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Recette facile de la Tarte au thon MARIE-GALANTE

tarte au thon

Marie-Galante, également appelée « l’île aux cent moulins », est une île de l’ archipel des Antilles située à 30 km au sud-est des côtes de la Guadeloupe.

Alors que l’île dispose de plages parmi les plus réputées des Antilles, l’industrie hôtelière y est discrète. En revanche, des artistes internationaux s’y retrouvent chaque année à l’occasion du Festival Terre de Blues au cours du week-end de la Pentecôte. Aujourd’hui nous vous présentons une recette de Tarte AU THON MARIE-GALANTE courtoisie de la belle-iloise.

INGRÉDIENTS

– 2 boîtes 1/5 (320 g) d’émietté de thon Marie-Galante la belle-iloise
– 500 g de tomates olivette (5 pièces)
– 1 pâte feuilletée toute prête
– 4 cuillères à soupe de chapelure
– 4 cuillères à soupe de crème fraîche
– 100 g de comté

PRÉPARATION

– Laver les tomates, puis les couper en 2 pour les épépiner.
– Les couper ensuite en rondelles de 1 cm d’épaisseur et les déposer sur un papier absorbant.
– Etaler la pâte feuilletée.
– Répartir les miettes de thon et déposer dessus la chapelure.
– Puis garnir avec la crème fraîche et les rondelles de tomate légèrement salées.
– Disposer dessus harmonieusement en étoile de fines lamelles de comté.
– Enfourner à four chaud Therm. 7 (210°c) et faire cuire 20 à 30 minutes.

SUGGESTION

Servir tiède avec une salade verte.

Crédit photo : tribugourmande

Source : belle-iloise

5 raisons pour lesquelles vous ne perdez pas de poids

Savez-vous pourquoi vous ne perdez pas de poids ?

Combien d’entre vous sont d’accord pour dire que perdre du poids est une tâche difficile ? Bien sûr, les calories consommées doivent être inférieure à l’énergie dépensée, mais parfois il y’a plus à cette équation. Il est facile de faire des erreurs qui nous empêchent inconsciemment d’atteindre nos objectifs de perte de poids. Dans la dernière vidéo du Food Heaven Show sont abordés les 5 pièges courants dans lesquels beaucoup de gens tombent et ce que vous pouvez faire à ce sujet.

Food Heaven Made Easy avec Wendy & Jess est une série web dont la mission est d’apporter une cuisine saine à nos habitudes alimentaire. Le show est présenté par la Nutritionista Wendy Lopez et la diététiste Jessica Jones, qui détiennent chacune une maîtrise en sciences de la nutrition. Ces petits bulletins de nutrition montrent comment cuisiner en nutriments, de façon délicieuse et abordable des recettes à base de plantes, tout en fournissant une information nutritionnelle éducative.

How many of you would agree that losing weight is hard to do? Sure, calories in have to be less than energy out, but sometimes there is more to that equation. It’s easy to make mistakes that unknowingly hinder us from achieving our weight loss goals. In our latest video, we talking about 5 common pitfalls many folks make and what you can do about it.

Food Heaven Made Easy with Wendy & Jess is a web series with a mission to bring healthy cooking to your kitchen. The show is hosted by Nutritionista Wendy Lopez and Registered Dietitian Jessica Jones, who both hold Master’s Degrees in Nutrition Science. These nutrition nerds demonstrate how to cook nutrient dense, delicious and affordable plant-based recipes, while providing scientifically sound nutrition information to trust.

Follow them on Twitter : @FoodHeavenShow

Ajak Deng Covers Miss Vogue Australia

Ajak Deng 1

Ajak Deng Covers Miss Vogue Australia #15. Vogue Australia is Australia’s number one fashion website offering the Vogue view on fashion and beauty daily. Photographer: Justin Ridler. Stylist: Mark Vassallo.

Ajak Deng en couverture de Miss Vogue Australie # 15. Vogue Australie est le site Web numéro de mode en Australie offrant l’esprit Vogue sur la mode et la beauté. Photographe: Justin Ridler. Styliste: Mark Vassallo.

Angelique “Ajak” Deng, 19, was one of the breakout stars of the SS10 Paris shows, booking Chloe, Givenchy, Jean Paul Gaultier, and Lanvin. An array of editorials has followed — most notably, Interview with Mikael Jansson and V with Amy Troost. Ajak Deng being busy this March 2014 with Vogue. Check out Rose-Colored Days photos that being featured on vogue.com

Angelique “Ajak” Deng, à 19 ans , était l’une des sensations de la Fashion Week Paris 2010, avec Chloe, Givenchy, Jean Paul Gaultier, et Lanvin. Une foule de d’éditorial ont suivi, ainsi qu’une une interview avec Mikael Jansson et V aussi avec Amy Troost. Ajak Deng a été occupée ce mois de Mars 2014 avec Vogue.  Regardez les photos Rose-Colored Days qui ont été présentés sur vogue.com 

 

12 years a slave : Lupita Nyong’o méritait-elle son oscar ? Par Mas Aymard Kina

12 years critique lupita

Après toute l’euphorie derrière ce film, notamment grâce à celle par qui le buzz arriva, Lupita Nyong’o, j’ai pris mon temps avant de regarder le film. Le but ici n’est pas de dire si le film est bon ou pas, mais plutôt les points que j’ai trouvé intéressants et ceux qui je pense auraient pu être mieux traités.

****SPOILER ALERT : L’ARTICLE SUIVANT RÉVÈLE DES PASSAGES DE L’INTRIGUE.****

12 years critique lupita slave
Crédit photos : 12 years a slave

Si vous avez encore besoin du Synopsis, 12 years a slave c’est l’histoire d’un homme noir libre Solomon Northup violoniste vivant dans l’État de New York avec sa femme et ses enfants. En 1841, il fait la rencontre de deux hommes blancs qui se présentent comme artistes à la tête d’un spectacle itinérant et à la recherche d’une personne avec certains talents pour intégrer le spectacle pour quelques dates. Ces hommes finiront par être les ravisseurs de Solomon, qui le vendront comme esclave sans qu’il ne puisse dire adieu à sa famille. Le reste du film est donc le récit de ce qui se passe durant ses 12 années.

1841, date de l’enlèvement de Solomon. Date marquante. Pourquoi ? Parce que 1841, c’est seulement 173 ans derrière nous. Certes 173 ans ce n’est pas l’année dernière, mais vu l’histoire du monde, 173 ans ce n’est pas grand-chose. Mais il faut aussi comprendre par là qu’il y a encore 173 ans, des hommes et des femmes étaient encore réduits en esclavage de manière massive comme du vulgaire bétail. Quand on lit l’histoire et le concept de l’esclavage dans les livres ça nous semble si lointain, car, que de chemins parcourus par l’Homme noir. Même si tous les problèmes ne sont pas encore résolus, bien évidemment.

Donc en 1841, Solomon est enlevé pour être réduit en esclavage. Mais avant ça, Solomon est libre ; bah oui forcément, c’est logique. Ce que j’aurais aimé de la part du réalisateur c’est nous expliquer un peu plus en profondeur, pourquoi dans le même pays, certains Noirs sont libres et peuvent être propriétaires de leur maison et pourquoi d’autres sont esclaves et ne sont que les propriétés de leurs maîtres. Oui, si on connaît un peu l’histoire des Afro-Américains on sait pourquoi, mais je trouve que quand on aborde un sujet tel, il peut être intéressant de rappeler quelques faits historiques surtout quand on sait qu’on va toucher un large public, ce n’est jamais mal d’apporter un peu de culture à tous. Puis un Noir à cette époque qui joue du violon quand beaucoup sont encore analphabètes, ça aurait été intéressant de savoir dans quelles conditions il a appris à jouer de cet instrument.

12 years critique lupita slave
Crédit photos : 12 years a slave

 

Concernant ses ravisseurs, on ne sait pas pourquoi c’est lui qu’ils ont choisi d’enlever parmi tous les noirs de la ville. On voit qu’il est présenté à eux par un monsieur qui connaît ses talents de violoniste. On peut donc de se demander si c’est par jalousie qu’il est enlevé ou juste un mauvais coup du destin. À la suite à cette disparition quelle est la réaction des membres de sa famille et des dernières personnes à l’avoir vu ? Comment est gérée cette disparition ? Est-ce que ce monsieur qui l’a vu en dernier le signal ou s’en fout et se dit « c’est juste un Noir qui disparaît, qui va s’en soucier » ? Après on peut se dire que si le réalisateur n’en parle pas c’est sans doute parce ce qu’il n’avait pas plus d’informations.

