Tel un Lion de la Téranga, Hassoun Camara montre ses crocs en ce début de saison 2016.
Ce n’est un secret pour personne que la saison 2015 est un mauvais souvenir pour Hassoun Camara. Même s’il a fait partie de l’effectif durant la fin de saison épique, le défenseur est très déçu d’avoir seulement participé à 9 rencontres.
Même durant la première présaison de Mauro Biello, en tant que seul maître à bord, le statut de Camara était encore incertain avec une blessure, mais son discours était positif. S’il n’était pas physiquement au top, Camara était tout le temps prêt mentalement et saura saisir sa chance lorsque Biello fera appel à lui.
Le Déclic à Seattle
Sa première titularisation en 2016 contre le FC Dallas, son baptême du feu, n’était pas évidente. Il semblait rouillé, mais nous a rappelé l’importance de sa présence physique dans la surface de réparation. Mais c’est contre les Sounders de Seattle qu’on redécouvre le vrai Hassoun Camara.
Contre un potentiel offensif assez impressionnant, il gère bien défensivement malgré quelques fautes grossières et évitables. Mais c’est son positionnement qui fait plaisir : il est entreprenant, actif sur son coté droit et n’a pas de crainte d’aller droit au but sur le gazon artificiel du Century Link Stadium.
La rage de vaincre
On ne pourra jamais blâmer Hassoun Camara de ne pas être un compétiteur. Toujours au service du collectif, il se fond dans un groupe de défenseurs qui s’impose doucement, mais sûrement comme un des meilleurs de la ligue.
Peu importe qui est sur le terrain, nous sommes tous ensemble – Hassoun Camara
Son but de la tête, celui du 1-0 et de la victoire contre le Crew de Columbus, est évidemment primordial. Non seulement Camara ajoute un but à son compteur, mais il libère son équipe qui va pouvoir gérer le match à sa manière.
Un des originaux de l’aventure MLS de 2012 (et de l’effectif NASL de 2011 avec Evan Bush), l’ascension d’Hassoun Camara est non seulement une belle histoire pour un joueur adoré par sa ville adoptive, mais aussi une option pour le staff pour une saison 2016 remplie d’attentes et de défis.
Et n’oubliez jamais, Hassoun est aussi l’homme qui dab plus vite que son ombre.
Le baby-foot fait sa révolution numérique et déploie des trésors d’ingéniosité pour décupler les sensations de jeux.
Présenté en avant-première par la société Ark Systeme au concours Lépine 2016 à la Foire de Paris Expo – Porte de Versailles, ce baby-foot 3D révolutionne le jeu en ajoutant une dimension supplémentaire à la table : celle d’un plancher interactif, capable d’identifier la balle et de lui réagir à la façon d’une tablette tactile géante.
Désormais connecté au Wi-fi, ce baby-foot de nouvelle génération passe à une vitesse supérieure : le plancher s’illumine, détecte la balle et la trace en affichant un marqueur rouge qui la suit partout où elle va. Les joueurs peuvent alors choisir l’univers dans lequel elle va évoluer.
Dans un véritable stade de foot miniature, des joueurs supplémentaires pourront brancher leur manette et se joindre à une partie de baby-foot classique en tant que troisième équipe : incarnant des personnages à l’écran, leur but sera d’atteindre les cages sans se faire écraser par la balle !
Transformer le baby-foot en une console à part entière, proposant des centaines de jeux différents pour n’importe quel nombre de joueurs de tous niveaux, la société Ark Systeme en bonne voie de gagner son pari.
Wax a Wonderful World est un salon dédié à la mode inspirée d’Afrique samedi 9 juillet 2016 à l’atelier basfroi à Paris. L’évènement vise à mettre à la une la mode et la culture africaine au travers des marques et des créateurs qui les valorisent.
L’édition 2016 proposera notamment une exposition galerie d’œuvres d’artistes qui s’expriment sur la mode et certains éléments de la culture africaine. Cette exposition est rendue possible par une collaboration avec l’association Cori & Art. Il y aura également un artiste caricaturiste qui travaille avec Cori et Art.
On y retrouvera une conférence sur l’art du foulard avec Dk Ange de Osez le foulard ainsi que des animations diverses comme : un stand de mise en beauté, une séance de relooking « african inspired » offerte à quelques participantes, un relooking « african queen » ou encore un shooting street style.
Les organisatrices évoquent aussi un défilé 100 % hommes qui vaudra le détour. Nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec la fondatrice de Pagnifik Mary Nguetta pour lui poser quelques questions.
Digikan: Comment ont été choisies les marques participantes?
Mary Nguetta: Parmi les marques participantes, on retrouve certaines qui nous ont déjà fait confiance lors de précédentes éditions : Ebony City, Layitia Design, Juneshop… On retrouve aussi de nouvelles marques qui ont tout pour plaire : Kimy Jolie, une marque pour enfants, qui entraîne les petites filles dans un monde féerique, Monsieur Burdi, une marque urbaine et dynamique, Noumbissi Design et ses jolies poupées… et plein d’autres.
Pour la sélection, nous nous attachons à mettre en avant des marques qui ont un véritable univers et qui ont des choses à montrer. Certaines sont jeunes et parfois à leur début. Cependant, quand nous estimons qu’elles ont du potentiel et de beaux produits, nous n’hésitons pas à leur permettre de participer au salon pour booster leur visibilité.
Pensez-vous que le wax et les imprimés africains se sont démocratisés dans le paysage français?
Clairement, les imprimés africains s’installent dans le paysage français! J’en veux pour preuve la récente exposition-boutique de Merci « So Wax » où plusieurs marques ont pu montrer leur travail (Maison Chateau Rouge, Afrikanista,…). Il y a aussi cette collaboration de PIMKIE avec la marque Nash Prints It.
