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Secteur 12 : Premier match de la saison Impact de Montreal en vidéo

Secteur 12 Episode 2 – Le 1er match de la saison. The 2015 season kicksoff.

WASHINGTON, D.C. – À son premier match de la saison, l’Impact de Montréal s’est incliné 1-0 contre D.C. United, samedi après-midi, au RFK Stadium, à Washington.

Une belle opportunité de l’Impact s’est transformée en contre-attaque pour D.C. United, qui a marqué l’unique but du match à la 58e minute. Le milieu de terrain Justin Mapp avait trouvé de l’espace sur le franc droit avant de prendre une puissante frappe qui a été arrêtée par le gardien Bill Hamid. Sur la contre-attaque immédiate, Chris Rolfe a remis un long ballon au-dessus de la défense montréalaise pour Jairo Arrieta, qui a déjoué le gardien Evan Bush, qui était sorti de son filet.

« Les conditions du terrain n’étaient pas idéales pour les deux équipes et nous savions que ce ne serait pas un match qui permettrait un bon mouvement du ballon, a indiqué l’entraîneur-chef de l’Impact Frank Klopas. Nous avons obtenu de bonnes chances et le but a été un peu malchanceux. Une nulle de 0-0 aurait été un résultat plus juste, mais c’est une longue saison. Tous les matchs ne seront pas nécessairement comme celui contre Pachuca. »

« Sur le but, il n’y a pas eu de mauvaise communication, mais il y avait beaucoup d’espace, a ajouté le gardien Evan Bush. J’ai pris la décision de m’avancer puisqu’il aurait été en échappée. C’est toujours une situation difficile à juger pour un gardien. Au niveau de l’équipe, nous aurions pu faire mieux des deux côtés du terrain. »

D.C. United est venu près de doubler son avance trois minutes après le seul but du match lorsque Chris Pontius a heurté la barre transversale suite à un centre dans la surface de réparation.

À la 75e minute, Conor Doyle a arrêté le ballon sur la ligne des buts suite à un tir à bout portant du défenseur Hassoun Camara.

«  C’est malheureux parce que je pense que nous avons bien fait en deuxième demie  et nous avions le contrôle du jeu, a mentionné Camara. Nous avons eu des opportunités. Je pense que si je marque ce but on peut revenir avec un bon match nul. L’arbitre m’a dit qu’il y a eu main sur le jeu, mais qu’il ne peut pas siffler parce que sa main est collée au corps. Le contenu a été bon aujourd’hui, alors à nous de continuer sur cette voie et de travailler collectivement. »

En première demie, le défenseur Donny Toia avait obtenu une bonne occasion avec un tir de 30 mètres à la 35eminute, mais le gardien Bill Hamid a plongé à sa droite pour faire l’arrêt. Moins de cinq minutes plus tard, Bush s’est illustré lui aussi en plongeant pour arrêter le tir de Chris Rolfe.

L’entraîneur-chef Frank Klopas avait effectué trois changements à son alignement partant depuis le dernier match de Ligue des Champions contre Pachuca. Hassoun Camara, Calum Mallace et Jack McInerney étaient titulaires aujourd’hui.

Le milieu de terrain Justin Mapp a quitté la rencontre en fin de match en raison d’une dislocation du coude.

L’Impact disputera son prochain match à domicile contre le club du Costa Rica Alajuelense en demi-finale de la Ligue des Champions le mercredi 18 mars à 20h, au Stade olympique.

ALIGNEMENTS
MTL – G-Evan Bush; D-Hassoun Camara, Bakary Soumare, Laurent Ciman, Donny Toia; M-Nigel Reo-Coker, Calum Mallace, Justin Mapp (Dominic Oduro 86’), Ignacio Piatti (Eric Alexander 76’), Dilly Duka; A-Jack McInerney (Cameron Porter 71’)

Substituts non utilisés: G-Eric Kronberg; D-Maxim Tissot, Victor Cabrera; M-Patrice Bernier

DCU – G-Bill Hamid; D-Chris Korb, Bobby Boswell, Steve Birnbaum, Sean Franklin; M-Chris Rolfe (Miguel Aguilar 77’), Perry Kitchen, Davy Arnaud, Nick DeLeon; A-Jairo Arrieta (Michael Farfan 90’), Chris Pontius (Conor Doyle 66’)

Substituts non utilisés: G-Andrew Dykstra; D-Kofi Opare, Luke Mishu; M-Jared Jeffrey

BUT
DCU – Arrieta (Rolfe, Arnaud) 58’

Projecteur sur les Jumelles Eloundou, Prodiges du Tennis Camerounais

Celles qu’on appelle de plus en plus les sœurs Williams Camerounaises sont en fait Linda et Manuella Eloundou, deux sœurs jumelles originaires de l’Afrique en miniature.

Sollicitées par de nombreux pays, elles ont choisi de représenter leur pays au Championnat Africain de Tennis aux côtés de Laurie Lemongo et Guy Takam ; Championnat qui a débuté le Mardi 10 Mars 2015 en Tunisie. Comme on peut le lire sur leur page Facebook, leur objectif est de devenir de très grandes joueuses de Tennis.

Leur histoire avec le tennis commence été 2010 (il n’y a pas d’été au Cameroun, soit) et elles ont alors un peu plus de 8 ans. Après 2 mois de stages de vacances, les encadreurs techniques décèleront en elles un vrai potentiel et invitent leur père, ELOUNDOU Gaspard Joël, à les encadrer afin de développer ce potentiel. Cette remarque tombe plutôt bien puisque leur père nourrissait déjà l’ambition de suivre les pas de Richard Williams, père de Serena et Venus. C’est d’ailleurs ce qui l’aura poussé à les inscrire à ce stage de vacances:

«Impressionné par le succès des sœurs Williams au moment de la naissance de mes filles, alors que je ne connaissais pas grand-chose du Lawn Tennis, je me suis résolu à les guider dans cette discipline »

Linda et Manuella Eloundou Tenniswomen CamerounaisesCelles que le Nigéria et le Togo se disputaient il y a quelques mois ont certes le vent en poupe. En effet, pour les championnats des jeunes d’Afrique de l’Ouest et Centrale de l’ITF (International Tennis Federation) /CAT (Confédération Africaine de Tennis) de Janvier 2014 à Abuja, la Fédération Camerounaise de Tennis n’était pas en règle et ne pouvait donc pas envoyer des candidats concourir pour le compte du Cameroun. Eloundou Gaspard, ayant l’esprit patriote a tenu bon et peut d’ailleurs se vanter d’une certaine assistance du gouvernement. Peut-être pas comme il le voudrait, ou mieux, comme le Ministère en charge le devrait.

Ceci nous fait penser à ces nombreux joueurs (toute discipline confondue) qui prennent d’autres nationalités parce qu’ils ne sont ni accompagnés, ni soutenus par le gouvernement camerounais. Nous savons tous qu’à part le football (masculin notamment), les autres catégories sportives peinent à se développer faute de moyens adéquats.

Retour au naturel en Martinique : Salon week-end forme, beauté et bien-être

Salon week end forme, beauté et bien-être - afrokanlife - image - 2

Salon week end forme, beauté et bien-être - afrokanlife - image - 2Salon week-end forme, beauté et bien-être

Les 6, 7 et 8 février 2015 a eu lieu la seconde édition du salon week-end forme, beauté et bien-être — Retour au naturel en Martinique.

Au programme :

  • Village bien-être
  • Spectacles coiffure
  • Spectacles mode
  • Animations
  • Activités sportives pour petits et grands
  • et l’élection Miss NAPPY Martinique

Cet événement organisé par la K’ZA EVENTS a rassemblé plus énormément de monde. 

Nous avons pu participer à l’élection miss NAPPY en tant que membre du jury (c’est la deuxième fois que l’on me fait cet honneur) et nous nous réjouissons d’autant plus en sachant que cette initiative prend de l’ampleur dans les caraïbes. Trois salles ont été mises en place afin de vous proposer le plus d’activités que possibles sur la journée. L’entrée était à 2 euros sur place et gratuite sur le site de l’événement, qui se déroulait de 10 à 22 h

vendredi 6 février :

Dans la salle Choco : vous pouviez créer votre parfum ou suivre un cours de pôle dance (FiuUp!)

Dans la salle Milk : des cours yoga, un atelier Maré tèt et des conférences capillaires et bien-être vous étaient proposés

Dans la salle Frédonia : on a mis l’ambiance avec le Carib Jam, le Body Attack, la Zumba, la Zumba Step et le Bèlè. Il y a eu deux spectacles : un mode et un de coiffure et la présélection de Miss NAPPY.

Samedi 7 février :

Dans la salle Choco : de l’éveil et du sport pour petits et grands avec la babygym, l’éveil gym, l’éveil danse, le hip-hop break kid, le dancehall kid, du modern jazz kid et de la boxe style.

Dans la salle Milk : des conférences capillaires et bien-être et des cours de yoga étaient au rendez-vous

Dans la salle Frédonia : il y avait des cours de danse, de fitness (Body Jam, Power Jump et Zumba), des spectacles coiffure et mode pour finir par un concert. Je suis super heureuse d’avoir été l’une des « Blacks Angels » de Morris Roots. 

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Dimanche 8 février :

Dans la salle Choco : des cours de yoga et du Bèlè pour enfants et des ateliers pratiques sur les cheveux naturels

Dans la salle Milk : conférences capillaires et bien-être, cours TaichiChuan et ateliers Maré tèt

Dans la salle Frédonia : Tango, Kizomba, Power Jump, Body combat, Body Attack, tout pour nous faire transpirer! Et le bouquet final : L’ÉLECTION MISS NAPPY MARTINIQUE et LE DÉFILÉ DE SEPHORA JOANNES.

Les partenaires :

  • La K’ZA des artistes
  • You Be-Natural
  • Atelier Tortille
  • MEGAFORM (centre de mise en forme)
  • PôlFORM
  • Caresse Antillaise
  • La Mutuelle MGPA
  • Artmonic
  • DIGITAL.COM
  • KMT
  • MARTINIQUE 1ère
  • RCI
  • et plein d’autres

Nous nous sommes beaucoup amusés pendant ce week-end et nous attendons la prochaine édition avec impatience, vous y serez?

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Miss et Mister NAPPY 2015 Martinique


Cet article a été rédigé par Aude SAINT-LOUIS-AUGUSTIN

Bio de Aude : 23 ans et je suis une amoureuse de l’entretien des cheveux naturels qui a peu à peu glissé dans la recherche du Bien-être. Je ne suis experte en rien, mais je souhaite partager mes coups de cœur avec vous alors BIENVENUE dans l’univers de My curly-kinky Hair « Le concept du Naturellement Moi ».

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PSG : Thiago Silva-David Luiz, une charnière qui vaut de l’or

David Luiz Chelsea PSG Champions League

L’éclatante qualification du PSG face à Chelsea en 1/8ème de finale de la Ligue des Champions à 10 contre 11 permet-elle au Paris St Germain de rêver de la victoire finale ? Quelques éléments pour y répondre.

Comme tout le monde le sait dans les matchs à élimination directe le tirage au sort est primordial que ce soit dans les coupes nationales ou pour la Ligue des Champions. Les deux dernières années, le PSG avait hérité d’un tirage très clément en 1/8ème de finale (Leverkusen et Porto). Avant d’avoir un gros morceau au tour suivant. Cette année la donne est différente, ils ont éliminé un favori dès les 1/8ème de finale. Alors si on se dit que le Réal Madrid, le FC Barcelone et le Bayern de Munich restent favoris (encore que le Réal fut bousculé par Shalke 04), un tirage favorable pourrait laisser entrevoir les demi-finales de la C1.

Que ce soit dit, hier l’équipe parisienne s’est qualifiée pour la 3e fois d’affilée pour les ¼ de finale ce n’est plus un hasard. Aujourd’hui, l’expérience d’un David Luiz renforce encore le fait que l’équipe de Paris est bâtie pour le titre. Tous les pionniers ont répondu présents (outre Ibra exclu au bout de 30 min) avec une mention pour Il Monstro (Thiago Silva) qui a retrouvé son niveau de jeu.

Le PSG encore en lice sur tous les tableaux

Tout comme le Bayern de Munich et la Juventus de Turin, le Paris Saint-Germain est encore qualifié sur tous les tableaux (finale Coupe de la ligue, demi-finale Coupe de France, 2e du championnat de Ligue 1) ce qui lui donne un calendrier bien chargé avec de grandes échéances juste avant d’entamer les ¼ de finale. Voyez plutôt :

Le dimanche 5 avril aura lieu le Classico au stade Vélodrome, tandis que la finale de la Coupe de la Ligue face à Bastia se jouera le 12 avril suivi du match aller des ¼ de finale le 14 avril. Impossible de faire des choix, le PSG doit tout jouer à fond, mais cela jouera-t-il sur le physique ou le mental des joueurs ? 

Tout comme l’équipe de France qui a connu le début d’une grande aventure lors du match retour des barrages de la coupe du monde 2014 face à l’Ukraine, cette qualification à Stamford Bridge aura soudé les joueurs prêts maintenant à soulever des montagnes. Tout le monde tire dans le même sens, la solidarité est retrouvée, le jeu également, tous les voyants sont au vert pour aller loin et lever le trophée. Réponse au printemps.

FESPACO 2015 Closing Night Award Ceremony – Moroccan Film “Fievres” wins Golden Stallion

Hicham Ayouch, lauréat de l'Etalon d'or du Yennenga pour son film

FESPACO 2015 Closing Night Award Ceremony – Moroccan Film “Fievres” wins Golden Stallion

Fievres by Moroccan filmmaker Hicham Ayouch won the Gold Stallion this saturday at the 2015 FESPACO, the most prestigious award given out this competition. A crowd favorite, Timbuktu won awards in minor categories such Best Decor and Best Music.

“I am an African and I am proud of it.”said Ayouch, “We are part of a beautiful continent, noble and rich, we are the mother of all earth, we are the wise men of the world.”

“Fievres” is the story of Benjamin, a thirteen year old boy who is sent to live with his father after his mother is incarcerated. The father who still resides at home with his parents, finds himself completely destabilized by the new arrival in his life.

