civil liberties.  That’s why I reject discrimination against Muslim Americans, who are just as patriotic as we are.  That’s why we cannot withdraw from big global fights – to expand democracy, and human rights, and women’s rights, and LGBT rights – no matter how imperfect our efforts, no matter how expedient ignoring such values may seem.  That’s part of defending America.

For the fight against extremism and intolerance and sectarianism and chauvinism are of a piece with the fight against authoritarianism and nationalist aggression.  If the scope of freedom and respect for the rule of law shrinks around the world, the likelihood of war within and between nations increases, and our own freedoms will eventually be threatened. So let’s be vigilant, but not afraid.  ISIL will try to kill innocent people.  But they cannot defeat America unless we betray our Constitution and our principles in the fight.  Rivals like Russia or China cannot match our influence around the world – unless we give up what we stand for, and turn ourselves into just another big country that bullies smaller neighbors.

Which brings me to my final point: our democracy is threatened whenever we take it for granted.  All of us, regardless of party, should be throwing ourselves into the task of rebuilding our democratic institutions.  When voting rates in America are some of the lowest among advanced democracies, we should make it easier, not harder, to vote.  When trust in our institutions is low, we should reduce the corrosive influence of money in our politics, and insist on the principles of transparency and ethics in public service.  When Congress is dysfunctional, we should draw our congressional districts to encourage politicians to cater to common sense and not rigid extremes.

And remember: none of this happens on its own. All of this depends on our participation; on each of us accepting the responsibility of citizenship, regardless of which way the pendulum of power swings.  Our Constitution is a remarkable, beautiful gift.  But it’s really just a piece of parchment.  It has no power on its own.  We, the people, give it power–we the people give it meaning with our participation, and the choices we make and the alliances that we form.  Whether or not we stand up for our freedoms.  Whether or not we respect and enforce the rule of law.  America is no fragile thing.  But the gains of our long journey to freedom are not assured.

In his own farewell address, George Washington wrote that self-government is the underpinning of our safety, prosperity, and liberty, but “from different causes and from different quarters much pains will be taken… to weaken in your minds the conviction of this truth;” and so we have to preserve this truth with “jealous anxiety”; that we should reject “the first dawning of every attempt to alienate any portion of our country from the rest or to enfeeble the sacred ties” that make us one.

America, we weaken those ties when we allow our political dialogue to become so corrosive that people of good character aren’t even willing to enter into public service; so coarse with rancor that Americans with whom we disagree are not just misguided, but somehow malevolent.  We weaken those ties when we define some of us as more American than others; when we write off the whole system as inevitably corrupt, and when we sit back and blame the leaders we elect without examining our own role in electing them.

It falls to each of us to be those anxious, jealous guardians of our democracy; to embrace the joyous task we’ve been given to continually try to improve this great nation of ours.  Because for all our outward differences, we in fact all share the same proud title, the most important office in a democracy: citizen.

So, you see, that’s what our democracy demands.  It needs you.  Not just when there’s an election, not just when your own narrow interest is at stake, but over the full span of a lifetime.  If you’re tired of arguing with strangers on the internet, try talking with one in real life.  If something needs fixing, then lace up your shoes and do some organizing.  If you’re disappointed by your elected officials, grab a clipboard, get some signatures, and run for office yourself.  Show up.  Dive in.  Stay at it.  Sometimes you’ll win.  Sometimes you’ll lose.  Presuming a reservoir of goodness in other people, that can be a risk, and there will be times when the process disappoints you.  But for those of us fortunate enough to have been a part of this work, and to see it up close, let me tell you, it can energize and inspire.  And more often than not, your faith in America–and in Americans–will be confirmed.  Mine sure has been.

Over the course of these eight years, I’ve seen the hopeful faces of young graduates and our newest military officers.  I’ve mourned with grieving families searching for answers, and found grace in Charleston church.  I’ve seen our scientists help a paralyzed man regain his sense of touch. I’ve seen wounded warriors, who at points were given up for dead, walk again.  I’ve seen our doctors and volunteers rebuild after earthquakes and stop pandemics in their tracks.  I’ve seen the youngest of children remind us of our obligations to care for refugees, to work in peace, and above all to look out for each other.

That faith I placed all those years ago, not far from here, in the power of ordinary Americans to bring about change–that faith has been rewarded in ways I could not have possibly imagined.  I hope yours has, too.  Some of you here tonight or watching at home were there with us in 2004, in 2008, in 2012. Maybe you still can’t believe we pulled this whole thing off.  You’re not the only ones.