Cependant, les non afrodescendants ne sont pas forcément toujours prêts à l’adopter. Certains aiment, d’autres trouvent que c’est trop coloré et que ça ne convient qu’aux noirs… Mais les marques occidentales ont compris que ces imprimés plaisaient et on un bon public!
Quels défis Pagnifik veut relever pour l’année 2016?
Réussir cette édition de Wax a Wonderful World avec une formule payante plus riche, plus variée et donc plus attractive. Pourquoi pas, organiser un évent à Abidjan, ma ville d’origine. L’idée a été suggérée par plusieurs. J’étudie aussi la création d’un eshop multi-marques!
Wax A Wonderful World 2016
9 juillet 2016
Atelier Basfroi
Pour la 26e édition, nous recevons avec honneur le Lewis Hamilton des partisans de l’Impact, Abdou Sall!
On analyse la dernière victoire de l’Impact contre le Crew de Colombus, et on parle des muscles d’Ontivero et des cheveux d’Oduro. Ensuite, les matchs retours de la Ligue des Champions seront fous, nos impressions:
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Réagissez avec le hashtag #LopoAvendano
Bonjour, bonsoir et bienvenue à Sur La Transversale,
Aujourd’hui, Kevin est accompagné de Tristan D’Amours, Éditeur Sportif du Link Newspaper pour faire un retour sur le programme double de samedi au Stade Olympique.
Aussi, les commentaires d’âprès-match de Phillippe Eullaffroy, Jean-Yves Balou Tabla, Hassoun Camara et Mauro Biello.
Today on the Post Game Edition of Off the Woodworkx,
The Post-Game comments of the Head Coach of the Montreal Impact, Mauro Biello, Head Coach of the Columbus Crew Greg Berhalter, Hassoun Camara, Kyle Bekker and Dominic Oduro.
Le légendaire entraineur de Liverpool FC, Bill Shankly, disait «Le football n’est pas une question de vie ou de mort, c’est quelque chose de bien plus important que cela.»
Une nouvelle preuve du caractère exceptionnel du soccer a été faite jeudi soir lors du match opposant les anglais de Liverpool FC aux allemands du Borussia Dortmund alors que les partisans des deux clubs entonnent leur hymne commune “You’ll Never Walk Alone“.
Le coach de Liverpool, Jürgen Klopp, ne pouvait rêver mieux pour son retour à Dortmund, un club où il est adulé. Ce Borussia – Liverpool a été surnommé “Kloppico” lors du tirage au sort des quarts de finale de Ligue Europa.
81 000 supporters à l’unisson au Signal Iduna Park pour un moment comme seul le soccer peut nous offrir.
Si ça ne vous donne pas des frissons, on ne peut plus rien faire pour vous…
MLS Africa Plus vous propose quelque chose de spécial pour ce quatrième épisode avec un premier invité à l’émission:
Patrick Juillard, chroniqueur/rédacteur/journaliste spécialisé dans le football africain pour footafrica365.fr (qui est maintenant devenu football365.fr page Afrique depuis peu – primeur!) et également analyste à l’émission Radio Foot Internationale sur les ondes de RFI.
On discute avec Patrick bien évidemment de la MLS, du football africain et du foot international. Avec comme sujets au menu:
-Le 20e anniversaire de la MLS.
-Depuis quand Patrick suit les activités de cette ligue, de même que son joueur africain préféré en Amérique du Nord.
-Ce qui distingue le style MLS avec le foot pratiqué en Europe.
-De la vision plutôt sous forme “d’eurosnobisme” de certains chroniqueurs européens envers le soccer de la MLS.
-Retour sur les résultats des matchs de qualifications de la CAN 2017 disputés fin mars dernier.
-La résiliation de Christian Gourcuff au poste de sélectionneur de l’équipe nationale d’Algérie.
-Crise au sein de l’équipe nationale de la Côte d’Ivoire suite au départ de Seydou Doumbia.
-Les nominés pour le prix Marc-Vivien Foé désignant le meilleur joueur africain de la Ligue 1.
-La nomination d’Antonio Conte plusieurs mois à l’avance comme entraîneur de Chelsea pour la saison 2016-2017.
-Karl-Heinz Rummenigge, président du Bayern Munich qui veut un système de têtes de série comme au tennis pour remplacer le tirage au sort de la Ronde des 16 en Ligue des Champions.
-Retour sur l’affaire des Panama Papers alors que les noms de Michel Platini, Lionel Messi et des membres de la FIFA y sont mentionnés.
Une émission spéciale toujours riche en contenu foot et à dévorer avec vos oreilles!
MLS Africa Plus est présenté par Mathieu Lemée.
Réalisateur et auteur de courts-métrages, chroniqueur et journaliste foot pour
EURO 2016 : J -66 -65 -64 … Dans moins de trois mois débutera en France le championnat d’Europe de football 2016 avec 24 équipes engagées dans cette compétition. Une belle fête pour les fanatiques de football !
Déjà dans les starting-blocks, je vous propose de faire le tour des réjouissances qui nous attendent…
Un mois de compétition
Les hostilités démarreront le 10 juin avec le match d’ouverture qui opposera le pays hôte, la France, et la Roumanie. Une belle soirée en perspective pour les vendeurs de pizza ! Suivront 12 matchs de poules (rien à voir avec le volatile). Il y a 6 poules de quatre équipes chacune. Après cette première phase, 16 équipes seront qualifiées pour les huitièmes de finale : les deux premières équipes de chaque poule plus les quatre meilleurs troisièmes.
La finale aura lieu le 10 juillet au stade de France.
Quatre équipes favorites
Pour cette édition, les spécialistes et les bookmakers s’accordent sur quatre équipes qui partent favorites :
La France qui n’a pas le meilleur effectif mais qui bénéficiera sans doute de la grinta du pays hôte. L’équipe qui ira à l’Euro n’est pas encore complètement définie mais les performances des internationaux français dans les différents championnats européens sont plus qu’encourageantes.
