Un but d’Ignacio Piatti aura suffi à l’Impact samedi dans un gain de 1-0 face au Revolution de la Nouvelle-Angleterre et cette victoire a assuré la participation de l’Impact au tournoi de fin de saison pour une deuxième fois depuis ses débuts en MLS en 2012.
L’Impact (14-13-6) ne peut plus être rattrapé par l’Orlando City SC et il a du même coup doublé le Revolution (13-12-8) au cinquième rang de l’Association Est.
L’Impact est présentement au 4e rang de l’Association Est, mais peut encore terminer au second échelon du classement. Si l’Impact termine deuxième, l’Impact aura un laissez-passer directement pour la demi-finale de l’Association Est. Si l’équipe conclut la saison troisième ou quatrième, il y aura un match de barrage au Stade Saputo le mercredi 28 octobre ou le jeudi 29 octobre. Enfin, si l’Impact termine cinquième ou sixième, ce match de barrage sera disputé sur la route.
Piatti a marqué l’unique but de la rencontre à la 55e minute, en décochant un tir de loin qui est passé par-dessus la tête du gardien Bobby Shuttleworth. Il s’agissait pour le milieu de terrain argentin d’un neuvième but cette saison, ce qui le place à égalité avec Drogba au premier rang chez l’Impact cette saison.
Pas toujours facile de rester productif sur son lieu de travail. Des collègues en passant par les clients ou par un appel téléphonique, les moyens ne manquent pas pour se déconcentrer au bureau. C’est souvent les gens et les outils qui sont censés nous aider qui, au contraire, nous écartent le plus de notre tâche.
Jen Lawrence est une ancienne consultante financière qui maintenant aide les compagnies a développer une nouvelle manière de penser et d’amélioré l’engagement des employés. Elle est l’auteur du livre Engage the Fox : A Business Fable About Thinking Critically and Motivating Your Teamet écrit a propos des femmes et des perspectives de carrières pour The Huffington Post. Voici ses conseils pour éviter les distractions au travail :
1) Créer une liste de tâches à faire réaliste.
Des listes de tâches à faire de 15 pages sont tout simplement décourageantes. Chaque jour, faites une liste de tâches réalisables, et assurez-vous de les accomplir. En éliminant les tâches une par une, vous avez plus de chances d’être productif.
2) Éteignez votre téléphone.
Aujourd’hui, avec les nouvelles montres intelligentes, vous portez des distractions au bout du poignet. Assurez-vous de mettre veille votre téléphone, pour que toutes notifications de courriels, de texte ou de nouvelles ne vous empêchent pas de vous concentrer.
3) Pensez 40:15 : 5.
Vous avancerez à grands pas dans votre travail, si vous parvenez à utiliser votre temps efficacement. Organisez-vous de telle sorte que vous pouvez placer des blocs de une heure de temps de travail efficace. Dans les 40 premières minutes de l’heure, travaillez sans relâche, plongez-vous entièrement dans votre tâche. Puis, prenez 15 minutes pour regarder vos messages et courriels, ensuite relaxez pendant 5 minutes, marchez, étirez-vous, ou engagez une conversation avec un collègue, pour vous récompenser.
4) Montrez-vous indisponible.
Quand vous travaillez, indiquez clairement que vous ne voulez pas être dérangé. Si vous avez un bureau, fermez la porte ou tentez de travailler dans une salle de réunion. Si vous travaillez dans un environnement ouvert, mettre des écouteurs est un bon moyen de signaler que vous êtes occupé.
5)Ayez des heures de bureau.
Avoir une plage horaire, chaque jour, dans laquelle on peut vous joindre. Ainsi les gens auront tendance à attendre ce moment précis lorsqu’ils ont à vous voir. Laissez une place pour tout le monde, et tout le monde vous laissera en paix.
Ce sont des recommandations d’un expert pour éviter la déconcentration au travail. Et vous, comment évitez-vous les distractions au travail ? Partagez votre opinion et laissez un commentaire.
La designer ivoirienne Loza Maléombho nous dévoile sa nouvelle collection d’été 2016 à travers un visuel atypique et très inspirant.
Comparativement à ses précédentes réalisations, cette collection comporte des silhouettes un peu plus féminines. La designer Loza Maléombho s’est inspiré des danses traditionnelles de l’ethnie Gouro, une tribu du centre-ouest de Côte d’Ivoire, pour nous offrir une ligne très colorée, comportant des pièces originalement découpées. Le tout est parfaitement harmonisé afin de créer des looks hors du commun, comme elle en a si bien le secret.
Pour en savoir plus sur les activités de cette femme inspirante, et rentrer dans son univers particulier, nous vous invitons à parcourir son site internet « www.lozamaleombho.com » et la suivre sur ses différents réseaux sociaux. Faites-nous savoir vos impressions par rapport à la collection. Quelle est la pièce qui vous attire le plus et pourquoi ?
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Ce post a été écrit par Christian Atanga du blog mydaytodayinspiration
Top11.fr vous propose de revenir régulièrement sur l’actu et les tendances de la culture foot au travers de petits débats vidéo. Le débat du jour porte sur Hatem Ben Arfa et le niveau de la Ligue 1.
Après neuf journées le milieu niçois Hatem Ben Arfa est co-meilleur buteur du championnat. Les meilleurs stats offensives de notre championnat ! Rien que ça. Malgré une année sans club et une fin de saison chaotique avec Hull City il affiche une aisance technique incroyable ! Tout comme Lassana Diarra, leurs niveaux de jeu est alarmant pour le niveau global de la Ligue 1.
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Le nouveau son “Coller la petite” de l’artiste Franko qui cumule plus de 600 000 vues en un mois !
“Récupère la petite ! Embrouille la petite ! Angoisse la petite et maintenant coller la petite !” Voilà comment le magazine camerounais Je Wanda résume le buzz qui enjaille le Cameroun
Un son ambiancé qui n’a pas échappé aux Afro de l’Impact ! Didier Drogba et Ambroise Oyongo ont lancé une session de danse dans les vestiaires du club de soccer montréalais. L’occasion pour les jeunes de l’Académie de Montréal de prouver qu’ils ont du feu dans les jambes. ‘Les petits bamboulas sont toujours prêts à danser’. Jugez plutôt.
Le 23 octobre, Montréal accueille le Canada NBA Series au Centre Bell. Si tu hésites encore à participer, voici 10 raisons qui pourraient influencer ton choix.
10Une fois dans l’année
Occasion rare, mais bien réelle, car la NBA s’invite une quatrième fois à Montréal ! Pas question de manquer ce rendez-vous devenu pour la communauté montréalaise incontournable.
En quatre ans, le Centre Bell a vu défilé dans sa salle :
le 19 octobre 2012 New York Knicks et Toronto Raptors
le 20 octobre 2013 Minnesota Timberwolves et Boston Celtics
le 24 octobre 2014 New York Knicks et Toronto Raptors
9Pour l’ambiance
On aime l’ambiance des rencontres sportives, mais surtout celle de la NBA. Danseuses professionnelles, battle des mascottes et animation du public… Tous les éléments sont présents pour passer une belle soirée rythmée.
8Opportunité de voir du basket à la maison
Montréal est connue pour être une ville Pro Hockey. Lors de la saison des Canadiens, tous les écrans sont branchés pour sur la LNH. Donc c’est l’opportunité de profiter du Centre Bell avant que le hockey engloutisse toute la ville.
7Soutenir nos voisins
Habituellement, adversaires dans chaque sport comme le hockey, le soccer ou dans le passé le baseball (Expo vs Blue Jays), on ne peut s’empêcher de rêver d’une équipe NBA à Montréal à travers Toronto. Lors des playoffs 2014, de nombreux Montréalais ont parcouru six heures de route pour soutenir les Raptors.
6Pour la performance de John Wall
John Wall a porté son équipe jusqu’en demi-finale de la conférence Est au cours des playoffs. Malgré la défaite du collectif face aux Hawks (4-2), la grande star des Wizards ne compte pas ménager ses efforts pour la prochaine saison, car le meneur déclare lors d’une entrevue avec le Washington Post que son objectif est de devenir le meilleur point guard.
5Pour contempler le jeu de Demar Derozan
Mettons entre parenthèses le malheureux épisode des playoffs (Toronto battu 4-0 par Washington). Les Raptors ont effectué une très belle saison régulière se positionnant en quatrième place au tableau de la Conférence Est, notamment avec Demar Derozan qui se démarque par son style de jeu.
4Car c’est au Centre Bell
Tout simplement !
3Le prix est abordable
Les prix varient de 20 $ à 511 $. Chacun y trouve son compte.
2Parce que c’est vendredi soir
C’est la fin de la semaine, rien de mieux de sortir entre amis ou famille pour assister à une rencontre de basketball.
1Pour espérer une franchise à Montréal
En attendant que Adam Silver se décide, on peut continuer de fantasmer un peu…
Cet article a été rédigé par Julie Boccovi.
Bio de Julie : Journaliste, spécialiste des sports et culture. Chroniqueuse de l’émission afroparade.
Après 9 saisons de misère, la franchise canadienne du Toronto FC atteint les séries éliminatoires de la Major League Soccer.
Une qualification largement attribuable au milieu de terrain offensif Sebastian Giovinco. Son dernier but “Messi-esque” est le symbole d’une saison prolifique pour le transfuge de la Juventus de Turin (21 buts et 15 passes avant le match vs Impact de Montréal). Le joueur de poche italien se faufile dans la défense du New York Red Bulls avec une facilité déconcertante. Dire que le matin même il était à Rome en compagnie de l’équipe nationale italienne dans le cadre des qualifications à l’Euro 2016. Quel homme !