Michelle LaVaughn Robinson, girl of the South Side–for the past 25 years, you’ve been not only my wife and mother of my children, you have been my best friend.  You took on a role you didn’t ask for and made it your own with grace and with grit and with style and good humor.  You made the White House a place that belongs to everybody.  And a new generation sets its sights higher because it has you as a role model.  You have made me proud.  And you have made the country proud.

Malia and Sasha, under the strangest of circumstances, you have become two amazing young women.  You are smart and you are beautiful, but more importantly, kind and thoughtful and full of passion.  You wore the burden of years in the spotlight so easily.  Of all that I’ve done in my life, I’m most proud to be your dad.

To Joe Biden, the scrappy kid from Scranton who became Delaware’s favorite son:  you were the first decision I made as a nominee, and it was the best.  Not just because you have been a great vice president, but because in the bargain, I gained a brother.  We love you and Jill like family, and your friendship has been one of the great joys of our life.

To my remarkable staff:  For eight years–and for some of you, a whole lot more–I’ve drawn from your energy, and every day I’ve tried to reflect back what you displayed every day: heart, and character, and idealism.  I’ve watched you grow up, get married, have kids, and start incredible new journeys of your own.  Even when times got tough and frustrating, you never let Washington get the better of you. You guarded against cynicism. The only thing that makes me prouder than all the good we’ve done is the thought of all the remarkable things you are going to achieve from here.

And to all of you out there–every organizer who moved to an unfamiliar town, every kind family who welcomed them in, every volunteer who knocked on doors, every young person who cast a ballot for the first time, every American who lived and breathed the hard work of change–you are the best supporters and organizers anybody could ever hope for, and I will forever be grateful.

Because you did change the world. You did. That’s why I leave this stage tonight even more optimistic about this country than I was when we started.  Because I know our work has not only helped so many Americans; it has inspired so many Americans–especially so many young people out there–to believe you can make a difference; to hitch your wagon to something bigger than yourselves.

Let me tell you, this generation coming up–unselfish, altruistic, creative, patriotic–I’ve seen you in every corner of the country.  You believe in a fair and just and inclusive America; you know that constant change has been America’s hallmark, that it’s not something to fear but to embrace, and you are willing to carry this hard work of democracy forward.  You’ll soon outnumber any of us, and I believe as a result that the future is in good hands. My fellow Americans, it has been the honor of my life to serve you.  I won’t stop; in fact, I will be right there with you, as a citizen, for all my remaining days.

For now, whether you’re young or young at heart, I do have one final ask of you as your president–the same thing I asked when you took a chance on me eight years ago. I am asking you to believe.  Not in my ability to bring about change–but in yours.

I am asking you to hold fast to that faith written into our founding documents; that idea whispered by slaves and abolitionists; that spirit sung by immigrants and homesteaders and those who marched for justice; that creed reaffirmed by those who planted flags from foreign battlefields to the surface of the moon; a creed at the core of every American whose story is not yet written: Yes we can. Yes we did. Yes we can.

Thank you.  God bless you.  And may God continue to bless the United States of America.

Martin Demichelis de plus en plus proche de la Major League Soccer

Martin Demichelis MLS

Martin Demichelis a résilié son contrat avec l’équipe de l’Espanyol Barcelone. Il est donc libre de s’engager avec le club de son choix.

Martin Demichelis était libre l’été dernier et a décidé de rejoindre le club catalan Espanyol Barcelone. Seulement son aventure ne s’est pas très bien passée. En effet, l’Argentin a été aligné à seulement trois reprises par l’entraineur Quique Sanchez Flores depuis le début de la saison. Le défenseur a donc décidé de quitter le navire catalan en résiliant son contrat avec le club. Il est donc libre de rejoindre le club qu’il veut.

L’ancien joueur du Bayern Munich, de Malaga et de Manchester City, a reçu des offres d’équipes de MLS. Il ne serait pas contre une expérience en Amérique du Nord. Il a également reçu des offres en provenance de Chine.


MISE-À-JOUR le 17 janvier 2017

Demichelis a finalement signé son retour à Malaga, où il avait déjà évolué pendant trois saisons entre 2011 et 2013. Il est maintenant lié au club jusqu’en fin de saison.


Et si on parlait foot ?

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Liverpool : Klopp s’oppose au départ de Coutinho à Barcelone

Coutinho Liverpool FC Barcelone

Le FC Barcelone a mis 68 millions d’euros sur la table pour attirer Philippe Coutinho en Espagne, mais Jurgen Klopp s’oppose catégoriquement à son départ.

Actuel second au classement de Premier League, à cinq points de Chelsea, Liverpool est encore dans la course pour le titre et ne souhaite certainement pas voir son meilleur élément offensif partir.