The closing ceremony took place at the Palais des Sports located in the chic neighborhood of Ouaga 2000 in the Burkinabe capital of Ouagadougou, with transition President Michel Kafando present for the festivities.

In second place, Fadhma N’Soumer by Belkacem Hadjadj from Algeria and third place was given to Burkinabe filmmaker Sekou Toure for his film L’Oeil du Cyclone. The star of the film Assande Fargas also won in the Best Actor Category for his role in the film. Other winners include Ivory Coast’s Marie Christina Amon with the television series “African Chronicles”.

This Fespaco is the biggest festival on the African continent. Every two years, the city of Ouagadougou crowds up with celebrities, film professionals and cinephiles from across the globe, making it a top destination during this period. About thirty countries participated in this year’s conquest for Africa’s most recognized award : the Golden Stallion of Yennega.

The next edition of the Fespaco will take place from February 25 to March 4 2017.

Stay tuned for the full list of winners.

 

2015 FESPACO PREDICTIONS

 

The 25th edition of the FESPACO ends this weekend. The closing ceremony will take place this saturday march 7 at the Palais des Sports located in the chic neighbordhood of Ouaga 2000 in the Burkinabe capital of Ouagadougou.

 

About thirty countries participated in the conquest for Africa’s most recognized award : the Stallion of Yennega. Out of 19 nominees competing in the Best Picture category, only one will make the cut. Audience favorite Timbuktu is a sure win for this prize. The choice is now in the hands of eight festival jury members. That’s the beauty of awards season, anything can happen. This could be a second award for Mauritanian filmmaker Abderrahmane Sissako after winning in 2003 for Heremakono (Waiting for Happiness). Tonight’s winner will also take home a cash prize of 20 million CFA, about 30 000 dollars.

 

Feature films not only compete for the Stallion of Yennega award, there are about fifteen other categories to win from including Best Music, Best Scenario, Best Poster, the Oumarou Ganda First-Film Award, Best Editing, Best Actress to name a few.

 

Let’s break down one of the tightest races in years at the FESPACO. Here’s our best stab on how things might unfold during the award ceremony, with predictions on these top three categories.

 

For your consideration:

 

BEST PICTURE

 

Will Win: Timbuktu by Abderrahmane SISSAKO (Mauritania)
Could Win Second Place: Four Corners by Gabriel IAN (South Africa)

Could Win Third Place: Run by Phillipe LACOTE (Ivory Coast)
Should Win: Timbuktu by Abderrahmane SISSAKO (Mauritania)

Coup de cœur: Entre le Marteau et l’Enclume by Amog LEMRA (Congo Brazzaville), O Espinho Da Rosa (The Thorn of Rose) by Henriques FILIPE (Bissau Guinea) and L’Oeil du Cyclone by Sekou TRAORE (Burkina Faso)

 

BEST DOCUMENTARY

 

Will Win: Le Chant des Tortues by Jawad RHALIB (Morocco)
Could Win Second Place: Koukan Kourcia by Sani Elhadji MAGORI

Could Win Third Place: Victorieux ou Morts mais Jamais Prisonniers by Mario L. DELATOUR (Haiti)
Should Win: Devoir de Memoire by Mamadou CISSE (Mali)

Coup de cœur: Esklavaj Reparasyon (Reparations for Slavery) by Jean-Luc Sylvain Michel MIHEAYE (Togo/France) and Capitaine Thomas Sankara by Christophe CUPELIN (Out of Competition) (Switzerland)

 

BEST SHORT

 

Will Win: Twaaga by Cedric IDO (Burkina Faso)
Could Win Second Place: Moane Mory by Amédée Pacôme NKOULOU ALLOGO (Gabon)

Could Win Third Place: Cinq Boites de Lait by Siam MARLEY (Ivory Coast)
Should Win: Twaaga by Cedric IDO (Burkina Faso)

Coup de cœur: Zakaria by Leyla BOUZID (Tunisia), Derniers Recours by Mahi BENA (Algeria) and Damaru by Aghor OBED AGBOR (Cameroon)

 


This post was written by Linda Diatta

Bio de Linda: Multimedia Producer / Community Manager at Foundation GURI – Making Life Better

Projecteur sur Burna Boy : “The Underrated” par Mas Aymard Kina

Burna-Boy-nigeria-musique-afrokanlife

Les années passent, le style évolue mais la scène musicale #GHANAIJA continue de nous approvisionner en jeunes artistes talentueux. Ces dernières années, deux artistes ont su tirer leur épingle du jeu, pour se voir octroyer  les titres de petits princes de l’Afropop et de l’Afrobeats.

Je parle bien évidemment de Davido et de Wizkid. À tel point que leurs fans respectifs, essayent de les mettre en compétition, en beef, en guerre. Bref, certains veulent ou voient une rivalité. Un peu comme 2pac et Notorious B.I.G à leur époque ou Booba et Rohff du côté de nos amis français.

     De leur côté, les deux artistes ne cessent de démentir toute rivalité entre eux avec de nombreuses photos postées sur les réseaux sociaux, pour montrer leur unité, leur fraternité. Comme c’est mignon! On a d’ailleurs l’impression que d’une année à l’autre, ils se cèdent la priorité pour savoir qui dominera la scène africaine et par la même occasion qui aura le plus de succès auprès de la communauté africaine hors du continent. C’est qu’ils seraient polis en plus de ça! Si le talent et la notoriété de ces derniers n’est plus à démontrer, il y a un autre artiste qui selon moi, gagne tout autant à être connu du grand public et c’est…… Burna Boy. (En même temps, je ne surprends personne, son nom figure dans le titre de l’article.)

      Mais qui est ce Burna Boy ? (supposons que vous ne savez toujours pas en 2015, qui c’est). Burna Boy, est un autre jeune artiste nigérian, de la même génération que Wizkid et Davido, puisqu’il a (officiellement) 23 ans. Un an de moins que Wizkid (24 ans) et un an de plus que Davido (22 ans, officiellement lui aussi).

      Qu’a-t-il de particulier que les autres n’ont pas ? Burna Boy, c’est le plus jamaïcain des nigérians. Quand ces deux autres compères ont un style plus Afropop et AfroBeats, lui a opté pour un style plus Reggae-Dancehall. Ce qui lui donne un style unique et fait que même s’il y a une centaine d’artistes en collaboration sur un même titre, il se démarquera toujours. D’ailleurs les collaborations, c’est un domaine dans lequel il excelle particulièrement. En collaboration, c’est l’arôme maggi dans la sauce arachide, le piment sur le poulet, le sirop d’érables sur les pancakes.

      Physiquement, il travaille son look de star qui se veut à la fois Bling-Bling mais sophistiqué qui apporte une touche de sobriété malgré ces quelques bijoux qui ornent son corps. Vous suivez toujours? Coiffure dégradée à la Prince de Bel’Air ou la Punk comme diraient mes contemporains, lunettes de soleil, deux petits colliers en or sur le torse et quelques bagues sur les doigts. Une image qui colle à sa voix. Alors si physiquement et vocalement tout y est pourquoi n’a-t-il pas le succès qu’il mérite (à mon sens) ? Je ne peux que  faire des suppositions. Peut être faudrait-il voir du côté du management ? Est-ce que sa carrière est gérée de la meilleure des manières ?

     Artistiquement parlant, même s’il fait de plus en plus de collaboration ces derniers temps, est ce qu’il ne serait pas du genre à préférer travailler seul de son côté ? Peut-être c’est son style reggae-dancehall qu’il fait qu’il a moins d’opportunités? Est-ce que c’est son côté Bad Boy qui fait qu’il est moins plébiscité notamment du côté de la gent féminine? Pourtant on m’a toujours dit que ces dames aiment les Bad Boys, d’ailleurs d’après les commentaires sous ses vidéos, elles confirment.

     Est-ce qu’il lui manque ce titre qui tournera en club comme Skelewu pour Davido ou Caro pour Wizkid ? Ce qui lui fera passer dans une autre dimension certainement. Mais est ce que Burna Boy c’est ça ? D’un côté oui puisque s’il est artiste je pense que c’est quand même pour avoir ce type de succès. Mais est-il prêt à vendre son art pour ce fameux succès ? L’avenir nous le dira.

      Sinon ça se trouve, c’est moi qui surestime son talent ?… Ou pas puisqu’il est clair qu’il apporte réellement quelque chose d’intéressant au paysage musical africain actuel. Alors pour que tout le monde sache un peu qui est Burna Boy, je vous propose une petite rétrospective qui va peut-être vous faire adhérer tout comme moi à l’univers du plus jamaïcain des nigérians. Entre jamaïcains de cœur, on se comprend.

      Tout d’abord, parmi ses premiers titres, mis à disposition, on retrouve Freedom. Chanson dans laquelle il raconte des déboires qu’il aurait eu en Grande-Bretagne:

Premier clip : Abeg Abeg Abeg (On remarque que physiquement, il est encore en période de croissance) :

Ensuite vient son excellent featuring avec Davido sur Trumpet:

Mais, c’est en 2012 avec le titre Like to Party qu’il se fait connaître du grand public:

Il enchaîne la même année avec le titre Tonight :

C’est sans doute ces deux titres là, sortis en 2012, qui lui permettent de remporter le titre de « Best New Act of the year » en 2013 aux « Nigeria Entertainment Awards ». En 2013, il continuera le travail avec le titre Wickedest Love en collaboration avec le rappeur Los :

Suivi du  titre Wombolombo, un sample d’Angelique Kodjo :

Il accompagnera aussi Waje sur le titre Grind :

On le retrouve sur le Remix de Koma Roll de Tillaman avec Iyanya, Trigga, Phyno et Ice Prince, Rien que ça :

Il clipera le magnifique Run My Race :

Sortira Celebrate :

Puis le titre Na E suppose Be :

Après un Featuring en 2011 avec Davido, on le retrouve en 2013 avec Wizkid sur Jah’s Love is true :

Suivra un autre featuring avec Wande coal pour le titre Amorawa :

Il nous Nous offrira le clip de Yawa Dey, pour finir l’année. Clip dans lequel, physiquement on s’est éloigné de celui qu’il était dans ABEG ABEG ABEG, l’enfant a grandi:

2014, très belle année pour notre Burna Boy. Collaboration avec D’banj pour le titre Won da Mo’ :

Featuring avec DJ SPINALL pour Gbà Gbè é (ne me demandez de le prononcer à haute voix) :

Il y a aussi le titre No No No:

Ainsi que l’un de ses titres phare de l’année Don Gorgon:

On le retrouve en Featuring avec Sarkodie, un des artistes de l’année 2014 et AKA pour Simple Someone :

Sans oublier son autre grand titre de l’année Check & Balance :

Mais s’il y a bien un morceau qui a marqué l’année de Burna Boy, c’est sa collaboration avec Leriq son producteur de toujours avec qui il forme un duo gagnant. Accompagnés de Dammy Krane, Ozone & Mojeed, ils nous offrent l’un des meilleurs titres de 2014, si ce n’est le meilleur, Comment tu t’appelle ? (Oui avec la faute).

Pour 2015, que nous prépare notre ami Burna Boy ? Il a commencé l’année 2015 ou terminé l’année 2014 en featuring avec les sud africains AKA (une fois de plus), Da Les, JR sur des sonorités plus proche de ceux du Hip Hop US avec  le titre All eyes on Me :

Pour la Saint Valentin, lui aussi a offert un cadeau à ses fans en dévoilant la vidéo de son titre Rockstar, retour vers des sonorités plus Reggae:

Néanmoins, on ne pourrait clore cette rétrospective s’en parler des titres comme Gimme Dat d’Ice prince sur lequel il est également en collaboration avec Yung L et Olamide, l’une des meilleures collaborations dans le genre :

De “Do not Run” en featuring avec Reminisce et Olamide: http://soundcloud.com/tosin-olubanke/burna-boy-dont-run-feat

De “Say so”: http://www.youtube.com/watch?v=ezoO_C7GR_o

De “Smoke Some Weed”: http://www.youtube.com/watch?v=5_7H4nxA2ys

De “Touch your toes”: http://www.youtube.com/watch?v=umCZSJIC4ow

Tous ces morceaux, reflètent le véritable style de Burna Boy, un style qui lui est propre, un style « Burnaesque ». On constate donc que malgré son jeune âge (officiel, oui je le répète on ne sait jamais). Burna Boy a déjà une discographie plutôt bien fournie, tout comme ces camarades d’ailleurs. On espère pour lui qu’il continuera dans ce style qui lui est propre et qu’il goûtera à son tour au succès que ses camarades connaissent déjà. En tout cas, il reste un artiste à suivre, pour les plus curieux.


Cet article a été rédigé par Mas Aymard Kina 

Bio de Mas : Étudiant du Mba Esg stratégie et communication digitale, Passionné par les merveilles du web et Futur Expert en stratégie digitale. Slogan 2.0 : Mon réseau se veut comme le web, sans frontières

Twitter: @MasAymard_k

LinkedIn: Mas Aymard Kina

#MarquonsLhistoire Entrevue du VP Marketing Impact Montreal

impact-montreal-communication- marketing-afrokanlife

Que manque-t-il pour que Montréal appuie son équipe de soccer ?

À environ cinq semaines des quarts de finale en Ligue des Champions face au club mexicain Pachuca, l’Impact de Montréal a lancé un microsite web pour faire la promotion de ce grand rendez-vous : marquonslhistoire.com.

La campagne marketing #MarquonsLhistoire est le pari des communications Impact de Montréal pour connecté le marché et les fans. Réalisé par la boîte montréalaise Deux Huit Huit, en collaboration avec le club et l’illustrateur Jimmy Vong, le site a spécialement été conçu pour faciliter la compréhension de la Ligue des Champions, en racontant l’aventure du club montréalais, dont l’objectif ultime est une place à la Coupe du monde des clubs de la FIFA.

Nous sommes allés à la rencontre du VP marketing de l’Impact de Montréal, Hughes Léger, afin d’en savoir plus sur l’opération marketing #MarquonsLhistoire.