Quel but de Giovinco propulsant Toronto FC en playoffs Major League Soccer (MLS) !! #TFCLive #8YearsLater #AtLast
Après être passé proche de cette fameuse qualification lors de la saison 2014-15, le président Tim Leiweke (Maple Leaf Sports & Entertainment) aux commandes du club de juin 2013 a réussi son tour de force. Après avoir redoré le blason des Raptors de Toronto (NBA), et en attendant l’émergence des Maple Leafs de Toronto (NHL), le patron du groupe MLSE peut ajouter une deuxième corde à son arc #WeTheNorth🇨🇦. Contrairement à Jermaine Defoe et Gilberto, les recrutements onéreux de Sebastian Giovinco et Jozy Altidore ont porté leurs fruits et la bande de Michael Bradley peut enfin savourer son ticket en playoffs. #AtLast
MLS – La saison MVP de Giovinco, une évidence ? (Via @julsoccer)
Les liens entre la culture entrepreneuriale et la propension à entreprendre ont été clairement établis par de nombreuses études menées à l’échelle mondiale. C’est dans cette foulée qu’est née une initiative de 6 millions de $ qui vise à donner un élan de plus à l’entrepreneuriat au Québec : la campagne de sensibilisation « Devenir entrepreneur » propulsée par la Caisse de dépôt et placement du Québec, le Mouvement Desjardins et la Banque Nationale lancent « Devenir entrepreneur ».
Les différents volets de l’initiative, qui seront déployés sur trois ans, contribueront à mettre en place les meilleures conditions pour inciter les jeunes et leur entourage à considérer le métier d’entrepreneur. La campagne intégrée se déclinera sur plusieurs canaux comme la télévision, les médias sociaux et une plateforme numérique. Elle met en lumière des entrepreneurs qui racontent le moment charnière, le grand déclic, où ils sont passés à l’action et ont lancé leur entreprise.
Le site devenirentrepreneur.com a été conçu dans le but de fournir les informations nécessaires à ceux qui envisagent d’entreprendre ou souhaitent en savoir plus sur le métier d’entrepreneur. Des entrepreneurs de toutes les régions, générations et secteurs d’activité ont contribué à son élaboration afin d’en faire une référence pratique et pertinente. Le site présente différents témoignages, fournit conseils et astuces et prévoit des séances de clavardage avec des entrepreneurs établis. Le site répertorie également les ressources disponibles et redirige l’entrepreneur vers celles qui sont les mieux adaptées à ses besoins.
Une initiative qui répond à des besoins concrets
« Au Québec, les entrepreneurs qui créent les petites et moyennes entreprises emploient près de 60% de la population active. L’entrepreneuriat est essentiel à notre croissance économique. Comment, dans ce contexte, favoriser la naissance de nouvelles entreprises? À notre avis, cela passe par une culture entrepreneuriale forte, parce que la culture est l’ADN de l’entrepreneuriat, c’est à la base de tout. C’est dans cet esprit qu’a été développée l’initiative Devenir entrepreneur : pour créer le déclic qui suscitera de nouvelles vocations entrepreneuriales », a indiqué Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse.
« La campagne Devenir entrepreneur arrive à point nommé, de souligner Monique F. Leroux, présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins. Au cours des 10 prochaines années, ce sont quelque 100 000 entreprises québécoises qui changeront de main. Or, seulement 19 % de notre population a l’intention de se lancer en affaires, contre 27 % pour le reste du Canada. Nous sommes donc à risque de perdre des fleurons et des emplois de qualité, notamment en région. C’est pourquoi Desjardins investit pour encourager l’entrepreneuriat chez les jeunes et pour accompagner les entrepreneurs dans le démarrage, la croissance ou le transfert de leur entreprise.»
« Une vague de transferts d’entreprises sans précédent s’amorce au Québec. Il faut s’assurer que la prochaine génération d’entrepreneurs soit prête pour prendre la relève. C’est notre culture de propriétaire qui en dépend, affirme Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale. Créée par des entrepreneurs il y a plus de 150 ans, la Banque Nationale s’est toujours distinguée par sa proximité avec la communauté d’affaires. Et par son engagement dans le développement économique et social. Il était donc tout naturel pour nous de prendre part à la campagne « Devenir entrepreneur », ajoute-t-il.
Une campagne intégrée pour rejoindre les Québécois
Afin de faciliter la réalisation d’activités pédagogiques à caractère entrepreneurial, le site donne aussi accès à une boîte à outils destinée aux enseignants des niveaux primaire et secondaire. La boîte à outils a été développée en collaboration avec près d’une vingtaine d’organismes œuvrant auprès des jeunes et du réseau scolaire québécois.
Les plus récentes données publiées par la Fondation de l’entrepreneurship démontrent que le dynamisme entrepreneurial a beaucoup progressé au Québec au cours des dernières années. Mais, malgré cette amélioration, la partie n’est pas gagnée. En matière de création de nouvelles entreprises, les Québécois accusent toujours un retard de près de 8 % par rapport au reste du Canada dans leurs intentions de se lancer en affaires. De plus, d’ici 2020, le Québec aura un manque à gagner de près de 38 000 entrepreneurs pour prendre la relève des entreprises déjà en activité.
D’autres volets de la campagne « Devenir entrepreneur » seront dévoilés au cours des prochains mois.
Se simplifier la vie en posant des gestes concrets. 5 habitudes pour vous rendre la vie plus facile des jeunes adultes.
Développez un rituel pour commencer la journée que vous ferez sans même y penser.
Il est difficile d’écrire un roman de 800 pages, mais c’est très simple décrire 10 phrases par jours, si cela est tellement ancré dans votre routine que cela devient automatique (et à cette vitesse, votre roman sera terminé en quelques mois). Vous pouvez développer des habitudes similaires pour la lecture, l’exercice, la méditation ou tout ce qu’il vous plaît. Ces routines ne vous compliqueront pas la vie, car elles ne requièrent aucun effort une fois qu’elles seront ancrées dans votre vie de tous les jours.
Évitez toutes les tâches que vous pensez être futiles.
Il m’est arrivé une fois d’être extrêmement anxieux à propos d’un rapport long et fastidieux dont je me demandais même si quiconque le lirait. J’ai reporté le travail à chaque occasion, si bien que le rapport a été rendu avec trois mois de retard. Morale de l’histoire : Personne ne l’a jamais su (le groupe de recherche était passé à autre chose), 50 heures de travail pour écrire ce rapport auraient été gâchées. Il est important de se poser et de tenter de déterminer ce qui importe vraiment.
Cela ne fonctionne pas pour tout, car la plupart des tâches au travail doivent être accomplies, mais sur le long terme cette stratégie est payante. Cela va aussi développer votre esprit critique, votre capacité à gérer la pression et votre temps.
Réduire vos moyens de communiquer.
Après avoir vérifié vos SMS, Whatsapp, messagerie vocale, vos courriels, Facebook, LinkedIn, Twitter, et ainsi de suite pour la troisième fois : votre journée est finie. Réduisez le nombre de médias sociaux et de moyens de communication que vous utilisez et redécouvrez les 24 heures de votre journée…
Ne cherchez pas à avoir un avis sur tout.
99 fois sur 100, notre avis sur une question est totalement inutile et n’a pas d’impact sur l’avenir de la planète. Cependant, on passe des tous des heures à s’arracher les cheveux (si on en a) sur des débats totalement hors de notre contrôle. Flash : Ce que vous pensez sur la formation de votre équipe favorite n’a pas d’influence sur le match. Flash : Votre opinion sur le mariage gai ne va pas changer la loi.
Nous économiserions beaucoup de temps et d’énergie si on se concentrait sur les sujets auquel nous avons le contrôle. Cela n’est pas un appel au moins de culture et d’information, mais plutôt une façon de souligner le fait que l’on passe plus de temps à défendre son opinion qu’à changer les choses.
N’oubliez pas que dans 200 ans, il est peu probable que l’on se souvienne de vous.
La plupart de nos frustrations et victoires quotidiennes ne comptent pas à la fin. Pourquoi passer ses journées à faire des choses qui vous rendent grognon ? Dans très peu de temps, vous ne serez plus là et tout cela n’aura plus d’importance. Ceci est un fait.
La culture Foot c’est l’affaire de passionnés qui mettent leur pierre à l’édifice d’un sport universel.
Alors que je mangeais un pizza-ghetti, plus de 10 ans depuis la dernière fois que j’ai goûté à cette délicatesse montréalaise, j’ai eu l’opportunité de parler à deux bâtisseurs de la culture foot et membres fondateurs d’un nouveau groupe de supporters de l’Impact de Montréal : Anthony Lizzy et Ali Shayan du 1642 Montréal.
La Genèse : Passion Sans frontières
Sans vraiment se connaître, les 2 fans du Bleu-Blanc-Noir regardaient un club qui commençait et finissait une saison de misère en 2014. Faits marquants de cette saison: ambiance morose, Stade peu achalandé notamment lors du dernier match en carrière de Marco Di Vaio.
Cette ambiance autour et dans le club a poussé les 2 fans à participer activement dans l’effort de supporter l’Impact en aidant à créer un environnement positif: créer un groupe de supporters.
Grace à twitter et les médias sociaux, les deux se trouvent avec l’envie de suivre le club sur la route. Et c’était lors de 2 voyages au Costa Rica (Impact vs Alajuelense) et à Bologne (match de barrage de Serie B pour monter en Serie A du FC Bologne) que l’idée d’un groupe de supporters a vraiment commencé.
Le “kick-starter” de ce projet a été lancé assez rapidement lorsque Anthony et Ali prenne contact avec le club pour voir la possibilité de ce projet. Les choses vont vite, même très vite. Une rencontre avec notamment Hugues Léger, Vice-Président Marketing de l’Impact, donne le feu vert au 1642 Montréal, composé de 6 membres.
En leur demandant la raison de créer un autre groupe, alors que d’autres existent déjà, ils précisent qu’ils voulaient faire partie de la fibre supporter du Stade Saputo. N’étant ni une copie ou une antithèse des Ultras de Montréal, de Section 127 ou autre, le groupe est rapidement tombé en amour avec le Timbers Army ou le ECS de Seattle et veut répliquer cette ambiance au Stade Saputo à leur facon tout en s’amusant et en supportant le club du 514.
La section est ouverte à tout le monde qui veut s’amuser, supporter l’équipe avec un esprit positif avec une ambiance bon enfant, ” family-friendly” et 100% Bleu-Blanc-Noir.