Jurgen Klopp l’a confirmé en conférence de presse : « Nous n’avons jamais eu l’idée, ou de plan ou même de discussions concernant un probable départ de Coutinho, parce que c’est notre joueur. Il n’y a jamais eu d’autre idée le concernant, rien n’a changé ».

Et la blessure qui a écarté le Brésilien des terrains pendant près de trois mois n’a pas calmé la motivation des Blaugrana. « Malheureusement pour nous, les grands clubs ne réfléchissent pas comme ça. Ce n’est pas une grosse blessure, donc il n’est pas question de s’interroger s’il va être le même joueur à son retour. Et oui, ça serait bien si les grands clubs oubliaient complètement un joueur parce qu’il a été blessé pendant cinq ou six semaines », a ajouté Klopp.


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MLS : Ambroise Oyongo en Ligue 1, ça chauffe !

ambroise oyongo

Les rumeurs d’un transfert d’Ambroise Oyongo en Ligue 1 se précisent alors que latéral est en ce moment à la Coupe d’Afrique des Nations 2017 pour représenter le Cameroun.

Ce choix du joueur de l’Impact de Montréal de représenter son pays lui aurait coûté un transfert en Ligue 1 selon les informations obtenues par le média CamFoot.

« Monaco a demandé à Ambroise Oyongo de dire non à la CAN et de rejoindre le club immédiatement pour la signature. Sauf qu’en signant, il ne devrait pas prendre part à la Coupe d’AfriqueRefuser d’aller défendre les couleurs du Cameroun parce qu’il y a une belle offre, c’était impensable pour lui. Ambroise Oyongo aime trop son pays pour lui faire un tel coup. Décliner cette offre monégasque n’a pas été une chose facile, mais Oyongo n’avait vraiment pas le choixOyongo a reçu plusieurs offres d’autres clubs. Et il est ouvert aux propositions. Sauf que, pour le moment, le plus important pour lui, c’est la CAN. Gagner ce tournoi pour son pays est un objectif primordial» rapporte l’entourage du joueur.

Lire aussi – CAN 2017 : But Incroyable d’Ambroise Oyongo contre la RDC


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FC Seville : Stevan Jovetic arrive sous forme de prêt

Stevan Jovetic Inter Milan Seville

C’est le FC Seville qui a confirmé la nouvelle dans la journée. Stevan Jovetic quitte l’Inter Milan pour rejoint le club espagnol sous forme de prêt.

« Le FC Seville et l’Inter Milan ont trouvé un accord pour le prêt de Stevan Jovetic, attaquant international monténégrin. Il arrive à Nervion pour retrouver l’éclat qu’il avait perdu après son passage à Manchester City et à l’Inter Milan », peut-on lire sur le site web du club andalou.

Après la Premier League (Manchester City) et la Série A (Fiorentina et Inter Milan), Jovetic va donc maintenant gouter à la Liga. Son prêt durera jusqu’à la fin de la saison actuelle avec une option d’achat fixée à 14 millions d’euros. Son contrat avec l’Inter Milan prend fin en 2019.

Nouvelle offensive pour qu’Aleix Vidal rentre au bercail

Aleix Vidal n’a pas de temps de jeu au FC Barcelone et est annoncé sur le départ. Selon le journal andalou Estadio Deportivo, le FC Seville, son ancien club, est déterminé a le rapatrier en Andalousie. Un prêt avec option d’achat est évoqué. Seulement, avant de parler de transfert ou de prêt, Séville devra d’abord faire partir certains joueurs, car les 25 places enregistrables en Liga sont présentement occupées.


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Spectacle bénéfice « Un rire pour un livre» organisé par Mission Tiguéré

Mission Tiguéré

Le 1er février 2017, à HEC Montréal, se tiendra le spectacle bénéfice Un rire pour un livre par Mission Tiguéré.

Le spectacle bénéfice organisé par Mission Tiguéré au coût de 15$, qui vise à récolter les fonds nécessaires à la construction de la première bibliothèque de Tiguéré, un petit village du Sénégal. Pour l’événement, nous avons l’honneur d’accueillir plusieurs humoristes de renoms tels que Boucar Diouf, Mehdi Bousaidan et plusieurs autres

Mission Tiguéré est un organisme à but non lucratif fondé en 2014 par un étudiant de HEC Montréal, diplômé de l’Université de Montréal et qui vient en aide aux jeunes élèves de Tiguéré, un petit village situé au Sénégal.

L’organisme a pour but d’offrir à ces jeunes étudiants du matériel scolaire et des infrastructures fonctionnelles qui leur permettront de s’épanouir sur le plan académique et social. Mission Tiguéré, via son programme de correspondance, encourage aussi ces mêmes étudiants à la diversité culturelle en leur permettant notamment d’échanger avec des étudiants canadiens.