Pour suivre l’Impact de Montréal

Youtube : http://ow.ly/q2FM6
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Instagram: http://www.instagram.com/impactmontreal

Pour aller plus loin:

#DEBATSSF : Le buzz marketing #IMFC à Montréal | AFROKANLIFE

Comment la #MLS (MAJOR SOCCER LEAGUE) utilise les réseaux sociaux ? | AFROKANLIFE

Le marketing de l’Impact de Montréal ? | AFROKANLIFE

Le Salon Africa Paris comme si vous y étiez !

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Au mois de février dernier se tenait la 1re édition du salon d’Africa Paris au Carreau du Temple dans le 3e arrondissement de Paris!

Cet événement avait pour but de réunir sur un format de 3 jours les créateurs d’un des plus grands continents du monde autour de différentes animations montrant l’étendue de l’art africain.

On pouvait y sentir une atmosphère chaleureuse, empreinte de gaieté et le plaisir de chacun d’être présent.

Beaucoup de couleurs, de pièces uniques à regarder, toucher, s’offrir.

La tendance dominante était les pièces en tissu Wax dont on ne fait plus l’éloge à ce jour tant il est présent ces derniers temps, que ce soit lors de défilés haute couture, bien porté par les stars qui en font l’apologie!

On pouvait y trouver également différentes marques de produits pour cheveux crépus naturels, de maquillage naturel!

Tout ça sur fond d’animations telles que le défilé avec les créations coiffures de Sephora Joannes, un booty shake entraînant de la grande Maïmouna Coulibaly, un concert d’Ici Kayes DG, l’exposition de tant attendue de Paps Touré!

Un événement convivial qui nous l’espérons sera renouvelé surtout dans un cadre aussi agréable!

Interview Layitia Design

Si tu nous parlais un peu de Layitia Design, d’où t’es venue l’idée de créer tes accessoires?

Layitia Design a été en quelque sorte une évidence. En effet, depuis petite je me passionne par la mode, la création. D’origine haïtienne, j’ai toujours été fière de mes racines et c’est tout naturellement qu’en 2013, j’ai décidé de faire vivre ma passion au travers de mes bijoux en rendant tout cela accessible au plus grand nombre.

Tu es seule à faire le projet ?

Je suis aidée de ma sœur jumelle qui m’accompagne aux expositions auxquelles je participe.

Qu’est-ce qui t’inspire ?

Je suis inspirée par les matières colorées et aime les utiliser sur tous les accessoires que je crée que ce soit le Wax ou le tissu Madras.

Comment se distingue ta marque ?

Il est très important pour moi que mes créations apportent un côté chic et classe aux différentes tenues que peuvent porter mes clients.

Une adresse pour acheter tes créations ?

Je n’ai pour l’instant pas d’endroit physique destiné à la vente de mes bijoux et accessoires, mais j’ai un espace dédié à ma marque dans le magasin « Détail Chic » situé du côté de  Vincennes en région parisienne.

On peut également se procurer mes créations sur les sites A Little Market, Afrikrea et bien sûr me suivre via ma page Facebook, Layitia Design


Cet article a été rédigé par Lilikiwi Tony et FéeLée FéeDesBulles

Suivez-les sur Pires – Que – Jolies

Selma: Movie Review by Eyoum T. Olinga

Nominated this year for the best picture Oscar category, Selma is the story of how Martin Luther King fought, in a pacifist manner, for the rights of African-American.

Selma is the recollection of a series of incident that led to a law that allowed African Americans to exercise their right to vote and to participate in the political decisions of their town, state, and country.

In the lead role, portraying Dr Martin Luther King Jr, is the British black actor David Oyelowo. His performance embodies the length an actor would go to be their character, from the southern accent to the chubby figure and even the iconic gestures during speeches. For “Selma” David Oyelowo was beyond doubt Dr King. A performance that should have gotten him at least a nomination in the lead actor category but let’s not cry, the talented artist is here to stay.

The supporting cast is as good as the man leading the movie. Carmen Ejogo, bringing to screen Coretta King, the wife of the doctor, was superb in the role she was given. A co-lead more than a supporting character, she brought to life the complexity and emotions that were brought up by the events of Selma. Talking about supporting cast too, some will recognize Common, the rapper turned actor, and the mogul of entertainment Oprah Winfrey. Winfrey is also the producer of the movie, the same as her pal Brad Pitt. To put it in perspective, their last collaboration was “12 Years A Slave” that moved the world last year. Oprah also assured that her “snub” at this year’s Oscar nomination was unfortunate, but she was not done making movies yet. We can therefore, assume to see more of her in the next years.

The movie is not only inspired on true event but also uses official resources from history to make the film as truthful as possible. This also, and, unfortunately includes a lot of violent scenes as the beating of black people by the police as they were having a peaceful march. In a world where race problems are still very present, “Selma” is a movie that can be used to remind to African American of the sacrifices that their predecessor did for them to benefit of the liberties they have today. In that spirit, President Obama instructed that the movie be shown for free, to 8th grade around the country, during the Black History Month, February.

“Selma” is definitely a movie that everyone should see, as it pertains not only to America history, but the world history as a whole.

“Selma” : 9/10


Cet article a été rédigé par Eyoum T. Olinga

Bio de Eyoum: Eyoum T. Olinga, 24 ans et Camerounais. Je ne vis que de films et d’eau fraiche. Je milite pour l’évolution de l’industrie cinématographique en Afrique.

Twitter: @Ponce_Pilate

Blog: TV is just a box

Sylvia Bongo O. célèbre la Femme par Céline M.

Girls. Women.

Je n’ai pas voulu faire une introduction poussée, juste: “Girls. Women“.

Soit. La Journée Internationale de la Femme, célébrée chaque 8 Mars approche. À cet effet, ma Première Dame, celle de mon cher Gabon a décidé de rendre hommage, en chanson, à toutes les femmes et leur dire qu’elles comptent. Sous la tutelle de sa Fondation, c’est donc ce 2 Mars qu’a été partagée la chanson “Toutes les Femmes Comptent”. Une magnifique oeuvre dans laquelle se mêlent Rap et chanson mais aussi dans laquelle on retrouve des sonorités typiquement Gabonaises – bah oui, charité bien ordonnée commence par soi-même.

Au micro, un collectif de rappeurs assez connus des jeunes Gabonais composé de Styve, Hadji et Syanur – Une perle du Hiphop241-, d’une chanteuse au talent reconnu par ses pairs, Laurianne Ekondo et d’un chanteur a la voix mieilleuse, Isaac John, qui a eu la lourde charge de transmettre de par sa voix, un message en langue vernaculaire. Avec un agencement parfait et un refrain qui joue à merveille le rôle de lien entre chaque couplet, ce titre a tout bon.

Vous nous direz que ce titre fait trop référence à la Femme – Mère alors que toutes les femmes ne le sont pas forcément. On vous répondra que chaque Femme est une Mère et ce, au delà de toutes les difficultés physiologiques rencontrées par certaines d’entre elles.

Lien de téléchargement (légal ne vous inquiétez pas) : Hulkshare – Fondation SBO

Vous pouvez suivre les activités de la Fondation sur Twitter (@fondationsbo) ou bien sur leur site internet (Fondation Sylvia Bongo Ondimba). D’ailleurs sur le site, la Première Dame s’est exprimée par rapport à la Journée Internationale de la Femme autour du thème “Femmes africaines et Leadership”: Lire la Tribune

Bonne journée Jeunes Dames.


Cet article a été rédigé par Céline M.

Bio de Céline: Bloggeuse à temps partiel. Insolente et membre du Plus Size Gang à temps plein. Détentrice d’une vie pleine de tribulations et terne a la fois.

Twitter: @ItsLadyCee

Blog: Le Blog de Lady Cee

Réactions vidéos des joueurs à la qualification historique de l’Impact de Montréal

Cameron Porter, 21 ans, a marqué un but historique pour l’Impact de Montréal. À voir toutes les réactions vidéos des joueurs suite à la qualification au Stade olympique.

Cameron Porter: “A dream come true” #MTLvPAC | Postgame AFROKANLIFE

 

Montreal Impact vs CF Pachuca : Frank Klopas Post Match Press Conference | Postgame AFROKANLIFE

 

Bakary Soumaré : “Là pour faire une grosse saison” #MTLvPAC | Postgame AFROKANLIFE

 

Evan Bush: “Biggest save of my career” #MLTvPAC | Postgame AFROKANLIFE

 

Laurent Ciman: “Les gars ont réparé mon erreur” #MTLvPAC | Postgame AFROKANLIFE

 

Patrice Bernier: “Un sentiment de revanche” #MTLvPAC | Postgame AFROKANLIFE

 

Calum Mallace: “It was a tough pass” #MTLvPAC | Postgame AFROKANLIFE

MONTRÉAL, Québec – C’est devant une foule bruyante de 38 104 spectateurs que l’Impact de Montréal a marqué l’histoire, alors que la recrue Cameron Porter a inscrit le but égalisateur dans les dernières secondes du match, mardi au Stade olympique. Ce verdict nul de 1-1 a assuré à l’équipe une place en demi-finales de la Ligue des Champions pour la première fois de son histoire, grâce au résultat au total des buts (3-3, deux buts marqués sur la route).

FAITS SAILLANTS

« L’esprit d’équipe était incroyable ce soir, a déclaré l’entraîneur-chef Frank Klopas. Je crois que nous avons fait un bon travail dans trois aspects clés : le plan de match, la préparation et les joueurs choisis. Lorsque vous avez un groupe de joueurs qui suivent les objectifs établis en présaison et que tout le monde comprend cet engagement, le dévouement et le travail à faire, c’est cette mentalité gagnante qui te permet de gagner. »

Avec seulement quelques secondes à jouer, Porter, qui a fait son entrée dans le match dans les dernières minutes, a trouvé le fond du filet avec précision, après avoir amorti de la poitrine la longue passe de Calum Mallace.

« Quand j’ai vu le ballon arriver, je me suis rappelé des vétérans qui me disait de me détendre et d’être prêt, a expliqué Porter. L’opportunité est venue et il fallait mettre le ballon au fond du but.»

L’équipe mexicaine pensait atteindre la phase suivante de la compétition lorsque l’arbitre a accordé un penalty à la 80e minute et l’attaquant German Cano a trouvé le fond du filet.

« Nos partisans nous ont aidé jusqu’à la fin, même lorsque nous tirions de l’arrière. L’atmosphère était incroyable. Je crois que les joueurs l’ont senti et se sont investis dans le match. L’équipe n’a jamais lâché et ils ne nous ont jamais abandonné, a ajouté Klopas. »

Le milieu de Pachuca Walter Ayovi a été le premier à obtenir une bonne occasion de marquer lorsqu’il a passé le ballon sur l’aile gauche à Hirving Lozano, mais son tir a raté le filet, alors qu’il était seul devant le gardien Evan Bush.

Bush a réalisé l’arrêt du match à la 71e minute lorsque Lozano a dribblé sur l’aile, avant de centrer pour Cano, seul dans la surface de réparation. Sa frappe se dirigeait vers le fond du filet, mais Bush a effectué un déplacement rapide pour bloquer le ballon avec ses jambes.

« Le défenseur latéral gauche a fait un bon centre et un joueur s’amenait dans la surface. C’était à bout portant et tu dois te placer dans la meilleure position possible en espérant pour le mieux, a expliqué Bush. »

L’Impact devient la première équipe de la MLS à atteindre les demi-finales de la Ligue des Champions depuis le LA Galaxy et les Seattle Sounders en 2012/2013.

L’Impact de Montréal entamera la saison régulière ce samedi, 7 mars, contre D.C. United à Washington, à 15h00 (RDS, TSN 690).

STATISTIQUES DU MATCH

ALIGNEMENTS
MTL: G – Evan Bush; D – Dony Toia, Laurent Ciman, Bakary Soumare, Victor Cabrera; M – Marco Donadel (Calum Mallace 65′), Nigel Reo-Coker (Cameron Porter 85′); Dilly Duka, Ignacio Piatti, Justin Mapp; A – Dominic Oduro  (Jack McInerney 78′)

PAC: G – Oscar Perez; D – Rodolfo Pizarro, Miguel Herrera, Aquivaldo Mosquera, Walter Ayovi; M – Erick Gutierrez, Hector Mascorro (Jurgen Damm 46′), Hirving Lozano; A – Jorge Hernandez, Ariel Nahuelpan (Junior Sornoza 69′), German Cano (Guillermo Martinez 88′)

BUTS
PAC – Cano (PEN) 80′
MTL – Porter (Mallace) 90+4′

AVERTISSEMENTS
PAC – Herrera 37′
MTL – Mapp 55′
PAC – Hernandez 56′
MTL – Reo-Coker 62′
PAC – Perez 90+2′

The Montreal Impact Captaincy: Unnecessary hype

Back in Canada after a pit-stop at Chivas USA, Nigel Reo-Coker joins the Montreal Impact and with him comes the experience of being a captain in every team he played for. He wore the captain’s armband for the club’s first official game in 2015 against the mighty Pachuca in Mexico.

But this isn’t Montreal if there wasn’t any kind of hype around the subject of the captaincy. A goalkeeper debate would be even more enticing but that’s for another tricolore club, another sport, another type of surface. Let’s just say that the culture of hockey and football/soccer do not mesh on every level.

24 hours before the club’s biggest game in its history, Frank Klopas is asked on whether ” the captain ” will play, obviously referring to Patrice Bernier, who was on the bench during the 1st leg against Pachuca. In the video above, Klopas makes it clear that being the team captain does not guarantee a starting spot on the team.

What bothers me the most is not whether a captain is guaranteed to be on the starting eleven but the obsession over the captain’s armband and whatever symbolic value it might hold. Actually, as per FIFA rules, the captain’s role on the pitch is mostly symbolic as he/she participates in the coin toss and is the first line of communication between the referee and the team. The Laws of the game state

The captain of a team has no special status or privileges under the Laws of the  Game but he has a degree of responsibility for the behaviour of his team.

So the captain shoulders the responsibility of his team as its representative if the referee needs to communicate.

Bernier is obviously an important symbol for the club on and off the pitch. That did not stop him for performing well in 2012 and 2013 with Davy Arnaud as captain. Arnaud was not a unanimous choice among all fans and media. Reo-Coker will not change his style of play or attitude if you take away the armband overnight.