À leurs surprises et la surprise de beaucoup d’observateurs de l’Impact, le club a facilité les choses pour la création du groupe, les a aidé à s’aménager dans la section 114, derrière les cages de la section Est au Stade Saputo. Mais au fait, l’Impact a tout le temps eu un esprit de collaboration avec son public, un public qui va au-delà du statut de clientèle meme si c’est la base de tout succès commercial d’un club professionnel.
Ca aide aussi qu’Anthony et Ali sont motivés et organisés que ce soit au niveau personnel et professionnel , ce qui est ressorti rapidement lors de notre rencontre.
Meme si l’Impact de Montréal va s’impliquer afin de supporter les efforts de ce nouveau groupe ainsi que les autres groupes de supporters, Anthony et Ali sont assez clairs en disant que 1642Mtl n’est pas le groupe du club et n’appartient pas au club. Sans vraiment le savoir ou peut-être en voyant les choses venir , des critiques remplies de doutes arrivaient sous peu.
Mais on s’en reparle un peu plus bas dans l’article – stay tuned comme on dit.
Comme dans un rêve , l’arrivée de Didier Drogba à Montréal a explosé le calendrier de la genèse de ce groupe. La bannière ” Drogba Legend” , prêté par les fans de Chelsea a clairement mis le groupe sur la ” map ” avec un buzz médiatique inattendu , notamment saupoudré avec un hat-trick du roi Didier qui lance son maillot à une jeune fille assisse dans la section 114. Durant ce meme match, les Ultras Montréal, garants de l’ambiance au Stade Saputo, avaient décidés de rester silencieux pour protester contre le traitement que l’Impact leur a imposé.
La cloche : Un rituel qui fait des jaloux, qui dérange
Après la bannière Drogba, le groupe s’est rapidement positionné avec le club afin de permettre de ramener une cloche qui sera sonnée après chaque but marqué par Drogba..euh l’Impact. En un temps éclair, le buzz a décuplé autour de ce groupe fort de 6 membres.
Et les critiques ont commencés. Via un article de Marc Tougas sur la 90eminute.com, des doutes ont été émis dans l’article et le forum impactsoccer.com par rapport au ” look ” artificiel de ce nouveau groupe qui apparait de nulle part et reçoit un support sans équivoque, du même club qui a du mal à avoir une bonne relation avec les Ultras de Montréal, ou est-ce l’inverse?
Dans tous les cas, #HatersGonnaHate et je ne peux pas dire si les critiques parlent au nom d’un groupe ou pas mais 1642 Montréal dérange. Je trouve le tout assez amusant et un peu machiavélique comme critique pour insinuer que 1642 est l’extension du club.
Au fond, que ce soit vrai ou pas, en quoi est-ce que ça va déranger l’écosystème des supporters au Stade Saputo déjà très hétérogène?
En discutant avec 1642 Montréal, c’est toute la culture du supporter que je regarde aussi. On ne peut jamais dissocier un groupe ou un individuel du mouvement de supporters au Stade Saputo.
Une culture foot de Supporters : Diversifiée mais fragmentée
Que le club le veuille ou pas, les Ultras feront partie de l’ADN du club à jamais: avant , pendant et après son existence.
Les Ultras sont très importants pour le club et le stade mais souffrent,à mon avis, d’une déficience de communication externe lorsque vient le temps d’expliquer telle manifestation silencieuse au nom d’un autre incident de fumigènes dont ils ont été ”injustement” accusés par le club. J’ai l’impression de vivre un quiproquo sans vraiment savoir qui dit quoi, comment et pourquoi et sans jamais savoir la cause principale du problème X ou Y.
À la fin, le club doit appliquer les règles et sanctions qui s’impose car comme entité, elle se doit de communiquer un minimum et sévir quand il faut le faire.
Reste qu’après maintes invitations non-concluantes de s’exprimer régulièrement sur Mount Royal Soccer, un site sur l’Impact et la MLS que j’ai fondé, et sur le podcast du KAN Football Club, je réalise que peut-être le modus operandi des Ultras est volontairement mystérieux. Alors que mon objectif a toujours été de vouloir apprendre et présenter le projet des Ultras, j’avais enfin décidé de m’en foutre un peu comme on dit en Klingon.
Est-ce que les Ultras veulent être compris? Ont-ils besoin d’être compris? La communication qu’ils ont choisis leur appartient.
Assez rapidement, entre 2 bouchées de ma pointe de Pizza, je réalise que je me reconnais en Anthony et Ali, des supporters passionnés qui veulent consommer leurs passion Bleu-Blanc-Noir simplement et humblement. Ca ne veut pas dire que leur forme de supportérisme est la seule qui doit exister et tant mieux.
Si d’un coté, ils ont choisi le supportérisme, j’ai choisi le monde des médias pour exprimer ma passion du ballon rond. Mais encore plus important est le contexte qu’on avait en commun. Trop vieux pour faire la fiesta un mercredi soir et jouer à la PS4 jusqu’à 1h du matin en semaine mais trop jeune pour rester assis au Stade Saputo sans rien faire, ils représentaient à leur propre façon un supporter passionné qui veut consommer sa passion Bleu-Blanc-Noir.
Je vous avoue que j’ai jamais totalement compris l’écosystème du groupe des supporters mais le peu que j’ai pu observer me donne une certaine classification vague, précise et ludique :
1- ” On est tout le temps contents”
2- ”Semper fi : On est toujours fidèles ”
3- Les ” Part-timers”
4- ” Les Eurosnobs” , ce groupe élusif qui n’est pas prêt à s’investir et ajouter l’Impact comme son 5e club préfèré après le FC Barcelone, le PSG, Liverpool et Manchester City.
5- “Les CH” : Disons que c’est le reste.
Je voulais remercier Anthony et Ali du groupe 1642 Montréal d’avoir pris le temps de me parler de leur projet, qui a le droit de vivre à coté d’autre projets de supporters au sein de l’écosystème de l’Impact de Montréal.
Ca n’enlève rien à ce que les autres groupes essaient de faire et au fond, tout le monde profiterait d’un esprit de collaboration et non de confrontation comme on a souvent envie de faire.
LopoAvendano, troisième du nom, le voilà sur l’équipe du Canada !
On parle Académie de l’Impact, du développement de l’équipe du Canada, mais que faire pour que le Canada passe enfin devant le terrible Malawi ?
On enchaîne sur les qualifications de la coupe d’Europe des Nations où des petits nouveaux sont là mais où les Pays-Bas restent bas.
Bon, la question, Biello sera-t-il l’entraîneur la saison prochaine ? On a la réponse ! Ouais bon, pas vraiment, mais c’est une question intéressante pour l’avenir de l’entraîneur intérimaire.
Finalement, Klopp for the Kop, une future histoire d’amour qui finira bien ou un remake de Roméo et Juliette ?
Écoutez, partagez et surtout, participez, insultez Fred, on veut vous entendre !
Tout le monde a en mémoire le déclencheur de la mise en place du plan Leproux. Les incidents autour du club parisien furent sanctionnés illico presto par un plan de sécurisation et de régulation des supporters du PSG. Ces mesures tombèrent à un moment où le club avait de mauvais résultats en partie à cause de Colony Capital qui n’investissait pas assez depuis plusieurs saisons. Ce scénario ne vous rappelle rien ? Remplacez “Colony Capital” par “Margarita” et les incidents parisiens par ceux du match OM/OL !
Voila le raccourci qui a relancé toutes les rumeurs de rachat d’un des clubs les plus populaires de France et d’Europe. La popularité est un vaste débat. Connu, reconnu, respecté, adulé, aimé, suivi… La popularité telle qu’elle est définie dans le Larousse fait état des “faveurs dont on jouit auprès de la population”. Reste définir de quelle population nous parlons… Des études récentes montrent que les tendances changent. Nous n’engagerons pas le débat sur ce point tant il est compliqué de raisonner les fanatics. Les faits sont là, le temps finira par convaincre les sceptiques.
A ce jour la popularité du club est l’argument majeur mis en avant pour justifier que la vendabilité du club est une “évidence”. Voici notre analyse de la situation.
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La Ligue des Champions
Balayons cet argument en priorité. La ligue des champions remportée par l’OM en 1993 sous l’ére Tapie n’est pas un argument de poids. L’investisseur qui aurait l’envie de reprendre l’OM ne reprendra pas l’équipe de 93 dans les conditions de compétition de l’époque. Sans oublier les doutes qui planent autour de l’obtention de ce titre.
Si ce titre était un argument convaincant, l’Ajax Amsterdam (4 titres 1971, 1972, 1973, 1995), NottinghamForrest (2 titres 1979, 1980), Hambourg (1983), SteauaBucarest (1986), FeyenoordRotterdam (1970), AstonVilla (1982), ou encore L’ÉtoileRougedeBelgrade (1991)… auraient déjà convaincu des investisseurs de poids depuis longtemps !
Examinez à nouveau cette liste de champions et demandez-vous si vous seriez prêt à vous enflammer pour ces équipes, suivre régulièrement leurs matchs, acheter leurs maillots ou encore acheter un simple produit dérivé ? Si la réponse est “non” pourquoi les prospects ciblés par les commerciaux de l’OM en feraient de même pour l’Olympique de Marseille ?
Le succès marketing du potentiel futur investisseur tient à plusieurs détails. Regardons cela de plus près…
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L’ Attractivité
L’investisseur achète bien plus que du foot. Il s’achète une image ! Qu’il s’agisse d’un riche mécène, d’une entreprise ou d’une organisation l’objectif est le même : perdre un minimum d’argent et capitaliser sur l’image véhiculée par les résultats sportifs.
Il s’assurera donc de mettre les pieds dans un championnat où il a de réelles possibilités de domination (sauf en Premier League). Les résultats positifs traduisent un bon investissement du mécène et mettent en lumière une certaine expertise de sa part à miser sur ce club.
Aussi il devra s’assurer que les retombées des droits TV sont assez importantes pour rentabiliser ses investissements. La France est très mal placée sur ce détail économique. A moins de finir leader tous les ans… Venir concurrencer le PSG, et dans un futur proche l’AS Monaco, paraît ambitieux tant il sera incertain de finir dans les places qui payent le plus.