Jusqu’à ce jour, les différentes levées de fonds organisées par l’organisme ont permis de récolter une somme de 25 000 $. Mission Tiguéré s’est même vue attribuer en 2015, le prix de l’engagement citoyen de l’Université de Montréal.

Profitez de cette soirée humoristique pour venir vibrer au son des chansons rythmées à l’africaine et déguster une boisson typiquement sénégalaise!

Un rire pour un livre

Ouverture des portes à 19h
Début du spectacle à 19h30
Il y aura un total de 4 excellents humoristes, dont Boucar Diouf et Mehdi Bousaidan ayant 15-20 minutes sur scène.

15$ en prévente
20$ à la porte

ACHETEZ VOS BILLETS ICI: https://www.ticketbase.com/events/un-rire-pour-un-livre

Un rire et une bonne soirée garanti!

PLSQ : Plusieurs ententes par le club de soccer Mont-Royal Outremont

Club de soccer Mont-Royal Outremont

Le Club de soccer Mont-Royal Outremont a annoncé plusieurs retours avec le groupe professionnel de la Première Ligue de Soccer du Québec pour la saison 2017.

Contrat confirmé pour l’attaquant Ritch-Andy Jean-Pierre

«Je veux revenir avec le CS MRO, car je crois que c’est le leader en PLSQ et je veux continuer à l’aider à gagner le plus de titres possible. Je veux aussi faire encore mieux que l’an dernier et continuer à progresser, match après match» a indiqué Jean-Pierre.

Jean-Pierre, formé principalement au FC Challenger dans les Laurentides, a rejoint le groupe sénior AAA du CS MRO en 2014 avant de faire le saut avec l’équipe Pro PLSQ en 2015. Il a aidé le CS MRO à remporter en 2015 et 2016 le titre champion de la saison régulière de la Première Ligue de Soccer du Québec et en 2016, la Coupe Canada Pro Div3.

«Après une fin de saison 2015 impressionnante, qui nous a permis de constater son énorme potentiel, Ritch a clairement démontré qu’il appartenait au groupe d’attaquants de la ligue capables de performer sous pression. Il a été excellent lors du dernier tiers de la saison 2016, alliant parfaitement vitesse, lecture du jeu et rapidité d’exécution. Il nous permet également de bien défendre, car il découpe très bien le terrain lors des phases défensives. Nous sommes heureux de le voir continuer dans notre uniforme» a déclaré l’entraîneur-chef des griffons Luc-Bernard Brutus.

Yannick Toker, sous contrat pour la prochain saison du Griffon!

«J’ai décidé de revenir jouer pour les Griffons par ce que je me sens bien dans l’équipe. On a fini sur une victoire l’année passée alors on est déjà sur la bonne voie pour la saison à venir. Mon objectif personnel est de contribuer de plus en plus au succès de l’équipe. Ceci arrive lentement et demande beaucoup d’effort mais ca vaut la peine en fin de compte. Je suis donc heureux d’entamer une nouvelle saison et j’ai hâte de voir ce qui va se passer par la suite» a déclarer Yannick Toker.

Toker, argentin d’origine âgé de 22 ans, a été essentiel au succès du CS MRO, qui a remporté en 2016 le titre champion de la saison régulière de la Première Ligue de Soccer du Québec et la Coupe Canada Pro Div3. Formé au club sportif FS Salaberry, il a poursuivi son développement à l’académie de l’Impact de Montréal avant de rejoindre l’équipe réserve-PLSQ du CS MRO en 2015. Il a également fait parti des Redmen de l’Université McGill.

«Yannick a été l’une de pièces maîtresses du groupe pro en 2016 et a démontré clairement qu’il se positionnait avantageusement parmi les meilleurs joueurs à sa position. Pour avoir une bonne offensive, il nous faut un récupérateur intelligeant de haut niveau, qui peut également être fluide, précis et confortable techniquement pour relancer les jeux. Nous avons donc la chance d’avoir ce joueur complet en Yannick»  a mentionné l’entraîneur-chef du CS MRO, Luc-Bernard Brutus.

Renan Dias sera de retour avec le Griffon!

« Je suis content de continuer mon parcours dans la famille du Griffon. Je me sens vraiment à l’aise dans ce club, qui recherche constamment l’excellence » a indiqué Renan Dias.

Dias, un athlète de puissance de 29 ans, a aidé le CS MRO à remporter en 2015 et 2016 le titre champion de la saison régulière de la Première Ligue de Soccer du Québec et en 2016, la Coupe Canada Pro Div3. Avant de se joindre aux Griffons il a évolué en ligues régionales brésiliennes de Sao Paulo et a été invité au prestigieux Pro soccer Combine NASL 2014. Il a également fait partie de la sélection brésilienne de la Coupe du Monde de soccer intérieur aux États-Unis en 2015.