Leadership does not stem from one person but a captain must be a leader in his own way. The strength of the squad goes beyond the elasticity of the captain’s armband but takes its roots from all 11 leaders on the pitch and beyond.

Respect the captaincy if not the man.

FESPACO 2015 welcomes Africa’s top filmmakers

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Festival season in Africa starts this month with the Pan-African FESPACO 2015 Film Festival, the biggest festival on the continent, which opened last sunday in Burkina Faso’s vibrant capital Ouagadougou.

Artists from all corners of the continent will take part in the event which runs until March 7, with “African Cinema : Production and Distribution in the Digital Era” as this edition’s theme. Since its inception in 1969, the festival has done an excellent job sticking to its missing statement : to favor the promotion of all works of the African cinema, to broadcast the works of its filmmakers and to allow exchanges between film professionals.

Unlike other years, for the very first time, the FESPACO is open to the African diaspora filmmakers and digital films can be submitted for selection rendering the film making process much easier for directors who no longer have to make or convert their films in 35mm. Let’s not forget this festival isn’t just about film. Nine television shows will also compete for the Best TV Series trophy and 2 Million dollars CFA prize.

Out of 720 films submitted, only 134 were officially selected for the competition. Among the favorites: Abderramane Sissoko’s Oscar nominated film and seven times César winner “Timbuktu”, a definite competitor for the Gold Standard.

Opening tonight at the festival is “Run”, the story of a man who just murdered the Prime Minister of his country, a role played by breakout star Abdoul Karim Konaté. In this glisteningly crafted feature, Ivoirian filmmaker Philippe Lacôte provides us with a deeper look into the violence and crisis that ravaged his country.

Stay informed with everything FESPACO through our series of reviews, interviews and videos only on Afrokanlife. Throughout the week we’ll offer day-by-day accounts of events and milestones at the fest.

Let the week-long madness begin!

Here is the official list of films and TV shows selected at this year’s fest.

FEATURE FILMS

– Avant le printemps d’Ahmed Attef (EGY),V- C’est eux les chiens d’Hicham Lasri (MAR),

– Cellule 512 de Missa Hebié (BF),

– Des étoiles de Dyana Gaye (SEN),

– Entre le marteau et l’enclume d’Amog Lemra (CON),

– Esclave et courtisane de Christian Lara (GUA),

– Lalla Fadhma N’Soumer de Belkacem Hadjadj (ALG),

– Fièvres de Hicham Ayouch (MAR),

– Four Corners de Ian Gabriel (ZA),

– Haïti Bride de Robert Yao Ramesar (Trinidad-et-Tobago),

– J’ai 50 ans de Djamel Azzizi (ALG),

– L’œil du cyclone de Salif Traoré (BF),

– Morbayassa de Cheik Camara (GUI),

– O Espinho da Rosa de Filipe Henriques (Guinée Bissau),

– Price of love de Hermon Hailay (ETH),

– Printemps tunisien de Raja Amari (TUN),

– Rapt à Bamako de Cheik Omar Sissoko (MAL),

– Render to Cesar de Desmonde Ovbiagele Onyekachi Ejim (NIG),

– Run de Philippe Lacôte (CIV),

– Timbuktu d’Abderrahmane Sissako (MAUR).

 

SHORT FILMS

– A cœur ouvert d’Ayekoro Kossou (BEN)

– Aïssa’s Story d’Essien Iquo (NGR)

– Ashley d’Ibrahim Ibra Kwizeka (BUR)

– Chambre noire d’Oumar Niguizié Sinenta (MAL)

– Cinq boîtes de lait de Siam Marley (CIV)

– Coming Home de Marinda stein (NAM)

– Damaru d’Agbor Obed Agbor (CAM)

– De l’eau et du sang d’Abdelilah Eljaouhary (MAR)

– Derniers recours de Mahi Bena (ALG)

– L’alliance de Rahmatou Keïta (NIG)

– Kamelo de Jean-Claude Bourjolly (HAI)

– Kwaku Ananse d’Akosua Adoma Owusu (GHA)

– La Boucle de Didier Cheneau (REU)

– La dot de Tahirou Tasséré Ouédraogo (BF)

– Les avales du Grand Bleu de Kossivi Tchincoun (TOG)

– Madama Esther de Luck Razanajaona (MAD)

– Malika et la sorcière de Boureima Nabaloum (BF)

– Moane Mory de Pacôme Amédée Nkoulou Allogo (GAB)

– Muruna de Moly Kane (SEN)

– Soeur Oyo de Monique Mbeka Phoba (RDC)

– Twaaga de Cédric Ido (BF)

– Zakaria de Leyla Bouzid (TUN)

DOCUMENTARIES

– 10949 femmes de Nassima Guessoum (ALG)

– Ady Gasy de Nanteneina Lova (MAD)

– Asni : Courage, passion and glamor in Ethiopia de Samuel Rachel (ETH)

– Beats of the Antonov de Hajooj Kuka (SUD)

– Devoir de mémoire de Mamadou Cissé (MAL)

– Egypt’s Modern Pharaons de Jihan El-Tahri (EGY)

– Esklavaj Reparasyon de Jean-Luc Sylvain et Michel Miheaye (TOG)

– Intore, entre la danse et l’art de la guerre de Aristide Muco et Aristide Katihabwa (BUR)

– Koukan Kourcia, les médiatrices de Sani Magori (NIG)

– La sirène de Faso Fani de Michel K. Zongo (BF)

– La souffrance est une école de sagesse d’Ariane Astrid Atodji (CAM)

– Le chant des tortues de Jawad Rhalib (MAR)

– Mantuila, un fou de la guitare de Michée Sunzu Tshimanga (RDC)

– Miners Shot Down de Desai Rehad (RSA)

– Momsarew d’Alassane Diagne (SEN)

– Paths To Freedom de Richard Pakleppa (NAM)

– Sur les chemins de la Rumba de David-Pierre Fila (CAM)

– Sur un air de révolte de Franck Salin (GUA)

– Tango Negro, les racines africaines du tango de Dom Pedro (ANG)

– Victorieux ou morts mais jamais prisonniers de Mario L. Delatour (HAI)

TELEVISION SHOWS

– « Eh les hommes ! Eh les femmes ! » de Woye Apolline Traore (BF)

– Chroniques africaines de Marie-Christine Zmon (CIV)

– Coeurs errants de Sorel Agbodemakou (BEN)

– Courses pour la vie de Francis Zossou et Tiburce Bocovo (BEN)

– Dougouba Sigui de Boubacar Sidibe (MAL)

– Du jour au lendemain d’Adama Roamba (BF)

– La belle-mère d’Ebenezer Kepombia (CAM)

– Lex Nostra de Gérard Désiré Nguele Amougou (CAM)

– Tôt ou tard de S. Bernard Yameogo (BF)

STUDENT FILMS

– ABC, Abloni bien choisi de Tchilalo Bebi Solo (ESEC, Togo)

– Croix d’Agadez d’Amadou Dénis Paraiso Roufay Charifatou (IFTIC, Niger)

– Délestage électrique de Karim Koné (Brico Films Formation, Mali)

– Dinan de Senami Kpetehogbe (Isma, BEN)

– Elise de Saho Venance Simon Zoh (ISMA, Bénin)

– Et si Dieu avait tort de Palyikem Kpatchaa (Esec, Togo)

– Je danse, donc je suis d’Aissata Ouarma (ISIS, Burkina Faso)

– Kadi (Lanterne) de Lawrence Agbetsise (Nafti, Ghana)

– Kanko l’Ixelloise de Boubacar Sangaré (ISIS, Burkina Faso)

– Karité, mane des savanes d’Abossi Abenan Felicia Kouakou (ISACOM, Côte d’Ivoire)

– Liberté emprisonnée de Sara Mikayil (ESAV, Maroc)

– Sagar de Pape Abdoulaye Seck (ESAV, Maroc)

– Stigmate d’une prêtresse de Prince Kong A. Maneng (ISMA, Bénin)

– Le voyageur de Peter Sedufia (NAFTI, Ghana)

– Wakman de Sékou Oumar Sidibé (ISIS, Burkina Faso)


This post was written by Linda Diatta

Bio de Linda: Multimedia Producer / Community Manager at Foundation GURI – Making Life Better

Conversations with your mother: The pressure to get married

Conversations with your mother: The pressure to get married.

Conversations with your mother.

“Are you thinking of getting married?
“… I heard Jane got Married the other day….. (pause) what are you waiting for?”
“30 is right around the corner”
“I have someone I want you to meet”
“My birthday is coming up, is your fiancé going to buy me a present? You know I like that phone that kind of slides like this (as she does funny things with her fingers)”
“When are you going to leave this house and enter your husbands house?”
“Instead of telling me all the things you want, you should be asking your husband.”
“if you had a husband, you would….”

These among many memorable phrases are part of conversations that you’ve probably had with your mother. And I use the term mother loosely to also refer to your godmother, your aunts, older sisters, mentors and the likes. We love them, we do, but sometimes we just want to say “shut up”. Because on top of your mother there is your friends, your uncles, the nanny, the neighbour and just about everybody who cares a little about you (and who doesn’t) who seem to want to have the conversation about “being married” and “having children”.

Do they not think that you too sometimes aspire to these things? They seem to want to remind you every chance you get, tell you how a good wife is suppose to be and why it is important for you to get married. If you’re lucky you are relatively strong willed and have not have passed the cap of 30 (yet! Yes YET) so they sometimes lay off you, but what of the dear dear sisters who are getting this pressure day in and day out, and who sometimes succumb.

Could this un-relentless pressure perhaps be the reason why getting married is (such) an end goal? An end goal in the sense that, some sisters aspire to it so much that they would do anything and everything under the sun. They hear the bickering over and over again, and eventually it becomes like a second voice in their minds, hammering at them constantly. And even after you make that step, the next pressure ring involves the children.

Your Mother probably Says;
She thinks it is important to get married, she thinks a woman (as she grows older) needs companionship, it is hard to be alone she says. For her, marriage has nothing to do with what people around you say, it has to do with creating an environment for yourself, accepting the good, the bad and the ugly (but only because you chose it). Above all, she strongly believes that baring children is the one and only legacy you (as a woman) can leave behind. She is proud to have had all her children, and she wants the same for you. She’s been known to say that you can decide not to get married, but you must not give up on having children.

One Aunty thinks;
She has no ‘opinion’ which way or the other (or so she says). She just wants you to be happy. And she thinks that you will be happy being a wife and mother. Both go hand in hand. I guess that is her opinion.

Your friends:
Some think you are lonely, and always find the words to tell you that youI should really be in a relationship, as if you just snap your fingers and summon “relationship come to me”. A few think you make no effort whatsoever (their prerogative) and others well, you rock and ride together in your “social loneliness”. Often considered social pariahs because the married women don’t approve of you being around their husbands, the men think something is wrong with you because you are not yet married, the parents think you must not want to settle down and so on and so on.

Your Uncles they just want to know that some idiot isn’t shacking up with you and getting a free ride (the dowry must be paid). One is known to often tell you, “you young girls today are not like our mothers” – whatever that means…. Your dad prbably just sits calmly waiting to threaten whoever comes around to “steal” his daughter. He patiently (for now) awaits the moment and you thank him for that.

I mean everyone is going to have something to say about why you are not shackled down. Ultimately it is a singular decision. A choice (you know how I love my choices). And nothing I say here will change what they think or what you even think as a person, however, here are 3 reasons why you should never, ever feel the pressure to get married:

Because they said so (who cares what they say? It is your choice remember?)
Because you’ve been together so long, why not (this is one of the stupidest reasons if I have ever heard one, together with ‘we have kids together’ – don’t pollute the lives of innocent children please)
Because you want “stability” (whatever that means….)

Marriage is hard, marriage for the wrong reasons is a nightmare. I don’t think getting married at 25 or 45 makes a difference as long as it is a decision you have made for yourself. Don’t let society decide what you do for yourself. And should you never get married, trust me it is not the end of the world. Period. Happiness is not a destination, don’t think that because you get married you will be happy, anyways, this is getting long… Do not let society dictate when you walk down the aisle, do it when you are ready! I know I won’t. I may be a product of my society, but I am above all, a whole individual.

Comment venir en aide aux victimes des exactions de Boko Haram au Cameroun

Smile charity contre Boko Haram

Depuis quelques temps, des mouvements sont créés dans le but d’assister aussi bien les soldats qui luttent contre la nébuleuse terroriste Boko Haram que les populations victimes des exactions de ce groupe qui sème la terreur dans les pays limitrophes du Nigéria à savoir le Niger, le Cameroun et le Tchad.

Parlant du Cameroun, il y a eu des marches et des campagnes dont nous avons parlé sur notre site. Nous vous avions aussi parlé de Jesse Ndongo, jeune Camerounais, fondateur de la Carlton Smile Charity. Cela fait presque deux ans que de nombreuses campagnes telles que des remises de dons, des séances d’activités ludiques avec les enfants ont été menées un peu partout en Afrique (Afrique Du Sud, Zimbabwe, Gabon, Cameroun, etc…). Plus de 500 orphelins ont déjà été assistés sans aucun sponsor mais essentiellement grâce aux participations de bénévoles. Cette fois, il revient avec un autre projet, Smile 4 Peace, pour lequel il organise une levée de fonds dont un huissier témoigne de la légitimité. Pour contribuer, cliquer sur le lien suivant : Smile4Peace

Le contexte de ce projet

 Nous avons pour ambition de collecter des fonds et de les apporter aux victimes des attaques, contraintes de laisser tout derrière elles pour survivre et aujourd’hui livrées à elles-mêmes. Nous pensons aussi aux enfants, qui ne partent plus à l’école et vivent dans la crainte. Nous aimerions également apporter un soutien à la valeureuse armée camerounaise qui ne cesse de se battre pour maintenir la paix dans notre pays, le Cameroun.