Sur le schéma ci-dessous vous constaterez que l’OM a généré droits TV intéressant. Seront-ils aussi élevés en cas de saison galère 2015/2016 ?
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Les Revenus
La situation géographique n’est pas anodine. En Premier League la plupart des clubs sont chargés d’histoire et les droits TV sont colossaux. Le dernier du championnat empoche 3 fois plus de droits TV que le PSG ! De ce fait investir à West Ham ou Swansea n’est pas un risque énorme. Au contraire ça donne une image de challenger à l’investisseur qui a le courage de se mesurer aux énormes cylindrées anglaises. Même en investissant dans un petit club vous avez la garantie d’être retransmis dans le monde entier.
En France la fiscalité est si lourde que votre investissement doit être ciblé à la perfection ! (nous y reviendrons en fins d’article) Le rayonnement culturel de la ville est un atout incontournable tout comme sa stabilité politique et sociale. Et bien entendu ses opportunités de business…
Le cabinet Ernst & Young à publié son “Baromètre d’attractivité de la France 2015“. Marseille rattrape son retard sur Lyon en revanche est-ce assez convaincant pour un investisseur ?
Si l’investisseur n’a pas de garantie de retour sur investissement sur le plan sportif, il doit être en mesure de compenser ses pertes par d’autres biais : Droits TV, ventes de produits dérivés, billetterie, sponsoring.
L’OM semble être bien placé pour les droits TV même s’ils ne sont pas énormes. Un bon point. En revanche la vente des produits dérivés n’est pas exceptionnelle mais a du potentiel. En 2014 le club marseillais vendait pour 10M€. Soit un peu plus que Lyon (8,8M€) et beaucoup moins que le PSG (28,6M€). Comme tous les grands clubs l’OM devra miser sur l’international mais faut-il encore que la marque OM parle en dehors de nos frontières ! Les asiatiques qui ne connaissaient pas ou peu le PSG connaissaient tous la ville de Paris. Mais aussi Zlatan ou Beckham…
Marseille ne rayonnant pas sur le monde, nul doute que l’investisseur devra investir sur des joueurs très connus et donc très chers. Ou trouver d’autres leviers de rentabilité.
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Patrimoine culturel
Prenez l’exemple de Reims ! SANEI (ascensoriste chinois) investisseur important du Stade de Reims a clairement ciblé le petit club français moins gourmand que les gros. Reims est très stratégique pour le marché chinois qui raffole de nos plus grands millésimes dont… le champagne qui est une spécialité reimoise. Un rapprochement de prestige à moindre coût.
Sur le même raisonnement stratégique, Camille Yihua Chen journaliste chinoise explique dans le documentaire d’ Enquêtes de Foot “La Chine Aux Porte de Ligue 1” (ci-dessous), que les villes les plus intéressantes pour les chinois seraient dans l’ordre Bordeaux, Lyon, Lille et surtout pas Marseille. Dans la stratégie chinoise il y a un ordre de priorité qui répond à une logique d’image associée aux grands vins en ce qui concerne Bordeaux ! Mais il faudrait que cet investisseur accepte de perdre de l’argent dans le foot français. Une utopie selon la journaliste. On peut donc croire Vincent Labrune lorsqu’il balaye l’hypothèse d’investisseurs chinois.
Lyon pourtant bien lancé depuis la période faste des 7 titres et la construction du nouveau stade paraissait attractif, mais QSI est allé à Paris et Rybolovlev à Monaco… Concernant Monaco pas besoin de faire un dessin… On sait tous pourquoi il a fait ce choix.
Paris. Cinq lettres qui a elles seules riment avec culture, tourisme, monuments, histoire, mode, luxe, tendances, capitale. La ville est un produit marketing naturel qui parle au monde entier. Cette ville fait rêver aux 4 coins du monde. La marque “Paris” apporte prestige et crédibilité. Un détail qui n’a pas échappé aux nombreuses sociétés qui ont eu la bonne idée de mentionner Paris aux côtés d’autres grandes capitales au bas de leurs sites web ou cartes de visite.
Le pouvoir économique de la Tour Eiffel est sans égal. L’opportunité d’avoir le logo de la tour inséré dans celui du club est une chance énorme pour booster la vente des produits dérivés à l’international. Chaque année les touristes achètent 10 millions de Tour Eiffel miniatures… Un produit dérivé du PSG peut facilement s’aventurer sur le marché des souvenirs. L’univers de la capitale colle parfaitement a celui du luxe, du haut de gamme et des opportunités de business recherchés par des investisseurs.
Souvenez-vous des propos de Nasser Al Khelaïfi au moment de la passation :
« Nous sommes très heureux d’acheter 70 % du PSG. C’est un grand moment, s’est réjoui Nasser al-Khelaifi dans une interview accordée à L’Équipe, où le futur patron du PSG se montre bien plus bavard que dans le Parisien. Je sais que notre arrivée suscite beaucoup d’espoirs autour du club. Sachez que, nous aussi, nous sommes emplis d’espoirs. On est ici avec des objectifs et des stratégies bien définis. On veut amener le PSG très haut. […] Nous avons défini une première stratégie pour les cinq prochaines années. On n’est pas là sur du court terme, mais vraiment sur du long terme. Le PSG a un potentiel énorme : c’est quand même le seul club d’une capitale dont l’agglomération compte 12 millions d’habitants. C’est quelque chose d’unique en Europe.“
Voila des “détails” qui compliquent l’arrivée d’un investisseur sur la Canebiére. En comparant avec les autres villes de France citées, quelle attractivité peut-on trouver à Marseille ? La ville a une histoire riche certes, mais d’un point de vue business l’image de la ville n’est pas bonne de manière globale. La ville fait rarement les gros titres pour des faits positifs. Investir à Marseille c’est accepter que son image, celle de sa société ou organisation soit éclaboussée à un moment ou un autre par le climat d’insécurité ambiant. Même si la plupart des habitants ne se sentent pas menacés les médias renvoient cette image préjudiciable. Pire, les nombreuses affaires frauduleuses de transferts peuvent resurgir à tout moment.
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État des lieux
La gestion de la billetterie vient d’être récupérée. Un point excellent pour motiver le rachat du club ! En revanche les tribunes ne sont toujours pas pacifiées… Placement libre et aucune maîtrise des tifos qui peuvent déborder et nuire à l’image du club et de par le fait à celle de l’investisseur. N’en déplaise aux abonnés des virages, les investisseurs ont repris des gros clubs à la condition que les tribunes soient totalement maîtrisées. Ce n’est pas leur vision du foot, en revanche celle des investisseurs passe par là.
Réclamer le départ de Margarita c’est accepter de se plier à ces règles.
Le premières rumeurs font état d’une mise à prix du club à hauteur de 100M€ assujetti à une obligation d’investir au moins 150M€ la première année. L’addition atteint déjà 250M€… Un détail qui pourrait refroidir un repreneur en l’obligeant à investir.
Mais au final rien n’oblige un investisseur ! Une fois qu’il se porte acquéreur du club libre à lui d’y injecter la somme qu’il veut. Ceci est un effet d’annonce de Margarita Louis-Dreyfus afin de convaincre les marseillais qu’elle veut ce qu’il y a de mieux pour le club. De la com’ quoi…
Cependant elle n’a pas tort. Si un investisseur débarque il devra mettre du lourd sur la table et vite. QSI avait allongé pas moins 113M€ (pour 10,3M€ de ventes) la première année et Rybolovlev 174M€ (pour 7M€ de ventes). Une stratégie onéreuse mais qui a permis de truster rapidement les premières places du classement et récupérer le chèque de participation à une coupe européenne et donc des droits TV nationaux et de la Ligue des Champions. De ce fait, même s’il n’investit pas 150M€ à cause du FairPlay Financier il devra mettre beaucoup, au moins 100M€. Notre ardoise tourne maintenant autour de 200M€… De plus la tendance actuelle est à l’exploitation du stade. L’élu viendra sûrement à la condition de s’approprier le Vélodrome ! Une logique économique amorcée par la Juventus Turin en 2011.
A cela s’ajoute donc le problème épineux du Stade Vélodrome ! Comme nous l’expliquions dans un précédent article (“OM : plus bas c’est le pétrole !” – validé par beIN SPORTS) le taux de remplissage n’est pas exceptionnel. 78% sur la saison 2014/2015 soit une moyenne de 53.130 spectateurs ! Une saison pourtant rythmée par l’extraordinaire engouement autour de Marcelo Bielsa ! La saison 2015/2016 part sur une tendance autour de 69,8%… Le Monde du 05/04/2015 nous apprend que “le Nouveau Vélodrome cherche sa rentabilité“. Outre la difficulté d’optimiser le remplissage pour le foot il est aussi compliqué pour Arema de rivaliser avec une ville telle Bordeaux :
La ville de Marseille et le patron d’Arema ont piqué une grosse colère en apprenant que les demi-finales du Top 14 se tiendraient cette année à Bordeaux. « Comment la Ligue de rugby peut-elle se priver d’une recette de 130 000 spectateurs en un week-end ?, s’étonne Maurice Di Nocera, l’adjoint UMP aux grands événements. Alain Juppé, le maire de Bordeaux, a été meilleur que nous. »
De plus cet article nous rappelle que ce stade coûte cher à la collectivité :
Pour remplir son stade géant, l’OM a multiplié les opérations groupées et les billets à bas prix. S’il gagne plus de 20 millions d’euros aux guichets sur la saison, il versera 20 % de ces recettes supplémentaires à la mairie. Une somme qui permettrait d’adoucir un peu la facture des contribuables marseillais. Chaque année, pendant trois décennies, la ville s’est engagée en effet à rembourser 11,5 millions d’euros à Arema qui a financé les travaux. Le 13 avril, malgré les promesses de campagne du maire UMP, Jean-Claude Gaudin, le conseil municipal votera une hausse des impôts locaux. L’opposition l’a déjà estimée de « 150 à 300 euros par foyer fiscal ».