L’Allemagne, championne du monde en titre. La Mannschaft et sa rigueur offensive est LA favorite de ce tournoi d’autant plus qu’elle se trouve dans un groupe où le niveau n’est pas très relevé.
L’Espagne, championne d’Europe en titre. Même si elle a déçu lors de la dernière coupe du monde, la Roja et ses joueurs techniques reste un client sérieux qu’il faudra surveiller de près.
L’Italie, une équipe toujours difficile à jouer dans les grandes compétitions. Nul doute que le sélectionneur Antonio Conte qui quittera son poste après l’Euro aura à cœur de terminer sur une bonne note.
Une fête contre la peur
Cette édition 2016 sera aussi une manifestation contre la peur qui étreint l’Europe à chaque grand événement public depuis les attentats de novembre 2015.
Les dispositifs de sécurité seront sans précédents autour des stades mais aussi dans les fan-zones, ces lieux aménagés où les supporters se réunissent dans les centres villes pour suivre les matchs sur écrans géants. L’organisation prévoit dix fan-zones réparties dans toutes la France dont une à Paris au pied de la tour Eiffel. Ce sera certainement de très beaux lieux de rencontre et de communion pour les fans de football mais aussi des sites où la menace terroriste nécessitera une vigilance policière accrue.
Cet article a été rédigé par Angèle Messager
Bio d’Angèle: De la Martinique vers le monde… Une passion pour l’information, la culture et l’écriture.
L’agence A-Ka nous annonce que la marque Vitamalt et l’humoriste Dycosh ont scellé une entente pour une nouvelle campagne de communication. Ce partenariat donnera naissance au #VITAMALTEQUILIBRE !
Dycosh, dont les vidéos ont été vues par des millions de personnes sur YouTube a popularisé la fameuse position de l’Équilibre. L’humoriste n’en finit plus de faire parler de lui, nous avons été ravis de le retrouver sur la scène du festival du cinéma afro-américain à Paris, le Brown Sugar Days. Il est aussi à l’affiche de la web-série African Geek qui joue sur les clichés de l’informatique en Afrique.
Kenneth Hansen, Directeur Marketing International de Vitamalt, déclare à propos de la campagne et du partenariat : “il s’agit d’un moment très excitant pour la marque en France et je suis ravi de faire équipe avec Dycosh, son univers et surtout la position de l’Équilibre.Avoir une hygiène de vie équilibrée, se sentir bien, sont des valeurs fondamentales pour Vitamalt et ses consommateurs. C’est une grande opportunité pour nous de nous engager avec les fans et il nous tarde de donner vie à ce partenariat par l’intermédiaire des nombreuses initiatives qui vont venir lors des prochains mois”.
Dycosh partage la même excitation concernant cette collaboration : “Vitamalt a toujours fait partie de mon quotidien donc quand ils m’ont proposé d’en être l’ambassadeur, je me suis senti très fier et très heureux. J’ai toujours aimé Vitamalt car je sais que c’est bon pour mon palais, mais c’est aussi bon pour le corps ! Equilibre!”
C’est avec beaucoup d’aisance et une petite touche d’humour que Katia Banel, fondatrice de SONEL Cosmétiques, nous présente à son lancement le vendredi 25 Mars, sa première gamme de produits beauté.
Katia Banel décide de se lancer dans cette aventure, lorsqu’en 2014 elle prend l’initiative de se couper les cheveux entièrement. Avec le temps, elle se rend compte qu’il n’y a pas tant de produits « santé » que ca. Faisant des études en « fabrication de produits d’hygiènes corporelles et cosmétiques », très vite, elle a envie de partager ses idées et ses connaissances, ce qui l’amène aujourd’hui avec la création de SONEL Cosmétiques. Mention à elle lorsqu’elle nous dit brièvement qu’on peut tous recommencer à zéro et surtout BIEN le faire, on ne dit pas non à un peu de motivation (Of course !) Lors de son discours, on constate que le mot « santé » revenait beaucoup. Elle y met l’accent et nous garantit une gamme de produits hydratants totalement naturelle et de qualité, en allant de son packaging à son contenu.
En effet pour le packaging, elle utilise des pots eco-friendly. Chapeau ! Essayons de penser tant qu’on le peut et avec nos moyens à l’écologie les amis. Pour cela, elle fait appel à l’entreprise Amphore avec à sa tête Gaspar Mésidor et Ingrid Boursiquot très ouverts et souriants, ils travaillent déjà avec de grandes entreprises et ils seront même en partenariat cette année avec la célébration de Miss Côte d’Ivoire.De ce que j’ai pu constaté je recommande leurs services ! Ils ont travaillé pour s’adapter à la vision de Katia Banel pour élaborer un contenant luxueux et de qualité.
Katia Banel voulait surtout comme elle l’explique, des produits luxueux à la hauteur des « afros canadiens et canadiennes » qui n’en avaient pas. Des choix d’huiles longuement travaillé et choisi, elle nous promet une entreprise transparente. Cela rejoint leur mot d’ordre « Montrez votre plus beau profil l’esprit tranquille ». Alors avec Sonel Cosmétique, nous saurons toujours ce que nous utilisons sans peur de l’inconnu.
Pour le moment vous trouverez un baume à cheveux, un baume à lèvre et une crème à main. D’autres produits sortiront en Avril, notamment une crème pour le visage que je suis impatiente de tester afin de pouvoir vous donner un avis plus objectif de ses produits en ce qui me concerne.