Le but

Le but est de montrer l’impact que les jeunes peuvent avoir sur leur pays. Que nous pouvons nous rassembler pour une action commune malgré nos différences, pour illustrer à quel point ces différences nous rendent plus forts. C’est également une opportunité pour la diaspora de jouer un rôle malgré la distance et finalement à travers le livre, inculquer aux jeunes un peu plus sur l’importance de la paix pour le développement.

La collecte

Les fonds à collecter sont estimés à 3500$ (environ 2 000 000 FCFA). Ils serviront à acheter des denrées alimentaires, de l’eau potable, des boites à pharmacie, des lampes-tempêtes et autres équipements de survie et de première nécessité que nous nous empresserons d’acheminer auprès des victimes et familles des soldats tombés au combat.

Les contreparties

Tous les contributeurs du projet SMILE4PEACE auront une contrepartie en fonction de la somme offerte :

  • Pour un don de $5, les contributeurs recevront un aimable mot de remerciement de la part de l’équipe de SMILE CHARITY.

  • Pour un don de $10, en plus du mot de remerciement, vous recevrez un bracelet SMILE CHARITY. Ainsi vous ferez désormais partie de la grande famille des “Smile Donors”.

  • Pour un don de $15 et plus, vous recevrez tous les cadeaux cités plus haut et un exemplaire du livre “The what, why and how of Charity”, écrit par Jesse Carlton HAPPY et qui parle de l’importance de la fraternité et du partage dans le développement personnel et professionnel de tout homme.

Le challenge

Il est vrai qu’une partie de la région du Nord-Cameroun n’est pas fréquentable à l’heure actuelle. Mais ayant des contacts sur place et avec l’assistance de l’armée Camerounaise, nous ferons tout notre possible pour acheminer les récoltes. Ça fait partie du challenge que nous rencontrerons durant ce projet et que nous sommes plus que déterminés à relever.

Pour ceux qui souhaiteraient faire un don mais ne possèdent pas de carte bancaire, un centre de distribution est mis à disposition à :

– Yaoundé : Restaurant NETCAFE (situé Sonel Nlongkak)

– Douala : Neptun’s (situé en face de l’école américaine de Bonapriso)

Il est possible de faire un don en achetant directement le livre “The what, why and how of Charity”. Dans ce cas, les dons seront évidemment pris en compte dans la collecte de fonds du projet SMILE4PEACE.

Ensemble, nous allons apporter du sourire à nos compatriotes du Nord. Nous allons soutenir et encourager davantage nos troupes. Partagez massivement sur les réseaux sociaux! Toute contribution matérielle, morale, physique est la bienvenue.

La collecte se termine le 15 Avril 2014 à 23h59 et en Mai 2015 commencent la distribution des contreparties aux contributeurs ainsi que l’acheminement des fonds aux victimes et familles des soldats tombés. Pour plus d’informations, vous pouvez joindre Kate MOULIOM (Project Manager) : kate.mouliom@yahoo.fr ou Jesse Carlton HAPPY (Fondateur): jesse.happy@yahoo.fr

Vous pouvez aussi lire les articles suivants:

– #237VaTchopBH : Les Camerounais disent #StopBokoHaram 

– Projecteur sur la Carlton Smile Charity Foundation

–  #ONESTENSEMBLE Rendez-vous le 1er Mars 2015 Place Trocadéro pour dénoncer les exactions de la secte Boko Haram.

 Non à Boko Haram – Message de soutien de la diaspora à nos soldats !

Le cheveu “noir” dans tous ses états de Corinne Vincent

Cheveu-Noir-Dans-Tous-Ses-Etats-AfrokanLife-Corinne-Vincent

« Le cheveu “noir” dans tous ses états » de Corinne Vincent est un ouvrage très réussi et complet qui a pour thème l’entretien du cheveu crépu, qu’il soit naturel ou défrisé.

Ce livre vous apportera des réponses aux questions que vous avez sur l’entretien et la structure de vos cheveux.

Il contient aussi des recettes cosmétiques à confectionner soi-même à la maison. Ma recette coup de cœur est sans doute la Chantilly de karité.

Corinne-Vincent-Le-cheveu-noir-dans-tous-ses-etats

L’auteure de ce livre est une charmante Martiniquaise qui vit actuellement au Royaume-Uni. Son livre aide à mieux comprendre les particularités de nos cheveux. Elle a elle-même eu un parcours capillaire particulier, un retour au naturel, puis un weave et un nouveau retour au naturel ces temps-ci… Le tout avec une chevelure qui lui arrive à la taille !! Oui oui !! Et non, elle n’a pas d’origine indienne blablabla lol… elle a des cheveux CRÉPUS.

La preuve qu’en matière de cheveu il n’y a pas de diktat ni d’obligation. Il faut suivre ses envies sans oublier la SANTÉ des cheveux, le reste est une question de choix.

Si vous voulez acheter le livre :

Il coûte environ 24 euros

Bien sûr, allez faire un tour sur sa page Facebook : « le cheveu noir dans tous ses états ».
Et sur sa chaîne YouTube pour voir ses recettes en direct : « Jazza Cazou ».

Bonne lecture !


Un article rédigé par Laureen Corain de la page Made In Nina Naturals.

La plus belle des rébellions Par Léandre De Simo

La plus belle des rébellions

Beaucoup d’entre nous sont confortés dans une illusion triste de ce qu’est la vie, leur vie.
Ils croient naïvement être maîtres de la situation, décider du sens qu’ils veulent donner à leurs ambitions.
D’autres, pire encore, ignorent même, ce qu’ils veulent. Ignorent qui ils sont.

Ô monde d’illusion, que tu es vain !

Sache très cher que tout n’est que manipulation.
Jusqu’à quel point es-tu aveugle ?
Un trop grand nombre d’entre nous n’est que la réplique presque aboutie des parfaits moutons, que « les maîtres » ont voulu que nous soyons.
Oui des moutons. Nous ne sommes que des moutons. Des pigeons.
Je dis bien « nous », parce que moi aussi je me reconnais, me retrouve dans ce manège sordide.

J’en prends pour exemple ce regard dépité que l’on jette sur ces personnes qui ne correspondent pas aux standards de beauté établis par « les maîtres ». Ces personnes que nous disons « laides ».
Le sentiment de pitié/dégoût que nous attachons aux personnes démunies. L’exclusion sociale à eux réservée. Le malaise que l’on ressent quand l’on se dit « pauvre ».

« Les maîtres » ont voulu ça.
« Les maîtres » ont décidé cela.
« Ils » ont décidé que les gens pauvres étaient des sous-hommes, des
êtres tristes. Que les personnes qui ne s’habillaient pas comme ceci ou n’avaient pas des visages comme cela étaient laides. Que si l’on ne connaissait personne d’influence, nous n’étions alors en soi, personne.

Des clichés, des clichés, encore des clichés, que l’on perpétue au fil du temps, au point de l’inscrire dans notre code génétique.
De nos jours, tout n’est ramené qu’aux chiffres. Tout.
Tout à un chiffre, un prix.
La paix, l’amour, la liberté…
Parce que « les maîtres » l’ont décidé.

CESSE !

Cesse de croire parce que les gens te regardent différemment ou que les gens t’excluent que tu ne mérites point de respirer. Tu as autant de droits sur cette terre, à cet air que quiconque.
Cesse de croire que ton bonheur, ta liberté, ne dépend que de l’argent.
Cesse de te faire tant de mal.
Tant de beauté se voile derrière ta souffrance, tant de joie se meurt derrière ta tristesse.

Je ne suis point un partisan de l’espoir. D’ailleurs, je hais ce mot.
Donc, comprends bien que je ne suis point en train de te faire la promesse de jours meilleurs, car je ne suis pas devin.
Qui sait, peut-être le meilleur est déjà passé.
Ce que je voudrais t’amener à comprendre sait que tu dois cesser de laisser les opinions des autres régir tes sentiments.

Tu vis TA vie, tu vis TA réalité, instaures TES propres codes.

Ne laisse plus la peine te gagner parce que les autres pensent ou disent que tu dois être en peine.

La plus belle des rébellions est celle-là. Celle contre toi.

Tellement de fois, je me suis senti malheureux parce que je n’avais pas ce que les autres avaient, je me suis senti misérable parce que je n’étais pas ce que les autres étaient. J’étais… un moins que rien « un moins que rien ». Jusqu’à ce que je l’écrive, je ne me rendais pas compte de la signification de l’expression « moins que rien ». Et toi, imagines-tu être un « moins que rien » ?

Si un jour dans ta vie, dans ton passé, où même à cet instant précis, tu as eu à te rendre à l’évidence que tu étais, inconsciemment, la chose abjecte que la société des « maîtres » rejette, aujourd’hui qui es-tu ?

À présent que vas-tu être ?


Cet article a été rédigé par Léandre De Simo

Bio de Léandre: I’m a Artist…

Suivez-le sur @LeFreeJah

Soundcloud: soundcloud.com/le-free-jah

Du cinéma afro sur TF1 avec la plateforme VOD Afrostream

AfrostreamVOD la nouvelle plateforme VOD de TF1 Netflix afrique

Une plateforme de téléchargement payante de cinéma afro sera lancée en mars prochain par TF1 en partenariat avec Afrostream. Des films comme 12 Years a Slave ou Ray côtoieront des productions comme Timbuktu ou des films de Nollywood.

Intitulé “AfrostreamVOD”, le catalogue est déjà en partie disponible en ligne. TF1 veut proposer à court terme une centaine d’oeuvres (films, téléfilms et séries) du cinéma “afro”, dont des classiques, comme “12 Years a Slave” ou “Ray”, mais aussi “Bande de filles”, film français sorti en 2014, et “Timbuktu”, du Mauritanien Abderrahmane Sissako, qui a triomphé aux César en décrochant sept trophées.

Alors que Netflix s’est apprêté à bouleverser le paysage audiovisuel, son alter-ego, Afrostream est arrivée en Juin 2014 pour proposer un service de vidéo à la demande spécialisé. Il permettra à des millions de fans d’avoir accès à une base illimitée de films et de séries africaines, afro-américaines et afro-caraïbéennes.

Il y a “beaucoup de films africains, avec les films nigérians de Nollywood, et tout le cinéma du Cameroun, du Bénin, du Sénégal”, précise Tonjé Bakang, directeur d’Afrostream, la plateforme de streaming partenaire de TF1.

C’est en 2013 que Tonjé Bakang, 34 ans, a décidé de créer Afrostream, un service de vidéo à la demande qui donnera, pour la première fois, un accès illimité aux séries et aux films africains, afro-américains et afro-caribéens. Lassé par la faible représentation des Noirs dans les médias traditionnels, cet autodidacte fait partie de cette génération montante qui souhaite changer la donne.

“Cela fait plus de 15 ans que je consacre ma carrière à monde du divertissement. En 2005, j’ai été celui qui à introduit le Stand up en France à travers la production du spectacle Comic Street Show au Réservoir Club puis au théatre le Splendid. Ce rendez-vous des nouveaux talents de l’humour français fut le premier concept à réunir sur la même scène Thomas Ngijol, Fabrice Éboué, Claudia Tagbo, Amelle Chabi, Noom Diawara, Matthieu Madénian, Frédéric Chau et le Comte de Bouderbala.”

“Mon but était de faire la promotion des talents issus de la diversité comme cela se faisait déja aux Etats-Unis. Quelques mois après notre lancement, le concept et les comédiens ont été récupéré par Jamel Debouze qui a renommé mon concept Comic Street Sow en Jamel Comedy Club. Ce premier échec fut une expérience déterminante pour la suite de ma carrière. Suite à cela j’ai travaillé en collaboration avec France 2 sur la création d’une série innovante qui n’a finalement pas vu le jour puis j’ai produit la pièce de théatre Couscous aux Lardons, sur la thématique du couple mixte et j’ai dirigé pendant 3 ans le théâtre Montorgueil à Paris.”

“Aujourd’hui je suis l’un des co-fondateurs – aux côtés de Ludovic Bostral – et le CEO d’Afrostream. Afrostream est le service de video à la demande par abonnement qui donne à des millions de fans un accès illimité aux films et séries africaines, afro-américaines, afro-caraïbeenes. Avec Afrostream, nous proposons une plate-forme unique pour donner accès aux oeuvres audiovisuelles afro, partout et n’importe quand, avec des vidéo à la demande sous-titrées (multilingues et dialectes), une offre multi-support (ordinateur, tablette, smartphone) ainsi qu’un abonnement mensuel sans engagement à moins de 6 euros.”

Avec plusieurs millions de fans sur un marché inexploité le marché est théoriquement porteur.

Très bien entouré d’une équipe composée de Ludovic Bostral (spécialiste de la vidéo en ligne sur M6) et d’autres collaborateurs, Tonjé Bakang et son équipe avait initialement l’idée de proposer une plateforme unique qui proposera des vidéos HD à la demande sous-titrés (multilingues), une offre multi-support (ordinateur, tablette, smartphone), le tout pour un abonnement mensuel et sans engagement. Et à terme, c’est même la réalisation de fictions qui est envisagée en mettant la lumière sur des réalisateurs prometteurs.

Avant de lancer officiellement son catalogue illimité en avril 2015, à la manière de Netflix, la plateforme Afrostream s’associée à TF1 pour construire son contenu consacré aux films afros. Le projet a démarré sur les chapeaux de roues il y a un an, avec 1 million d’euros de budget, dix employés et deux associés. Sur la base d’un concept simple : il suffit de souscrire à un abonnement pour accéder, de manière illimitée, au catalogue proposé par Afrostream.

AfroStream a notamment eu une double récompense avec « le Grand prix du jury » et le prix « Communautés » décernées par des fonds d’investissements comme Elaia Capital, ISAI, Kima Ventures, XAnge, AfricAngels et KissKissBankBank lors de l’événement ChopMyMoney organisé à la Mutinerie.

La ministre Fleur Pellerin soutient AFROSTREAM

Double récompense pour AFROSTREAM

“Il y a un vrai lien dans la diaspora afro, qu’elle soit afro-américaine, africaine et même caribéenne, dans les thématiques. Avoir tous ces films sur une même plateforme peut permettre aux spectateurs de découvrir tout un univers qu’il ignore”, ajoute Tonjé Bakang.