Juste avant les élections à la Mairie de Marseille (juillet 2013) Patrick Menucci expliquait déjà ce problème de coût. Selon lui le Vélodrome n’est pas une priorité pour les marseillais et souhaite le vendre. Voici le détail de son interview à SoFoot où il estime le prix de vente :
Pourquoi faire une telle proposition ? D’où vous est venue cette idée ? Parce que les finances de la ville sont exsangues, voilà pourquoi ! Le PPP signé entre la ville de Marseille et Bouygues est catastrophique. On n’entretient plus nos équipements habituels, 7 piscines sur 10 sont fermées. D’après les études, il nous faudrait 17 000 m2 de piscines, alors qu’on en a seulement 6 000. 40 % de nos enfants sortent du système scolaire sans savoir nager, ce qui n’est pas légal. Le choix du stade, qu’a fait M. Gaudin, est très mauvais. Il faut donc le vendre. D’abord, parce que les grands investisseurs qui sont intéressés par le club veulent également être propriétaires du stade pour se développer. Et ensuite, parce que ça permettrait de redonner une capacité d’investissement sportif à la ville de Marseille.
Il s’agirait donc de vendre le stade au propriétaire du club, et pas à un investisseur annexe ? Bien sûr. L’idée est très simple : si un jour, Margarita veut l’acheter, et bien nous on sera d’accord pour le lui vendre. Je vous rappelle que Robert Louis-Dreyfus en avait déjà fait la proposition en 2008. Ce n’était pas un rachat direct, c’était un bail emphythéotique de 99 ans, et en échange de ce bail, il s’engageait à investir 150 millions pour couvrir le stade. Moi, à l’époque, je disais que c’était une bonne idée, mais Gaudin l’a refusée. Donc, moi, je dis que si demain l’Olympique de Marseilleveut racheter le stade, il n’y a aucun problème. Et si demain, il y a un investisseur qui veut racheter, et l’OM, et le stade, alors il faut ouvrir les négociations avec lui.
Vous pensez qu’à l’heure actuelle, Margarita Louis-Dreyfus est capable d’acheter le stade ? Je n’en sais rien. Je dis simplement que nous ouvrons la possibilité à Margarita Louis-Dreyfus de faire une proposition, et nous ouvrons aussi la possibilité à Margarita Louis-Dreyfus de vendre à un investisseur international qui ne se contentera pas d’acheter que du matériel, mais tout un club.
Vous dites que le stade va coûter 11 millions d’euros à la ville par an. Mais vous ne retranchez pas le loyer annuel que devra verser le club ? On parle de huit millions d’euros… Si, si, je retranche ce loyer, parce que le remboursement avoisine les 15 millions. Et j’estime que l’OM va en donner quatre, pas plus.
Cette somme est encore en négociation par contre…
C’est encore en négociation, oui, mais l’OM ne donnera rien du tout, il ne donnera que très peu. Si vous êtes propriétaire d’un immeuble que vous voulez louer et que je suis le seul locataire, vous allez vous accorder sur mon prix. Là, il n’y a qu’un seul client. La mairie de Marseille a fait une faute, c’est de ne pas faire signer à l’Olympique de Marseille le montant du loyer avant d’entamer les travaux. Une fois de plus, c’est une mauvaise gestion.
Si jamais une société privée devient propriétaire du Vélodrome, on risque d’assister à certaines dérives, comme une augmentation du prix des places, non ? Je pense que ce point doit faire partie des négociations. Si c’est moi qui négocie, si je suis en situation d’être maire, je ferai mon possible pour protéger le prix des places dans les virages. Après, qu’on augmente le tarif des autres places… Vous savez, si demain on veut un grand club, il y a quand même un certain nombre de choses à faire. Il faut maintenir des prix populaires pour les places en virages, mais pour le reste, c’est la loi du marché… On ne va quand même pas continuer à faire payer à ceux qui veulent aller à la piscine le prix des places au Vélodrome, ce n’est pas juste.
Et s’offrir le Vélodrome, justement, ça coûte combien ? Je n’ai pas tous les chiffres en tête, mais la ville a déjà déboursé 80 millions d’euros. Ensuite, elle devra payer pendant 35 ans une somme annuelle, pour un total de 350 millions d’euros. Si on ajoute les 80, vous voyez, ça fait 430 millions d’euros que la ville aura déboursés pour ce stade. Donc on peut estimer qu’en le vendant 300 millions d’euros, on peut faire une belle opération. Ça permettrait de rembourser l’emprunt.
Vous affirmez que le fait de devenir propriétaire de son stade permettrait à l’OM de retrouver les sommets du football européen. Mais à court terme, vous ne pensez pas qu’un tel investissement puisse au contraire freiner le club dans son développement ?
Les investisseurs internationaux, ce qu’ils cherchent, c’est une ville en Europe pour avoir un grand club. Marseille me paraît tout à fait appropriée, mais à condition qu’on ne vende pas à des baltringues. On ne veut pas des Kachkar, hein. Il faut de très gros investisseurs. Si Delanoë propose aux Qataris d’acheter le Parc des Princes, vous pensez qu’ils ne le feront pas parce que c’est trop cher ? Moi, je crois qu’ils le feront.
Vous vous êtes inspiré de ce qui se fait à l’étranger ? En France, rares sont les clubs à être propriétaires de leurs stades… Oui, oui. Mais ce n’est pas parce que l’on observe très peu ce modèle en France qu’il n’est pas amené à se développer. Si demain on veut être dans les 10 clubs européens qui comptent, il faut en passer par là. L’OM le sait, tout le monde le sait. D’ailleurs, à part la municipalité, je n’ai eu aucune critique. J’ai reçu 300 tweets hier, parmi lesquels beaucoup de supporters qui d’habitude ne correspondent pas avec moi, et 90 % d’entre eux me disaient « c’est ça qu’il faut faire ».
Vous avez déjà abordé le sujet avec des responsables du club ? Bien sûr, j’en parle avec des gens du club, mais ils ne peuvent pas trop s’exprimer là-dessus.
Sinon, outre cette histoire de stade, quel est votre rapport au football ? Vous vous considérez comme un supporter de l’OM ? J’ai toujours été supporter de l’Olympique de Marseille, depuis que je suis tout petit. J’ai même le souvenir d’avoir été au stade très longtemps alors qu’on était sur le Vélodrome lui-même, sur la piste. Moi, je vais au stade depuis que j’ai sept ou huit ans. C’est vrai que j’y vais moins aujourd’hui, j’ai pris mes distances depuis les évènements Tapie, mais c’est minimum 10 fois par an.
Ce n’est pas un peu risqué de toucher au Vélodrome, à l’identité du club, en pleine campagne électorale ? Le Vélodrome, c’est quoi ? C’est Colombey-les-Deux-Églises ? C’est la tombe du général de Gaulle ? C’est Notre-Dame de Paris ? Il faut arrêter, à la fin. On est dans un sport, un sport financier, et à côté on a besoin d’évoluer, de créer des piscines, de rénover les autres stades. On a besoin d’un sport pour tous. Je rappelle que je n’ai pas subi un déluge de critiques avec cette proposition, au contraire je n’ai eu que des félicitations.
Bon… je récapitule… : 100 M€ pour le club + environ 100M€ pour le mercato + environ 300M€ pour le stade. Sortez les calculettes : 500M€ pour le contexte que vous connaissez et l’environnement marketing expliqué plus haut ! L’addition est salée.
Rappelons que l’Inter Milan à été vendu 300M€, le FC Valence 300M€, Chelsea 200M€, Manchester United 800M£, Liverpool FC 300M£, Arsenal FC 731M£, Fulham 150M£, Manchester City 210M£, PSG 76M€, Monaco 100M€ ?, etc…
Mise à part Margarita qui a hérité du bébé sans réelle envie et Bernard Tapie qui a saisi l’opportunité de reprendre le club pour 1 franc symbolique… tous les autres sont des hommes impliqués dans la vie sudiste (Foot : Montpellier, Séte – Entreprise locale ou encore Crédit Lyonnais)…
Ils ont comme point commun de bien connaître la culture marseillaise et le fonctionnement de la ville. RLD était un homme d’affaire rompu aux us et coutumes du football. Il aimait la ville et en passionné de football il s’est offert le club comme une évidence. Un candidat idéal.
Le futur investisseur devra avant tout avoir l’amour de la ville avant d’y placer ses deniers. En effet comme expliqué plus haut, la ville n’apporte pas une image lisse et n’offre pas une rayonnance internationale pour faciliter le développement marketing hors de nos frontières. On peut aussi miser sur un profil d’investisseur qui a l’habitude d’évoluer dans un univers mouvementé. Russie ? Azerbaïdjan ? Kazakhstan ? Égypte ? Suisse ? Italie ? Mexique ? Moyen Orient ?
Il devra surtout avoir un profil proche de QSI pour surmonter la pression fiscale française qui reste très élevée par rapport à nos voisins européens. Le schéma ci-dessous est un extrait de l’excellent rapport de l’Institut Molinari “Fardeau social et fiscal de l’employé moyen au sein de l’UE” (édition 07/2015) qui explique bien cela.
Lecture du doc : L’employeur moyen de l’UE doit débourser 187 € pour que le salarié moyen dispose de 100 € de pouvoir d’achat réel, une fois payés 34 € de charges « patronales », 18 € de charges « salariales », 28 € d’impôt sur le revenu et 7 € de TVA.
Tout est possible mais quoi qu’il arrive cette opération de rachat s’annonce très compliquée pour toutes ces raisons. Et pour les mêmes raisons nous croyons au travail acharné qui attend Vincent Labrune. La Ligue 1 a besoin d’un OM fort pour relancer l’intérêt de ce championnat. “A vot’ bon cœur m’sieurs dames !“
Peu importe qui vous êtes, si vous avez un rêve et vous êtes déterminé à le réaliser, vous rencontrez des obstacles et ferez face aux critiques. Vous ferez à des gens qui tenteront de vous détourner de votre objectif. De nombreuses personnes, influentes ou pas, vont tout faire pour écarter vos idées qui sont différentes des leurs, ou vos idées dont ils ne mesurent pas la valeur. De même que les personnes qui « s’inquiètent pour vous » peuvent vous décourager devant vos rêves « impossibles ».