Cet article a été rédigé par Myriam Andree Diakite
Bio de Myriam :je suis étudiante en droit et une aspirante styliste/designer. Je suis une rêveuse, je pense que tout est possible dans la vie et j’aime imaginer et créer. Fondatrice www.laperledanslhuitre.com
Prenez un monde en pleine ébullition créative, une jeunesse venue des quatre coins de la planète, un soupçon de sens critique, un zeste d’ambition et deux jeunes femmes dynamiques. Vous obtenez un cocktail pétillant: émission GENERATION C.U.P (Connectée, Urbaine, Pop). Une émission destinée à ceux qui, chaque jour, font du monde le terrain de leurs aspirations.
Florelle Manda et Malika Jean-François, tandem aux dreadlocks colorées, femmes de médias et de communication, sont aux commandes de ce nouveau programme présenté par Florelle Manda et diffusé sur BBLACK CARIBBEAN (Antilles-Guyane et Réunion), BBLACK CLASSIK (France) & BBLACK AFRICA (45 pays d’Afrique).
La GENERATION C.U.P le nouveau divertissement des jeunes
Le programme GENERATION C.U.P, c’est le divertissement d’une jeunesse en phase avec son temps, ultra connectée qui vit à l’heure des réseaux sociaux et des nouvelles technologies, ouverte sur le monde grâce à instagram, twitter, facebook, periscope et snapchat. De cette jeunesse qui observe, critique, commente, entreprend, rêve. De cette jeunesse mixte aux origines diverses, qui se revendique, s’assume et s’amuse. Une pastille de 6 minutes, smart et fun, pour une immersion au cœur de parcours divers d’hommes et femmes talentueux, qui font l’actualité. 360 secondes de rencontre avec ces acteurs anonymes ou célèbres, qui partagent avec nous leur expérience, leurs motivations et leurs succès. A travers ce court portrait, c’est aussi un carnet de voyage que nous proposons en découvrant à chaque épisode un nouveau pays et des éléments de sa culture en partenariat avec la compagnie aérienne ECair et l’opérateur téléphonique Lebara Mobile.
Le programme qui fait parler le net !
L’émission GENERATION C.U.P a créé sa communauté depuis sa diffusion le 23 janvier sur les chaînes BBLACK grâce à ses réseaux sociaux. Toujours dans cet effort de proximité avec le public, nous réalisons pour chaque épisode des vidéos bonus exclusivement diffusées sur le web, dans lesquelles on retrouvera des notes d’humeurs et des anecdotes drôles, parfois émouvantes, qui montrent un côté différent de l’invité. Le public devient notre compagnon de voyage grâce aux réseaux où il peut aussi profiter du séjour en direct. Et c’est réussi ! L’émission est de plus en plus populaire et bat ses records d’audience à chaque épisode : plus de 30 000 vues pour la dernière édition spéciale Journée de la femme.
S’évader en 6 minutes dans les pays d’Afrique et dans la Caraïbe
Le programme GENERATION C.U.P est une fenêtre ouverte sur l’Afrique et la Caraïbe qui met en valeur les possibilités d’entreprenariat offertes par les pays émergents auxquels on ne pense pas forcément. En clair : le monde ne s’arrête pas à l’Europe et aux Etats-Unis ! De Paris à Dakar, en passant par Pointe-Noire, nous avons reçu à ce jour l’humoriste Noom Diawara, l’influenceur du net WILLAX, la chanteuse Stony, la journaliste Juliette Fievet et bien d’autres sont à venir.
La GENERATION C.U.P est en marche, ne loupez pas ça !
Retour sur le quatrième match de l’Impact de Montréal contre les Sounders de Seattle qui s’est terminé par la marque de 1-0 en faveur des verts. De plus, nous discutons ‘El clasico’ où Fred a fait des sous et Alek a eu de la peine.
L’ Impact de Montréal perd contre les Sounders sur le plus petit des scores.
L’histoire se répète pour l’ Impact de Montréal qui a encaissé en but en fin de rencontre pour s’incliner 1-0 sur la “pelouse” des Sounders de Seattle. Clint Dempsey profite d’une sortie hasardeuse d’Evan Bush pour plomber la fin de soirée montréalaise. L’ Impact de Montréal perd vu par les partisans sur le hashtag #TropDePoutine.
Je vous l’annonce d’entrée de jeu, je crois que le Canada ne sera pas de la prochaine coupe du monde de soccer encore une fois ! Non seulement ça, mais encore une fois, l’unifolié ne sera même pas du groupe de final de 6 de la Concacaf, qui est selon moi le seuil de l’acceptable. Laissez-moi vous expliquer brièvement comment les qualifications fonctionnent.
Actuellement, nous sommes à l’avant-dernier tour de qualification pour la coupe du monde 2018 en Russie dans la zone Concacaf. Il ne reste que 12 équipes et il n’en restera que 6 pour le dernier tour. Il y a donc actuellement 3 groupes de 4 équipes, chacune des équipes s’affronte 2 fois et les 2 premiers de chaque groupe accèdent au dernier tour, communément appelé le « final 6 ». Il faut dire que dans la zone Concacaf, il y a les 3 puissances que sont les États-Unis, le Mexique et le Costa Rica, mais derrière eux, la voie est ouverte ! Il y a donc 3 places « prenables » dans ce dernier 6 où tout peut arriver. Ces places sont ordinairement prises par des équipes que le Canada devrait normalement accoter. On parle du Honduras, du Guatémala, Trinité et Tobago, Jamaïque ou Panama, entre autres.
Le Canada est donc actuellement dans un groupe avec le Mexique, le Honduras et l’El Salvador. Ils ont bien ouvert le tournoi en battant le Honduras à la maison et en allant chercher un précieux point au Salvador. Mais mardi, les hommes de Benito Floro ont encaissé une 2e défaite d’affilée aux mains des Mexicains, et ce, sans jamais avoir même passé près d’être dans le coup. Défaite de 3-0 vendredi à Vancouver et défaite de 2-0 mardi à Mexico. La lourde défaite à domicile contre le Mexique pourrait faire très mal au final. Actuellement, le Canada est à 4 points, à égalité avec le Honduras, qui sont devants vu les buts pour et buts contre (-1 contre -4).