Afrostream ne veut pas verser dans la récrimination velléitaire, mais plutôt proposer une solution au problème en devenant bien plus que “le Netflix afro”. C’est ce que l’équipe s’évertue à réaliser chaque jour, notamment en montant des partenariats avec des sociétés de production indépendantes et de grands groupes de distribution. “Pour que ces questions évoluent, il ne faut pas combattre un système, mais plutôt essayer de le changer en apportant de nouvelles propositions”, soutient Bakang.

TF1, pour qui certains de ces films n’ont pas “vocation” à être diffusés directement à l’antenne, fait valoir le même argument: “La VOD permettra de sortir certains de ces films de l’obscurité.”

“Pour que ces questions évoluent, il ne faut pas combattre un système, mais plutôt essayer de le changer en apportant de nouvelles propositions”, soutient Bakang.

Ces films seront disponibles en VF et en VO sous-titrée pour un prix situé entre 3 et 5 euros.

Pour aller plus loin :

StartupBRICS : Startup : Focus sur AfroStream, le « Netflix Afro » qui cible l’Afrique et sa diaspora http://startupbrics.com/afrostream-netflix-afrique/
Jeune Afrique: Afrostream, la diversité en accès illimité http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2822p070.xml0/
Tech of Africa : Découverte : AfroStream, Le Netflix du contenu Afro http://www.techofafrica.com/decouverte-afrostream-netflix-du-contenu-afro/
20 minutes : TF1 lance une plateforme VOD consacrée au cinéma «afro» : http://www.20minutes.fr/cinema/1546323-20150222-tf1-lance-plateforme-vod-consacree-cinema-afro

Nos 10 séries afro-américaines préférées en 2015 !

Le top 10 des séries afro-américaines en 2015

Cette année, nous décidons de publier notre tableau d’honneur des séries afro-américaines qui ont attiré notre attention ! Passionnés ou pas, vous ne résisterez pas aux shows qui cartonnent actuellement.

Découvrez le classement des meilleures séries afro-américaines selon Afrokanlife !

#10 TREME

On ouvre ce classement avec la dixième place détenue par la Treme.

Série diffusée pour la première fois en 2010 sur HBO. Les premiers épisodes de Treme se déroulent trois mois après le passage de l’ouragan Katrina. Cette série met en avant le quotidien des résidents des vieux quartiers de La Nouvelle-Orléans.

#9 Single Ladies

À la neuvième place, on retrouve les trois femmes pulpeuses et ténébreuse, LisaRaye, Charity Shea et Denise Vasi dans Single Ladies, le Sex and the City version afro.

Diffusée en 2011, la série compte aujourd’hui quatre saisons.

#8 Being Mary Jane

Créée par Mara Brock Akil, la superstar qui joue le rôle de Mary Jane est Gabrielle Union. Elle incarne le rôle d’une animatrice de télévision célibataire à la recherche de l’amour.

#7 Survivor’s Remorse

Pour les passionnés de sport, Survivor’s Remorse vous plaira. La série illustre la vie d’un jeune phénomène athlète propulsé sous les projecteurs.

Registre comique, cette série au petit format (22 min) nous plonge dans l’univers du basketball professionnel.

#6 Hit the floor

Série rythmée par ses chorégraphies, sa musique, et son intrigue. Hit the floor se place à la sixième place de notre classement. « Argent, célébrité, sexe et pouvoir, l’univers des Devil Girls est cruel et sans pitié ».

#5 Extant

Incarnant le rôle de Molly Woods, astronaute et mère de famille, Halle Berry nous montre une fois de plus son excellent jeu d’acteur.

La série Extant est un mélange de plusieurs genres : Drame, Science fiction et Thriller.

L’intrigue est passionnante, mais il faut dépasser les trois premiers épisodes pour provoquer la dépendance, puisque la série démarre en crescendo.

#4 Powers

Cette série produite par 50 cent, l’acteur principal Omari Hardwick joue le rôle d’un criminel qui développe son empire sur la drogue. Menant une double-vie, celui-ci veut se ranger.

La série illustre tous les clichés du genre (dealer, nightclub, rap, sexe, luxe), elle manque d’originalité, mais reste toutefois attrayante.

#3 Scandal

Sur la troisième marche du podium, on retrouve Scandal.

Plus besoin de la présenter ! Inspirée d’une personnalité réelle, la série connaît un grand succès. Le personnage d’Olivia Pope, interprété par l’actrice Kerry Washington, s’est inspiré de l’experte en gestion de crise, Judy Smith qui a travaillé sous l’administration de George HW Bush.

#2 How get away with murder

How get away with murder obtient la deuxième place !  Shonda Rhimes, créatrice de Grey’s  et de Scandal lance en 2014 cette nouvelle série qui fait un carton d’audience depuis ses débuts. Sans manquer de mentionner le jeu de l’actrice principale Viola Davis qui est excellent. La série vedette entame sa deuxième saison diffusée sur le réseau ABC.

#1 Empire

Médaille d’or pour la série Empire qui n’a pas ménagé son entrée dans le petit écran. Elle progresse à chaque épisode et a atteint les 11,9 millions pour son 6e épisode, ainsi qu’un taux sur la cible des 18/49 ans de 4.7 %.

Son succès s’explique par sa distribution (Terrence Howard, Taraji P. Henson, Bryshere Y. Gray), son intrigue et ses compositions musicales de Timbaland qui amènent une crédibilité du côté artistique. La série est accrocheuse !


 

Cet article a été rédigé par Julie Boccovi.

Bio de Julie : Étudiante en journalisme à l’UQAM , spécialiste des sports et culture. Chroniqueuse de l’émission afroparade.

Facebook : https://www.facebook.com/AfroParadeSurChoqfm?_rdr 

Site Web :  http://www.choq.ca/emissions/afroparade

Twitter : @jujugw 

How to successfully live past your breakup and heartbreak

How to successfully live past your breakup heartbreak

It is said that we become inquisitive, insecure, un comprehensive beings when a relationship ends. We usually want to understand why. We analyze, over compensate, we investigate and try to find the moment “when” it all went wrong. Most of us even “regret” our actions from days past…. And then (hopefully, thankfully), we usually (often) finally accept…

In retrospect it (the breakup) almost always makes sense. Whether you are trying to comfort yourself or justify the end; often leading to “we were not meant to be” conclusions and “I wasn’t ready for a relationship” attributions, it all ends up being about “I am no longer into you” and “I can do better” manifestations. 

At the end of the day how do you heal? How do you successfully get past the breakup and heartbreak? I like to think that whatever method works, whatever your placebo  is, we are all entitled to explore it, but moreover we are urged to embrace it.

I have a few friends, and they have interesting ‘pills’ for their ‘ailments’.

Steve loves to reason and find explanations to everything. He is the guy who will have an explanation for why the sun didn’t come out this morning. He will explain it using words and theorems. So for every relationship that has ended in his life, Stevy has a theory. Often times he will consult a psychiatrist and other times he will come to the conclusion that she is crazy. But he always does an introspection, followed by an exit interview. The interview is usually doubled up with a score card, that tells him the dos and don’ts for the next round. Steve’s formula works for him because he gets a new kind of crazy each time around.

Tania is our resident optimist. “Something better will come along”, she says. ‘It wasn’t meant to be’, she thinks. Tania always has hope. She lives every day with a new grain of faith and her future is full of possibilities, endless at that.

Line is a go-getter, go lucky, always on the move kind of girl. She has a fast live, her motto is clearly “there is always more fish in the sea”. According to her, the best way to get over any kind of relationship, is to get under a new man. “The new relationship quickly keeps you occupied and very quickly you forget what’s his name” she says. Line doesn’t think it is healthy to be alone, and she never is. Her solution, keep’em coming.

Mike is not very different from Line. His secret: he does not commit. He juggles 2 or more conquests. He says life is about the number of women that take your breath away. We watch Mike go from date to sleepover and back to date again. Carefree he is, carefree he stays, he doesn’t get attached long enough to give a damn.

Timmy is quiet, sober even. She blames herself. So when things go wrong, she quietly retreats into her shell and over analyses everything, from the way she cooked the chicken last week to the way she said hello when he came home two nights ago. Everything, and then she concludes that if only she had done this or that differently, he would have reacted so and so, and eventually the relationship may not have ended. Timmy lives in endless hypothesis and well when she stops blaming herself and the wounds begin to heal the story continues, she meets someone new, when it ends, she starts the blame game over.

Rosie is the egocentric girl. Me, Me, Me, Me. I was too good for him you will often hear her say, and just like that she is on to the next one. No one is ever good enough for her, and every new relationship it is the same story. Me, me, me. Her pill involves her blaming everyone else but herself.

Brice has the same answer, “she just couldn’t fit in”, our mama’s boy was brought up in a certain way and the woman he chooses must be groomed right.  He gets over the breakup by convincing himself that she wasn’t right for the family heritage or whatever other BS he can come up with. No one will ever fit in if you ask me, his standards (or his mothers standards) are exaggerated. Brice is stuck in a whirlwind.

I could go on and on, but.. the key thing is to heal, and every one has their way of doing it. We come up with reasons, excuses, habits and we gripe to them. We develop mechanisms that are true to each individual and we ride them to the very end.

What I will stand by, when it comes to me, is that I think of ME first and only, wholeheartedly and as selfish as it may seem. I believe and persistently tell myself that every breakup has been by choice, mine (my choice), and that they were just crazy people who were sent on earth to make my life a living hell (I can share the non exclusive list of madmen so you avoid them). I refuse to think that there is anything wrong with me. But that’s entirely my prerogative.

If you ask me the naked truth and the key to a successful breakup/heartbreak,  I will say: there is no formula. But, I will tell you to find that ONE thing that is irreconcilable, otherwise known as “the deal breaker” and hold on to it for dear life. Doesn’t matter if the reason is stupid, lame, wrong, immature, non justifiable, just find that IT that would make you say “am out” and HOLD ON. If anyone asks, use that. When you feel like you might give in, remember that IT. Make it the center of everything, and say, “We are done because you did [insert deal breaker]…” and “I will get over you because of [insert deal breaker]…” as for the rest, TIME has a funny, funny way of making things better. Trust in it (time that is)..

Waris Dirie récompensée par le Prix de la Liberté 2015

Human rights activist and top model Dirie from Somalia attends a news conference during the 4th World Meeting of Human Values and Culture of Lawfulness in Monterrey

”Après 20 ans de campagnes de lutte, les mutilations génitales féminines sont toujours une réalité. Nous ne pouvons contrôler le monde, mais nous pouvons contrôler ce que nous pouvons faire dans le monde. Je veux en faire un endroit meilleur, surtout pour les femmes. J’ai traversé beaucoup d’épreuves, juste parce-que je suis une femme, et c’est ce qui me motive. C’est mon combat.”

Mannequin, actrice, activiste des droits humains, Waris Dirie est une femme aux multiples facettes dont la vie est pourtant celle d’UN combat : la lutte contre l’excision. Fin janvier, cette femme inspirante a été récompensée par Liberal International (la Fédération internationale des partis libéraux), lors d’une cérémonie à la Chambre des Lords à Londres.

Waris Dirie récompensée par le Prix de la Liberté
Crédit photo : www.desertflowerfoundation.org

Cette nouvelle est intervenue quelques jours avant le 6 février, consacré par les Nations Unies : ”Journée internationale contre les mutilations génitales féminines”. L’excision est toujours un fléau en Afrique (jusqu’à l’Égypte) et dans certains régions d’Asie du Sud-Est (Indonésie et Malaisie). Selon des données de l’OMS (Organisation mondiale de la santé) plus de 120 millions de femmes l’ont subie et environ 3 millions de fillettes sont concernées chaque année. Un combat d’autant plus grave qu’elle est aujourd’hui interdite par les législations de la plupart de ces pays mais continue d’être pratiquée -souvent par les femmes elles-mêmes!- sous prétexte de tradition et de pression socioculturelle.

Waris Dirie, engagée depuis 20 ans dans cette lutte, a été elle-même excisée à l’âge de 5 ans en Somalie et mariée de force à 13 ans. De ses traumatismes d’enfance à sa fuite vers Londres, puis à la célébrité dans le monde de la mode, Waris Dirie a raconté son histoire dans un livre ”Fleur du Désert”, publié en 1997 et dont le succès est tel qu’il est adapté en film en 2008. Entre temps, Waris a créé sa fondation en 2002, renommée en 2010 ”Fleur du Désert”, qui agit sur trois volets (sensibilisation, prévention et aide médicale et psychosociale aux victimes via des actions de parrainage), avec un objectif à terme : la disparition de cette pratique ancestrale et destructrice.

Trailer du film Fleur du désert

[quote_box_center]Pour rappel : L’ignorance fait parfois dire à certains que l’excision est une pratique religieuse qui doit être respectée… FAUX ! L’excision est une pratique avant tout culturelle, observée autant dans des communautés musulmanes que chrétiennes et animistes. Cette mutilation féminine cause chaque année des dégâts physiques mais aussi psychologiques très douloureux pour les victimes (souvent des petites filles entre 3 ans 10 ans) et surtout irrémédiables : à vie. A cet égard, l’excision constitue une violation grave des articles 3 et 5 de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme qui condamne les crimes à l’égard de l’intégrité physique des personnes.[/quote_box_center]

”Les MGF peuvent être finis dans une génération, si nous résistons tous ensemble contre ce crimequi n’a pas sa place dans la société du 21e siècle”, Waris Dirie.

Pour en savoir plus sur la fondation Fleur du Désert : http://www.desertflowerfoundation.org/

Pour en savoir plus sur le 6 février : http://www.un.org/fr/events/femalegenitalmutilationday/

Source principale :


Waris Dirie receives Prize for Freedom 2015

“After 20 years of campaigning, FGM [Female Genital Mutilation] is still going on. We can’t control the world, but we can control what we can do in the world. I want to make it a better place, especially for women. I’ve been through a lot, just to be a woman, and that’s what drives me. That’s my fight.”

Supermodel, actress, human rights activist, Waris Dirie is a versatile woman but ONE fight has driven her all her life : fight against excision. In the end of January, she was awarded with this famous prize by the world federation, Liberal International, in the House of Lords in London.