Le plus gros obstacle à votre succès est la peur et le doute mis en place par les critiques. Au lieu de vous enfuir et d’abandonner, faites le choix d’avancer, malgré les contraintes, tout en essayant de comprendre que parfois, seule votre opinion compte.
1.Force mentale.
La poursuite du succès garantit que plus vous essayerez d’accomplir votre objectif, plus vous rencontrerez d’obstacles. Lorsque vous rencontrerez ces obstacles, votre force mentale doit vous permettre de garder confiance et de ne pas laisser ces doutes influencer votre prise de décisions.
Poursuivre un rêve est un entraînement de force mentale. Plus vous êtes motivé à faire la différence et à changer le monde, plus vous progressez vers votre succès. Plus vous tenterez de créer des choses et mener à bien des idées, plus les critiques se dresseront sur votre chemin et tenteront de vous détourner. Ceci est donc une chance pour vous de développer les capacités de régler ces conflits et d’aller de l’avant. Ainsi vos critiques deviennent vos plus grandes sources de motivation, ils nourrissent votre désir de leur prouver qu’ils se trompent sur vous et votre vision.
Recevoir des critiques et être rejeté est habituel lorsque votre rêve dérange la manière dont les choses sont établies. Forcez-vous à être conscient des personnes fermées, incultes et envieuses qui ne vous veulent que du mal. Lorsque vous sachez que de telles personnes existent, vous gagnez en contrôle de vos émotions quand vous les confrontez.
Les personnes négatives sont cachées à tous les coins de rue. La vérité étant que les choses ne seront pas toujours jolies sur votre chemin vers le succès, en partie parce que vous allez interagir avec un grand nombre de ces personnes, vous vous devez de développer votre contrôle de soi.
Les critiques aiment vous dire ce que vous ne voulez pas entendre et tentent de vous déséquilibrer, cela leur fait se sentir mieux, c’est pourquoi il faut utiliser ces personnes comme un antidote qui a terme vous immunisera contre le rejet des autres. De la sorte vous développerez un contrôle de vos émotions plus fort que n’importe quelle critique ou obstacle.
Apprenez à dire « suivant » à chaque « non ». Le refus n’est pas la fin du monde, de même que votre idée ne mérite pas d’être ignorée. Tentez de trouver des bienfaits dans la rétroaction qui vient avec le refus. Acceptez ce qui peut être appliqué pour peaufiner votre idée et la rendre meilleure. Puis, passez à autre chose.
Chaque refus vous rapproche de ce « oui » que vous recherchez. Chaque « non » a l’air d’un pas en arrière, mais en réalité il s’agit d’un pas en avant vers la réalisation de votre rêve.
L’énergie dont vous disposez après vous être concentré sur l’utile est extrêmement puissante. Cela vous donne l’occasion de peaufiner, de rediriger et de raffiner ce qui est déjà bien en place. Le refus si vous ne laissez pas vous atteindre peut être une source pour votre désir de succès. Pour avoir du succès, il faut se battre encore et toujours et ne jamais s’arrêter.
Le succès, c’est prendre des risques. Chaque fois que vous exposez votre idée, vous prenez le risque d’un refus et d’une critique, ainsi ne soyez pas choqué quand cela arrive. Le succès, c’est prendre des coups, apprendre de cette douleur, vous relever et prendre un autre risque.
Chaque fois que vous prenez un risque, vous devenez émotionnellement plus fort, chaque défaite contient les graines de votre prochain succès. Prendre des risques requiert du courage, et le courage se développe en étant courageux. Abandonner ne requiert aucun effort, se relever demande du courage.
La plupart du temps la satisfaction que l’on ressent lorsque l’on réussit vient de la confiance que l’on développe en prenant des risques, en échouant, en prenant des risques encore et en réussissant.
Quand vous croyez vraiment en ce que vous faites, en ce que vous créez et en ce que vos idées défendent, vous développez une résistance à la critique. Il n’y a rien de plus fondamental à votre succès qu’une croyance de marbre dans votre but ultime.
Il y aura toujours des gens qui tenteront de réduire vos idées ou les voler, les autres essaieront de les utiliser ou simplement vous dire que vos idées ne valent rien. Faites attention à qui vous portez de l’attention. Faites attention à votre instinct. Protégez vos idées et ne les partagez qu’avec ceux que vous respectez. Faites votre travail de recherche avec les gens qui ont votre état d’esprit en terme d’innovation.
Avec une profonde conviction, vous pouvez travailler dur et rester calme, votre succès parlera pour vous.
Quel succès peut être obtenu sans effort, sans douleur, sans sueur ? Le succès ne sourit pas aux faibles. Aucun parcours n’est semé d’embûches et de détours. Le succès, c’est confronter ses peurs, persévérer et ne jamais abandonner, c’est avoir une détermination sans faille et de toujours croire que le but sera atteint.
Il n’y a rien d’irréaliste à propos d’un rêve qui s’inscrit dans vos objectifs. Si ce que vous faites vous passionne, vous inspire a pensez, imaginez et concevoir, alors il n’y aucun doute que vous parviendrez a réaliser ce que vous avez en tête. N’importe quelle personne avec une profonde conviction et un réel engagement réussira. C’est pourquoi la seule opinion à propos de vos rêves est la vôtre. Les commentaires négatifs des autres reflètent leur limite, pas la votre. Le succès se construit sur votre propre détermination et non avec les opinions des autres. C’est donc pourquoi il ne s’agit pas d’une ligne droite vers le sommet. De plus, personne n’aurait jamais triomphé sans les critiques des autres, les obstacles et les embûches sur le parcours. Tout dépend de ce que vous voulez en faire. Les personnes qui réussissent parviennent à utiliser ses contraintes à leur avantage, car ils sont maîtres de leurs émotions.
Finalement, le succès est votre revanche, votre combat. Soyez le dernier debout.
9 buts en 9 matchs ! Didier Drogba n’a pas le temps de jouer. Drogba est devenu en un mois et demi le meilleur buteur de l’Impact cette saison en MLS. Après avoir logé un magnifique coup-franc à contre-pied du gardien des Colorado Rapids, l’attaquant ivoirien a fait comprendre à tous de quel bois il se chauffe!
Fin 2014, le phénomène Nekfeu nous dévoilait TIME BOMB
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Le titre inédit afin de faire patienter les nombreux fans de Nekfeu avant la sortie de son premier album. Nek le fennec a craché ses premières flammes dans les open mics, ainsi que de nombreuses scènes plus ou moins grandes dans les quatre coins de la France pendant plusieurs années.
Précédé d’un buzz amplement mérité dû au succès de ses groupes, S-Crew et 1995, ainsi que de son collectif l’entourage, le rappeur signait son arrivée en solo avec un premier album intitulé Feu. Sortie au début de l’été, l’album a battu des records historiques en réalisant le meilleur démarrage de vente d’albums digitales en 2015. La team Lords a suivi Nekfeu lors de ces déplacements cet été, découvrez les images exclusives du Summer Feu Tour.
Je me souviens. On se souvient que David Stern décida de sanctionner sévèrement le flopping. Cette décision prise par l’ancien commissaire de la NBA brise la carrière artistique de nombreux prestidigitateurs. Au-delà de six sanctions, ces illusionnistes risqueraient une suspension.
Le plongeon pour les nuls
Décrivons le flopping, en quelques lignes, pour éclairer les novices. Flopping For Dummies: Cet art contemporain lourdement réprimandé s’illustre par le jeu d’acteur de ces professionnels de la simulation qui se perçoit tant au niveau défensif qu’offensif.
Le joueur offensif surjoue lorsqu’une faute lui est commise. Il s’écroule ou balance ses bras en l’air quand le contact est minime. Du côté de la défense, l’acteur opte pour un plongeon spectaculaire en provoquant un passage en force de l’adversaire.
Néanmoins, la frontière est mince entre une véritable faute et un flop. Le professionnel peut réellement être victime d’un contact violent, mais en tant que dramaturge qui se respecte, il n’hésite pas à amplifier sa douleur. L’art de l’illusion fait des victimes. C’est d’ailleurs pour cette raison que le flopping ne facilite pas la tâche aux refs, causant des erreurs d’arbitrage.
Le flopping en image
Arrêt sur image. Après la théorie, la pratique. Visionnons quelques vidéos qui illustrent parfaitement cet art.
Sur la première marche du podium, on retrouve Tony Allen, suivi de Rudy Fernadez et Lebron James. Une fois que la faute a été sifflée par l’arbitre, Tony Allen s’effondre et fait mine d’être blessé. Avertissement, scène hilarante. Âme sensible s’abstenir.
Autre exemple de flop qui fausse le jeu et induit les arbitres en erreur. Après visionnement, on peut applaudir Rudy Fernández et lui donner un oscar.
Le « roi » s’y met également
Le flopping, c’est un sport d’équipe !
Pour finir en beauté ! Quand deux floppeurs se rencontrent, ça donne un Double Flop.
Conclusion, si vous êtes tenté pour devenir un plongeur professionnel, il est primordial de se lancer dans une carrière d’acteur et de cascadeur. Mais à vos risques et périls, car l’héritage de Monsieur Stern fait aujourd’hui de nombreuses victimes.
Cet article a été rédigé par Julie Boccovi.
Bio de Julie : Journaliste, spécialiste des sports et culture. Chroniqueuse de l’émission afroparade.
Même si ce n’est pas un match officiel (encore), Wandrille Lefevre a joué ses premières minutes en tant que Canuck lorsque l’équipe a affronté Orlando City SC en match amical.
Les maillots d’entrainements rendent les choses encore moins officielles mais la bonne nouvelle est que Benito Floro a voulu voir le défenseur central Wandrille Lefevre de l’Impact de Montréal à l’oeuvre.
Le Canada affrontera lse Blacks Stars du Ghana en amical le 13 Octobre au stade du D.C. United , Robert F. Kennedy Memorial Stadium.
Comme nous vous l’expliquions il y a peu, il n’y aura pas de bouton « Je n’aime pas » sur Facebook mais Facebook testerait dès demain une série de réactions pour les utilisateurs qui souhaitent exprimer autre chose que la mention «J’aime».