« D’année en année, nous réalisons l’importance de la présence de Renan dans notre alignement. Un joueur de ce talent, qui peut en plus être polyvalent, c’est plus que rare » a mentionné l’entraîneur-chef du CS MRO, Luc-Bernard Brutus. « Vitesse, puissance, athlétisme, technique et sens du jeu. Voilà comment nous pouvons résumer son profil. Nous l’avons placé dans notre ligne défensive pour le dernier tiers de la saison et il a clairement été le meilleur défenseur gauche de la ligue. Nous sommes définitivement en bonne position pour 2017 ».


Créée en 2012 sous l’égide de la Fédération de Soccer du Québec, La Première Ligue de Soccer du Québec est une ligue professionnelle de division 3 de l’Association Canadienne de Soccer, le plus haut niveau au Québec, où évoluent les meilleurs joueurs de soccer professionnels et non-professionnels.


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La Major League Soccer signe des accords historiques portant sur les droits médiatiques

la major league soccer

La Major League Soccer a annoncé aujourd’hui la signature de nouveaux accords de diffusion au Canada, comprenant une prolongation de cinq ans de l’accord de droits médiatiques avec TSN, réseau spécialisé canadien le plus regardé, ainsi qu’un nouvel accord de cinq ans faisant de TVA Sports le diffuseur officiel qui assurera les retransmissions en français au Canada.

Grâce à ces accords de diffusion, les supporters basés au Canada bénéficieront d’une couverture en direct sans précédent des rencontres de la saison régulière et des séries éliminatoires. Les deux partenaires de diffusion donneront également vie aux évènements de marque de la Ligue, dont March to Soccer (qui précède le coup d’envoi de la saison), la Semaine des rivalités, le Match des étoiles de la MLS, le Jour décisif de la MLS, la phase finale Audi de la Coupe MLS et la Coupe MLS, avec une couverture et une promotion multiplateformes pour les téléspectateurs anglophones et francophones.

La saison 2016 a vu les audiences de la MLS au Canada franchir un cap historique sur le réseau TSN, atteignant son point culminant quand plus d’un million et demi de téléspectateurs ont été devant leur écran pour la Coupe MLS 2016, lors de laquelle le Seattle Sounders FC a battu le Toronto FC aux tirs au but. En 2016, l’audience totale de la phase finale Audi de la Coupe MLS a atteint des sommets historiques au Canada sur le réseau TSN.

« Après cette saison de records battus par la Ligue au Canada, nous sommes enthousiastes à l’idée d’annoncer ces nouveaux accords avec TSN et TVA Sports, a déclaré Gary Stevenson, président et administrateur délégué de MLS Business Ventures. Ces accords sont un signe évident que nos partenaires médiatiques – au même titre que la Ligue et que nos clubs canadiens – investissent dans la croissance du sport au Canada. Nous sommes ravis de poursuivre notre relation de longue date avec Bell Media et notre partenariat avec TSN, ainsi que d’étendre notre partenariat avec TVA Sports à l’échelle de la Ligue. Nous savons que ces deux diffuseurs offriront une couverture de classe mondiale et un soutien promotionnel à nos matchs. »

La Major League Soccer sur TSN et TVA SPORTS

TSN, diffuseur officiel de la MLS depuis 2011, disposera des droits exclusifs de diffusion en anglais au Canada. Au cours de la saison 2017, TSN couvrira en exclusivité chaque match du Toronto FC et du Vancouver Whitecaps FC, une sélection de rencontres de l’Impact de Montréal, des duels de prestige entre équipes basées aux États-Unis, et aura l’exclusivité de la couverture en anglais du Match des étoiles de la MLS, du Jour décisif de la MLS, de la phase finale Audi de la Coupe MLS ainsi que de la Coupe MLS.

Le renouvellement de l’engagement de TSN comprend une nouvelle plage horaire le vendredi soir au printemps et un match de la semaine le samedi soir tout au long de la saison. L’horaire de diffusion complet du réseau TSN, comprenant les heures de prise d’antenne et les chaînes diffusant chaque match, sera publié dans les semaines à venir.