Waris Dirie récompensée par le Prix de la Liberté

Source : www.desertflowerfoundation.org

This award happened some days before the 6th of February : ”International Day against Female Genital Mutilation”, a United Nations campaign. FGM is still a plague in Africa and South-East Asia. According to data from the World Health Organization (WHO), more than 120 millions of women have been forced to this practice and 3 millions girls continue to be at risk each year. A fight as grave as it is nowadays forbidden in most of these concerned countries, but is still practiced -usually by women themselves!- because of tradition and sociocultural pressure.

Waris Dirie, engaged for 20 years in this fight, suffered this trauma herself at 5 years old ; then at the age of 13, she has been forced to marry an old man. From this difficult childhood to her escape in London, then fame in fashion industry, Waris Dirie told her story in a book ”Desert Flower”, published in 1997. It became an international bestseller and was adapted in a movie in 2008. Just before, Waris created her foundation in 2002, re-named in 2010 ”Desert Flower Foundation”, which organizes actions in raise awareness, prevention work and damage, with a long-term goal : ending this ancestral and destructive practice.

‘Desert Flower’

[quote_box_center]As a precision : because of ignorance, some people think that excision is a religious practice which has to be respected… WRONG ! Excision is above all cultural, practiced by both Muslims and Christians. This feminine mutilation is the cause of physical and psychological damages, harmful for the victims (usually little girls between 3 and 10 years old) and irreversible. FGM is recognized internationally as a violation of human rights.[/quote_box_center]

”FGM can be ended in my lifetime, if we all work together,

as this crime has no place in the 21st century”, Waris Dirie.

For further :

http://www.desertflowerfoundation.org/

http://www.un.org/fr/events/femalegenitalmutilationday/

Main source :

J’ai vu… Dear White People. Par Mas Aymard Kina

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J’ai assisté à une projection privée du film « Dear White People » qui doit sortir le 25 mars 2015 dans les salles obscures Françaises.

SPOILER ALERT: Révélations sur l’intrigue dans le texte suivant

     « Dear White people » un film de Justin Siemen, qui nous montre la vie d’étudiants dans la prestigieuse université américaine de Winchester, sur un fond d’opposition raciale et de mœurs entre communauté noire et communauté blanche.

      Les protagonistes principaux sont :

      Samantha White, interprétée par (la jolie et mignonne) Tessa Thompson. Samantha est animatrice sur une des radios du campus, elle anime l’émission Dear White People qui a pour but de dénoncer les clichés que les blancs ont sur les noirs et essayer de faire en sorte qu’ils changent de comportement dans une université où les minorités ne représentent que 2 %. Elle est aussi candidate à la présidence d’Armstrong/Parker, la résidence historiquement noire du campus de Winchester.

      Elle est opposée à Troy Fairbanks, fils du doyen qui lui a des positions beaucoup plus modérées que sa camarade Samantha en ce qui concerne la défense des droits des Afro-Américains. Il est plutôt un enfant de bonne famille à qui l’on met la pression pour qu’il soit un modèle de réussite, toute sa vie est dictée par les attentes et les choix de son père.

     Sur sa route pour la gloire se trouve Kurt Fletcher, fils du président de l’université. Cette concurrence existait déjà à l’époque de leurs parents qui ont été diplômés à une année d’intervalle. Si malgré des félicitations du jury et de meilleures notes, le père de Troy, le doyen, estime à demi-mot que si c’est le père de Kurt qui préside l’université aujourd’hui et pas lui, c’est grâce à son argent et sa couleur de peau blanche. Depuis, il fait de la réussite de son fils, Troy, une affaire personnelle quand Kurt lui a une attitude plutôt désinvolte sachant que son avenir à lui et sans doute déjà assuré. Surtout qu’il est le président de l’une des fraternités les plus importantes du campus.

     Fraternité dans laquelle on retrouve aussi Lionel Higgins (Tyler James Williams : Tout le monde déteste Chris), journaliste en herbe à l’Observer, un journal sur le campus. À cause de son homosexualité, il se sent rejeté de tous, de ses camarades de résidence comme de la communauté noire qu’il n’estime pas moins homophobe que les autres voire plus, mais pour pouvoir rédiger un article, il accepte de se rapprocher des membres de la résidence Armstrong/Parker.

      Parmi tous ces protagonistes, une étudiante « Coco » essaye de tirer son épingle du jeu. Jeune fille des quartiers pauvres, elle essaye néanmoins de gommer tout ce qui la rattache au ghetto et à la communauté noire pour pouvoir être accepté au mieux par la communauté blanche. Elle est prête à tout pour réussir même à changer de personnalité pour intégrer la distribution d’une téléréalité.

Dear White People-Critique-Film

     « Dear White people » c’est une opposition entre deux communautés qui campent sur leurs positions. D’un côté, la communauté noire qui veut défendre son héritage culturel et de l’autre la communauté blanche qui ne comprend pas trop ce qu’on lui reproche avec certains membres qui estiment même être lésés par la discrimination positive. La lutte est symbolisée par une sorte de loi sur les logements du campus qui vise à empêcher que les communautés puissent se réunir entre elles, de ce fait l’avenir de la résidence Armstrong/Parker est en péril. Les étudiants de la résidence vont donc se rebeller parce qu’ils estiment que cette décision est une volonté de l’université d’empêcher les Afro-Américains de la résidence de se réunir parce que selon eux les responsables de la faculté prennent peur dès que les minorités se rassemblent en grand nombre. Or, pour les habitants de la résidence, il est important que la communauté noire puisse continuer d’avoir un lieu où elle pourra faire vivre son héritage au quotidien, parler et échanger sur des sujets qui la concernent comme d’autres peuvent se réunir au nom du sport, de la politique ou de l’économie…

        Samantha fera office de leader du mouvement et de bête noire pour les responsables de l’université à cause de son émission « Dear White people ». Samantha passe pour une fille totalement engagée dans une lutte contre le racisme et l’oligarchie des blancs. Mais à y regarder de plus près, Samantha est métisse. Alors on se demande pourquoi est-ce une métisse qui est choisie pour mener ce combat et pas un(e) noir(e) à « 100 % »?

         On se rend compte au fil du film que Samantha, elle aussi, estime avoir été victime de racisme, car étant une fille métisse, lorsque son père blanc l’accompagnait à l’école, les gens ne comprenaient pas comment cela pouvait être possible. Un homme blanc qui accompagne une fille noire, à leurs yeux, à l’école. On se demande aussi, pourquoi Samantha se sent-elle donc plus proche de la communauté noire que de la communauté blanche puisque le racisme devait venir des deux côtés durant son enfance? Si l’on peut se dire finalement qu’une métisse aux États-Unis est considérée comme noire, je trouve que traiter ce sujet plus en profondeur aurait apporté quelque chose d’intéressant au film. 

         Au départ Samantha semble être une fille radicale dans ses positions, mais plus le temps passe, plus on se rend compte qu’elle n’est pas si fermée que ça, puisqu’on découvre qu’elle a une relation cachée avec un garçon blanc. Du coup on se demande, si elle ne joue pas un rôle pour plaire à la communauté noire et être mieux acceptée sachant que la communauté blanche elle ne l’acceptera jamais comme elle est? Serait-ce un jeu pour elle dans le seul but de déranger ceux qui représentent l’autorité à l’université? Surtout que quand les camarades qui la suivent montrent leur déterminisme, elle se renferme.

        Le but de ce film c’est aussi essayé de montrer les différentes formes de discrimination qui peuvent exister. Avec Lionel Higgins, on met en avant le fait que pour un homosexuel noir il est difficile d’être accepté. Difficile d’être accepté par les blancs parce que quand ils vont au-delà du fait que l’on est noir, il faut qu’ils arrivent à aller au-delà du fait que l’on est homosexuel. Difficile d’être accepté chez les noirs pour qui l’homosexualité et la sexualité en général est un sujet tabou. Puis quand on a décidé d’aller du côté des blancs parce qu’on les trouvait moins durs, c’est compliqué de revenir du côté des noirs quand on considère que ce n’est pas mieux chez les blancs. Il représente aussi l’anti stéréotype de l’homme noir qui doit être violent ou fort et musclé quand lui est plutôt chétif.

       Avec « Coco », on a la jeune fille qui fuit sa propre communauté noire parce qu’elle a l’impression qu’elle ne peut rien en tirer d’elle. Dans un temps elle veut absolument montrer qu’elle peut être aussi raffinée qu’une blanche loin de l’image des filles ghettos qu’on peut voir sur les chaînes américaines, dans un autre temps elle est prête à caricaturer l’image de la femme noire simplement pour pouvoir réussir. Sans doute se dit-elle que si on doit profiter d’elle au moins que ça soit rentable, mais au final on a l’impression qu’elle-même ne sait pas sur quel pied danser.

     Néanmoins, il y a un évènement qui va réunir tout ce beau monde, c’est la soirée organisée par Kurt Fletcher, sur le thème « Sortez le Négro qui est en vous ». Au lieu d’y voir une soirée à consonante raciste, une centaine d’étudiants blancs vont arriver à la soirée grimée en ce qu’ils considèrent comme des « noirs », des blackfaces et des caricatures de rappeurs américains. Une dizaine de noirs, aidés par la communauté mexicaine et asiatique feront tout pour mettre fin à la soirée, ce qui sera considéré comme une émeute.

      Pour conclure, « Dear White people » ce n’est pas juste un film pour dire que les blancs sont comme ceci ou cela. C’est un film pour dire que les blancs ont souvent un comportement vis-à-vis des noirs qu’ils trouvent normal, mais qui en réalité ne l’est pas et qu’on peut considérer comme raciste quand on y réfléchit à deux fois.« Dear White people » c’est aussi dire qu’il y a des clichés dans tous les camps. Le réalisateur a voulu faire un condensé de tout ce qu’on pouvait voir sur un campus en 1 h 48, le problème c’est qu’on ne traite pas assez certains sujets et qu’on peut avoir l’impression que tout va trop vite, tout est survolé, ce qui empêche au film d’avoir toute la valeur ajoutée qu’il pourrait avoir. À force de vouloir tout traiter, ça manque réellement de profondeur même si ça ne manque pas d’humour si l’on sait faire preuve de second degré. Après ça ce n’est que mon humble mon avis.

Vous pouvez voir « Dear White people » dans le cadre des Brown Sugar Days.


 

Cet article a été rédigé par Mas Aymard Kina Mas Aymard Kina

Bio de Mas : Étudiant du Mba Esg stratégie et communication digitale, Passionné par les merveilles du web et Futur Expert en stratégie digitale. Slogan 2.0 : Mon réseau se veut comme le web, sans frontières

Suivez le sur twitter @MasAymard_k

#Selfie : Barack Obama fait son show pour promouvoir Obamacare !

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Les choses que fait Barack Obama quand personne ne le regarde…

Il se regarde devant le miroir…

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Et fait des sourires de forceur.

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Il essaie des nouveaux styles..

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(Au fait ce sont les lunettes de Joe Biden)

Et fait des dessins de son amoureuse.

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Il dégaine un selfie stick pour trouver l’angle parfait…

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Obama ne blague même pas avec les selfies.

Et il blame Obama quand les choses ne vont pas bien.

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Il est peut-être le président des États-Unis mais il est humain avant tout!

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Et d’où sortent ces .gif de Barack Obama ? D’une astucieuse campagne de communication pour convaincre les Américains de s’inscrire à son assurance santé, l’Obamacare.

6 astuces pour des cheveux crépus et longs par Faida Boina

6 astuces pour des cheveux crépus et longs par Faida Boina

Vous pensiez que pour avoir de longs cheveux, il fallait prendre une journée de RTT? Détrompez vous! Voici quelques petites astuces, pour les paresseuses ou les femmes pressées qui tiennent  à s’occuper de leurs cheveux tout en restant zen, et sans culpabiliser !

1- Le choix du shampoing 

Trouvez un shampooing doux, ne pas se fier à la mention « très doux » que l’on trouve dans les shampoings du commerce, mais plutôt à leur composition. Il faut absolument éviter les shampoings avec sulfates (Sodium Laureth Sulfate ou SLS). Si le shampooing respecte votre cheveu vous n’aurez pas besoin d’après- shampooing. Vous le constaterez par l’effet que le shampooing aura sur vos cheveux. Si pendant le shampooing, ils sont doux au toucher, adoptez-le, sinon n’hésitez pas à changer, en regardant par exemple, quel ingrédient ne convient pas à vos cheveux.

2-Masque, bain d’huile après-shampooing ?

Pas toujours le temps ou l’envie ? Toutefois après le shampooing vous devez les nourrir un minimum. Encore sous la douche, prenez une bonne noix d’un baume capillaire (contenant huile + beurre) et recouvrez toute votre chevelure.

  • Petit + : Si vous avez une faible porosité, c’est à dire si vos cheveux peinent à faire pénétrer les produits, mettez vos cheveux sous un masque chauffant ou une serviette chaude. Laissez agir 45mins. Et ensuite passez un jet d’eau froide, ou de l’eau vinaigrée pour refermer les écailles du cheveu.

 

3-Hydratation et nutrition rapide au quotidien

Vous aurez besoin du fameux vaporisateur, dans lequel vous pourrez  ajouter de l’huile de ricin (pas plus de 3 cuillère à soupe), ou tout simplement de l’eau. Pensez-à vaporiser dès la racine, car c’est là où tout commence, et ensuite masser vos cheveux vers les longueurs. Déposer une noisette de votre beurre capillaire sur vos cheveux pour garder cette source d’hydratation.

  • Petit + : Vapo + lait capillaire + beurre (méthode LCO ou LOC)

Si vous préférez le lait capillaire, vous pouvez sauter l’étape du vapo, si l’eau (aqua, water) est le 1er ou 2ème composant de votre lait capillaire. Vous pouvez ensuite sceller l’hydratation avec une huile, et/ou un beurre. Le mieux est de les hydrater une fois par jour au minimum.

  • Petit + : L’huile de ricin est un excellent stimulant pour la pousse, vous pouvez aussi l’utiliser pour masser votre cuir chevelu.