Le but est de pouvoir interagir avec un poste sans nécessairement l’aimer (séparation, perte d’emploi, catastrophe, décès…).Un porte-parole de Facebook a confirmé que le réseau social implantera bientôt des réactions venant compléter la mention «J’aime». Alors qu’en 2014, Facebook avait déposé un brevet le réseau social vient de lancer un test sur des réactions d’empathie aux posts avec des emojis.
«Nous avons compris que vous souhaitez de nouvelles façons de célébrer, compatir ou de rire avec les autres. Voilà pourquoi nous faisons la mise à l’essai des réactions, un complément au bouton “J’aime”, afin de vous offrir de nouveaux moyens de partager votre réaction à un statut Facebook d’une manière simple et rapide.»
«Les gens nous demandent un bouton Dislike depuis des années […] Nous vous avons enfin entendu et nous travaillons sur cette question et allons livrer quelque chose qui répond aux besoins de la communauté.»
Plutôt que d’intégrer tel quel un bouton «Je n’aime pas», qui pourrait s’avérer une importante source de conflits au sein des utilisateurs de Facebook, l’entreprise aurait ainsi privilégié une approche plus positive, soit des réactions qui peuvent difficilement être perçues comme une façon de s’attaquer ou de s’opposer à l’auteur d’un statut.
Parmi ces icônes, l’une représente un cœur, les autres des visages affichant différentes émotions comme le rire, la joie, la surprise, la tristesse et la colère. Ce dispositif est testé en Espagne et en Irlande et pourra ensuite être étendu, si les résultats se révèlent satisfaisants. Ces réactions ne sont pas sans rappeler celles proposées par le portail BuzzFeed depuis ses débuts. Cette nouvelle fonctionnalité permettra potentiellement de collecter de nouvelles datas et d’affiner encore les réactions de sa communauté à leurs actions sur le réseau.
Imaginez, l’entraîneur Marc Dos Santos, debout dans sa boîte, hurlant à Siniša Ubiparipović de tirer de la ligne de 18 verges. Bien que cela puisse ramener des souvenirs nostalgiques pour les fans pré-MLS de l’Impact, c’est une réalité pour les fans de soccer à Ottawa et Gatineau. Le Fury d’ Ottawa, une des deux seules équipes canadiennes dans la NASL, la deuxième division nord-américaine, a connu une saison impressionnante. Et quand je dis impressionnante, je veux dire incroyable. Si vous n’avez pas encore vu un de leurs matchs, ça vaut le prix d’entrée intégral. Sérieusement.
Le Fury est la première équipe dans la NASL qui a obtenu une place en séries éliminatoires. L’équipe est actuellement classée numéro 1 dans l’ensemble avec 48 points, et 1er dans la saison d’automne avec 37 points. Ils ont gagné presque tous les matchs sur la route. Ils ont établi un record pour les jeux invaincus. Ils ont atteint un record des gardiens NASL. Malgré une participation moyenne des spectateurs en 2014 de 4400 par match, le Fury est sur la bonne voie pour avoir un taux de spectateurs moyen de 6000 par match cette année. Le gardien Romauld Pieser est un candidat sûr pour le Gant d’or de la NASL. Avec des joueurs et une atmosphère comme ça, chaque match est un cyclone d’activité.
Mais la saison n’a pas commencé ainsi. Dans leurs 10 premiers matchs, le Fury a seulement marqué 5 buts. Ils ont fini la saison du printemps à la 9e place dans les classements. Le moral de l’équipe était faible, et les blessures ont commencé à s’accumuler. L’entraîneur Marc Dos Santos a pris des mesures en signant le capitaine de l’équipe nationale canadienne, Julian de Guzman. Il a également ajouté des capacités offensives grâce à Aly Hassan et le turc connu au niveau international Ugur Albayrak. Ces ajouts ont conduit les joueurs existants comme Alves, Ubiparipovic et Heinemann à jouer plus vite et de façon plus agressive. C’était une bonne idée.
La saison a eu ses hauts et ses bas – souvent dans le même jeu.
Meilleur moments
Chaque saison a ses meilleurs et pires moments. La saison régulière 2015 a été fantastique pour le Fury, mais plusieurs moments ce sont démarqués au-dessus de tout le reste. La victoire contre les Cosmos de New York (4-1) à Brooklyn était incroyable. Marcher dans le stade du club le plus riche de la ligue et le battre est toujours encourageant. Le faire pour reprendre la 1ère place? Eh bien, voilà encore mieux.
Être la première équipe à gagner une place en séries, quelle spectacle! Ce n’est pas tous les jours qu’une équipe canadienne prend place en séries éliminatoires dans le monde du soccer. Certaines de nos équipes ne l’ont jamais fait. Ottawa n’est pas une de ces équipes.
L’arrivée de Julian de Guzman a donné une image au Fury. L’image d’une équipe qui n’est pas en transition, mais avec un calibre plus élevé de l’attaquant que ses adversaires. De Guzman est le capitaine de notre équipe nationale!
On a joué sur le même terrain que la prestigieuse Coupe du Monde Féminine. Le Fury a joué un match à domicile à la Place TD quelques jours à peine après que la France ait démoli le Mexique 5-0 dans la Coupe du Monde. Avoir une équipe de soccer en 1ère place est agréable. Avoir des superstars internationales qui jouent dans notre stade est encore mieux. Avoir une équipe en 1ère place sur le même terrain que des superstars? Voilà le meilleur.
Les pires moments
Malheureusement, cette saison n’a pas été seulement remplie de soleil et d’arcs en ciel. Il y a eu quelques défaites désagréables, quelques blessures brutales et quelques déceptions totales. Les pires parties de la saison 2015 étaient:
Être éliminé par le FC Edmonton au Championnat canadien Amway. Malheureusement, une équipe qui se bat pour une place dans les séries éliminatoires a éliminé Ottawa au printemps, et notre chance d’atteindre la Ligue des Champions. Je ne suis pas convaincu qu’Ottawa aurait battu une équipe de la MLS, mais le fait qu’ils n’ont même pas essayé est frustrant.
Perdre à Fort Lauderdale dans le deuxième match à domicile de la saison a découragé certains partisans avant la fin du premier demi. Le Fury d’Ottawa a battu Minnesota United FC 1-0 dans leur match d’ouverture, et a continué à perdre 3-1 une semaine plus tard contre Fort Lauderdale. S’il y a une partie que j’aurais aimé voir gagné, c’était celle-là.
Une conférence de presse un mois avant que les séries éliminatoires commencent n’est jamais un bon signe. Celle où le coach annonce qu’il quitte pour un poste dans la MLS est encore pire. Je ne sais pas qui va remplacer Marc Dos Santos à la fin de la saison. Les joueurs ne doivent pas s’inquiéter de la stabilité dans les séries éliminatoires.
Le prochain entraîneur
Le départ de Marc Dos Santos soulève une question importante: Qui sera notre prochain entraîneur? Bien que l’organisation dispose d’un personnel compétant, il s’agit d’une nouvelle équipe avec seulement deux saisons d’expérience. Une grande partie de notre équipe est venu de Montréal et nos produits de l’académie de la PLSQ.
L’ajout de Jérémy Gagnon-Laparé va renforcer ces liens. Certains partisans ont même spéculé que l’entraîneur du FC Montréal pourrait rejoindre le Fury la saison prochaine, ou au moins, qu’un partenariat se forme entre le Fury ainsi que L’Impact et FC Montréal. Pour ce que ça vaut, je soutiens l’idée d’un partenariat entre Ottawa et Montréal. Ottawa et Montréal sont des villes très semblables – les deux sont linguistiquement et culturellement semblables – et leurs équipes ont partagé des liens au niveau de l’entrainement, des joueurs et des partisans. Aussi, nous sommes les deux seules équipes en Amérique du Nord à faire tout en anglais et en français. Je souhaite juste que la spéculation n’affectera pas les performances du Fury dans les séries.
Quoi qu’il arrive, 2015 a été un succès retentissant, et a apporté des milliers de supporters de soccer à la Place TD. Espérons que leur performance cette année leur vaudra l’attention des fans de soccer partout dans le pays. Ils l’ont mérité.
Amenez les séries éliminatoires. On est finalement prêt.
Bio de Christopher: Résident fier d’Ottawa , il aime parler ballon rond incluant la MLS, Team Canada et son club favori, le Fury d’Ottawa Membre de l’équipe de @MtRoyalSoccer.
Le Camerounais Issa Hayatou, patron du football africain, a été désigné ce jeudi président par intérim de la Fifa après la suspension de 90 jours de Joseph Blatter, a annoncé la Fifa dans un communiqué.
“Pour une durée de 90 jours, Joseph Blatter n’a pas le droit de représenter la Fifa de quelque manière que ce soit ni d’agir en son nom”, a indiqué l’instance suprême du foot mondial, soulignant que le président en titre avait de fait été “relevé de ses fonctions” en raison de sa suspension.
Selon les statuts de la Fifa, Hayatou assure l’intérim car il est le “plus ancien vice-président du Comité exécutif en poste”.
PSG-OM : Les défaites pleines d’espoir, c’est bien… mais ça fait zéro point.
Omniprésents et efficaces, Steve Mandada et Lassana Diarra ont porté l’Olympique de Marseille qui a résisté au PSG avant de craquer (2-1). Les Phocéens ont pu se reposer sur cet axe fort mais ils ont flanché sur les cotés. Malheureux face à Bordeaux mi-septembre, Kevin Trapp s’est largement rattrapé face à l’OM. En détournant un penalty, le portier allemand a été le grand artisan du succès du PSG. Avec Zlatan Ibrahimovic, auteur d’un doublé. En revanche, Angel Di Maria, Edinson Cavani et David Luiz n’ont pas eu le rendement attendu. L’analyse de Julien sur le PSG-OM, suivez d’un topo sur les pénaltys en ligue 1.
La publicité vidéo est de plus en plus répandue sur le web, il est donc primordial de l’utiliser dans votre stratégie digitale. Pour savoir comment garantir une visibilité maximale à vos publicités Google a identifié 5 points qu’il est nécessaire de prendre en compte. En effet que ce soit sur YouTube ou toute autre plateforme vidéo, il existe de nombreux critères à connaître afin d’éviter que l’internaute ne manque votre publicité.