Pendant qu’il est conditionné à oublier son statut d’homme libre, il fait la rencontre d’une mère et de ses deux enfants, dont une fille métisse. Au moment de la vente des esclaves, on voit comment les vendeurs n’hésitaient pas à séparer les familles s’ils estimaient que ça pouvait rapporter plus d’argent. La théorie du pourquoi vendre en gros, si c’est plus rentable de vendre en détail ? On voit que la valeur de l’enfant métissé est plus forte que celle des autres Noirs. On attend même qu’elle grandisse comme une bête de concours pour la vendre au prix fort. Comme quoi déjà à l’époque, la peau métissée avait « sa valeur », ce qui peut donner un début de réponse au pourquoi certains recherchent le métissage à la torche sans pouvoir l’expliquer.

Autre évènement marquant, quand Solomon est vendu. Il travaille dans les champs et un jour, sur la route avec les autres esclaves, ils rencontrent des « Amérindiens ». Il est intéressant de voir la réaction de deux peuples opprimés par les Blancs quand ils se rencontrent. Puis dans le même temps, ça rappelle que les Noirs n’étaient pas les seuls persécutés aux États-Unis à cette époque.

Quand on a connu la liberté, il est difficile de toujours accepter d’être oppressé sans rien dire, même si à chaque opposition on risque sa vie, mais sur ce point je trouve que Solomon est très « chanceux ». Certains se retrouvaient avec un membre en moins en étant moins rebelles.

Crédit photos : 12 years a slave

Avec ses multiples déboires, Solomon finit par être « refourgué » chez un autre maître beaucoup plus dur. La première scène se passe devant la maison du nouveau maître, c’est le jour du sermon donné par le maître. Précédemment dans le film on avait vu la présence de la religion, et là on voit comment cette dernière est utilisée pour garder les esclaves sous contrôle. On profite du fait que l’esclave ne sache pas lire pour lui dire que s’il est dans cette condition, c’est la volonté de Dieu et il n’est pas bon de se rebeller sinon on devra subir une punition divine. On retrouve une scène similaire dans le film « case départ » et ça montre une des raisons pour lesquels il n’était pas bon pour un esclave de savoir lire ou écrire ou de le montrer.

C’est ainsi, sur les terres de ce nouveau maître que Solomon, avec pour nom d’esclave « Platt », fera la rencontre de « Patsey » interprété par Lupita Nyongo’o. N’ayant pas lu le livre je ne sais pas si ce personnage y figure. En tout cas, Patsey dans le film est une jeune esclave ramasseuse de coton. Quand on demande aux autres esclaves de ramasser 90 kg de coton s’ils ne veulent pas être fouettés, elle en ramasse plus de 220 kg.

Personnellement, je n’ai pas trouvé l’interprétation de Lupita si grandiose au point d’obtenir un oscar pour un second rôle. C’est surtout ce que son personnage représente qui est fort. Mais la question est : doit-on récompenser une actrice pour son interprétation ou ce que représente son personnage en lui-même, indépendamment de l’interprétation ?


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Pourquoi votre marque a besoin d’une vidéo corporative ?

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Pourquoi votre marque a besoin d’une vidéo corporative ?

4 consommateurs en ligne sur 5 disent avoir une meilleure perception d’une entreprise après avoir visionné une vidéo. La vidéo vous permet de montrer. Vous pouvez réellement montrer à un public vos idées, méthodes et produits de façon dynamique tout en mettant l’emphase sur les points les plus importants.

La publicité vidéo en ligne influence aussi votre classement dans les moteurs de recherche. Youtube dispose du 2ème moteur de recherche le plus utilisé au monde après celui de Google. Il existe donc un réel enjeu de disposer de productions vidéos.

Les stratégies pour optimiser le référencement de ces vidéos ne sont pas encore maîtrisées par beaucoup d’acteurs : il y a donc une belle avance à prendre sur la concurrence. Pour rappel, d’une part, la vidéo est un très bon outil marketing pour rentrer en contact avec sa clientèle. D’autre part, la vidéo d’entreprise contribue à l’optimisation du référencement naturel de votre site.

La vidéo n’est plus seulement un outil visuel de communication, elle devient un élément à part entière, à prendre en compte pour référencer votre site internet. Si vous êtes intéressés par ce service de vidéo corporative à Montréal ou à Paris contactez-nous ici : https://www.afrokanlife.com/contact/ Sinon faites-vous plaisir avec nos dernières productions.

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Le MONTREALiN : Actualité culturelle iN et HiP de Montreal

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Soyjanedoe et Botanikap les animatrices de l'émission

 « Le MONTREALiN » est une émission radio sur CHOQ.CA de type “magazine culturel” sur la vie urbaine et culturelle du grand Montréal. Avec à l’animation JaneDoe et Botanikap découvrez les meilleurs plans en ville.

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Soyjanedoe et Botanikap les animatrices de l’émission

À Écouter chaque vendredi 19h00 – 19h30 sur les ondes de CHOQ

Le MONTREALiN : Actualité culturelle iN et HiP de Montreal
Le MONTREALiN : Actualité culturelle iN et HiP de Montreal

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Soccer Sans Frontières : L’alternative foot

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Soccer Sans Frontières est un nouveau balado produit par AfrokanLife.com et MountRoyalSoccer.com consacré à l’actualité footballistique de Montréal en direct chaque mercredi et vendredi de 18h à 19h sur www.choq.ca disponible sur iTunes, Soundcloud, Stitcher.

SSF5

Liens utiles.

Feed RSS du Balado : http://feeds.feedburner.com/SoccerSansFrontieres

Itunes : https://itunes.apple.com/ca/podcast/soccer-sans-frontieres/id842165789?mt=2

Stitcher : http://www.stitcher.com/podcast/soccer-sans-frontires-choqfm-la-radio-web-de-luqam?refid=stpr

Soundcloud : https://soundcloud.com/soccersansfrontieres

Choq : http://www.choq.ca/emissions/soccersansfrontieres

Site : https://www.afrokanlife.com/soccer-sans-frontieres/

Lien écoute en direct :

Qui sommes nous ?

Sacrée meilleure émission généraliste 2013 de la radio web CHOQ.FM, Soccer Sans Frontières offre surtout des débats chauds, du contenu exclusif et des entrevues de professionnels. L’émission a déjà reçu Juninho Pernambucano (Vasco de Gama), Aurelien Collin (Sporting Kansas City), Raoul Loe (Osasuna), Patrice Bernier (Impact de Montreal), Wandrille Lefevre (Impact de Montreal), Maxime Tissot (Impact de Montreal), Fredéric Piquionne (Portland Timbers), Rudi Garcia (AS Roma), Jean Gounelle (RDS), Patrick Juillard (FootAfrica365), Raphaël Larocque Cyr (Soccer Plus), Alex Kenol (LF5E), Yannick St-Germain (Québecois), Thierry Cros (RMC), Frédéric Lord (TVA Sports), Olivier Brett (TVA Sports), David Oliva (Tifo Magazine), Paul Desbaillet (Burgundy Lion) Patrick Friolet (RDS), Mustapha Terki (Pitch Festival) Arcadio Marcuzzi (Le Footeur), Mathias Van Halst (Coup Franc),  Geoffroy Garétier (Canal Plus) Olivier Tremblay (MLSSoccer), Simon Borg (MLSSoccer), Pablo Ortiz (Noticias Montreal), Ludovik Martin (Capitaine Soccer), Philip Harmeling (Wolfsburg).

Soccer Sans Frontières est aussi votre émission. Grâce aux hashtags #debatssf, #TropDePoutine et #SaputoDor de nombreux fans du ballon rond ont pris part à l’émission en partageant leurs questions ou leurs réponses sur Twitter. Faites comme eux et écoutez l’alternative foot en direct chaque mercredi et vendredi de 18 h à 19 h sur les ondes de la radio web CHOQ.FM

Soccer Sans Frontières dans la presse

http://blogues.lapresse.ca/soccer/2013/09/16/retour-sur-les-qualifications/

http://lefooteur.com/2013/09/12/audio-le-footeur-chez-soccer-sans-frontieres/

5 secrets que les Noirs chanceux connaissent très bien

kanye kim

“Noirs chanceux” est une expression parisienne provenant de l’époque de Ma 6-T va crack-er vers les années 1997.

Des personnes intolérantes pensaient que les Noirs n’étaient pas assez intelligents pour réussir et les qualifiaient de chanceux plutôt que doués à cet exercice. En réalité, ces Noirs chanceux ont prouvés à maintes reprises une capacité de travail extraordinaire qui leur a permis de générer la bonne fortune.

kanye kim
Une couverture de magazine sans aucun rapport avec le contenu qui suit. #oupas

Souvent l’on voit des gens excuser leurs propres insuffisances en créditant le succès des autres par la chance. La vérité est que les personnes chanceuses sont des opportunistes. Ils font des choses qui leur permettent de prendre avantage de leur environnement. Pour eux, ce n’est pas une question de chance ou de malchance. Ce sont les actions qui entreprennent qui leur donne ce que Jim Collins appelle un fort rendement de chance.