« La marque MLS au Canada est plus forte que jamais, après une saison remarquable de MLS sur TSN lors de laquelle les clubs canadiens ont eu un parcours exceptionnel en séries et ont fracassé des records d’audience en chemin, a déclaré Stewart Johnston, président de TSN. Avec notre offre de matchs élargie, les supporters canadiens peuvent s’attendre à ce que la MLS sur TSN continue de mettre le championnat et ses joueurs de l’avant. Nous sommes fiers de rester le diffuseur canadien officiel de la Ligue pour les années à venir. »

En plus d’être un diffuseur officiel de la MLS, TVA Sports sera désormais le diffuseur exclusif en français des matchs de l’Impact de Montréal et assurera au Canada la retransmission exclusive en français du Match des étoiles de la MLS, de la phase finale Audi de la Coupe MLS ainsi que de la Coupe MLS. TVA diffusera plus de 50 rencontres de MLS par saison. Le réseau produira également une émission hebdomadaire qui parlera de l’Impact, de la MLS ainsi que du soccer international, et assurera un soutien éditorial et promotionnel par l’entremise des plateformes médiatiques de Québecor (maison mère de TVA).

« Nous sommes très fiers de notre nouveau partenariat avec la MLS, de commenter le vice-président de TVA Sports, Serge Fortin. Plus que jamais au cours de la dernière année, nous avons été témoins du soutien et de la passion des amateurs canadiens pour la MLS. Notre équipe de production, qui a eu l’occasion de démontrer son excellence au cours des dernières années, est très enthousiaste face à la perspective d’amener les supporteurs encore plus près de l’action. »

Aux États-Unis, la MLS vient de boucler la deuxième saison de son accord de droits médiatiques de huit ans avec ESPN, FOX et Univision. Au cours de celle-ci, plus de téléspectateurs que jamais aux États-Unis et au Canada ont regardé des matchs et du contenu de la MLS. La diffusion internationale de la MLS est actuellement la plus importante de l’histoire de la Ligue, puisque désormais 170 pays retransmettent des rencontres en direct chaque semaine.


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Soccer : Mode d’emploi de la Coupe du monde à 48 équipes

Coupe du monde à 48 équipes

C’est officiel la FIFA va adopter le format d’une Coupe du monde à 48 équipes pour son édition 2026.

La FIFA par l’entremise de son nouveau président Gianni Infantino a expliqué que le format suivant serait adopté : 48 équipes dans 16 groupes de 3. Les matchs nuls dans les phases de groupe serait départagé par des séances de tirs aux buts. Les deux meilleures équipes progressent dans la phase des huitièmes de finales. En tout, il faudra passer au travers de 7 matchs pour remporter la Coupe du monde à 48 équipes.

Coupe du monde à 48 équipes : Les petits pays à la fête

C’est le plus gros changement depuis le passage à 32 équipes en 1998. Cette expansion fait suite à celle de l’EURO 2016 à 24 nations, au lieu des 16 habituelles. Lors de l’Euro 2016, l’ouverture a plus d’équipes n’a pas été synonyme de qualité de jeu. La dernière édition du championnat d’Europe des Nations a été particulièrement pauvre à ce chapitre. Tout le monde ne peut pas faire partie de l’élite, c’est une loi du sport de compétition.

Selon les premières informations un passage de 13 à 16 pays est évoqué pour l’Europe, de 5 à 9 pour l’Afrique, de 4,5 à 8,5 pour l’Asie et de 3.5 à 6.5 pour l’Amérique du Nord/Centrale. Le 0.5 s’explique par la présence d’un match de barrage.

 

Coupe du monde à 48 équipes : Plus de revenus pour la FIFA.

Bien que l’expansion de la Coupe du monde soit une cause noble et noble, il existe – comme toujours – d’autres incitatifs. L’augmentation des matches va évidemment attirer les diffuseurs et les commanditaires, la Fifa espérant programmer plus de matchs dans les créneaux horaires. Selon 20 minutes, dans une Coupe du monde à 48 équipes, avec 16 groupes de 3, dès l’édition 2026, verrait ses revenus nets atteindre 3,95 milliards d’euros, contre 3,36 milliards pour le Mondial 2018 en Russie. Dans le même temps, les coûts liés à l’augmentation du nombre d’équipes présentes et du nombre de matches (80 contre 64 dans un format à 32 équipes) seraient en hausse de 307 millions d’euros. Les revenus des droits de télévision progresseraient de 479 millions et ceux du marketing de 351 millions.. Ce n’est clairement pas insignifiant dans la pensée de l’organisation.

Coupe du monde à 48 équipes : Pas que des heureux

La réforme de la Coupe du Monde à 48 pays à partir de 2026 ne fait pas que des heureux sur la planète football. Les réactions sont viruolentes, Gianni Infantino, le président de la FIFA étant comparé à son prédécesseur Sepp Blatter.