Google a pu établir que seulement 54% des publicités vidéos (hors YouTube) sont visibles sur téléphone, tablette et ordinateur. Par contre les publicités vidéos présentes sur YouTube ont un taux de visibilité de 91%. Pour améliorer la visibilité de ces publicités vidéos, Google recommande notamment l’utilisation de lecteur vidéo plus large ainsi qu’une disposition centrale et située plutôt en haut de page.
Retrouvez l’ensemble des résultats de cette étude dans l’infographie ci-dessous et si vous souhaitez aller plus loin, Google propose tout une série d’études disponibles sur le siteThink with Google.
Bien étudier la cible à laquelle s’adresse la vidéo et ses attentes afin de maximiser le taux de partage ;
Le sujet doit être universel et pas commercial, le logo ne doit as être trop présent, les consommateurs décrochent à partir de l’apparition du logo ;
Toucher les gens grâce à : la surprise, la peur, la joie, le rire la provocation. Il faut susciter des émotions chez les consommateurs pour être mémorisable ;
Vidéo courte qui capte l’attention, une vidéo perd 54% de son audience après 60 secondes ;
Tester votre idée avant auprès de personnes faisant parties de votre cible
Tenir compte des remarques et avis des internautes ;
Il faut créer un désir, une attente en scénarisant la publication de la vidéo. Il faut bien réfléchir à sa stratégie de lancement ;
Utiliser comme relais un influenceur ;
Publier la vidéo sur YouTube qui est la plateforme de partage la plus utilisée ;
Favoriser le partage via les réseaux sociaux.
Québecor Groupe Média a d’ailleurs annoncé la création de Goji, une initiative pour accompagner et à propulser les plus talentueux Youtubers dans le développement multiplateforme de leur marque. Québecor Groupe Média mettra à la disposition des créateurs des expertises qui comprendront le développement d’audience, la monétisation, la distribution et le média. Ainsi, en travaillant avec les spécialistes de Goji, les créateurs pourront optimiser chacun des aspects de leur production numérique et atteindre avec une efficacité encore plus grande leur public qui est composé majoritairement des 15-30 ans.
« Chaque semaine, les créateurs échangent à propos de leurs passions et de leurs émotions dans des capsules vidéo sur le Web. En créant Goji, nous aiderons ces jeunes créateurs d’ici à révéler toutes les facettes de leur talent au plus grand nombre en profitant de la portée de Québecor Groupe Média. Ils pourront ainsi rayonner davantage et accroître leur succès, tant au Québec qu’ailleurs dans le monde », d’expliquer Julie Tremblay, présidente et chef de la direction de Québecor Groupe Média et Groupe TVA inc.
« Que ce soit à travers des moyens de production, la mise à disposition d’experts, de nouvelles occasions de collaboration ou de l’accès à nos plateformes de diffusion imprimées, télévisuelles, numériques, Goji ouvre la porte à une toute nouvelle ère de divertissement à l’intention des jeunes adultes. Notre équipe est prête à les aider à maximiser leur visibilité », de conclure Caroline Roy, vice-présidente, Québecor Numérique.
À noter que Google a inauguré jeudi dernier le premier “YouTube Space” à Paris, au sous-sol de ses locaux afin d’accueillir les Youtubers et mettre à leur disposition du matériel dernier cri. Ce sont 350 m2 d’espace et du matériel moderne qui seront mis à la disposition des Youtubers par le géant américain afin qu’ils puissent produire leurs vidéos, un véritable studio, dirigé par Donatien Bozon, un ancien de Dailymotion.
Le « YouTube Space » de Paris est le troisième ouvert en Europe et le septième dans le monde, après Londres, Berlin, Los Angeles, New York, Tokyo et São Paulo. Dans ces locaux, les créateurs français vont pouvoir bénéficier d’ateliers de formation et de matériel dernier cri afin de réaliser des vidéos de qualité professionnelle. Cet espace est ouvert à tous les Youtubers qui ont au moins 1000 abonnés.
Sébastien Perron, directeur des partenariats YouTube en France expliquait : « Le YouTube Space parisien veut accompagner tous les créateurs au quotidien en leur donnant accès à des outils de création et d’optimisation de vidéos qu’ils n’auraient jamais pu utiliser sans boîte de production derrière« . En France, plus de 30 millions d’internautes se connectent à YouTube au moins une fois par mois et 47 chaînes comptent plus d’1 million d’abonnés. Les Youtubers intéressés peuvent s’inscrire en ligne afin de bénéficier du studio de production, de conseils pour monétiser leurs vidéos ou encore pour monter leur chaîne. C’est aussi un espace qui permettra aux Youtubers de se rencontrer et d’échanger leurs idées.
Plus de revenus publicitaires pour YouTube et les créateurs
Si Google met cet espace gratuitement à la disposition des Youtubers c’est également un bon moyen pour accélérer encore plus la croissance de la plateforme de partage de vidéos qu’est YouTube et d’accompagner les créateurs dans la réalisation de vidéos de qualité qui pourront être monétisées. Ainsi elles rapporteront à leurs auteurs et à la plateforme. David Ripert, le directeur YouTube Space en Europe rappelait que les revenus publicitaires des vidéos sont partagés entre la plateforme et les auteurs, les créateurs recevant un peu plus de 50% des revenus. Au final, tout le monde est gagnant.
La scène de Guérilla Marketing se passe à Austin ou Google distribuait des cupcakes gratuits à des utilisateurs de Google Photos.
Par une opération audacieuse de guérilla marketing, Zappos a détourné cette campagne publicitaire vers sa boîte #PayWithACupcake.
Les passants pouvaient réclamer gratuitement un petit gâteau en payer avec une photo. Faites entrer Zappos. Zappos est une entreprise de vente par Internet de chaussures dirigée par Tony Hsieh, filiale d’Amazon et implantée à Las Vegas.
L’idée est simple : mettre un petit gâteau dans la fente pour obtenir une récompense. Les passants ont commencé à affluer du camion Google vers la boîte Zappos pour obtenir des récompenses intéressantes comme des montres, des écouteurs, des lunettes de soleil, des sacs à dos et des cartes-cadeaux. Zappos a même attiré l’attention des gens du camion publicitaire pour qu’ils déposent leur cupcake !
Bien joué Zappos et Mullen Lowe, l’agence créative derrière ce coup de pub.
Écoutez l’épisode LopoAvendano, le deuxième #LopoAvendano avec une grande première, un invité! Merci encore à Philippe St-Pierre, cœur avec les doigts.
Autre 5 sujets débattus pour que vous écoutez l’épisode LopoAvendano avec passion à consommer sans modération, bonne écoute:
Parce qu’il n’y a pas que Messi et Ronaldo dans la stratosphère soccer, qui est le meilleur 9 au monde?
Mourinho, encore le happy one ?
Un des meilleurs gardiens de l’histoire oubliés pour le Ballon d’Or, une bouffonnerie de la FIFA?
Que se passe-t-il avec Laurent Ciman?
Les commotions cérébrales, nouvel enjeu dans le monde du soccer, quelles solutions sont envisageables?
Appuyez sur le bouton lecture.
Cet article a été rédigé par Fred Loporcarco
Bio de Fred: Quebeco-italien qui a des opinions sur tout ou presque. IMFC Habs and Azzuri are my religion. Membre de l’équipe de @MtRoyalSoccer et @KanFootClub
Fin septembre le Théatre Corona Virgin Mobile a été béni par la présence de la talentueuse chanteuse anglaise Lianne La Havas et son groupe. Nous étions d’autant plus heureux de faire équipe avec notre partenaire le magazine web local DIGIKAN pour couvrir cet événement.
Lianne a choisi un tout costume noir confectionné par ses soins — elle en a fait la révélation après qu’un admirateur l’ait complimentée sur son style. C’était en face d’une foule réactive et éclectique que Lianne a répandu son aura et sa vibe avec sa belle voix et ses nombreuses guitares. L’artiste a essentiellement performé son dernier album intitulé « Blood », qui a été publié plus tôt cet été (31 juillet 2015), et quelques pistes de son précédent album « Is Your Love Big Enough ? ». L’ambiance de son concert nous a tous laissés bouche bée. C’était le moment idéal pour un rendez-vous amoureux ou pour se détendre et chiller.
Last tuesday, the virgin mobile corona theatre was blessed by the presence of the talented english singer Lianne La Havas and her band, We were more blessed to team up with our partner from the local web magazine DIGIKAN to cover this event.
Lianne chose an all black outfit that she put together by herself – she made that known after a fan complimented her on her style for her Montreal appearance. It was in front of a responsive and artsy crowd that Lianne was spreading a mellow aura and transcendant vibes with her beautiful voice and her many guitars. The artist mostly performed her latest album entitled ” Blood “, which was released earlier this summer ( July 31, 2015 ), and a few tracks from her previous album “Is Your Love Big Enough?”. The ambience was something that left us all in awe. It was the perfect time for a date night or for sitting back, relaxing and letting yourself go.
Here are a couple of shots of the show after the jump, and head to DIGIKAN website for the full coverage.
Après le succès de son premier disque Is Your Love Big Enough en 2012, Lianne La Havas revenait en force cet été avec…
Retour sur la défaite de l’Impact de Montréal. Au programme résumé de l’après-match Montreal contre Orlando et analyses de la performance.
À écouter l’Après-Match Montreal vs Orlando du Kan Football Club.
L’Impact de Montréal s’est incliné 2-1, samedi soir devant plus de 35 000 spectateurs au Citrus Bowl, à Orlando. Les Lions ont pris les devants à la 33e minute grâce au 12e but de la saison du la recrue Cyle Larin.
L’Impact a créé l’égalité à la 43e minute grace à un” but” L’attaquant Dominic Oduro. Le défenseur d’Orlando Seb Hines a ensuite marqué le but vainqueur à la 80e minute. Suite à un corner, le ballon a atterri à ses pieds et sur sa première touche, il a tiré au poteau éloigné pour déjouer Bush.