Voici 5 conseils pour être le plus chanceux de tous (sans vaudou ni sextape)

1. Jouez sur vos forces.

Tellement de temps gaspillé à faire des choses que vous ne faites pas bien. L’auteur Lewis Schiff a récemment conduit un sondage sur les gens fortunés et il apparait qu’ils obtiennent ce qu’ils ont en focusant ce qu’ils font de mieux. Tout le reste vous pouvez le déléguer, ou bien trouver un partenaire qui compense votre faiblesse. (Lire : 8 conseils pour réussir votre prochain partenariat d’affaires). De cette façon, vous allez briller dans les activités auxquelles vous excellez et attirer les opportunités. De bonnes choses arrivent à ceux qui respirent le succès.

2. Soyez prêts.

Les gens malchanceux sont souvent ceux qui ne réagissent pas assez vite ou ne sont pas préparés pour ce qui leur arrivent. Les gens qui stockent de la nourriture ne sont pas chanceux de trouver de la nourriture en cas désastre, ils sont préparés pour l’éventualité. Le point d’avoir un plan d’affaires n’est pas le suivre en toutes circonstances mais d’établir une structure pour prendre des décisions intelligentes qui vont conduire aux succès dans le futur. (Lire : 5 moyens de calculer les coûts de votre Startup)

3. Commencez tôt.

Certaines personnes semblent avoir plus d’heures dans une journée. Ceux qui n’ont pas besoin de plus de 6 heures de sommeil partent avantagés. Utilisez tout temps additionnel pour commencer des projets à l’avance. N’attendez pas de gratification immédiate et cessez de procrastiner. (Lire : 3 raisons pour lesquelles les étudiants procrastinent) Plantez des graines qui porteront fruit dans des mois ou des années. Les gens les plus chanceux sont ceux qui cultivent leur bonheur.

4. Connectez avec le plus de gens possible.

La clé du succès est d’accéder aux opportunités. Cette accès vient de l’influence. Si vous êtes une personne influente, les gens viennent à vous pour vous proposer des opportunités. Et plus vous êtes capable d’engager les gens plus vous êtes influents. La seule façon de le devenir est d’apporter une valeur ajouté aux personnes. Vous devez fournir le genre de valeur qui va amener les gens à répandre vos idées loin, très loin. Êtes-vous en train de créer ce genre de valeur ? Si non, trouver comment vous pouvez le faire.

5. Faites des suivis.

Les opportunités s’envolent souvent car les gens ne réagissent pas en temps opportun. Il est toujours étonnant lorsque les gens demandent quelque chose et que la réponse ne leur satisfait pas, pour eux de jamais demander à nouveau. (Lire : 6 conseils pour réussir le contact après un évènement de réseautage) Il y’a trois mois, un ami me raconté qu’une jeune femme leur a demandé si ils embauchent des stagiaires ou des assistants. Il lui a répondu immédiatement en disant qu’il était toujours prêt à envisager l’embauche de personnes qui apportent de la valeur à son travail. Il lui a demandé comment elle pensait qu’elle pourrait améliorer ce qu’il faisait. Il n’a jamais entendu parler d’elle à nouveau. Peut-être qu’elle se considère maintenant malchanceuse que cette occasion ne soit pas venue dans son chemin. Pourtant le suivi est souvent plus puissant et plus impressionnant que l’acte d’entreprendre.

Et quel serait votre 6 ème conseil pour être plus chanceux. Laissez nous votre commentaire.

La soirée des Jeunes Gouverneurs Des Grands Ballets comme si vous y étiez

Le samedi 15 Mars, à l’occasion d’une des représentations de Rodin/ Claudel, les Jeunes Gouverneurs Des Grands Ballets ont organisé un cocktail suivi d’une soirée dansante!

 Jeunes Gouverneurs Des Grands Ballets

Le cocktail précédant la représentation de Rodin/Claudel avait lieu au Salon Urbain, au plein coeur de la Place des Arts!

cercle des gouverneur 4

Les participants avaient ensuite le plaisir d’assister à la représentation de Rodin/ Claudel. C’est l’histoire d’Auguste Rodin et de Camille Cladel, fou l’un de l’autre et fou de sculpture.

cercle des gouverneur 2

Dans l’acte I,  Rodin et Claudel se rencontrent dans l’atelier de cette dernière. C’est le coup de foudre! Peu de temps après, Camille devient le modèle d’Auguste. Ces derniers se lient intimement! Leur complicité naissante est évidente pour tous dans l’atelier, y compris pour Rose Beuret, la maîtresse d’Auguste Rodin. Suite à un pique-nique organisé par la famille Claudel, la tension est palpable et une confrontation éclate entre Rose, Camille et Auguste. Camille, enceinte de l’enfant de Rodin, demande à ce dernier de choisir entre elle et Rose. Incapable de faire un tel choix, il s’enfuit.

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Dans l’acte II, Camille, esseulée, doit se résigner à avorter. Toujours fragilisée suite à cette terrible décision, elle décide néanmoins de s’affairer aux préparatifs d’une exposition. Camille se fait rallier par les snobs qui jugent que son travail n’est qu’une pâle imitation de celui d’Auguste Rodin. Furieuse, Camille Claudel est prise d’une crise de rage et fracasse toutes ses sculptures, sous les yeux de Rodin, qui assiste impuissant à la descente aux enfers de celle qu’il aimait tant. Camille finira internée dans un hôpital, duquel elle ne sortira pas!

Le spectateur assiste à un tourbillon d’émotion, où amour, trahison, jalousie, haine et passion s’entre-mêlent! Rodin/ Claudel, du 13 au 22 mars, à la salle Maisonneuve, Quartier des Spectacles.

cercle des gouverneur 1

Après le spectacle, place à la soirée organisée par les Jeunes Gouverneurs Des Grands Ballets. Au programme : dégustation de cupcakes Sweet Isabelle, de bouchés salées préparées par le restaurant JOVERSE, dégustation de cidre du Québec NEIGE, découvertes des dernières tendances culinaires, réseautage et des prix à gagner! Pour en savoir plus sur les Jeunes Gouverneurs Des Grands Ballets, rendez-vous sur le lien suivant: http://www.grandsballets.com/fr/appuyez_nous/jeunes_gouverneurs/

cercle des gouverneurs

Omar Sy dans le prochain Jurassic Park

Omar Sy

La conquête de l’Ouest se poursuit pour Omar Sy. Après X-Men et The Candy Store, l’acteur français va participer à un autre projet hollywoodien à savoir Jurassic World.

C’est Universal qui a annoncé la nouvelle ce vendredi 21 mars via un communiqué: “L’acteur français Omar Sy rejoint la distribution de Jurassic World, le nouveau volet tant attendu de la saga Jurassic Park”.

Une annonce aussitôt partagée par Omar Sy sur Twitter de Omar SY (@OmarSy)

Pour le moment, aucune précision n’a été donnée sur le rôle que jouera Omar Sy dans le quatrième volet de la saga Jurassic Park. L’acteur français partagera l’écran avec Chris Pratt et Bryce Dallas Howard. “Quant à Steven Spielberg, le réalisateur des deux premiers films de la franchise, il officiera sur Jurassic World en tant que producteur; laissant la place de metteur en scène à Colin Trevorrow”, précise le site Reviewer.

Soccer Sans Frontières Ep. 103: Mathias van Halst de Coup Franc MLS

crédit: Coup Franc MLS

Soccer Sans Frontières Ep. 103: Gueule de Bois du Texas avec Mathias Van Halst de Coup Franc MLS

crédit: Coup Franc MLS
crédit: Coup Franc MLS

La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ pour votre rendez-vous bihebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus.

On accueille en studio, Mathias Van Halst de Coup Franc MLS pour parler de football belge, la MLS et l’Impact de Montréal.

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Soccer Sans Frontières - CHOQ.FM, la radio Web de l'UQAM

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Post-Mortem 2013 Impact de Montreal

Le journal Le Point lance le site Le Point Afrique : et alors ?

Le journal Le Point lance le site Le Point Afrique : et alors ?

Le Point Afrique est la nouvelle initiative du journal de Franz-Olivier Giesbert pour faire découvrir la nouvelle Afrique qui crée innove et entreprend.

Le journal Le Point lance le site Le Point Afrique : et alors ?

Au programme plusieurs sujets dont l’économie, l’art de vie et le sport. Selon LePoint “L’objectif étant de respecter la logique de l’intégration africaine à côté de sa revendication de pluralité”.

Les réactions sur lepointafrique ne sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux.

Certains saluent l’initiative du groupe médiatique français…

D’autres sont plus septiques sur le projet…

nofi lupita lepoint afrique

D’autres encore expriment leurs attentes…

Vous l’aurez compris les avis sont partagés, et même dans les commentaires sur le site lepoint.

REGARDEZ Malick Diawara, responsable du Point Afrique

Le réveil des médias français sur l’Afrique.