Faida Boina Astuces Cheveux crepus

4-Et si on trichait un peu…

Pour donner un petit coup de pousse « croissance », il existe des huiles essentielles permettant de stimuler la circulation sanguine et d’aider à la croissance du bulbe. Comme l’huile essentielle de menthe poivrée ou de romarin, que vous pouvez incorporez dans vos préparations mais à diluer dans l’huile. On les retrouve aussi dans les huiles dites « de croissance » de certaines marques pour cheveux crépus naturels. Choisissez les, bio, sans paraffine, vaseline ou autre dérivés pétrochimiques afin d’éviter l’étouffement du cuir chevelu, ce qui peut ralentir la bonne croissance du bulbe pileux.

5- Ça pousse mais ça casse…

Il faut à tout prix retenir votre longueur par :

  • Un démêlage en douceur

Si vous le pouvez, adoptez le démêlage aux doigts. Ensuite, une fois par semaine, après avoir lavé vos cheveux, (mais toujours sur cheveux humides) passez quelques noix de baume capillaire (ou après-shampooing), et procédez au démêlage avec un peigne à dents larges. Sinon évitez de vous démêlez les cheveux plus d’une fois par jour, même avec un peigne à dents larges.

  • Les tresses au coucher

Avant de dormir, obligez-vous à faire des tresses aussi grossières soient-elles, même si vous ne vous appliquez pas à au démêlage. Si vous êtes épuisée après une longue journée, et que la paresse vous gagne, faites quand même vos tresses en commençant par le centre, parce que c’est là où le frottement avec le drap est plus fréquent, et finissez tout autour. Comme ça si vous vous assoupissez en chemin, au moins le centre sera sauvé! Pensez à le faire devant la télé ou l’ordi, pour ne pas voir passer le temps. Pour les moins paresseuses, faites des tresses  le week-end, pas trop fines, pour ne pas vous découragez, et garder les quelques jours, le temps de laisser reposez vos cheveux (et vous aussi!) Choisissez une jolie coiffure que vous seriez fière d’arborer, et pour cela, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir des doigts de fées. Ainsi, en les manipulant moins, vous préservez votre longueur durement acquise.

6- Le sujet qui fâche, la coupe des pointes…

Après avoir gagné vos centimètres, vous demander de les couper relèverait de l’aberration? Les fourches et les nœuds se trouvant au bout de vos cheveux, contribuent à la casse de celui-ci donc à la perte de longueur. En ne coupant pas ces quelques centimètres, une fois par an, il y a des risques pour que les fourches remontent petit à petit vers la racine du cheveu et donc l’abîme de plus en plus. Si vous n’êtes pas toujours pas convaincue, dites-vous que les fourches et les nœuds, ce n’est pas du tout  agréable au toucher…

Et vous, quelles sont vos astuces pour des cheveux crépus, beaux, en bonne santé et longs? Partagez en commentaires 🙂


Cet article a été rédigé par Faïda Boina

Bio de Faida: Conseillère en Image et diplômée de sociologie, j’aime la beauté et l’Humain. Je suis également passionnée de mode, littératures africaines, sciences, et spiritualités.

Suivez-la sur Twitter: Faida B.

Non à Boko Haram – Message de soutien de la diaspora à nos soldats !

Boko Haram

Non à Boko Haram – Message de soutien de la diaspora à nos soldats ! Par Marius Nyassa.

À vous soldats

à vous maris

à vous nos frères tombés sur le champs de bataille

à vous amis, cousins, fils, à vous pères, à vous papas

à vous qui êtes tombés, que vos âmes reposent en paix

à vous espoir de toute une nation

à vous braves gens

nous saluons votre courage face à l’adversité

nous nous inclinons devant la bravoure dont vous faites preuve

chers compatriotes. Nos pensées sont à vous.

Nous sommes si nombreux, loin de la maison, loin de la mère patrie.

Nous sommes si loin du vent, du soleil, si loin de la terre qui nous a tous vu naître.

Nos cœurs sont meurtris à vous voir tomber.

Nos larmes sont abondantes et ne tarirons pas

pour vous pleurer, vous qui tombez,

nos cœurs ne se fermerons pas pour vous encourager, vous qui

restez debout, armes aux points, ne lâchez pas, continuez le combat avec ténacité.

Nous ne sommes pas partis parce que nous le voulions tant.

Tellement nous aimons notre pays le cameroun

Nous sommes partis pour un meilleur demain, pour nos familles, notre patrie.

Nous sommes partis si loin de chez nous parce que nous pensions revenir, grandis.

Mûris. Nous sommes partis révolutionner, changer, nous développer, nous sommes

partis pour revenir un jour, nous sommes partis pour un autrement meilleur.

Sachez chers frères, sachez le, n’écoutez pas les mauvaises langues qui diront

que nous avons abandonné. Non. Autant que vous, nous tenons. Nous sommes

derrière vous. À chacun sa tâche.

Que cette attaque de notre cher pays soit , une nouvelle occasion d’unité.

Que cet obscurantisme soit l’occasion de marquer la différence, entre ce qui est

barbare et ce qui est pur. Que rien ne réveille en vous la peur de continuer le combat.

Que rien, ni personne ne porte atteinte à votre engagement. De quelques manières

que ce soient. Nous sommes un peuple fort. Nous sommes le peuple camerounais

Vive le peuple uni du Cameroun, vive notre nation, vive l’intégrité du

territoire national.Vive nos soldats, vive nos institutions. S’il le faut, Même à la

dernière heure, nous reviendrons à la maison défendre

Nos mamans, nos femmes, nos enfants, nos terres.

Vive le Cameroun.

Soutien de la diaspora à nos soldats.


 

Cet article a été rédigé par Marius Nyassa.

Les erreurs à éviter sur Linkedin par My Little RH

Les erreurs à éviter sur Linkedin

Etant entourée de jeunes qui comme moi (Moi, My Little RH) sortant des couloirs universitaires pour entrer dans la jungle de la vie professionnelle, plusieurs d’entre eux ont pris le réflexe de me consulter pour des questions relatives à mon “futur” métier et avec plaisir, j’ai exercé le rôle de conseil auprès de ces personnes.

La question que je me suis posée est “pourquoi ne pas écrire sur le sujet afin d’en faire profiter un grand nombre?” Alors je me suis lancée dans le blogging spécialisé Ressources Humaines et force est de constater que ça en valait la peine. Contactée par Afrokanlife, nous avons fait émerger l’idée d’un article sur l’utilisation du réseau social professionel LinkedIn (Lire aussi 10 conseils pour un profil LinkedIn reussi) afin de sensibiliser davantage la population camerounaise (notamment).

A ce jour les chiffres sont relativement difficiles à obtenir.  En 2013 ils indiquent  près de 7,6 millions d’utilisateurs africains dont 60% localisés en Afrique du Sud, Nigéria et en Egypte.  Le Cameroun est classé 11éme (en effectuant une requête simple via un profil recruteur LinkedIn nous avons un résultat de 237 443 utilisateurs basés au Cameroun).

 Linkedin Cameroun

De manière générale, nous constatons une forte utilisation de ce réseau par les jeunes cadres, les employés des administrations et  les entrepreneurs. Bien que certains aient lu et maîtrisent plus ou moins les règles d’or d’un compte LinkedIn parfait, la grande majorité semble en ignorer l’utilité. A la limite, on note une confusion avec les réseaux sociaux ouvert à tous tel que Facebook ou Twitter.

LinkedIn N‘EST PAS Facebook 

La raison la plus évidente c’est le fait qu’il s’agit d’un réseau social professionnel.  Le contenu non professionnel n’y a donc pas sa place. LinkedIn a su s’établir dans ce marché de niche qui s’ adresse à des personnes souhaitant se constituer un réseau, avoir accès aux contenus en relation avec leurs secteurs d’activité, à des offres d’emploi et ou souhaitant se rendre visibles car c’est aujourd’hui un outil  de recrutement. Notons au passage qu’il est plus vulgarisé dans les pays africains anglophones que francophones mais à l’ère du 2.0 et des avancées informatiques cette tendance ne saurait tarder à se globaliser sur le continent.

Avant toute chose, il est important que l’utilisateur sache quel est l’intérêt d’un réseau socio-professionnel. Dans un billet publié sur notre site internet, nous avons défini  LinkedIn comme étant “un réseau social essentiellement orienté business, un lieu de net-working où se retrouvent aujourd’hui plus de trois cent millions d’utilisateurs dans plus de 200 pays. C’est donc l’endroit idéal pour créer des liens professionnels de part et d’autre du globe. Il se distingue des autres réseaux sociaux par son contenu qui se veut corporate … C’est un outil indispensable pour vous construire une identité professionnelle et la mettre en avant dans des buts divers mais pas variés. En effet LinkedIn est le lieu idéal pour maximiser vos contacts, des contacts utiles … Pour votre carrière, pour votre développement personnel.”

Nous avons pris le temps d’observer les utilisateurs 237 et avons décelé des erreurs monumentales notamment d’ordre visuel. Professionnellement parlant, nous sommes sans ignorer la règle des 4 fois 20 qui s’applique lors d’un premier échange commercial (20 premières secondes – 20 premiers pas – 20 premiers mots – 20 centimètres). Dans le cas d’un échange (prise de contact/visite de profil) virtuel, cette règle s’appliquera uniquement pour le visuel global de votre espace LinkedIn.

Le choix de la photo de profil

Une étude réalisée par le site « Theladders » démontre que, à la consultation d’un profil Linkedin, un recruteur passe 19% du temps à l’analyse de votre photo de profil (dans les faits ça équivaut à un clignement des yeux). En supposant que votre but en créant votre profil soit d’entrer en contact avec des professionnels, pensez-vous qu’un recruteur vous enverra un Inmail si votre photo de profil ne reflète aucune once de professionnalisme ?

linkedin en afrique - networking cameroun - twitter237 afrokanlife

Votre visage c’est aussi votre identité, il crée la confiance il rassure. Il n’est pas demandé d’utiliser absolument une photo d’identité mais le plus important c’est la position de face, et surtout un arrière plan le plus neutre possible. Un habillement décent dans l’idéal professionnel. Les poses douteuses/tendancieuses et autres « duck faces » sont à proscrire. Vous devez être à l’image des entreprises dans lesquelles vous êtes employés ou que vous souhaitez intégrer.

Les photos ci dessus sont véritablement des photos de profils de jeunes diplômés/cadres camerounais sur LinkedIn. Selfies, photos de couple ou de groupe, bien qu’ayant toutes un coté artistique, nous vous conseillons d’en faire profiter uniquement vos contacts Facebook et Twitter qui auront certainement beaucoup de « likes » et de commentaires à y apposer.

Les mystérieux qui ne mettent pas de photo

Votre profil a plus de chance d’être consulté si vous avez une photo de profil. Lorsque vous souhaitez acheter un objet (sur le net par exemple), feriez-vous confiance à un vendeur qui vous propose un objet sans vous en montrer au moins la photo ? Le ressenti est le même pour la personne qui clique sur votre profil : elle doute.

Unprofessional LinkedIn
(c) Some Ecards

Les titres /fonctions

Dans la partie titre il suffit tout simplement d’indiquer de manière claire le titre du poste que vous occupez dans l’entreprise et de développer plus bas en inscrivant point après point les tâches qui vous sont confiées (en utilisant des mots clés).

Les titres tels que « Opérateur économique », « grand cadre », « jeune cadre dynamique » sont nous devons l’avouer un peu loufoques. Nous sommes assez conscients de l’importance du titre pour les Camerounais, il suffit de regarder pas plus loin que les intitulés de postes des personnes constituant gouvernement et administrations. Ne pensez-vous pas qu’il serait temps de faire preuve de simplicité ?

Le contenu du profil

70% des profils que nous avons consultés n’ont pas de contenu si ce n’est un intitulé de poste. Nous nous sommes questionnés: ont-ils été créés par effet de mode ou alors est ce juste un oubli ? Si vous ne souhaitez pas qu’on sache ce que vous faites, pourquoi avez-vous créé un compte sur un réseau de réseautage ?

Ceci étant, vous devez permettre à celui qui consulte votre profil de comprendre qui vous êtes, quelles sont vos responsabilités (Il s’agit exactement des informations que vous avez inscrites sur votre CV). Il est recommandé de rédiger le « résumé » de votre parcours. C’est une opportunité de raconter sans être lyrique votre parcours et de vous différencier.

Vous manquez d’inspiration ? LinkedIn a fait développer un outil vous permettant de créer un résumé sur la base du contenu de vos expériences (charge à vous de bien renseigner les champs)

linkedin cameroun

Quel type de contenu partager afin de créer des interactions avec vos contacts ?

Le partage de contenu n’est pas obligatoire mais recommandé si vous êtes constamment sur votre profil. Partagez des articles que vous trouvez intéressants et dites en commentaire pourquoi est ce qu’il pourrait aussi intéresser vos contacts. Vous pouvez partager divers contenus, des actualités sur votre secteur, des articles, des conseils professionnels, des opportunités d’emplois et du contenu personnel si vous tenez par exemple un blog en lien avec votre métier et uniquement dans ce cas là. J’insiste bien dessus, parce que je ne vois pas ce qui pourrait vous inspirer à partager vos publications Twitter/Instagram/Blog si elles n’ont rien à voir avec votre activité.

Avoir un profil complet vous permet de créer du trafic, et augmente vos possibilités d’entrer en contact avec des recruteurs et ou des entrepreneurs à la recherche de personnes aux compétences communes pour créer la discussion et pour quoi pas faire naître des projets. Si avec ces informations vous êtes toujours à court d’idées il existe des manuels, des vidéos tutorielles, des tutoriels en image qui peuvent vous aider à completer ou améliorer votre profil LinkedIN.

Merci à l’équipe Afrokanlife pour la tribune.

#Mylittlerh


Cet article a été rédigé par My Little RH

Bio de My Little RH: Messieurs et dames permettez moi de me présenter: My little RH, jeune étudiante d’origine Camerounaise  en fin de parcours académique et ayant évolué au sein de sociétés de conseils de la place. J’ai lancé un blog sur le thème des Ressources Humaines

Twitter: @MyLittleRH

Blog: My Little RH