Il reste au Canada à jouer contre le Honduras chez eux et l’El Salvador à domicile. Les Honduriens eux reçoivent donc le Canada avant d’affronter le Mexique au Azteca en fin de tournoi. Il faudra sans doute encore que les Canadiens décrochent un résultat au Honduras, comme il y a 4 ans. On se rappellera que dans une situation très semblable, nos représentants avaient été détruits 8-0 par ce même Honduras dans ce même stade. Toujours est-il qu’avec un simple nul, les rouges seraient en très bonne posture, à égalité avec le Honduras après 5 matchs, mais avec un match à domicile à jouer contre le Salvador pendant que les Mexicains seront au Mexique dans l’enfer !
Mais soyons réaliste, de la façon dont joue notre équipe nationale actuellement, ils iront sans doute se casser les dents au Honduras et hop, le parcours sera encore une fois terminé bien trop tôt !
Cet article a été rédigé par Borat Simoneau
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C’est la 4e semaine de compétition dans la Major League Soccer.
Bradley Wright-Phillips va débloquer le compteur : cote 2.25
Voici une côte extrêmement intéressante. En effet, Bradley Wright-Phillips, l’attaquant de pointe de l’équipe de NY Red Bull n’a toujours pas trouvé le chemin des filets depuis 3 matchs. Il est le seul attaquant de pointe des « grosses » écuries à ne pas avoir marqué en ce début de championnat. Alors même si son équipe a été en difficulté lors des 3 premiers matchs il se doit de réagir et il ne fait aucun doute qu’il marquera contre New England ce week-end.
Giovinco va faire mal au Colorado Rapids : cote 2.25
Cela ne lui arrive pas souvent, mais Sebastian Giovinco a été muet la semaine passée sur le terrain de Kansas City, car la défense du Sporting fut excellente. Nous connaissons tous Giovinco et nous pouvons parier que le fait de ne pas marquer le ronge de l’intérieur alors malheureusement pour le Rapids du Colorado Giovinco va faire parler la poudre ce week-end.
L’Impact de Montréal doit réagir : cote 3.50
Battu il y a 15 jours sur la pelouse de Dallas le Bleu et Noir doit de suite montrer que cela n’était qu’un accident. Quoi de mieux pour cela qu’un déplacement chez le dernier de la classe Le Seattle de Dempsey qui compte 3 défaites en autant de matchs. Seattle souffre vraiment du départ d’Obafémi Martins et le seul Dempsey ne peut pas tout faire tout seul. L’impact va imposer son rythme et son collectif pour aller une victoire à l’extérieur.
Kansas City en patron : cote 1.70
Cette année encore le Sporting Kansas City à l’air très costaud. On dirait même que cette à le même profil que celle qui avait remporté le titre en 2013. La dernière victoire face à Toronto en infériorité numérique a montré le caractère de cette équipe je ne vois donc pas le Kansas City flancher contre le Réal Salt Lake. Faisons confiance à Suzi et Dywer pour laisser le Sporting au sommet de la conférence Ouest en enchaînant un 4 succès en 4 matchs.
L’informatique est au 21e siècle ce que l’électricité était au 20e siècle: un outil indispensable pour le développement des sociétés. Depuis 1 an, la web-série African Geek réinvente avec humour l’univers d’une jeunesse africaine pleine d’ambition.
Ce vendredi 4 mars, Totem TV, en partenariat avec Objis TV et Dycosh TV, dévoilera un nouvel épisode de la série avec cette fois le secteur de la santé au cœur de l’intrigue. Certainement un des épisodes les plus délirants, “Le Marabout connecté” est en fait un hommage au brillant Arthur Zang, créateur à 26 ans, du Cardiopad, cette tablette tactile médicale permettant aux populations éloignées des centres de soins de passer un examen cardiaque. Diminuant ainsi le taux de mortalité des maladies cardio-vasculaires.
African Geek est la 1ere web-série produite entre l’Europe et l’Afrique. Cela a été possible grâce à l’équipe de Totem Experience Agency présente sur les 2 continents et dans 4 pays (France, Bénin, Congo, Côte d’Ivoire)
Co-produite par le centre de formation en informatique Objis présent dans plusieurs pays du continents, la web-série entend “inciter la jeunesse africaine à devenir actrice de la transformation digitale du continent”. C’est le message de Douglas Mbiandou, son président camerounais qui a pour ambition de “former 10 000 informaticiens en 10 ans”.
Après le Congo, le Sénégal et la Côte d’ivoire, c’est désormais le Cameroun qui a accueilli le un centre de formation Objis. L’épisode “Le Marabout connecté” y sera d’ailleurs projeté en avant 1ere ce jeudi 3 mars lors d’une soirée spéciale #AfricanGeek en présence du Président du groupe Objis: Douglas Mbiandou.
A (Re)voir ci-dessous: les 5 premiers épisodes de la web-série. Le point commun entre tous ces épisodes? Le talentueux Dycosh. Comédien révélé par le web et désormais sensation internationale avec son concept de l’équilibre et ses chroniques sur France Télévision.
Jack Stern rejoint le panel Kan Football Club. Au programme du podcast on retrouve son parcours de West Bromwich Albion à l’Impact de Montréal, un quizz sur les gardiens, et un topo culture foot sur le légendaire Cruyff. Et comme toujours, on vous présente une chronique de paris Mise-o-Jeu.
Kan Football Club, le magazine sportif québécois qui diffuse des nouvelles du monde du soccer MLS de l’Impact de Montreal et de la planète foot. Envie de participer à la belle aventure du Kan FC ? Envoyez vos contributions sur l’actualité sportive, sous forme d’articles, d’audios ou de vidéos à kanfc@afrokanlife.com Les meilleures d’entre elles seront relayées sur nos plateformes. Kan FC c’est une alternative à la couverture traditionnelle, c’est votre alternative foot !