L’initiative du Point fait suite à celle de Canal + Afrique qui diffusait la première édition du magazine Réussite. Une nouvelle émission animée par la journaliste franco-nigériane Élé Asu et co-produit avec Groupe Jeune Afrique et l’agence Galaxie Presse pour présenter des exemples de réussites économique. À noter aussi Africaine et Parisienne produit par Demain TV et Africable Télévision, une émission mensuelle d’une durée de 52 minutes qui se présente comme “le nouveau magazine des Africaines de Paris où les cultures se croisent, s’harmonisent, s’enrichissent mutuellement”.

« Le Point » veut donc imiter, pour la francophonie, le modèle de « The Economist », qui fait office de référence du côté anglophone. « L’ONU prévoit plus de 700 millions de francophones en 2050, dont 85 % d’Africains. L’Afrique va croître dans les années à venir. C’est le continent qui décolle », souligne Etienne Gernelle. « Si le français devient la langue la plus parlée dans le monde en 2050, les groupes de contenus médias français pourraient “adresser un marché” à dimension mondiale, avec une croissance potentielle trois fois supérieure à celle de leur marché de référence actuel », juge Natixis.

Un effort de rattrapage auprès d’un lectorat qui trouve de plus en plus son compte parmi les initiatives tel que Roots Magazine, Fashizblack, A+ mag et tant d’autres (Lire : 10 Afro lifestyle magazines you should be reading right now).

REGARDEZ Malick Diawara, responsable du Point Afrique :

Et vous qu’en pensez-vous ? Laissez-nous vos commentaires.

Premier match à domicile pour la troupe de Klopas

Après un voyage de 10 jours sur la route, premier match à domicile pour l’Impact qui s’attend à un accueil bruyant ce samedi au Stade olympique.

La dernière fois que Frank Klopas a dirigé une équipe au Stade olympique c’était le Chicago Fire. Les deux clubs avaient fait match nul 1-1 devant une foule bruyante, lors du tout premier match à domicile de l’Impact en MLS.

Aujourd’hui entraîneur-chef de l’Impact, Frank Klopas espère que le support à la maison pourra aider son équipe à l’emporter cette fois-ci.

« Ayant déjà été entraîneur d’une équipe adverse au Stade olympique, je peux vous dire que ce n’est pas un endroit plaisant pour les visiteurs, a dit Klopas. Le support est fantastique ici. C’est incroyable et c’est important pour nous de jouer devant nos partisans. Je sais que les joueurs sont prêts à fouler le terrain, représenter le maillot, la ville et les supporters avec respect. C’est excitant. »

Avec plus de 24 000 billets vendus, la troupe de Klopas s’attend à une ambiance électrique et voudra montrer sa dominance à la maison.

« C’est important d’obtenir des points à domicile dans cette ligue, a ajouté le défenseur Jeb Brovsky. Comme à Houston et à Seattle, Montréal est devenu un endroit difficile d’aller chercher des points pour les équipes adverses. On veut donner le ton sur le terrain en 2014 et avec le support des supporters. »

Impact Media.

Nadia Essadiqi aka La Bronze crève l’écran dans Quart de vie

la bronze

Artiste accomplie, l’auteure-compositrice-interprète et comédienne La Bronze (de son vrai nom Nadia Essadiqi) est aussi à l’aise devant la caméra que derrière le micro.

 

la bronze

En effet, la Bronze vient de terminer l’enregistrement de son premier album dont la sortie est prévue au printemps. Les plus sorteux d’entre vous ont pu admirer ses talents et de ses deux musiciens, Jean-François De Bellefeuille et François Brisebois, lors de l’événement « Une Nuit chez Georges » organisé par Little Lab dans le cadre de la Nuit Blanche et Montréal en Lumière le 1er mars dernier.

Cette panthère urbaine qualifie son style “entre un clavier mi-électro, mi-classique et une guitare très rock, […] chansons pop-rock aux accents trip-hop.” Mais si elle fait l’actualité c’est que depuis le 11 mars dernier on la retrouve dans la série Quart de vieAprès l’avoir récemment suivie dans la websérie Projet-M sur ZTélé aux côtés de Jean-Nicolas Verreault et Julie Perreault,  le rôle de l’excentrique Bam lui va comme un gant.  

 

«Mes coups de foudre […] la comédienne Nadia Essadiqi, qui crève l’écran. On l’avait vu dans Icendies en réceptionniste puis dans différentes séries télé, mais le rôle de BAM (Khedaoudj Bahmed) est taillé sur mesure pour elle. Wow. Surtout quand elle porte son costume de Catwoman et cite constemment des séries américaines. »
Le Blogue de Sophie Durocher sur le site Le Journal de Montréal / Le Journal de Québec

 

Et vous que pensez-vous de la performance de La Bronze et de la websérie Quart de vie ? Laissez nous votre commentaire.

 

10 choses à savoir sur Aloe Blacc aka The Man

L’album Aloe Blacc album, “Lift Your Spirit,” est sorti cette semaine et est classé # 4 sur iTunes US pour le moment. Si vous pensez que vous ne savez pas qui est Aloe Blacc  , vous avez tort .

Si vous avez vu les Beats by Dre commerciale mettant en vedette Kevin Garnett , vous le connaissez , car sa chanson “The Man” est ce que le joueur des Brooklyn Nets écoute en se rendant au stade. Si vous avez déjà entendu la chanson Avicii  “Wake Me Up” alors vous le connaissez car c’est lui qui chante et non Avicii (wow!). Vous avez probablement aussi à un certain point entendu sa chanson ” I Need a Dollar ” de la série How To Make In In America . Donc vous voyez ? Aloe Blacc a été furtivement dans votre vie sans même que vous le sachiez.

How To Make In In America opener

Beats by Dre x Kevin Garnett: Hear What You Want

Wake Me Up

Life Your Spirit : le nouvel album de Aloe Blacc 

Aloe Blacc a donc sorti son propre album. Non seulement vous retrouvez “The Man” mais il inclut également une version acoustique de “Wake Me Up.” Il n’est donc pas surprenant qu’il y ait eu suffisamment de buzz autour de lui pour permettre à “Life Your Spirit” de dominer les classements en quelques jours. 

Nous avons promis 10 choses à savoir sur Aloe Blacc. Les voici

  • Son nom de famille se prononce “black” comme la couleur noire en anglais
  • D’après OC Weekly: “Aloe Blacc a choisi son nom pour sa douceur : le premier nom fait référence à la plante et il a changé le K de Black  il trouve cette consonne sévère”
  • Son nom de naissance est Egbert Nathaniel Dawkins III et il a 35 ans
  • Il vient de Orange County en Californie et ses parens sont du Panama
  • Il est marié à une rappeuse australienne avec laquelle il a une fille nommée Mandela
  • “Lift Your Spirit” est son troisième album solo, le premier est sorti en 2006
  • Il a écrit les paroles de Wake Me Up avant de collaborer avec Avicii
  • Il a écrit la chanson “The Man” en s’inspirant de la phrase “You can tell everybody” de “Your Song” de Elton John
  • Il a collaboré avec Pharrell sur le son “Love is the Answer” sur son nouvel album
  • Aloe Blacc est The Man alors il mérite que vous partagiez cet article.

Americanah de Chimamanda Ngozi Adichie remporte le US National Critics Book Prize

Chimamanda Ngozi Adichie

Chimamanda Ngozi Adichie a remporté le US National Critics Book Prize pour son roman Americanah. Adichie, dont les travaux incluent “Half of a Yellow Sun,” a été choisie devant “The Goldfinch” de l’auteure Donna Tartt et trois autres finalistes.

Americanah qui est l’histoire de la romancière Nigérianne retournant dans son pays d’origine depuis les États-Unis pour rencontrer l’homme qui était son amour d’enfance a été salué dans le monde entier. Le Guardian disait le récit ”impressionant [et] subtile, mais pas effrayé d’appuyer la où ça fait mal”; le Telegraph disait que c’était “une brillante exploration de l’identité Africaine aux États-Unis”. Le livre a également été nommé l’un des meilleurs livres de la New York Times de 2013.
Chimamanda Ngozi Adichie
Les US National Critics Book Prize ont été décerné la première fois en 1974 et sont ouvert aux écrivains de toutes nationalités dont le travail a été publié aux États-Unis. Parmi les autres vainqueurs, le livre de Sheri Fink sur l’ouragan Katrina, Five Days at Memorial: Life and Death In a Storm-Ravaged Hospital, remporte le prix de non-fiction. Les autres gagnants lors de la cérémonie inclus Metaphysical Dog de Frank Bidart pour la poésie et Distant Reading de Franco Moretti pour la critique, avec des livres de Jonathan Franzen et Janet Malcolm parmi les autres candidats.