Javier Tebas, le président de la Ligue espagnole, interrogé par L’Equipe : “La méthode employée n’est pas acceptable. Il y a deux mois, Gianni Infantino (président de la FIFA) est venu voir l’association mondiale des Ligues. Il nous a assuré qu’il nous consulterait sur les sujets susceptibles de concerner le football professionnel. Il ne l’a pas fait. Ce ne sont pas des manières. Infantino se comporte comme Blatter, qui prenait des décisions tout seul, sans se soucier de quiconque”.


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CAN 2017 : Portrait des forces en présence (GROUPE A)

CAN 2017 Gabon Burkina Faso Cameroun Guinée Bissau

Voici un portait des quatre sélections qui s’affronteront dans le Groupe A.

Du 14 janvier au 5 février 2017, la 31e édition de la CAN 2017 (Coupe d’Afrique des Nations), la plus importante compétition continentale au sein du Berceau de l’Humanité, battra son plein au Gabon en plus de fêter le 60e anniversaire de son existence.

GABON

Alors que la CAN était disputé en partie au Gabon en 2012 (avec la Guinée Équatoriale), Les Panthères avaient réussi à se rendre en quarts-de-finales. La sélection gabonaise n’a également perdu qu’une seule fois lors de leurs 20 derniers matchs à la maison. Une élimination en phase de poule serait donc inacceptable pour le pays hôte, surtout avec des joueurs de talent comme le milieu de terrain Mario Lemina (Juventus) et l’attaquant-joueur africain de l’année 2015 Pierre-Emerick Aubameyang (Borussia Dortmund) dans l’effectif.

Toutefois, l’étrange décision de la fédération gabonaise de remplacer le sélectionneur Jorge Costa en novembre dernier par Jose Antonio Camacho risque de semer le chaos au sein d’un collectif pourtant plutôt stable, d’autant plus que déjà Camacho a été à couteaux tirés avec la FÉGAFOOT récemment pour une question de choix de personnel au sein du staff. Bien que tout semble réglé, ces récents événements à quelques jours du coup d’envoi ne s’avèrent donc pas un bon présage pour les Panthères, mais on verra comment ils réagiront sur la pelouse.

Lire Aussi : Les groupes de la CAN 2017 | MLS Africa Plus 29: Spécial CAN

CAMEROUN

Le pays qui devrait logiquement survoler ce groupe est sans contredit le Cameroun. Certes, ce n’est plus le Cameroun dominant le continent africain au début des années 2000 avec des joueurs comme Samuel Eto’o, Patrick M’Boma, Rigobert Song et Marc-Vivien Foé. Depuis, les Lions Indomptables ont tout simplement raté le coche lors des trois précédentes éditions de la CAN avec une non-participation en 2012 et 2013, de même qu’une dernière place en phase de poule en 2015.

Les choses ne seront pas plus simples pour cette CAN 2017, surtout avec les désistements de Joël Matip (Liverpool FC), Éric Choupo-Moting (Schalke 04), Frank Kom (Karlsruhe SC) et Allan Nyom (West Bromwich Albion), qui préfèrent se concentrer sur leur saison en club, ainsi que l’absence d’Henri Bedimo (Olympique Lyonnais) et Aurélien Chedjou (récemment libéré par Galatasaray), ignorés par le sélectionneur Hugo Broos.

La sélection camerounaise peut cependant compter sur une brigade défensive solide avec notamment Nicolas N’Koulou (Olympique Lyonnais) et à défaut d’avoir des joueurs de champ créatifs, elle peut miser sur le contre pour alimenter les attaquants Vincent Aboubakar (Besiktas) et Benjamin Moukandjo (Lorient) afin de faire payer cher leurs adversaires. La relative faiblesse du groupe A devrait donc permettre au Cameroun de terminer logiquement en tête, si les Lions Indomptables savent se montrer opportunistes. C’est lors de la ronde des 8 qu’il faudra sans doute commencer à s’inquiéter.

BURKINA FASO

Disposant d’un collectif dont la plupart des joueurs sont dans la force de l’âge et qui jouent ensemble depuis 4 ans, il ne faudra pas prendre le Burkina Faso à la légère. Finaliste de la CAN 2013, les Étalons avaient déçus en 2015 avec aucune victoire en phase de poules. Nul doute que cette génération dorée va vouloir se reprendre en 2017, surtout si l’on en croit ses récentes performances en qualifications de la Coupe du Monde. Le problème est que le Burkina Faso n’a affronté aucune tête d’affiche du continent depuis la CAN 2015, et que leur attaque est loin d’être efficace, tant s’en faut, avec 17 matchs consécutifs sans avoir plus de deux réalisations.