Vendredi 18 mars, Dabin, Apashe et BTSM (Black Tiger Sex Machine) nous ont entrainés dans une danse frénétique rythmée par des sons magnétiques. Récit d’une soirée mouvementé.
Dabin a commencé aux alentours de 9h30 dans une ambiance étonnamment douce. C’est ainsi dans un climat envoûtant que le public a laissé son corps osciller en un unique mouvement de gauche à droit, comme porté par le courant de vagues de vibrations. L’ambiance a radicalement changé à l’arrivée d’Apashe, réveillant la foule de sa transe harmonieuse. Ce DJ est effectivement très apprécié de la scène montréalaise, ayant implanté ses racines dans cette ville depuis bien longtemps. Toujours aussi accueillante, l’assemblée de danseur s’est démembrée sous sa musique où trap, dubstep, basses et rythmes fougueux se menaient une rude bataille. Enfin, les trois membres de BTSM ont fini par arriver, cachés derrière leur masque. Dans le cadre de leur tournée « Church Tour », ils ont enflammé la salle, continuant dans le même style qu’Apashe. Des musiques puissantes et d’une violence curieusement agréable ont une nouvelle fois laissé la foule se déchaîner dans une ambiance humide et souriante.
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Cet article a été rédigé par Salomé Grouard, étudiante à McGill University, passionnée du monde et de l’humain. Cherche à propager la culture et la bonne humeur par l’écriture et la photo.
Entreprise et innovation sociale, cette formule en apparence contradictoire est le thème du dernier livre d’ Olivier Kayser, fondateur et le directeur exécutif d’Hystra, une société de conseil spécialisée dans les stratégies hybrides et de Valeria Budinich, membre du groupe Leadership d’Ashoka.
Pour répondre à cette question les deux auteurs présentent dans Changer d’échelle: L’entreprise au service de l’innovation sociale une série d’études de cas dans des secteurs comme l’accès à l’eau potable, les services financiers ou encore le logement.
On y apprend que depuis le milieu des années 1990, une révolution silencieuse est en cours, initiée par des entrepreneurs sociaux, visionnaires pragmatiques qui bousculent les conventions du monde des affaires comme du monde associatif. Pour donner à ces idées l’ampleur qu’elles méritent et surtout donner aux lecteurs des raisons d’espérer un monde plus juste, les auteurs ont fait la démonstration par l’exemple de la possibilité de résoudre des problèmes sociaux à travers des approches de marché.
Pourquoi vous adressez aux entreprises et non à d’autres acteurs pour le développement de l’innovation sociale ?
Nous ne nous adressons pas uniquement aux entreprises, mais à tous les types d’acteurs économiques et sociaux, de l’ONG au gouvernement en passant par l’entrepreneur, car nous pensons que chacun peut participer à l’innovation sociale. Cependant la démocratisation de cette innovation sociale, ce fameux « changement d’échelle », passe selon nous par une approche de marché. L’ampleur des problèmes auxquels le monde est confronté nécessite des ressources financières qui dépassent les capacités des seuls contribuables et philanthropes, et ne peuvent être réunies que par des approches de marché économiquement viables. Et tout type d’organisation, pas seulement l’entreprise, peut adopter ce type d’approche. Une approche économiquement viable permet d’éviter la dépendance à des ressources philanthropiques ou publiques limitées et ainsi apporter une réelle solution de long terme.
Comment avez-vous choisi les études de cas présentées ? Parlez-nous de votre processus.
Nous avons personnellement rencontré ou interviewé chacun des entrepreneurs ou entreprises exposés dans cet ouvrage. Nous en avons accompagné certains dans le développement de leur offre de produits ou de services et en avons rencontrés d’autres dans le cadre de nos rapports sectoriels, qui sont destinés à dresser un bilan d’un secteur particulier et d’en identifier les meilleures pratiques. Ceux-ci ont été sélectionnés puisqu’ils présentaient, dans leur secteur, des pratiques exemplaires, et/ou parce qu’ils avaient atteint une taille critique démontrant la viabilité de leur modèle. Précisons que ces « secteurs » établis par nos soins répondent aux problématiques majeures des populations les plus démunies : cuire son repas, s’éclairer, se loger, boire, aller aux toilettes, gérer son argent, vivre de sa terre…
Y’a t-il un cas particulier que vous souhaiteriez brièvement présenter à nos lecteurs ?
Chaque cas étudié nous a fascinés et il nous est difficile d’en mettre un particulièrement en avant. Nous avons cependant choisi de vous présenter brièvement l’exemple de Toyola, PME ghanéenne s’attaquant au problème de la cuisine pour les familles les plus pauvres. Celles-ci, par faute d’offre adaptée, cuisinent le plus souvent sur des « feux ouverts », nécessitant de grandes quantités de combustible et émettant des fumées toxiques à l’intérieur des foyers. En proposant leur « four amélioré », Toyola a innové dans trois domaines :
— Technologique : leur four réduit de 40 % la consommation de carburant et de plus de 90 % les émissions de gaz toxiques ;
— Production : l’entreprise a développé un réseau d’artisans locaux qu’ils forment à fabriquer leur modèle de four, conservant seulement en interne la production du filtre en céramique, pièce centrale du produit ;
— Marketing : la « Toyola Box » est un système de paiement flexible. Le vendeur confie un four et une Box (simple boîte en fer blanc) au client, en lui donnant comme instruction de placer dans celle-ci les économies journalières réalisées sur la consommation de combustible (40 % d’économie). Lorsque le vendeur revient trois mois plus tard, l’argent économisé dans la Box permet de payer le four. Cette solution de paiement met en avant les économies réalisées et convainc jusqu’aux plus réticents, rassurés de pouvoir tester le produit avant de le payer. Bien que 10 % plus chers, 90 % des fours sont désormais vendus à l’aide de cette solution.