L’auteure nigériane Chimamanda Ngozi Adichie, est également en nomination pour le Prix de la femme Baileys dans la catégorie fiction pour son livre Americanah. Elle est la seule Nigériane et même Africaine nommée. Le prix est accompagné d’une récompense de 30.000 livres ou 50.000 $. Six finalistes seront annoncés le 7 Avril 2014 et gagnant sera révélé le 4 juin 2014.

An African City : Le destin de 5 femmes afropolitaines

An African City : Retour au pays

An African City : Le destin de 5 femmes afropolitaines

La semaine passée une nouvelle télé-réalité voyait le jour. Nigerians Abroad a pour sujet des Nigérians dans le monde de l’industrie du spectacle à Los Angeles. Cette série a pour objet des jeunes remplis d’ambition qui cherchent à faire leur trou à Los Angeles. Derrière le casting original se cache une trame qui a été maintes fois exploitée par la télévision.

C’est à l’opposée du nouveau drama An African City.  An African City crée par Nicole Amarteifio, une new-yorkaise d’origine ghanéenne, suit 5 femmes qui retournent au Ghana après avoir grandi aux États-Unis. Ces afropolitaines doivent s’ajuster au retour (Lire : C’est décidé je rentre au pays) et aux changements qui s’en suivent.  Sur le site de l’émission, Amartefio explique qu’elle était fatiguée de voir les femmes africaines décrites comme pauvres et désespérées. Au lieu de cela, elle voulait dépeindre des femmes intelligente, moderne et chic.

An African City : Retour au pays

La série, qui a débuté le 2 Mars, bénéficie d’un casting de cinq femmes avec des personnalités riches. Ces femmes sont joués par des actrices MaameYaa Boafo, Esosa E, Maame Adjei, Nana Mensah, et Marie Humbert. Il y’a une religieuse, celle qui est à fond dans son entreprise, le personnage central qui essaie de naviguer sa vie amoureuse et la femme divorcée qui retourne sur le continent sans emploi. Les sujets abordés parlent à tous ceux qui sont tentés par l’idée de s’installer en Afrique : carrière, choc culturel, relations humaines.

La saison est 1 est disponible sur Youtube est à découvrir ici :

Episode 1

Episode 2

Episode 3

 Que pensez-vous de cette série web ? Allez-vous regarder ?

Iheartmyhair : Love the Hair you’re in

iheartmyhair blog

Aujourd’hui découvrez iHEARTmyhair un site web éducationnel et un mouvement révolutionnaire basé sur l’entraide des femmes et des filles pour aimer et apprécier le point le plus haut de soi, leur couronne : leurs cheveux. En effet nous quand on aime, on partage.

TOP 3 SÉLECTION

Articulated: My Interview with Shannon Teresa

A candid conversation with Shannon Teresa Boodram with regard to her beef with the natural hair community. Just a couple of weeks ago Shannon posted a link on Instagram which directed me to a missive she had written that was subsequently featured on NaturallyCurly. Upon reading her Instagram post which entailed the words: “My beef with the Natural Hair Community,” as the Editor of the natural hair blog IHeartMyHair, I knew I had to find out what was cooking.

Lire la suite sur http://www.iheartmyhair.com/articulated-interview-shannon-teresa-boodram-response-beef-natural-hair-community/

How to Moisturize Natural Hair

Is your hair dry and in desperate need of hydration?  If you think dumping a bunch of oils on your hair at night or in the morning before you exit your home and believe that you’re giving your hair moisture. I have news for you — Oils DO NOT hydrate your hair.  So join this challenge, learn and experience how to properly moisturize naturally, curly, kinky, coily hair.

Lire la suite : http://www.iheartmyhair.com/hydration-challenge-get-your-moisture-on/

Brazilian Keratin Product Discriminates Against 

Racist or not? The situation: A Brazilian Keratin Treatment company called Cadiveu thought that their exposition was a big hit at a Beauty Fair event.  The Hair Show attendees were asked to take a picture with an Afro wig, while holding a plaque that says, “I need Cadiveu“.

Lire la suite : http://www.iheartmyhair.com/brazilian-keratin-product-discriminates-against-afro-hair/

iheartmyhair blog

Projecteur sur l’Association des etudiants Africains de l’UQÀM

Pour les etudiants africains de l’UQAM, l’aseauqam est incontournable. Nous avons profité d’un 6 à 8 organisé par le nouveau bureau pour rencontrer Lom’s Lomani l’actuel président de l’Association des Étudiants Africains de l’Université du Québec À Montréal.

Présente dans le paysage associative depuis de nombreuses années, l’Association des Étudiant(e)s Africain(e)s de l’UQÀM est très active sur le campus universitaire. L’on se souvient notamment des activités menées durant le cinquantenaire de l’unité africaine où l’Aseauqam invitait la communauté estudiantine africaine à celébrer et à refléchir à une Afrique unie et prospère par divers expositions, projection de films et débats-conférences.

L’Aseauqam se démarque par un tournoi sportif de basket-ball dénommé la Coupe d’Afrique de Basket-Ball (C.A.BB) ou encore la soirée culinaire pour découvrir l’Afrique sous ses meilleurs plats.

La mission de l’association est de promouvoir les valeurs culturelles Africaines à l’UQAM. Elle se présente comme fière disciple de la solidarité, la fraternité et le partage entre les étudiants Africains et les autres cultures.

Nous sommes allés rencontrer le président actuel de l’Aseauqam pour en savoir plus. Nous avons demandé à Lom’s Lomani depuis quand existait l’association et dans quel but. Nous avons ensuite évoqué les activités passées et futures. Une entrevue vidéo à découvrir ici :

Facebook : https://www.facebook.com/pages/ASEAUQÀM/133455833440052

Mondial 2014: Stromae nous dévoile sa Leçon 28 “Ta Fête”

Stromae a frappé en pleine lucarne! Paul Van Haver veut que son titre « Ta Fête » soit l’hymne de l’équipe nationale belge au Brésil pour le Mondial 2014!

"Ta Fête", hymne de l'équipe nationale belge

Ce lundi 17 mars, le chanteur belge a posté une nouvelle leçon sur les réseaux sociaux. Il annonce que le clip de son titre “Ta fête” ne sortira que début mai, en attendant le rappeur Belge nous a dévoilé sa 28eme lecon qui concerne le fameux morceau « Ta Fête » mais avec une petite surprise. Le décor en dit long sur la suite de la leçon, Stromae nous a donc donné rendez-vous dans le stade de football du roi Baudouin, situé à Bruxelles. Ensuite sans langue de bois, le chouchou des Belges nous annonce qu’il aimerait que « Ta Fête » devienne l’hymne national des diables rouges durant la coupe du monde 2014 au Brésil.

http://www.youtube.com/watch?v=3VDgvA2EvOk

La vidéo porte effectivement bien son nom, Stromae explique aux différents joueurs de l’équipe nationale Belge, la stratégie de son projet. Mais les joueurs n’ont pas l’air emballé par l’idée de ce dernier, comme on peut le voir avec les réactions de Romelu Lukaku, Marouna Fellaini et Vincent Kompany. Le chanteur Belge s’essaye même à des conseils tactiques comme une nouvelle formation en « 1-4-5 » par exemple! Tout ceci se termine dans la joie et la bonne humeur avec un nouveau milieu défensif floqué numéro 4, du nom de STROMAE.

https://www.youtube.com/watch?v=ublchJYzhao

 

 

Soccer Sans Frontières Ep. 102: Les huitièmes de finale européénes

crédit : UEFA

Soccer Sans Frontières Ep. 102: Analyse huitièmes de finale Ligue des Champions.

huitiemes de finale
huitiemes de finale

La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ pour votre rendez-vous bihebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus.

On revient sur les 8ièmes de finales de la Ligue des Champions UEFA avec la qualification du Bayern Munich aux dépends d’Arsenal, la qualification du Paris-Saint-Germain face au Bayer Leverkusen, celle du FC Barcelone, du Real Madrid et de Chelsea FC.

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Post-Mortem 2013 Impact de Montreal

10 Years : le bouleversant court-métrage d’Olivier Kissita

Olivier Kissita, dont on avait brièvement parlé dans un précédent papier d’AFKL, fait partie de cette nouvelle génération de réalisateurs pleins d’idées et ultra-débrouillards qui envahissent la toile avec des moyens techniques très limités.

Déambulant sur l’asphalte avec une bande de potes, Olivier Kissita le réalisateur/acteur s’approprie avec toupet le décor urbain en le transformant en fête foraine pour grands enfants, et puise dans cette source d’inspiration incandescente qu’est la réalité pour donner du réalisme à sa caméra.

Ses premiers « releases » ont réussi à se faire une petite place dans l’immense vitrine du web, ou depuis le temps, le quatrième mur (celui du téléspectateur) a explosé en vol (le tsunami Bref n’y est pas pour rien). Jouant habilement (bien que le genre soit devenu mainstream) sur une promiscuité avec le spectateur et une désacralisation des personnages, en narrant la normalité de leur vie, le réal parvient à déclencher l’hilarité du public qui se reconnaît forcément dans les situations énoncées.

