S’il y a bien une source d’inspiration indéniable ce sont les TED talks.
Il y en a d’ailleurs un que je regarde tout le temps, celui de Richard St John sur les 8 secrets de la réussite. Il a collecté ces informations et nous les présente dans la vidéo ci-après:
Paola A. Ndengue, Fondatrice du magazine FashizBlack ainsi que de l’agence Pannelle & Co et finaliste du AABLA 2014 (All Africa Business Leaders Award) dans la catégorie YOUNG BUSINESS LEADER OF THE YEAR WEST AFRICA, commente pour vous ces secrets avec lesquels elle est en partie d’accord:
- La passion: C’est le moteur de tout, c’est grâce à ça qu’on démarre et encore plus grâce à ça qu’on tient.
- Le travail: Les idées sans concrétisation restent des souhaits. Après, il y a « travailler beaucoup» et « travailler efficacement». Le dur labeur, s’il n’est pas bien étudié en amont, n’est que de la dépense d’énergie inutile.
- La concentration: Je pars du principe que si les deux points précédents sont au rendez-vous, la concentration est par définition une formalité.
- La persévérance: “Si c’était facile, tout le monde réussirait” – Apprendre à dealer avec les vents contraires est un processus, certains y sont par nature mieux disposés et d’autres doivent apprendre sur le tas. J’ai tendance à dire que “Boire la tasse” et avancer malgré tout, ça n’est pas à la portée de tout le monde. Ça demande un vrai travail sur soi.
- L’idée: Au-delà d’avoir une idée, savoir “sortir de soi” pour juger ses idées. Pouvoir prendre ses distances avec ses propres idées, les voir sans optimisme hyper poussé. Être positif mais réaliste face à ses capacités de réalisation, la cohérence de son projet.
- L’excellence: Dans ma perception des choses, on n’excelle jamais. L’excellence est une chose qui est toujours ‘en cours’, rarement un état statique. Il faut s’appuyer sur sa passion pour évoluer chaque jour. A force de le faire, ça devient naturel de vouloir se perfectionner en permanence.
- S’efforcer: S’efforcer et persévérer reviennent un peu du pareil au même pour moi en termes de mécanismes. A ceci près qu’il ne faut pas non plus s’efforcer si on a vraiment épuisé toutes ses cartes, sinon ça devient contreproductif.
- Servir: Ça dépend. Est-ce qu’un projet qui n’est pas d’intérêt général/social n’a pas le droit d’exister ? Tout porteur de projet doit, selon moi, d’abord servir une chose en priorité: SA vision. Il peut l’alimenter avec tous les éléments qu’il juge pertinent (avis, opinions, inspirations), mais sa vision doit prédominer sinon il travaille pour un autre et à ce moment-là, autant être un employé.