Quels types de changements souhaiteriez que votre livre enclenche suite à sa lecture ?
Les effets escomptés dépendent du type de lecteur. Lu par un chef d’entreprise, nous espérons que ce livre lui fera prendre conscience des bénéfices tant financiers que sociaux du business inclusif et lui donnera les clés nécessaires pour orienter son entreprise vers ces nouveaux marchés. Lu par un membre du gouvernement, nous espérons que celui-ci cherchera à rendre les lois et règlements en vigueurs plus adaptés au business inclusif. Lu par un président d’ONG, nous espérons que celui-ci prendra conscience des nouvelles méthodes d’impact social qui s’offrent à lui et qu’il adaptera la stratégie de son organisation en conséquence. Chacun, selon sa position dans la société, a un rôle à jouer. C’est d’ailleurs pour accompagner chacun dans cette démarche participative que nous avons conclu notre livre sur une série de lettres s’adressant à chaque type d’individu, du patron d’un fond d’investissement à l’étudiant en passant par le « simple » citoyen.
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Avec 3 victoires en 4 matchs, le FC Dallas démontre que la lourde défaite face au Houston Dynamo était un accident de parcours. Les texans se retrouvent en deuxième place du classement de l’Ouest après une victoire 3-0 face à DC United.
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L’objectif de cette jeune structure est d’accompagner les Africains de la diaspora dans leurs projets d’investissement dans le continent. Notre rencontre avec Steve Nicoué Kotey, un des deux fondateurs avec Brice Bredji, de l’entreprise Kodji Agency pour une interview.
Salut Steve, peux-tu brièvement nous présenter les services que propose ton agence ?
L’agence propose aux particuliers et aux associations de la diaspora africaine une assistance personnalisée et locale pour tous leurs besoins personnels, leurs projets immobiliers, touristiques, associatifs ou de création d’activités. Nous répondons aux besoins de conseil et d’assistance pour l’étude et la mise en place de leurs projets.
Les problématiques auxquelles une grande majorité de la diaspora africaine fait face restent les mêmes. Nous proposons donc des solutions d’accompagnement et de suivi de projets à cette diaspora africaine.
Je constate que le champ d’applications est plutôt large, intègres-tu une gestion de projets clés en main ?
KODJI Agency intègre une gestion de projets clés en main qu’il s’agisse : de l’étude de faisabilité, ou d’opportunité, le Business Plan, la mise en place et la phase communication nous répondons selon les demandes de nos porteurs de projet.
Nous disons que le seul effort que doit avoir à faire le porteur de projet est de remplir notre formulaire de présentation de son projet.
Qui est ta clientèle actuelle ? Et globalement quelle est ta cible à long terme ?
La clientèle actuelle est des particuliers de la diaspora africaine en France, Belgique, Suisse ou encore au Canada. Nous avons aussi de plus en plus de sollicitations d’assistance de projets pour des particuliers résidents dans les pays africains (Sénégal, Maroc ou Cameroun). À long terme, en plus d’avoir une présence dans plus de pays africains, nous envisageons de proposer des services aux entreprises et collectivités publiques.
Quels sont les pays d’Afrique couverts par ton entreprise ?
Actuellement, nous accompagnons les porteurs de projets qui nous sollicitent dans 3 pays : la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Togo.
Pourquoi ces pays ? Parce que ce sont nos pays d’origine donc que nous connaissions le mieux.
En choisissant ce domaine d’activité, je pense que vous répondez parfaitement à une demande grandissante, mais le défi est de taille, car il est connu que travailler avec l’Afrique peut s’avérer être extrêmement décourageant en raison des nombreux problèmes de corruption et de politique, ainsi quelle est la véritable valeur ajoutée de votre entreprise ?
Le conseil et notre connaissance du terrain. Avant chaque démarrage de projet, nous prenons le temps de discuter longuement avec le porteur de projet afin de lui expliquer les forces et faiblesses de son idée en fonction des conditions et du pays dans lequel il souhaite le mettre en œuvre. Certains projets peuvent effectivement être grandement ralentis par les problèmes de corruption ou de politique. Mais ce ne sont pas des blocages insurmontables ou inhérents à l’Afrique. Notre agence se base sur un réseau d’informateurs locaux qui vivent l’Afrique au quotidien et qui, par ce fait, constituent notre principale valeur ajoutée : le conseil argumenté par l’expérience du terrain.
Toutefois, même si le défi est effectivement de taille, nous nous sommes donné les moyens de convaincre notre clientèle que l’avenir de l’Afrique passe aussi par le fait de relever des challenges.
En tant que client, quelles sont les garanties que vous m’offrez ? Comment vous faire pleinement confiance ?
Lors du démarrage de chaque projet, nous indiquons à nos porteurs de projet, avant toute proposition de devis, des indications sur la forme que l’accompagnement prendra ainsi que les points-clés de pertinence de son projet. C’est souvent, à ce moment-là, que la confiance se crée, car les porteurs de projets ressentent notre sérieux dans la finesse de nos premiers conseils.
Nous proposons des services innovants et sans aucun semblable sur le marché ; nous pouvons donc comprendre que certaines personnes soient perplexes ou suspicieuses. Toutefois, plusieurs points doivent être retenus : nous sommes une entreprise enregistrée officiellement au registre du commerce, nous avons des agences physiques où chacun peut se rendre, nous avons été mis en lumière par plusieurs médias reconnus (NOFI, Inspire Afrika, Le Point Afrique, etc.), nos partenaires locaux peuvent certifier du travail que nous faisons avec eux et enfin nous sommes joignables à tout moment via nos contacts. Et si tout ceci ne suffit pas à vous rassurer, sachez que nous célébrerons bientôt notre 30e projet accompagné. En un peu plus d’un an, des personnes d’origine et aux projets divers nous ont accordé leur confiance et en sont satisfaites. N’est-ce pas une raison supplémentaire de nous faire confiance ?