Armé d’un sécateur géant, il se plait à décortiquer les petites peurs inhérentes à l’espèce humaine avec une intimité insolente, découpant au passage les chaines de la bienséance et ses tabous.

La série Nous en vrai est un parfait exemple d’amuse-bouche caustique :

Au-delà de la mise en scène-même, la patte du jeune réalisateur se distingue par l’audace et l’ingéniosité distillée dans les scénarios pour faire passer des messages autrement plus graves, comme le twist de ce lien suivant :

La vidéo suivante nous immerge dans deux visions fantasmées d’un monde tantôt dystopique, tantôt, utopique, avec un abrupt retour à la réalité revêtant la forme d’un spot de pub pro-RATP. Ce procédé vicieux nous interroge d’avantage sur les relations entre voyageurs des grandes villes.

Tournés comme des gros délires potaches que l’on se fait entre potes, on se laisse subtilement embarquer sur le navire sans pour autant piger les nombreuses private jokes disséminées deçà-delà. Mais ça c’était avant…

Un premier huis clos anxiogène. Le glas est sonné d’entrée. Puis c’est le récit d’une vie, d’une famille qui défile, et s’assemble dans le désordre par petits monceaux comme un puzzle bien ficelé. La péloche déroule et les mirettes sont visées à l’écran. Le court métrage 10 Years est un véritable jeu de piste émotionnel nous prenant incessamment par surprise, d’effroi, d’angoisse, de dégoût, d’aversion puis de soulagement.

Truffé de fausses-pistes, l’intrigue prend aux tripes, saisit les nerfs du spectateur pour mieux les entortiller, et mélange magistralement scènes introspectives et faits relatés au sein d’une bulle d’espace-temps qui s’étire et se compresse sans éclater.

Les différents tableaux à l’esthétique somptueuse, rendent encore plus insoutenables et poignantes les scènes à l’intensité exacerbée par les thématiques familiales, sentimentales et sociales qui ne sont en réalité que serfs au service d’un seul maitre: l’histoire. Une œuvre sérieuse pour des ambitions à la hauteur du talent de ce jeune réal.

Tidjane Thiam, ce prophète dont la France n’a pas voulu

Ce Franco-Ivoirien surdiplômé dirige le plus gros assureur britannique. Star de la City, il côtoie tous les grands de la planète.

TidjaneThiamTidjane Thiam, 51 ans, directeur général de Prudential, est le premier patron noir d’une entreprise du Footsie, le CAC 40 britannique. © Steve Forrest / Panos-Réa

Il parle, encore et encore. D’une voix presque fluette, qui tranche avec son 1,94 m et ce regard fermement planté dans le vôtre. Habité et tellement pressé qu’il lui arrive de manger ses mots. Il faut dire que Tidjane Thiam a toujours tout fait très vite. À 51 ans, ce Franco-Ivoirien a déjà connu de multiples vies. En Côte d’Ivoire, en France, au Royaume-Uni et un peu partout dans le monde. Né à Abidjan, fils d’un ministre de Félix Houphouët-Boigny, il rejoindra Paris pour ses études. Et quelles études ! Polytechnique, major de l’École des mines, Insead ! Impossible de faire mieux. Après un long passage chez le tout-puissant cabinet de conseil américain McKinsey, il revient en 1994 en Côte d’Ivoire pour développer les infrastructures du pays, puis devient ministre du Plan. Jusqu’au coup d’État de 1999. Retour à Paris, retour chez McKinsey, retour des frustrations. Car, quand ses camarades de promotion se voient harcelés par les chasseurs de têtes, le téléphone de Tidjane Thiam, lui, reste désespérément muet. Alors, pour trouver un poste à sa mesure, le voilà qui franchit la Manche et rejoint l’assureur britannique Aviva. Avant de s’en aller chez le géant Prudential, dont il va prendre la tête en 2009 et ainsi devenir le premier patron noir d’une entreprise du Footsie, le CAC 40 anglais. Il est maintenant à la tête d’un empire de l’assurance, une fierté britannique avec 13 millions de clients en Asie, 4 millions aux États-Unis ou 7 millions au Royaume-Uni. Il est aussi devenu un des phares de la City, côtoie au jour le jour le Premier ministre, David Cameron, ou les grands de ce monde, est invité à déjeuner par la reine, croise régulièrement les princes Charles ou William dans des oeuvres de charité. Par sa culture, sa carrière et son métier, il est surtout devenu un incroyable témoin des mutations radicales du monde, de la puissance de l’économie de marché, des retards européens et des discriminations…

Le Point : La crise financière a débuté voilà cinq ans. A-t-on la certitude qu’il ne se prépare pas, quelque part dans le monde, une nouvelle explosion analogue ?

Tidjane Thiam : Les crises font partie du mode de fonctionnement du système : il en va à cet égard des marchés financiers comme de la nature humaine. En début 2013, à Davos, j’étais à la tribune devant une assemblée de grands patrons et j’ai posé la question suivante à la salle : “Que ceux qui pensent qu’on n’aura plus jamais de crise financière lèvent le bras.” Tout le monde a rigolé, le représentant d’une organisation internationale a levé le bras. Il était seul !

Mais c’est un terrible constat d’échec !

Non, car après se pose la question de leur fréquence et de leur amplitude… Juste après 2008, les régulateurs disaient : “Plus jamais de crise.” On est maintenant passé de cette réaction immédiate et un peu naïve à une réflexion plus intéressante : “Sachant qu’il y aura des crises, comment fait-on pour qu’elles aient le minimum de conséquences, qu’elles ne soient pas systémiques ?” C’est ça, le sujet. C’est ce que j’ai dit aux régulateurs après le tsunami antisystème financier que nous avons subi après la crise.

Quand même, vous ne pouvez pas dire que la régulation ne sert à rien…

Je ne dis pas que la régulation n’est pas justifiée, mais il faut surtout que la croissance reparte, car elle seule permet de résorber les déficits à long terme. Et, si votre secteur financier ne fonctionne pas, vous n’aurez pas de croissance.

On danse donc toujours sur un volcan !

Non ! Le marché a juste du mal à faire des transitions. Passer d’une période de prospérité à la crise, c’était très douloureux. Maintenant, il a du mal à passer de la crise à une période normale : il fonctionne de façon aberrante, en traitant les bonnes nouvelles comme de mauvaises nouvelles, et les mauvaises comme des bonnes ! Car, quand il y a de bonnes nouvelles, le marché baisse de peur que les mesures exceptionnelles mises en place par les banques centrales (taux d’intérêt quasi nuls, programmes d’achat de dettes…, NDLR) soient retirées. Et inversement. En fait, l’économie de marché est un organisme extraordinairement darwinien, évolutif, qui s’adapte à tout. Vous lui mettez des mesures d’exception, tous les acteurs s’y adaptent… Ensuite, c’est dur de réorienter les choses. Mais, moi, je crois que les bonnes nouvelles sont simplement… de bonnes nouvelles.

Ne rien changer serait dangereux ?

Avec le niveau des taux d’intérêt aujourd’hui, presque nuls, on décourage l’épargne alors qu’il faut la récompenser : sans épargne, il n’y a pas d’investissement à long terme ; sans investissement, pas de croissance ; sans croissance, pas d’emploi ; sans emploi, pas de démocratie et pas de stabilité sociale. Tout cela est absolument lié !

On est donc allé trop loin…

J’étais pour ces mesures exceptionnelles au début. Il faut se rappeler la violence de la crise de 2008… Ici, chez Prudential, du 16 septembre au 31 décembre 2008, on se réunissait tous les jours à 7 heures après s’être couchés à 3 ou 4 heures du matin. J’en rigolais parfois en disant qu’une “journée normale est une journée avec une seule faillite”. Cette entreprise a 165 ans et six des dix plus grosses chutes en une séance à la Bourse de son histoire ont été enregistrées pendant cette période-là. Alors que Prudential a connu la guerre de 1870, la Grande Dépression, les deux guerres mondiales, le krach de 1987… Donc, j’étais bien placé pour savoir qu’il fallait des mesures exceptionnelles. Mais je suis aussi bien placé pour savoir qu’il faut, un jour, avoir le courage d’y mettre un terme.

Pour mesurer la croissance mondiale, c’est toujours du côté des États-Unis qu’il faut regarder ?

Encore et toujours. Les États-Unis ont fait deux choses essentielles : ils ont consacré beaucoup d’efforts à redresser leur marché immobilier et ont nettoyé le bilan de leurs banques pour qu’elles puissent de nouveau prêter. Deux conditions absolument nécessaires pour une croissance saine et durable.

Mais les États-Unis laissent filer leur dette, leur déficit public et leur déficit commercial… Et ce n’est pas un problème ?