En revanche, la charnière défensive demeure rassurante notamment avec Bakary Koné (Malaga), mais reste à savoir si l’absence de Steeve Yago (Toulouse FC), suspendu pour deux matchs, peut s’avérer un facteur déterminant. Pour le cas où l’attaquant Jonathan Pitroipa (Al Nasr, Émirats Arabes Unis) ne soit pas aussi productif qu’il l’avait été en 2013, le substitut Banou Diawara (Smouha SC, Égypte) devra continuer à être décisif dans les moments clés si les Étalons veulent répéter leurs exploits d’il y a quatre ans.

Diawara a effectivement inscrit le but de la victoire à la toute fin des arrêts de jeu du dernier match de qualification contre le Botswana et le but égalisateur contre l’Afrique du Sud en qualifications de la Coupe de Monde, à nouveau dans les arrêts de jeu. Bref, l’effectif du Burkina Faso demeure uni et se connait bien, mais il n’y aucune garantie que la sélection pourra franchir la phase de poules car il y a trop de points d’interrogation et qu’on ignore comment elle va réagir face à de grosses cylindrés.

GUINÉE-BISSAU

L’ancienne colonie portugaise de Guinée-Bissau en est à sa toute première participation à la CAN. On ne s’attend donc pas à ce que cette sélection franchit la phase de poule. Sur papier, l’effectif est largement composé de joueurs évoluant au Portugal dans des divisions inférieures, mais deux jeunes milieux de terrain du club de première division grecque Levadiakos, Toni Silva (23 ans) et Zezinho (23 ans), ont le potentiel pour dynamiser le front offensif.

La perte récente sur blessure de l’attaquant Cicero Semedo, qui évolue en première division portugaise avec le FC Paços de Ferreira et qui est actuellement le meilleur buteur de la sélection, ne laisse cependant pas beaucoup d’espoir de voir la Guinée-Bissau gagner un seul match. Il leur faudra répéter collectivement leur performance incroyable en qualifications et que les joueurs jouent tous à un niveau optimal pour espérer progresser, sinon rivaliser avec leurs opposants.


Cet article a été rédigé par Mathieu Lemée

Bio de Mathieu: Chroniqueur et journaliste foot pour football365.fr page Afrique et pour Animateur du podcast via


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Liverpool : Coutinho dans le groupe pour le déplacement à Southampton

Philippe Coutinho Liverpool

Blessé à un ligament de la cheville droite lors du match de Liverpool contre Sunderland le 26 novembre dernier, Philippe Coutinho pourrait enfin faire son retour.

Liverpool se déplace à Southampton mercredi à l’occasion de la demi-finale de Coupe de la Ligue. Jürgen Klopp a annoncé que Philippe Coutinho allait réintégrer le groupe et qu’il pourrait fouler le terrain dans le cadre de ce match.

« Je pense que Phil est suffisamment en forme pour intégrer le groupe, ce qui signifie qu’il pourrait jouer quelques minutes, selon le déroulement de la rencontre. Cela fait 6-7 semaines d’absence, c’est long et il a besoin de temps de jeu d’abord à l’entraînement mais ensuite, le plus tôt possible en match. On n’a pris encore aucune décision mais demain ce sera sa 4e séance avec le groupe. Ce n’est pas tant que ça, mais c’est assez pour être dans le groupe. »

Le Brésilien de 24 ans a trouvé le fond des filets à six reprises en treize apparitions toutes compétitions confondues cette saison.


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Patrice Bernier ambassadeur de M0851

Patrice Bernier, joueur de l'Impact de Montréal

Patrice Bernier fait sa “marque” autant sur le terrain, qu’en dehors.

Joueur et capitaine de l’Impact de Montréal, Patrice Bernier a été choisi pour être le nouvel ambassadeur de M0851, une entreprise montréalaise qui conçoit, fabrique et commercialise une vaste gamme de sacs, accessoires et vestes de cuir et de vêtements d’extérieur.

Lorsque le KAN Football Club a contacté M0851, l’entreprise montréalaise se dit ravie de compter Patrice Bernier parmi ses ambassadeurs de marque depuis le printemps 2016.

M0851 ajoute avoir été ” attiré par son [Patrice Bernier] implication dans la communauté, sa grande générosité et son enthousiasme authentique pour la marque.”

Patrice Bernier est aussi porte-parole à Opération Enfant Soleil et la Fondation de l’OMHM , ainsi qu’ambassadeur de la Maison Haiti.

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L’été passé, Bernier a aussi eu une collaboration pour une ligne de vêtements à Winners, sous la devise ” S’entraîner pour gagner “.

Le KAN Football Club a aussi appris que d’autres annonces de partenariat pour Patrice Bernier seront faites dans les prochains jours. La marque ” Patrice Bernier ” prend du galop dans la scène montréalaise, québécoise et canadienne.


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