Il n’y a malheureusement pas que des personnes honnêtes dans nos familles. Pour éviter les abus de confiance et les conflits à venir mieux vaut sécuriser ses actions à travers un intermédiaire juridiquement responsables. Les services proposés sont nouveaux et sans aucun semblable sur le marché actuel. Notre réseau de partenaires locaux est notre principale force. Nous avons une connaissance du terrain qui est basée sur un réseau de contacts acquis et de partenaires diversifiés. C’est la raison pour laquelle nous précisons souvent que notre plus grand avantage concurrentiel est notre réseau de partenaires et d’informations dans nos pays de présence. Sans oublier nos compétences et diverses expériences à l’internationale.
Les gens ont des projets, des idées, ils veulent investir dans leurs pays d’origines ou d’accueil. Mais il faut encore du temps pour qu’ils comprennent qu’il ne suffit pas d’avoir l’idée ou le capital et se lancer. Il y a une grande partie très importante finalement la préparation avant la création ou du lancement. Le choix, du lieu d’implantation son aménagement, les démarches administratives, les risques et pièges la cible clientèle les concurrents, etc.
J’imagine que tu pilotes depuis la France toutes ces études de faisabilité et leur mise en œuvre, comment sélectionnes-tu les intermédiaires qui sont sur place ?
Kodji Agency est pour nous un moyen d’une part de faire un lien entre deux territoires qui nous ont vus évoluer et d’autre part de répondre, grâce à notre double culture, notre savoir et nos expériences, plus efficacement à des besoins longtemps sous-estimés. Depuis la France, nous avons surtout un rôle de coordinateur et assurons principalement la communication autour de nos services. Nos collaborateurs au sein de l’agence ainsi que les agents de terrain sont les principaux acteurs de la gestion des projets. Je peux citer par exemple Guy-Cédric Konan, Rebecca Bredji ou encore Anselme Anago qui font un excellent travail d’accompagnement. Nous sommes présents avec nos chargés de projets et agents de terrain qui ont maintenant l’expérience nous arrivons à répondre a nos porteurs de projet en Franc. Pour nos collaborateurs et intermédiaires, nous considérons que l’innovation est un accélérateur de notre développement. Nous la promouvons au travers des projets, que nos accompagnons. Nos intermédiaires ou sous-traitants ont donc l’obligation de respect de notre cahier des charges.
Quelle est la motivation principale qui t’a poussé à te lancer dans ce projet ?
En effet, appartenant mon associé et moi à une diaspora ayant évolué en France, les besoins révélés lors des enquêtes ont d’abord été des besoins pour lesquels nous-mêmes on avait recherché des solutions sans pouvoir trouver de réponse satisfaisante parmi l’offre proposée sur le marché. C’est de ce constat qu’une opportunité de marché a été soupçonnée. Nous étions en 2011 et ce fut les bases de ce qui deviendra plus tard Kodji Agency. Nous étions aussi très présents et bénévoles sur les projets associatifs en France en direction de l’Afrique : nos missions nous conduisaient tantôt à assister le maître d’ouvrage, tantôt à être maître d’œuvre aussi bien sur la partie proposition programme que sur le suivi du projet. C’est d’ailleurs dans le milieu associatif que Brice et moi nous sommes connus. Nos services offrent ainsi l’opportunité aux personnes de la diaspora d’aider plus efficacement leur famille, de mieux organiser et suivre leurs projets et ainsi mieux gérer leur budget ou épargne personnelle destinée à leurs interactions avec le Continent.
Peux-tu nous résumer ton parcours professionnel en quelques mots ?
Je suis Architecte diplômé d’État actuellement en formation pour avoir mon Habilitation à la maîtrise d’œuvre en mon nom propre en un mot (pour m’inscrire à l’ordre des architectes en France) à l’École Nationale d’Architecture de Grenoble. J’ai aussi un Master 2 en Management de l’innovation à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de Grenoble.
Quelle est la plus belle réussite que Kodji Agency ait réalisé jusqu’ici ?
Je trouve formidable, et je constate qu’il y a encore des femmes et des hommes de la diaspora qui en plus de leurs charges professionnelles et leur vie privée trouvent encore du temps à consacrer à la préparation de leur projet personnel pour le continent.
Peux-tu nous donner le détail de ta boîte (taille, compétences en interne, localisation) ?
Nous sommes une petite équipe de 6 personnes permanentes. Les deux cofondateurs : Bredji Brice Chef de projet Entrepreneuriat/Association moi-même Chargé de clientèle — Europe Chef de projets immobiliers. Ensuite quatre chargés de projet aux profils différents qui gèrent les projets sous la supervision des cofondateurs. Et les agents terrain qui sont mobilisés en fonction des projets pour la collecte des projets ou des enquêtes de terrain.
Et sinon, ça marche bien les affaires pour vous ?
Nous avons officiellement démarré en mars 2015. Nous aurons un bilan de notre première année d’activité bientôt. Il nous faut encore du temps pour rassurer nos compatriotes de la diaspora.
D’autres projets de prévus ?
L’ouverture d’agence physique au TOGO, au Cameroun
Que dirais-tu aux membres de notre Kan Family qui seraient intéressés par un projet en Afrique ?
Vous aviez l’excuse que nous n’existions pas. Maintenant, nous sommes là. Maintenant, vous pouvez avoir toutes les informations pour démarrer ou gérer votre projet à distance. Des professionnels à vos côtés pour accompagner vos projets. Des services innovants à des prix accessibles qui répondent enfin à votre besoin de confiance. Testez et vous verrez l’efficacité du réseau Kodji.
A plus !