Non. Car l’économie repose sur la confiance, on le sait tous. Et les gens ont toujours confiance…

Même les Chinois ? Vont-ils continuer à acheter de la dette d’État américaine ?

Mais, sinon, où pourraient-ils mettre leurs excédents ? Ils ont 3 300 milliards de dollars de réserves de change. Wen Jiabao (le Premier ministre chinois entre 2003 et 2013) le sait, il me l’a dit. Pas un seul marché obligataire au monde ne peut absorber de tels volumes, sinon le marché américain ! De l’avantage d’être le plus gros… Les États-Unis ont un autre atout énorme : sur les quinze dernières années, ils ont réinventé Apple, créé Google, Facebook, Twitter… La vraie force de l’économie américaine, c’est son incroyable capacité à innover. Ils vous sortiront toujours un autre Google que personne n’a vu venir. Ils ont aussi cette capacité à attirer les cerveaux. Ce serait d’ailleurs bien que d’autres pays le fassent ! Mais souvent, à commencer par l’Europe, ils ne veulent pas des cerveaux étrangers… Il ne faut donc pas se plaindre que d’autres en tirent profit. Un jour, avec des patrons, on a demandé à Dmitri Medvedev (l’ex-président russe) ce qu’il pensait du fait que Sergueï Brin, le cofondateur de Google, était né en URSS. Eh bien, il était d’accord pour dire que, si Brin était resté en Russie, il n’aurait sans doute pas créé Google.

On vous sent admirateur des États-Unis… 

C’est le consommateur américain qui a alimenté la croissance mondiale les dix années qui ont précédé la crise de 2008. Quand les États-Unis portent la croissance mondiale, la Chine en profite, tout le monde est entraîné… Regardez l’élévation de la richesse mondiale totale ! Ce cercle vertueux de la croissance est très positif, à commencer pour les pays émergents.

Justement, la Chine : beaucoup pensent que les années de croissance folle sont finies…

Un jour, c’est évident que la croissance du pays se réduira. Mais on a encore une bonne dizaine d’années à 6 % ou 7 %. J’ai la plus grande confiance dans ce qui se passe là-bas. La croissance de l’Asie, au fond, c’est l’histoire de la mise au travail de cerveaux et de capacités intellectuelles qui n’étaient pas pleinement utilisés jusqu’ici. Tout cela, avec les mouvements massifs de populations des campagnes vers les villes, dans un environnement urbain, où on est forcément bien plus productif. Les migrations internes ne sont pas terminées, il reste donc une incroyable réserve de main-d’oeuvre, mais aussi de gains de productivité et donc de croissance économique.

Mais la dette des provinces chinoises est mal connue, la qualité des créances bancaires fait peur…

Je ne donnerai qu’un chiffre sur la Chine : le taux d’épargne en Chine, c’est 50 % du PIB (contre 15 % en France et 5 % au Royaume-Uni). C’est la meilleure réponse à un éventuel problème ! Ils vivent sur une autre planète économique que nous, ils ont tellement d’épargne qu’ils ne sont pas dépendants de l’extérieur ! Là-bas, les capitaux étrangers ne financent que 2 % des marchés d’actions. Ils n’ont aucune dépendance, ce qui brise toute logique de crise : les capitaux étrangers ne vont pas partir, la monnaie ne va pas s’effondrer, ils sont comme dans un caisson étanche sur ce plan-là !

Les salaires ne cessent d’augmenter en Chine, au point que certains craignent pour sa compétitivité…

C’est très bien. C’est l’histoire de l’économie mondiale. Des emplois sont du coup créés au Cambodge, au Vietnam, en Birmanie… Le but, au final, c’est qu’il y ait du ruissellement, que chacun en profite. Si le niveau de vie s’élève en Chine, c’est la preuve que cela marche ! Ensuite, il y a une chaîne, les emplois repartent dans d’autres pays, sur d’autres continents…

Notamment en Afrique… Les discours optimistes sur le continent africain sont-ils en train de l’emporter sur les pessimistes ?

Permettez-moi d’abord de rappeler que l’Afrique, c’est plus de 30 millions de kilomètres carrés. Soit davantage que les États-Unis, l’Inde, le Brésil et la Chine réunis. Il est donc difficile, voire impossible, de dire des choses sensées sur un tel territoire pris dans son ensemble. Honnêtement, j’ai été assez pessimiste pendant très longtemps. J’ai toujours eu confiance dans le développement de l’Afrique sur le très long terme, mais je ne savais pas si je verrais le décollage africain de mon vivant. J’ai changé d’opinion aux alentours de 2005. Il faut dire que le PIB de l’Afrique a triplé en dix ans ! Les ressources ont toujours été là, mais on a donné aux gens le minimum : de l’éducation, de l’éducation, de l’éducation… En 1960, la Côte d’Ivoire comptait 150 diplômés de l’université. Vous gérez comment un pays avec 150 personnes ? Aujourd’hui, il y a 100 000 nouveaux étudiants chaque année. Le changement d’échelle est colossal. Tout le mécanisme vu dans d’autres parties du monde, de création d’emplois et de richesses, devrait s’enclencher. C’est sûr, cela ne se fera pas sans heurts, il y a les troubles au Mali, en Centrafrique, mais la tendance est là. La terre d’Afrique n’a pas changé, le ciel n’a pas changé, la pluie n’a pas changé, mais les hommes et les femmes, oui.

On vous sent ému…

Parce que, lors de mes premiers pas en 1995 à Davos, en Suisse, les réunions sur l’Afrique étaient organisées dans un sous-sol. Il y avait bien Bill Gates ou George Soros, mais on discutait dans le noir, vraiment. Et, moins de vingt ans plus tard, l’an dernier, j’ai eu l’honneur de coprésider, à Addis-Abeba, le Davos africain. Oui, le Davos africain ! Avec 350 jeunes Africains dans la salle, tous sortis de Yale, Harvard, Princeton, Stanford… Tous extraordinaires et entreprenants ! Si on m’avait dit que je verrais ça un jour !

Vous expliquez que la richesse des uns permet aux autres de s’enrichir. En France, on a souvent l’impression que les riches sont devenus bien plus riches, que les pauvres ont vu leur part stagner…

Le postulat de départ est mauvais : il ne faut pas parler de la manière de partager le gâteau, mais plutôt des moyens de le faire grossir. Le problème de la répartition ne se pose qu’après le problème de la production. Les discours généreux qui se traduisent par la précarisation et la destruction du capital humain, je ne les approuve pas. La première forme d’injustice et de violence vis-à-vis des pauvres, c’est le chômage. Donc des pays à chômage fort ne peuvent pas donner des leçons de répartition. Ce discours fondé sur une supposée générosité se traduit par 25 % de chômage des jeunes !

Regardez le dernier rapport Pisa de l’OCDE. En France, l’équité sociale a baissé, elle est bien au-dessous du Royaume-Uni, cet enfer capitaliste ! Sur l’accès au logement, le chômage, les rémunérations, le Royaume-Uni est devant la France. Promenez-vous dans Londres, on ne croise pas un SDF. Oui, il y a aussi des très riches, mais le 1 % de la population la plus riche paie 30 % de l’impôt sur le revenu, ce qui, franchement, fait du bien aux finances publiques britanniques. Et ce n’est pas ici que des diplômés de l’enseignement supérieur noirs ou maghrébins sont obligés de devenir gardiens de parking…

Contrairement à d’autres pays…

Quand je vais dans des réunions européennes, je suis généralement le seul Noir et je représente le Royaume-Uni. Tous ces autres pays supposés ouverts, qui font beaucoup de social, ont 20 % de leur population qui n’est pas blanche. Mais cette population, où est-elle dans ce genre de réunions ?

Vous n’avez jamais caché être parti de France pour le Royaume-Uni car vous étiez confronté à un “plafond de verre”. On ne vous proposait pas les postes auxquels vous auriez pu aspirer. À Londres, vous n’avez jamais été déçu ?

Je vais vous raconter une histoire. En 2003, j’arrive à Londres. Peu après, le 10 Downing Street, où je ne connaissais personne, m’appelle. Et là, on me dit : “Tony Blair crée une commission sur l’Afrique, il veut que vous en soyez.” Voilà comment je me suis retrouvé à travailler avec Tony Blair, Gordon Brown, des chefs d’État africains. Tony Blair m’a ensuite envoyé devant le Sénat américain pour présenter les conclusions de cette commission. Au nom du Royaume-Uni ! C’est là que j’ai fait la rencontre d’un jeune sénateur nommé… Barack Obama. Qui m’a invité, plus tard, à faire une présentation aux chefs d’État du G8 en 2012 à Camp David, et plus récemment m’a fait venir à la Maison-Blanche pour parler avec lui de l’Afrique, m’a fait travailler avec son équipe sur les besoins énergétiques africains, m’a invité à l’accompagner en Tanzanie en juillet…

Quand on arrive ici, à Londres, avec une culture non britannique, on est surpris ?

Tout est plus international, ouvert. Dans mon comité exécutif, chez Prudential, entreprise symbolique de la culture britannique, car nous sommes une des marques les plus connues du pays, il n’y a presque pas de Britanniques : moi je suis indéfinissable, mon directeur de la communication est irlandais, mon DRH est suisse, mon directeur financier grécochypriote, mon directeur pour l’Asie est américain… Le foot anglais, où les équipes comprennent de nombreux étrangers de grand talent, est une bonne analogie. Il faut qu’on reconnaisse en Europe que ce message peut s’appliquer au-delà des terrains de foot ! Les Noirs et les Maghrébins ne sont pas bons qu’à jouer au foot, que j’aime beaucoup par ailleurs. Ils ont aussi beaucoup à apporter dans les écoles, dans les hôpitaux, dans les entreprises, dans les conseils d’administration…

En clair, au Royaume-Uni, on donne sa chance à tout le monde…

Dans mon entreprise précédente (le britannique Aviva, NDLR), on était huit au comité exécutif. Et, sur ces huit, plusieurs n’étaient pas allés à l’université. Quand on vient du moule français, ne pas pouvoir parler de dérivées secondes ou se lancer dans de grandes formules mathématiques, ça surprend forcément ! Ici, il n’y a pas d’obsession du diplôme, on juge les gens aux résultats ! Parmi les patrons du Footsie, il y a plein de self-made-men.

Vous, le X-Mines, vous ne pouvez pas dire que les diplômes, ça ne compte pas !

Mais, ici, “polytechnics”, c’est le nom qu’on donne aux IUT. Donc, parfois, des gens me disent : “Elle est pas mal, ta carrière, pour quelqu’un sorti d’un IUT.” Je n’essaie même plus de leur expliquer ce qu’est Polytechnique en France. Et c’est très bien ainsi ! Attention, je ne critique pas le système français de formation des élites, je lui suis infiniment reconnaissant. Et bien sûr il y a aussi chez Prudential des gens qui ont fait Oxford ou Cambridge. Mais Oxbridge, c’est 6 000 personnes par an, qui étudient trois ans avant d’arriver sur le marché de l’emploi à 21 ou 22 ans, avec un infini respect pour le travail. Quand, en France, les plus grandes écoles – X, Éna, HEC -, c’est un millier de personnes. On s’échine à sélectionner un millier de personnes ! Dans une économie du G7 ! Ce que les gens ne comprennent pas, dans toutes les approches élitistes du monde, c’est qu’il n’y a pas plus grande intelligence que l’intelligence collective. Un polytechnicien, tout polytechnicien qu’il est, sera toujours battu face à dix personnes. Dans une foule, il y a aura toujours quelqu’un connaissant la bonne réponse à chaque question, comme les travaux de l’écrivain James Surowiecki l’ont démontré. Voilà pourquoi, à “Qui veut gagner des millions ?” il faut toujours prendre l’avis de la salle…

Mais, en fait, vous êtes devenu plus britannique que les Britanniques !

Je ne dis pas que c’est le paradis sur terre : ici, le système public d’éducation ne marche pas encore assez bien, il y a eu un sous-investissement dans les infrastructures durant des décennies, le système de santé reste à améliorer… Cela dit, les Britanniques sont très en avance sur le chômage, le cancer de nos sociétés. Regardez ce que le pays a fait. Il est aujourd’hui au bout du tunnel : sa croissance approche 3 %, le chômage est à 7 %… L’austérité, c’est toujours douloureux, mais ça paie.

Le déficit public britannique (6,1 % du PIB en 2013) est quand même presque deux fois plus élevé que le français… 

Mais ils partaient de bien plus loin, à cause de la taille disproportionnée du secteur bancaire britannique avant la crise par rapport à la taille de l’économie locale et du sauvetage qu’il a fallu organiser ! Ils ont déjà réduit le déficit public de 6 points de PIB en quatre ans ! Et celui-ci diminue à toute allure ! De toute façon, réduire les déficits, c’est créateur d’emploi. Ici, pour chaque emploi public supprimé, il y a eu trois emplois privés créés ! Et la baisse prochaine du taux de l’impôt sur les sociétés à 20 % porte tout cela : ça va soutenir la croissance, réduire la fraude et, au final, accroître les recettes fiscales et réduire encore plus le déficit…

Et l’Europe continentale ? Et la France ? C’est un vieux pays dans un vieux continent malade ?

L’Europe a apporté un grand nombre des idées et des techniques qui ont permis au monde de se développer tel qu’il est aujourd’hui. Quant à la France… c’est à la fois une grande nation, mon pays, celui de mon père. Si la France n’était pas allée trouver mon père à Dagana, petit village pauvre au bord du fleuve Sénégal, pour le mettre à l’école, eh bien… Mais on sent que, face à un monde qui a beaucoup changé, l’Europe hésite à choisir entre la nécessité de s’ouvrir davantage et la tentation de se replier sur elle-même. Je crois fondamentalement que la fermeture aboutit toujours à l’échec : on devient moins compétitif, plus faible, on s’effondre… Au contraire, il faut amplifier son ouverture, continuer à se développer ailleurs dans le monde, créer des richesses supplémentaires. Car il n’y a pas de solutions aux maux européens sans croissance.

Lire la suite de l’entrevue: Tidjane Thiam, ce prophète dont la France n’a pas voulu

25 emerging entrepreneurs to participate in the C2MTL

The Claudine and Stephen Bronfman Family Foundation and C2MTL launch the third edition of the Emerging Entrepreneurs Contest, intended to recognize and reward the talent, dynamism and creativity of 25 entrepreneurs making their contribution to the evolution and innovation of the Québec business sector.

To be eligible for the contest, entrepreneurs must have been at the head of an active company for three years or less, and submit their candidacy by filling out a form available online, before Friday, April 4, 2014. 25 winners will then be selected by a jury of professionals appointed by the Claudine and Stephen Bronfman Family Foundation. The 25 winners will be unveiled on April 15.

The winning entrepreneurs will not only participate in all C2MTL activities free of charge, but will also benefit from a custom-built program with a grand total value of $90,000. They’ll enjoy the opportunity to meet a number of our star speakers and participate in discussions and workshops alongside leading figures working in the sectors of commerce and creativity. “We are happy to actively contribute to this initiative, which encourages the growth and reputation of innovative and creative young entrepreneurs,” said Claudine Blondin Bronfman, co-president of the Foundation.

Success Stories

Indeed, many winners from previous editions have testified to the benefits and support the Emerging Entrepreneurs Contest has contributed to the evolution of their business. One enlightening example involves Mohamed Hage, founder and president of Lufa Farms, who revolutionized the concept of green urban food harvesting, and has watched his approval rating climb among investors in the wake of his many nominations. Michael Lenczner of Ajah reveals that he had the opportunity to present his product to members of the Bill & Melinda Gates Foundation and the World Bank thanks to the profile of C2MTL and the Claudine and Stephen Bronfman Family Foundation. Ilana Ben-Ari, of Twenty One Toys, adds: “We have raised over $52,000 thanks to a Kickstarter campaign to produced one thousand Empathy Toys, which will be shipped all over the world.” Jeffrey Dungen of reelyActive states, “We were honoured with the title World’s Best Technology Startup at the Startup World Global Grand Finale. We have more impact than ever.” LP Maurice, CEO of Busbud concludes: “Our team now numbers 20 employees, we’ve raised 1.5 million in venture capital, we are rapidly expanding at the international level, and we were named one of the 20 most innovative companies in the country.”

About C2MTL

C2MTL is a non-profit organization aiming to reinvent the concept of the annual international conference, in order to better explore the “commerce-creativity” dynamic as well as its potential to redefine the business world. Every year, this three-day immersive event assembles renowned innovators from varied backgrounds. Participants are plunged into an intellectual and experiential environment that stimulates the left and right sides of their brains in order to develop their creative leadership skills. C2MTL features a tremendous variety of non-traditional experiences including presentations by renowned speakers, interactive exhibitions, multimedia presentations, collaborative workshops and a creativity Boot Camp, held in a unconventional “Innovation Village” conceived exclusively by and for C2MTL.

Soccer Sans Frontières Ep. 101: Impact de Montreal vs FC Dallas

Frank Klopas entraineur
crédit photo: Impact de Montréal

Soccer Sans Frontières Ep. 101: Impact de Montreal vs FC Dallas

Impact de Montreal vs FC Dallas
crédit photo: Impact de Montréal

La team SSF se retrouve dans le studio de CHOQ pour votre rendez-vous bihebdomadaire foot, soccer, calcio et encore plus.

On passe au crible le  premier match de la saison MLS 2014 de l’Impact de Montréal, une défaite 3-2 face au FC Dallas d’Oscar Pareja.

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Post-Mortem 2013 Impact de Montreal